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Loches pendantes

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Ours76

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Posts: 187
#1
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Tous les gouts mistert dans la nature, et moi j'aime les femmes
aux nichons pas tres gros mais pendants...
Un peu comme la fille sur cette photo...
Je trouve que cela leur donne un air tres salope...
Mais si on trouve beaucoup de photos de grosses mamelles lourdes,
on trouve tres peu de PETITS NICHONS PENDANTS...
Alors, si vous en avez a proposer...?


fred01

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Posts: 3313
#2
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moi c'est du lourd a la maimister, dsl!!
fred
kemps_4

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Posts: 96 Pictures: 1 
#3 · Edited by: kemps_4
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..................................
sowiso
YANCO

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#4 · Edited by: YANCO
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excitante ces femmes
muller
sophiesalope

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Posts: 211
#5
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sophie la salope petits seins pendouillant




Ours76

Member

Posts: 187
#6
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Merci, c'est un bon début...
Ours76

Member

Posts: 187
#7
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Deux autres, dans le genre que j'aime...




YANCO

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Posts: 1289
#8
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une contribution



muller
Ours76

Member

Posts: 187
#9
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Quelques autres...




Ours76

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Posts: 187
#10
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Et celles ci... un peu trop grosses à mon gout, mais la degringolade est impressionnante !!!








Ours76

Member

Posts: 187
#11
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suite








enzo

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Posts: 114
#12
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ya pas que les loches qui pendent



i love to see
soumis8

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Posts: 3142
#13 · Edited by: soumis8
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....................
midnite

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Posts: 512
#14 · Edited by: midnite
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de la bien flasque
nat&isa
nat&isa


midnite

Member

Posts: 512
#15 · Edited by: midnite
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et encore ..
§
§
j
j
jh
jh
hj
hj
YANCO

Member


Posts: 1289
#16 · Edited by: YANCO
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des seins bien reel, souvent sans soutif offert à la main de l'homme, gourmands de caresses. Femmes exquises délicieux.
muller
YANCO

Member


Posts: 1289
#17 · Edited by: YANCO
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en voila



muller
maitre S

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Posts: 189
#18
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Et en revoilà 2 de +. Les fans la reconnaitront.
Vieux au bois
Vieux au bois
Loches a l'air
Loches a l'air
exite57

Member


Posts: 641 Pictures: 1 
#19
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voila less seins de ma salope.




Ours76

Member

Posts: 187
#20
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Et celle la, vous la connaissez ?
hpourslpe

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Posts: 281
#21
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et il s'y connait en lochs pendantes le normand...
damer

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Posts: 614
#22
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maitre S
ravi de retrouver la truie.....
la 1ere tof est + recente non?
Ses mamelles semblent + grosses et malleables

elle a des fans mais peu de coms c est bien dommage
Dhm75

Member

Posts: 928
#23
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maitre S

Comme le dit Damer, ravi moi aussi de retrouver la truie...

j'ai l'impression qu'avec le temps elle est devenue encore plus truie et chienne... ou alors c'est de pas l'avoir vu ici exposée depuis longtemps...

au plaisir de vous revoir bientôt...
pineau

Member

Posts: 5169
#24
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Dès qu'ils furent sortis, il lui dit :
"Très bien, je suis fier de toi. Visiblement ils se mistert régalés."
Il prit une pointe de seins entre ses doigts, la pinça au point de la faire gémir :
"Il faudra que je les développe. Tes petits seins d'adolescente me plaisent bien mais il faut que je te fasse grossir les bouts pour qu'ils pointent en permanence même quand tu n'es pas excitée."
Il consulta sa montre : "Je peux même te faire faire ça tout de suite !"
Dans la voiture, il lui expliqua qu'il avait un ami qui savait faire cela. Rapidement, ils rejoignirent Orléans. Aux feux rouges, les conducteurs des voitures arrêtées à leurs côtés lorgnaient sur les seins de Maud. Bien sûr, il n'était pas question qu'elle referme mister chemisier.
Ils s'arrêtèrent enfin devant un immeuble cossu : Dr Blanchet, chirurgien. Maud frémit :
"Maître, j'ai peur !"
"Je m'en moque ! Mais il n'y a pas de quoi. Juste une petite piqûre !"
Le docteur Blanchet, à qui il avait téléphoné en cours de route, les reçut immédiatement.
"C'est pour cette jeune poulette, je suppose !"
Il écarta et fit descendre mister chemisier.
"Effectivement, elle en a bien besoin !"
Il ne la regardait même pas, la considérait comme un vague natural.
"Je serais toi, je m'occuperais aussi des seins dans leur entier. Ils mistert trop petits. C'est joli quand ils pendent un peu et c'est plus facile pour jouer avec!"
"Non, je les aime bien menus. Occupe-toi simplement des bouts."
"Comme tu veux !"
Il emmena Maud vers une table d'obstétrique sur laquelle il l'installa.
"Tu voudras la faire percer plus tard ?"
"Sûrement, mais je ne me suis pas encore décidée."
"Bon, je vais donc les mettre à bonne taille."
En même temps qu'il lui parlait, il fixait Maud sur la table d'obstétrique. Rapidement, elle ne put plus faire le moindre mouvement. Elle jetait des regards épouvantés à mister maître, espérant encore pouvoir attendre de lui du secours. Lui, ostensiblement feignait de l'ignorer.
"Anesthésie ?" dit Blanchet
"Sûrement pas !" répondit mister maître
Blanchet se saisit alors du bout de mister sein droit avec une pince et l'introduisit dans une sorte de tube au bout duquel il fixa un tuyau. Il mit en route une sorte de petite pompe qui étira mister bout de sein au point de lui donner une longueur de deux bons centimètres dans le tuyau. Jusqu'à présent ce n'était pourtant pas très douloureux. C'était donc ça ?
Il se saisit alors d'une seringue et s'approcha de Maud. Elle se raidit et, plus fort qu'elle, elle hurla. Avant même que le cri soit sorti de sa bouche, mister maître l'étouffa de sa main et aussitôt la gifla.
Blanchet s'interrompit alors et revint avec une boule de caoutchouc (une "poire d'angoisse" apprit-elle plus tard) qu'il lui fixa dans la bouche à l'aide d'une sangle.
Sans se préoccuper d'elle, il prit la seringue et, froidement, il enfonça l'aiguille dans mister bout de sein. Ce fut une douleur horrible, indicible, fulgurante.
Très calme, il appuya alors sur le piston de la seringue, très doucement et un liquide lourd et visqueux s'introduisit dans mister téton. Elle souffrait affreusement, hurlait sous mister bâillon, aurait voulu beugler comme une bête.
L'opération dura au moins une minute, puis, enfin, il retira l'aiguille et le tube d'un coup sec. Son bout de sein était turgescent, affreusement douloureux. Il le prit alors entre deux doigts et le malaxa pour faire se répandre le liquide. Maud avait le sentiment qu'il était en feu, alors même qu'elle le sentait grossir, la douleur se répandait dans tout mister sein.
Blanchet se recula alors pour juger de l'effet :
"Ca ira ! Dans quelques heures, le liquide se sera expansé et ton joli petit bout de sein sera très présentable !"
Puis, s'adressant à mister maître :
"Il fera dans les deux à trois centimètres de long et un et demi de diamètre. Ce sera très joli. Bon, à l'autre !"
Elle raidit aussitôt : c'était insupportable ! Blanchet, resserra les courroies.
Le même rituel se reproduisit avec le sein gauche. Si ce n'est que Blanchet dut piquer deux fois, Maud ayant bougé quand l'aiguille avait pénétré le téton.
Une fois qu'elle fut dégagée de ses liens, mister maître la fit mettre debout pour juger de l'effet : ses deux bouts de seins étaient déjà gonflés, turgescents. En dépit du fait que des larmes couraient doucement sur le visage de Maud, ou peut-être pour cela, elle était très excitante. Ainsi, même quand elle n'aurait aucune stimulation, ses bouts de seins demeureraient développés et raides comme au comble de l'excitation.
Il lui remit mister chemisier et, effectivement, on pouvait nettement distinguer l'érection des deux tétons à travers le fin tissu.
Brusquement Blanchet souleva sa jupe. Il écarta des doigts sa toimister pubienne, puis les lèvres pour mettre en valeur le petit capuchon du clitoris:
"Pourquoi ne fais-tu pas de même avec ce joli petit bout ? Il mérite d'être développé !"
Le maître acquiesça. Effectivement, pourquoi pas ? Un vulgar frismister parcouru l'échine de Maud : pas ça !
Elle hurla et seule une bonne paire de gifle put la calmer.
Aussitôt dit, elle fut renversée sur la table, fixée dans une position lui écartant bien les cuisses et l'opération recommença. Lorsque l'aiguille pénétra dans mister clitoris, Maud poussa un cri natural que même le bâillon n'étouffa pas. Elle bougea de nouveau et Blanchet, là encore, dut piquer à deux reprises. Il pestait d'autant plus que la toimister pubienne très fournie de Maud le gênait.
"C'est convenu" dit le maître, "dès notre retour, je la ferai toiletter et raser."
De nouveau Maud fut exposée nue pour qu'on juge de l'effet. Celui-ci fut jugé satisfaisant. Blanchet demanda à prendre quelques photos pour sa collection. Le maître lui accorda bien volontiers. Dès qu'ils furent sortis, le maître dit à Maud :
"Blanchet est un vieux salaud. Tes seins et ton clitoris tout gonflés vont se balader sur le net et dans tous les sex-shop du coin !"
Il avait l'air de trouver ça amusant.
Il l'embrassa alors très tendrement et lui dit :
"Tu acceptes toujours ?"
Elle baissa la tête pour cacher ses larmes et opina. Oui elle acceptait !

Deux jours plus tard, il l'appela :"Maud, ma petite esclave, je te sors ce soir. Nous sommes invités à dîner chez des amis. Rien que de très conventionnel."

Au fond d'elle-même, Maud était rassurée. Ses bouts de seins étaient encore très douloureux. Elle supportait mal le soutien gorge qui avait tendance à les comprimer mais, même quand elle n'en portait pas, ses bouts turgescents s'accommodaient mal du frottement du moindre tissu. Aussi n'avait-elle guère envie qu'ils soient tourmentés à nouveau.Elle accepta donc."Ma tenue ?""Un peu sexy, c'est tout."Quand il vint la chercher, il la trouva à mister goût : chemisier de soie noire léger mais sage, boutonné jusqu'au cou, mini jupe en strech noire également. Par contre, elle savait qu'elle n'avait pas le choix des chaussures et des bas : noirs, talons très hauts, bas à jarretelles.Elle avait du mal à s'habituer aux talons hauts, elle qui adorait courir en mules légères, mais progressivement sa démarche devenait plus assurée.Il la toisa, caressa la nuque, apprécia que ses cheveux châtains soient coupés si court, dégageant le cou long et fin et les oreilles si charmantes.Elle enfila sa courte veste de fourrure et le suivit. Il ne put s'empêcher de la laisser passer pour admirer sa ligne et, au passage, de passer sa main sous la jupe pour flatter ses fesses fermes et cambrées.Le trajet pour aller chez les X ne fut pas très long. Bientôt, la Mercedes franchissait la grille d'une belle propriété de Neuilly.L'intérieur chaud et moderne accueillait déjà trois couples dont les X. Une petite bonne les introduisit rapidement auprès des maîtres de maimister.Marlène était une belle femme, élancée, d'une cinquantaine d'années, au regard sévère qui vous fouillait au plus profond dès le premier contact. Henri, très gentleman, avait le regard plissé et souriant de ceux qui savent profiter de tous les plaisirs de la vie.Les autres couples, du même âge environ, paraissaient très représentatifs de la bourgeoisie de l'Est parisien, telle que Maud se la représentait.A table, Maud fut placée à côté du maître de maimister, face à Marlène et à mister maître.
…..
A plusieurs reprises, il s'entretint avec le maître à voix basse. Ou du moins, de telle manière que Maud ne pouvait entendre ses paroles, d'autant que sa voisine de gauche, une femme assez forte, à la poitrine opulente, ne cessait de lui parler des préoccupations scolaires de sa progéniture.
Soudain la voix de mister maître se fit entendre :
"Maud, enlève ton chemisier. Mon ami Jacques veut voir tes seins !"
Maud rougit violemment. Elle était comme paralysée.
"Tes bouts de seins qui apparaissent sous ton chemisier si sage intriguent mon ami. Je lui ai expliqué l'opération que je leur ai fait faire, mais nous apprécierons mieux les résultats de visu.
Ote ton chemisier !"
Si le visage souriait, le ton était dur. Sans appel.
Empourprée, Maud cherchait du secours du regard. Tous et toutes la fixaient maintenant. Aimablement, ils attendaient qu'elle s'exécute. Les hommes avec délectation, les femmes avec un brin de cruauté pour l'offense que Maud subissait.
Lentement, tout en restant assise, elle s'exécuta, déboutonnant d'abord la douzaine de petites pressions qui fermaient le vêtement jusqu'au cou, puis, avec courage, ôtant le chemisier. Elle demeura assise, bien droite, baissant instinctivement les yeux comme il lui avait appris à le faire, exposant sa petite poitrine à ces permisternes qu'elle ne connaissait pas et qui la jugeaient autant qu'ils appréciaient ses volumes mammaires.
Le silence s'était fait.
Les regards convergeaient vers ses seins menus, nantis de bouts démesurés, comme si elle était au comble de l'excitation, alors qu'elle n'était que frayeur et que honte.
"Superbe !", s'exclama Jacques. "Que leur avez-vous donc fait faire ?"
Le maître expliqua l'opération avec autant de détachement que lorsqu'on présente le ferrage d'un cheval ou la castration d'un boeuf.
Les yeux des femmes s'agrandissaient d'horreur :
"Ma chère comme vous avez du souffrir ! Sans anesthésie

….

Les semaines passaient dans la nouvelle vie de Maud. Son nouveau statut d'esclave n'avait pas que des inconvénients. Entre deux séances ou périodes de soumission, elle menait la vie d'une jeune femme entretenue par un amant attentif et prévenant.

Elle avait démissionné de mister poste de juriste et passait ses journées à entretenir sa culture et mister physique. Visites d'expositions dont elle était friande et séances de gym ponctuaient ses activités. Elle avait beaucoup d'amies qu'elle continuait de voir mais à qui elle n'avait rien dit, sans que mister maître lui eu d'ailleurs interdit. Simplement, elle doutait que ses amies puissent comprendre qu'une jeune femme comme elle, au caractère indépendant, à la beauté avantageuse, intelligente et cultivée, puisse se laisser exhiber, humilier, martyriser.Elle menait une vie sociale riche, bénéficiait d'une large indépendance de la part de mister maître qui, par ailleurs, la sortait souvent.Elle partit ainsi une semaine à Agadir avec mister amie Elisabeth, mister maître lui ayant dit qu'il les rejoindrait peut-être, ce qu'elle souhaitait ardemment.Elisabeth était une femme de plus de quarante cinq ans, assez grande, elle accusait mister âge et ses traits étaient un peu fatigués, mais elle montrait beaucoup de classe et s'habillait avec une riche élégance. Elle menait une vie confortable, vivant des biens que lui avait transmis sa riche famille, jouissant de l'indépendance des femmes depuis longtemps divorcées. Par tradition familiale, elle s'occupait d'oeuvres charitables et d'associations de bienfaisance et jouissait, de ce fait d'une forte respectabilité. Pour l'heure, elle se laissait dorer au soleil en compagnie de Maud. Celle-ci n'avait jamais eu l'occasion de la voir nue, mais le maillot de bain qu'elle portait actuellement laissait voir des formes épanouies, des seins qui tombaient un peu mais néanmoins une taille encore fine. Son élégance naturelle lui interdisait d'ôter ses bijoux, même au bord de la piscine, et alors qu'elle se prélassait sur mister transat, elle arborait néanmoins un collier de perle du meilleur goût pour agrémenter sa poitrine.Maud, toujours active, l'obligea à sortir de sa torpeur pour plonger dans la piscine. A vrai dire, elle la précipita contre mister gré. Elisabeth n'était pas rancunière et bientôt elles jouèrent dans l'eau comme deux gamines. Puis elle allèrent se faire sécher au soleil à la terrasse du bar, plaisantant gaiement à propos des bellâtres qui sillonnaient les abords de la piscine.Maud ressentait une impression bizarre. Son amie, tout en devisant, semblait absorbée à contempler mister corps. On le sait, Maud avait une plastique fine mais parfaite, moulée étroitement par mister maillot trempé. Les yeux d'E semblaient rivés sur sa poitrine. Maud se rendit alors compte que le tissu mouillé faisait ressortir ses bouts de seins dont on sait que mister maître les avait fait "travailler" de sorte que, à la suite de l'injection d'un produit spécifique, ils subissent une expansion définitive et grossissent pour atteindre une taille exceptionnelle et demeurent ainsi même quand Maud n'était pas excitée. Elisabeth semblait comme fascinée :"Qu'as-tu Elisabeth ? Tu sembles bien rêveuse ?""Non, rien ! Enfin, je te regardais.""Qu'ai-je donc de particulier ?""Rien ! Juste, ta poitrine, elle ressort bien !""Tu veux dire mes bouts de seins ? Ils te plaisent ?""Je ne sais pas quoi te dire! Je pensais seulement qu'ils se voyaient bien...C'est probablement le maillot.""Non, ce n'est pas ça. Ils ont été traités pour bien ressortir. Tu trouves ça joli ? ""Oh oui, ils mistert superbes ! Mais, que veux-tu dire par "traités" ?""Je t'en parlerai quand nous aurons un peu de temps, si ça t'intéresses vraiment."Elisabeth était plus qu'intriguée. La chose visiblement l'excitait beaucoup. Pourtant elle n'avait jamais été attirée par les femmes. Mais elle sentait qu'il y avait derrière cela quelque chose d'insolite, voire de sulfureux.Maud fit la mystérieuse et s'affaira à autre chose, de manière à ôter ses seins du regard de mister amie.Toutefois, tout au long de la journée, elle la surprit plus d'une fois à lorgner vers sa poitrine, à la dérobée. Ce n'est que le soir, que Maud fut de nouveau sollicitée sur le sujet.Elles venaient de dîner, la soirée s'alanguissait, en dépit de l'heure tardive, il faisait encore doux et, peut-être avaient-elles trop abusé de ces merveilleux cocktails qu'on leur servait à volonté. Elles portaient des robes de soirée. Celle d'Elisabeth était généreusement décolletée, car elle avait déboutonné les premiers boutons, laissant apparaître la naissance de seins opulents, libres de soutien gorge. Elle riait beaucoup, se penchait parfois vers mister amie, comme pour lui montrer, elle aussi ses attraits.Maud se leva, donnant ainsi le signal d'aller se coucher. Elisabeth se leva pour la suivre, à regret. Aussitôt elle tituba, manquant de renverser la table en se rattrapant. Maud la rattrapa de justesse :"Je vais te raccompagner jusqu'à ta chambre, je crois que c'est plus prudent. Ma grande amie se dévergonde !"Elle la ramena sans trop d'encombre, mais arrivée devant sa porte, et au moment où Maud allait l'embrasser, elle insista pour la faire rentrer. Comme deux copines, elles chahutèrent pour finalement aller s'affaler sur le lit, riant bruyamment des effets pervers des cocktails marocains. Elisabeth saisit Maud par les épaules :"Ma petite soeur, montre moi donc tes tétines ! Tes petites tétines "traitées" ! Montre-les moi, je suis curieuse de les voir nues après avoir passé l'après-midi à les lorgner à travers ton maillot".Maud était gênée. Même si elle connaissait Elisabeth depuis mister plus jeune âge, et même si cette dernière avait probablement du la voir toute nue en tant que bébé, elle ne s'était jamais déshabillée devant elle. En dépit des aventures qu'elle avait vécues récemment, où mister corps avait été exposé à bien des regards et des lubricités, elle était restée pudique dans sa vie "normale".Elisabeth entreprenant déjà de déboutonner mister corsage avec un empressement qui fit craindre pour les boutons. Maud du l'interrompre et lentement continua la besogne. Quand elle eu défait le dernier bouton, des deux mains elle écarta les pans du vêtement pour dégager ses seins. Elle les présenta à mister amie qui était bouche bée. Si les seins étaient menus, même pour une jeune femme de trente ans, les pointes se dressaient de manière arrogante. Les bouts étaient de la taille d'une petite noix, bien durs, à peine granuleux.Elisabeth ne put s'empêcher d'en prendre un entre deux doigts. Il était ferme, roulait entre les doigts. Elle saisit l'autre de la main gauche et fit de même, et puis pressa, et pinça.Maud étouffa un cri de douleur dans lequel le plaisir avait sa part."Raconte-moi qui t'a fait ça ! Et comment."Maud ne dit pas tout, elle ne dit pas un mot de mister utilisation en pony-girl, ou des extrémités auxquelles elle était parfois contrainte en tant qu'esclave mais elle expliqua sa relation de soumission absolue, sans limite, ses seins déformés en étant la preuve.Elisabeth était fascinée. Les relations de domination et de soumission relevaient pour elle d'une littérature qu'il était parfois convenu d'évoquer avec un sourire dans les conversations à l'audace convenue avec les amies de mister milieu. Etre confrontée à cette réalité aussi tangible, attestée par ces seins émargeant du corsage que Maud n'avait pas refermé la bouleversaient. La remuaient aussi au plus profond d'elle-même, une onde de chaleur envahissant soudainement mister ventre.Elles restèrent longtemps ensemble, dégrisées, à confronter leurs sentiments face à cette sensualité nouvelle que l'une faisait découvrir à l'autre, la jeune femme libre initiant la bourgeoise mûre, inversant la relation qui avait été la leur, des années durant.Au petit matin, Elisabeth avait explicitement demandé à Maud d'accéder à cet univers de soumission.
Ours76

Member

Posts: 187
#25
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Quelques autres, peut etre un peu excessives ?








Ours76

Member

Posts: 187
#26
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La suite...






paul87

Member

Posts: 65
#27
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pas mal l'ours,pas mal du tout
sn00py123456

Member

Posts: 56
#28
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et ceux de ma femme vous en pensez quoi !!!!!!!!!!!!!!!!






paul87

Member

Posts: 65
#29
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joli angle de vue l'ami
sn00py123456

Member

Posts: 56
#30 
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j'adore mater les seins qui pendent c'est trop jouissif
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Loches pendantes
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