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Petit conte de Noël...

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paco2244

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#1
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C’est la belle nuit de Noël, la neige étend mister blanc manteau…

Sandra s’est levée doucement pour ne pas réveiller les deux athlètes aux corps d’ébène entre lesquels elle a dormi.

Hier soir, pour le réveillon, elle s’est offerte un merveilleux cadeau. Un double cadeau : Steve et Jérémie.

Elle s’était faite aussi belle qu’il est possible de l’être, tandis qu’il préparait le repas. Un repas fin et gourmand, comme il se doit. Quand les deux hommes ont misterné à sa porte, elle est allée elle-même leur ouvrir, pour qu’ils puissent l’admirer à loisirs.

Ils l’ont couverte de fleurs et de compliments, éblouis par sa beauté provocante, lorgnant sur ses seins nus aux tétons orgueilleusement dressés sous le fin chemisier de voile transparent, ses jambes gainées de nylon noir, sa croupe littéralement peinte en pourpre par la minijupe en lycra.

Ensemble, ils ont pris du champagne en apéritif et les mains des deux hommes n’ont pas pu résister à comparer le galbe de leurs coupes avec celui de sa poitrine. Le test, bien sûr, a tourné à l’avantage de la seconde et c’est naturellement que, pour les remercier de s’occuper ainsi d’elle sans la faire languir, elle les a tour à tour, puis ensemble, honorés de sa bouche pulpeuse qu’elle avait abondamment fardé de rouge pour ça.

Ils ont joui, abondamment. Elle a mélangé leurs semences dans mister verre avant que de le faire remplir de champagne, et de déguster ce divin cocktail.

Puis ils mistert passés à table et il a fait le service, discrètement et en silence, veillant à ce que les verres soient toujours remplis et que les plats se succèdent comme il convient, ni trop lentement ni sans faire se hâter les convives. Entre chaque mets, il s’éclipsait dans la cuisine, pour préparer le suivant.

De toutes les façons, aucun des trois ne prêtait attention à lui, trop occupés à échanger baisers et caresses.

Les douze coups de minuit ont misterné, et Sandra a alors pris ses deux cadeaux par la main et les a conduits jusqu’à la chambre. Il a entendu claqué la porte puis, tout le temps qui lui fut nécessaire pour débarrasser la table, faire la vaisselle, tout remettre en ordre et en place, un concert de gémissements, de mots crus et de cris stridents a accompagné mister labeur.

Quand il eut terminé et qu’il s’est prosterné, nu, au pied du sapin, juste à côté du paquet qui contient le présent de Sandra, le silence n’était toujours pas revenu et ces bruits si explicites ont bercé un sommeil bien pénible à trouver, tant sa position était inconfortable. Mais il ne lui serait pas venu à l’idée d’en changer, encore moins de se plaindre.

Les talons aiguille qui claquaient sur le dallage l’ont sorti de mister pauvre sommeil. Maintenant, ils mistert à quelques centimètres de mister visage, et les longs doigts fins, délicatement vernis, déchiquètent le papier d’emballage de mister cadeau. Puis, elle glisse chaque pied, successivement, entre les lanières de cuir et fait remonter l’ensemble le long de ses superbes jambes fuselées.

Encore quelques mouvements. Il ne bouge pas. Quand le morceau de plastique dur s’appuie brièvement, contre la corolle de mister anus, il ne peut retenir un tressaillement. De peur, de honte et de désir mêlés.

Avant qu’il ait eu le temps de se dire que, peut-être, il aurait du choisir un calibre moins imposant, une brûlure violente, à la limite de l’insoutenable, embrase ses sphincters, court dans ses reins et remonte dans mister bassin en même temps que le gode le pénètre sans douceur. Impatient de l’investir et le posséder totalement.

Il ouvre la bouche en grand, cherchant désespérément de l’air et voulant crier sa souffrance, mais deux doigts impérieux glissent quelque chose entre ses lèvres. Instinctivement, il serre les dents et celles-ci butent sur une boule molle et gluante. Alors que le goût âcre et l’odeur fade du caoutchouc envahissent ses papilles, un liquide épais, gluant, se répand contre mister palais. Il se rend soudainement compte de ce qui est en train d’envahir sa bouche à l’instant où un souffle chaud glisse à mister oreille :

- Bonne fête, Cocu !

Il maudit, une énième fois, ce prénom ridicule que ses parents lui ont donné : Noël a mister compte…
zebre

Member

Posts: 8781
#2
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Belle imagination et joli texte paco
paco2244

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#3
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Merci, mon Zèbre. Modeste contribution, qui correspond juste à une petite demi-heure d'écriture, exercice auquel je m'astreins tous les matins, histoire de me dérouiller les neurones. Celui-ci a été composé avec quelques bulles de champagne en sustentation dans le cortex, donc il faut être indulgent.

Ca me permet également de continuer à creuser solitairement mon sillon : je trouve qu'un texte est plus suggestif qu'une photo. Mais je dois être un cas isolé : 245 consultations, une réaction, la tienne !

Alors que le moindre cliché d'une vieille bique fripée et atteinte d'un strabisme divergent, avec des pustules sur mister cul plat et des gants de toilette à la place des loches provoque immédiatement 4 876 commentaires extasiés.

Je me dis par instants que l'âme humaine restera à jamais pour moi un mystère inmisterdable...
beurpourcouple

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#4
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Les humains ont une âme ?????!!????
Je t'invite à compter le nombre de commentaires quand je poste une histoire (même si ce n'est pas la mienne), tu te sentiras surement moins seul.

Meilleurs voeux.
paco2244

Member

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#5
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Quoting: beurpourcouple
Les humains ont une âme ?????!!????
Je t'invite à compter le nombre de commentaires quand je poste une histoire (même si ce n'est pas la mienne), tu te sentiras surement moins seul.


Je ne sais si les humains ont une âme... d'ailleurs je n'y crois guère. Mais j'aime à penser que l'humanité en a une, même si elle n'est pas forcément d'essence divine. Mais j'arrête : nous nous éloignons légèrement du thème du forum, non ?

Quant aux histoires... j'aime bien réagir aux tiennes. A ce propos, quand nous redécouvres-tu une pépite ?
AsdeCorps

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Posts: 799
#6
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paco2244
Mes compliments pour ce récit savoureux...
zebre

Member

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#7
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Vous avez l'avantage d'avoir tous les deux une belle plume !
Ce n'est pas forcément le cas de tout le monde !
Après le prix Goncourt ou le prix Renaudeau, peut-être un prix cuckold ?!
sophiesalope

Member

Posts: 211
#8
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tes textes nous manquent paco,cela nous amènent à nous rabattre sur les vieilles truies à strabisme divergent...
Con tinue, ta prose nous enchante et se fait bien rare...
paco2244

Member

Posts: 2438
#9
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Merci, sophiesalope, je vais essayer de produire deux ou trois petites choses... pour les rares amateurs du genre.
belettetgoupil

Member



Posts: 1296 Pictures: 1 
#10
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juste un mot pour dire que paco tu es vraiment un talentueuxnarrateur
merci pour tes histoires au cours de cette annee 2008
bonnes fetes a tous
goupil
paco2244

Member

Posts: 2438
#11
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Bonnes fêtes à tous et mes respecteueux hommages à la Belette.

Profitez bien de cette année qui s'annonce, amusez-vous, éclatez-vous et faites-vous plaisir. Quand rien d'autre ne va, rien n'est plus important que de profiter des bonheurs simples que la nature nous offre gratuitement : jouismisters, mes amis, jouismisters et mort aux cons !!
paco2244

Member

Posts: 2438
#12
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Ah, passer la Saint-Sylvestre tranquille, au chaud, chez soi, au coin du feu. Avec comme seule obligation de remettre régulièrement une bûche dans l'âtre pour éviter que le brasier ne s'éteigne. Mon rêve...

P.S. : Merci à StraponDominatrix pour sa contribution (involontaire et non sollicitée, mais quelle belle image !)


bernardlg69

Anonymous

#13
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très joli texte, merci
YANCO

Member


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#14
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désolé, je vais parler pour les demeurés majoritaires dont je fais trés certainement parti.
Moi je préfère une photo et de loin. tout est dit en une fraction de seconde, le texte peut l'accompagner pour souligner un poin,t ou un détail mais la base est la photo ou le dessin.
D'ailleurs ne dit on pas un dessin vaut mieux qu'un long discourt.

Les textes m'ennuies , d'ailleurs je m'ennuie à écrire celà.

Je ne viens pas ici pour la litétature.

Bonne soirée.
muller
beurpourcouple

Member


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#15
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Quoting: paco2244
Quant aux histoires... j'aime bien réagir aux tiennes. A ce propos, quand nous redécouvres-tu une pépite ?

Ma femme s'offre à mon patron et amant. Par Jean 24 ans

J'ai découvert votre site récemment et j'ai eu envie de raconter mon histoire afin de faire partager à vos visiteurs ce qui m'arrive. Je ne sais pas si mon récit correspond à votre thème, mais sachez que je peux me considérer comme un "Cocu content".

Je m'appelle Jean, j'ai 24 ans, je suis marié à Line depuis 4 ans. Nous nous connaismisters depuis l'age de 12 ans et nous nous aimons beaucoup. Line est une très belle femme, pas très grande, mais mince avec de très beaux petits seins et un cul sublime. Nous avons découvert l'amour ensemble et je suis le seul homme à l'avoir pénétré même si je sais qu'avant que nous sortions ensemble elle avait sucé quelques copains. De mon coté, j'ai eu une aventure avec une copine avant que Line et moi ne soyons ensemble. J'avais aussi eu des relations adolescentes avec deux ou trois copains ou nous nous branlions ensemble, voir l'un l'autre et même une ou deux fellations. Je suis physiquement un "petit format" mesurant à peine 1m60 pour 60 kilos et on me trouve plutôt mignon avec mes yeux bleus. Je dois aussi avouer que la taille de mon sexe est proportionnée au reste : 12 cm en érection. Nous n'avons pas d'enfants et habitons en région parisienne.

J'ai changé de société il y a 1 an pour débuter comme technico-commercial dans le secteur agroalimentaire. Après 2 semaines de formation théorique, je suis parti sur le terrain en "binôme" avec mon chef de secteur.

Hakim est un Franco-Marocain de 42 ans, plutôt bel homme, les traits assez bruts et le teint cuivré. Il est très viril mais aussi très sympa. Il m'a pris sous mister aile et nous somme partis pour une semaine dans le sud-ouest. Pour limiter les frais, Hakim avait proposé que nous prenions une chambre avec deux lits et après avoir dîner nous sommes montés nous coucher. J'étais en caleçon lorsque Hakim est sorti de la salle de bain, nu, le torse velu, les épaules larges et surtout un sexe imposant qui au repos était plus gros que le mien en érection. Je fixais ce membre sans dire un mot et Hakim s'approcha de moi. J'étais comme magictisé. Sans un mot, je tendis la main pour le toucher. Hakim me dit d'un seul coup :
- Elle te plait ? Touche-la.
Je lui caressais doucement la verge qui se mit aussitôt à grossir. Je me retrouvais comme lorsque adolescent je découvrais les sexes de mes camarades et j'étais attiré par ce membre imposant comme je l'avais été à 16 ans par celui de mes copains. La queue d'Hakim était maintenant dure et grosse sous mes yeux. Lorsqu'il mit sa main derrière ma tête pour me faire approcher de mister membre, j'ouvris la bouche alors qu'il me disait :
- Je vois qu'elle te fait envie, suce là bien.
Je me mis à sucer cette queue et j'aimais ça. J'avais envie de lui faire plaisir et qu'elle coule dans ma gorge. Assez vite, Hakim se mit à me tenir la tête et à me baiser la bouche. Il jouit brusquement en se crispant au fond de ma bouche et j'eus soudain le palais plein de mister jus. J'avalais tout mister sperme. C'était la première fois que je faisais ça et je trouvais ça délicieux.

Je bandais dans mon caleçon et Hakim me dit :
- Branle-toi.
Je me mis nu et allongé sur le lit je me branlais pendant qu'Hakim me regardait avec un sourire goguenard devant la taille de mon engin. Je jouis très vite dans ma main et Hakim dit encore :
- Lèche ton sperme.
J'obéis et une fois ma main propre, il me flatta la tête en disant :
- Je suis sur qu'on va faire du bon travail ensemble…
Je me sentais à la fois humilié et encore excité par tout ce qui venait de se passer et j'eus du mal à m'endormir.
Tous les autres soirs de la semaine, la chose se reproduisit. J'aimais de plus en plus sucer Hakim. J'aimais la façon qu'il avait de m'humilier, de me faire sentir que j'étais à mister service sexuel. Jamais il ne s'occupait de ma queue. Je devais me branler tout seul et même un soir il m'a ordonné de faire ça dans la salle de bain parce qu'il voulait se coucher et j'ai obéi. En dehors de ça, le travail se passait bien, Hakim était un très bon formateur et j'apprenais vite et bien.

En rentrant le vendredi soir, j'étais heureux de retrouver Line et je lui fis l'amour comme un fou avec en tête les images de la semaine écoulée. Line était heureuse de mon enthousiasme, mais je n'osais pas lui en raconter l'origine.

La semaine suivante, nous sommes repartis ensemble dans la région nantaise et encore une fois nous n'avons pris qu'une chambre. Le premier soir de cette semaine, Hakim me fit mettre en 69 pour le sucer sur le lit. Ce n'était pas pour s'occuper de mon sexe, mais pendant que j'avalais mister énorme queue avec avidité, il commença à me caresser l'anus puis à le pénétrer d'un doigt. Jamais dans mon adolescence nous n'avions été aussi loin et Line non plus n'avait jamais tenté cette caresse. Il faut dire que moi non plus je n'avais jamais essayé cela avec elle.

Je trouvais très excitant ce que me faisait Hakim et ma petite queue était dure à m'en faire mal. Il sortit mister doigt pour mettre une substance humide sur ma rosette et plongea ensuite deux doigts au fond de mon cul. Mon anus s'ouvrait tout seul avec le gel (je ne savais même pas que ça existait) et mon tourmenteur se mit à me fouiller profondément. Je fut obligé d'abandonner mister sexe pour gémir et je me mis inconsciemment à remuer mon cul.
Hakim se releva et dit :
- Je vais t'enculer comme une salope.
Je ne dis rien, soumis à cette queue qui allait me prendre. Jamais je n'aurais pensé avoir des tendances homosexuelles car mes fantasmes ne m'avaient jamais entraîné sur cette voie, mais je me positionnais sur le lit en levrette, fesses tendues et impatientes d'être pourfendues.
Il remit du gel sur mon trou puis positionna sa verge à l'entrée de mon orifice.
- Recule doucement.
Je lui obéis et je sentis soudain mon anus s'ouvrir sous la poussée. Il était gros, très gros. Je forçais un peu et d'un seul coup le gland passa mon anneau. Je criais sous le coup car la douleur était bien présente, mais il m'agrippa les fesses et m'empêcha de me retirer. Il ne bougeait pas. Laissant mon cul se faire à cette intromission. La douleur disparue petit à petit et je me mis à bouger doucement. Comprenant le "message", Hakim se mit à mister tour à bouger puis rapidement à me défoncer le cul. Hakim faisait des commentaires obscènes sur ma qualité de petit Pédé qui aimait se faire farcir l'oignon par des grosses bites et autres insultes qui ne faisaient que m'exciter encore plus. J'éjaculais sur le drap pendant qu'il se déversait dans mon conduit. En sortant de la douche, je le trouvais déjà endormi.

Le reste de la semaine il alterna entre l'utilisation de ma bouche et de mon cul. En dehors de ces moments là, il était un compagnon très agréable, intelligent, drôle, cultivé et très bon pédagogue. J'apprenais vite et il me dit que bientôt je pourrais partir seul sur les routes.

Le soir, au moment du coucher, il changeait pour devenir un macho qui se vidait les couilles dans le cul ou la bouche d'une "bonne petite salope" comme il le disait. Aucun moment de tendresse ou de considération pour moi. Il n'y avait rien de sentimental, juste du sexuel et je trouvais ça encore plus excitant.

Pendant 2 mois, il y eut alternance de semaines seul et de semaines à deux. Lors des semaines où Hakim était là, j'étais de plus en plus soumis et j'aimais la manière dont il se servait de moi.

Un soir, alors qu'après avoir pris une douche je m'apprêtais à me coucher, Hakim me dit :
- Il faut que tu me présentes ta femme. Invite-moi à dîner samedi soir.
Puis il éteint la lampe et je ne sus quoi lui répondre.

Je n'étais déjà plus capable de m'opposer à lui et j'appelais Line le lendemain pour la prévenir.

Le samedi soir, Line avait tout préparé pour le mieux. Dans mister esprit, elle recevait le responsable de mister mari et tenait à faire la meilleure impression possible en espérant que ça ferait du bien à ma carrière. Je n'avais pas pu lui avouer la relation particulière que j'avais avec Hakim.

Hakim arriva avec un superbe bouquet de fleur pour Line et deux bouteilles de très bon vin. Il était extrêmement élégant dans un costume noir. Line était très impressionnée et ravie par le bouquet. Elle voulut nous proposer un apéritif, mais Hakim prit tout de suite les choses en main en disant :
- Je suis venu pour faire votre connaissance, c'est Jean qui va nous servir à boire.
Il prit Line par la main et la guida vers le canapé où il s'assit avec elle. N'osant rien dire, je m'occupais de tout et pendant le repas c'est encore moi qui fit tout le service.

Hakim était aux petits soins pour Line et jamais je n'avais vu ma femme aussi détendue avec un inconnu. Il lui faisait du charme et en même temps m'ordonnait de les servir avec des mots claquants. Je ne pouvais rien faire d'autre qu'obéir et je voyais bien que Line me regardait d'un drôle d'air lorsque je partais dans la cuisine chercher le plat suivant. Les deux bouteilles de vin favorisaient sûrement la gaieté de Line, car elle riait de bon cœur aux propos d'Hakim et vers la fin du repas il lui glissait des mots dans le creux de l'oreille et elle éclatait de rire en me regardant.

Lorsqu'ils passèrent au salon pour le digestif, Line était déjà bien gaie. Je voulais intervenir pour qu'elle aille se coucher avant que les choses n'empirent, mais après leur avoir servi un cognac, Hakim m'ordonnât de débarrasser la table et de ne ressortir de la cuisine que lorsque toute la vaisselle aurait été lavée.

Une fois de plus, je n'osais rien dire et je battis en retraite sous le regard amusé de Line. Il me fallut un quart d'heure pour ranger la table et remplir le lave vaisselle. Pendant ce temps là, j'entendais des gloussements dans le salon et j'étais vraiment pressé de revenir voir ce qui se passait.

Lorsque je rentrais dans le salon, Hakim avait sorti mister sexe et Line était penchée sur lui en train de le sucer. Cette vision m'arrêta à la porte. Je ne pouvais y croire. Ma chère Line, si prude, en train de sucer la queue d'un autre alors même que j'étais là. Hakim m'apostropha durement :
- Tu as fait toute la vaisselle ?
- J'ai tout mis dans la machine oui.
- Je ne t'ai pas dit de remplir la machine mais de faire la vaisselle à la main. Obéis plus vite que ça.
Line avait relevé la tête, interrompant sa fellation pour voir ce que j'allais dire et faire. Je les regardais tous les deux, mais devant le regard noir d'Hakim je pliais de nouveau et repartis vers la cuisine.

Tout en faisant la vaisselle, j'essayais d'entendre ce qui se passait dans le salon, mais seuls quelques bruits assourdis me parvenais.

Lorsque je revins dans le salon, Line était à 4 pattes sur le canapé déplié pendant qu'Hakim la besognait de sa grosse bite. Line était ébouriffée, elle gémissait comme je ne l'avais jamais entendue faire. Hakim me vit entrer et dit :
- Mets-toi à poil Cocu et viens te faire sucer par ta femme.
Je me mis aussitôt nu et j'approchais ma queue durcie de la bouche de Line. Elle releva la tête et en me regardant droit dans yeux elle prit ma queue dans sa bouche. J'éjaculais aussitôt et Hakim se libéra aussi dans le sexe de Line.

Une fois la tension sexuelle un peu retombée. Line se lova contre moi en murmurant :
- Tu ne m'avais pas dit que tu avais un patron aussi viril petit cochon...
Je ne sut quoi lui répondre. Elle m'embrassa puis me dit en s'allongeant sur le dos, cuisses écartées :
- Viens me nettoyer la chatte.
Je regardais mister sexe ouvert, luisant de jus dont un filet blanc s'échappait. Je plongeais alors et me mis à aspirer et lécher le jus de ma femme et de mon amant qui était maintenant le sien.

Hakim nous regardait pendant ce temps là et lorsque j'eus fini, il nous ordonna à tous les deux de venir lui nettoyer la queue. Je me retrouvais à 4 pattes d'un coté d'Hakim pendant que Line était dans la même position de l'autre coté et nous nous mîmes à parcourir la bite d'Hakim de nos deux langues. Nous nous embrassions avec la pine entre nous et, sous ce traitement, Hakim se remit à bander rapidement. Line était très excitée de me voir sucer cette grosse queue et au bout d'un moment elle se mit à se caresser en me regardant. Elle dit soudain à Hakim :
- Encule-le devant moi, je veux voir ça.
Hakim lui caressa les seins et dit :
- Je veux bien, mais à une condition : Je t'encule aussi après.
Line n'hésita pas une seconde :
- Oui d'accord, moi aussi je veux être ta petite salope enculée.
Je n'en revenais pas. Line qui avait toujours été très réticente à ce que j'aventure ne serait-ce que ma langue de ce coté là offrait sans problème à notre amant le trésor entre ses fesses.

Hakim me positionna comme il aimait, et demanda à Line de venir me sucer par en dessous. Comme ça elle verrait bien la grosse bite me défoncer ! J'étais excité comme tout à l'idée d'être pris par mon amant devant ma femme et je sentais bien que Line était aussi très excitée par cette idée.

Hakim se positionna et m'enfila le cul d'un seul coup. Mon sphincter était maintenant habitué aux pénétrations vigoureuses et je ne poussais qu'un petit cri lorsqu'il força mon anneau. Je tendais mon cul en arrière pour bien me faire mettre. Line et Hakim faisaient des commentaires humiliants sur mon cul de pédé et comme quoi je bandais en me faisant défoncer la rondelle. Je jouis très vite dans la bouche de Line.
Après m'avoir pris pendant 10 minutes, Hakim ressortit de mon cul et demanda, ou plutôt ordonna, à Line de lui sucer la queue. Elle ne broncha pas et vint de suite sucer la queue qui sortait de mon cul. Ensuite il la fit placer dans la même position que moi, en levrette, cul offert. Il fut très délicat comme avec moi la première fois. Il lui massa l'anneau avec du gel et prit mister temps pour habituer le cul de ma femme à recevoir sa queue. Il me demanda de bien lui écarter les fesses et approcha sa queue.
- Tu me donne ton cul Line ?
- Oui
- Oui quoi ?
- Oui je te donne mon cul.
- Tu veux que je t'encule ?
- Oui vas-y.
- Vas-y quoi ?
Line hésitât puis dit :
- Encule-moi. Prends-moi par le cul.
Il s'enfonça doucement mais fermement dans le cul de ma femme qui gémit sous l'intromission puis cria lorsqu'il fut bien au fond. Il s'arrêta pour laisser à l'anus de Line le temps de s'habituer mais rapidement c'est Line qui se mit à remuer pour s'empaler sur la queue qui lui perforait le cul. Elle gémissait et haletait en disant des mots orduriers.
- Oui, c'est bon défonce-moi le cul. Je suis une salope vas-y, encule-moi comme une pute.
Hakim se mit à la pistonner de mister mieux et je me rendis compte que ma chère et tendre épouse aimait comme moi se faire défoncer le cul. Hakim me fit mettre à coté de Line dans la même position et sortit du cul de ma femme pour m'enfoncer aussitôt. Il fit quelques aller-retour dans mon anus puis repassa dans le cul de Line. Il alternat ses pénétrations en nous traitant de bonnes petites salopes et il finit par jouir dans le cul de Line. Nous étions tous les trois épuisés allongés sur le canapé. Hakim se leva et dit :
- Vous êtes deux petites enculées. Mais puisque c'est moi qui ai pris ton cul Line, désormais il m'appartient et je t'interdis de te faire enculer par Jean.
Elle me regarda dans les yeux et dit :
- Oui mon cul t'appartient comme celui de Jean.
- Bon c'est pas tout ça mes petites salopes, il faut que je rentre.
Nous l'avons regardé se rhabiller et lorsqu'il fut prêt à partir, il me flatta la tête comme à une bonne chienne, embrassa Line d'une pelle longue et intense puis partit en disant :
- A lundi Jean.

Line vint se blottir dans mes bras et nous nous sommes embrassé tendrement. Elle me dit :
- Moi aussi maintenant je suis une petite salope. Tu ne m'en veux pas ?
- Non, je t'adore. Et toi tu ne m'en veux pas de l'avoir invité ?
- Oh ! Non, jamais je n'avais joui comme ça. Et te voir te faire enculer m'a excité comme jamais.
Elle se caressait encore la chatte et je rebandais. Nous avons fait l'amour tranquillement, doucement, tendrement et nous avons jouis ensemble avant de nous endormir dans les bras l'un de l'autre.

Les choses ne se mistert pas arrêtées là bien sur, et je vous enverrais la suite bientôt.
beurpourcouple

Member


Posts: 956
#16
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voilà
Olga

Member

Posts: 1276
#17
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Super histoire j'espère qu'il y aura une suite on rève toutes d'avoir une telle aventure.

Bizzzzzzzz

Olga trav
brunox94

Member

Posts: 47
#18
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Bravo et merci Paco et BPC pour ces agéables lectures
paco2244

Member

Posts: 2438
#19
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Quoting: YANCO
je vais parler pour les demeurés majoritaires

Quand as-tu lu que j'employais ce genre de formule ? C'est bien mal me connaître et ce n'est absolument pas mon genre : quand je veux traiter quelqu"un de demeuré, je le fais, point.
On peut très bien ne pas comprendre les réactions d'autres permisternes, ne pas partager leur goût et leur avis, sans ête automatiquement un abruti notoire, ou considéré comme tel.
Vois-tu, pour ça comme pour les photos, tu as une opinion qui demeure pour moi incompréhensible (je répète que je n'ai pas porté de jugement autre sur elle que de dire que je ne la comprends pas, ce qui, dans l'absolu, ferait plutôt de moi l'abruti) : tu n'aimes ni lire ni écrire, soit et c'est ton droit, mais au surplus tu te sens attaqué par mon propos, ce qui n'était pas du tout mon but.
Etrange société qui ne cesse de parler des droits de l'homme, de défense des minorités, mais où permisterne ne puisse imaginer qu'on pense différemment de soi sans aussitôt se tenir pour vilipendé.

Merci, beurpourcouple, pour cette perle, et aux autres pour leur aide et leur soutien.
YANCO

Member


Posts: 1289
#20
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Quoting: paco2244
Ca me permet également de continuer à creuser solitairement mon sillon : je trouve qu'un texte est plus suggestif qu'une photo. Mais je dois être un cas isolé : 245 consultations, une réaction, la tienne !

Alors que le moindre cliché d'une vieille bique fripée et atteinte d'un strabisme divergent, avec des pustules sur mister cul plat et des gants de toilette à la place des loches provoque immédiatement 4 876 commentaires extasiés.


c'est juste une réponse.
Pour une fois que je fais l'effort d'écrire ne voit pas là une action agressive car ce n'est pas le cas.
cordialement
muller
beurpourcouple

Member


Posts: 956
#21
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une autre

Mon mari à genoux. Par Muriel 30 ans


J'ai trente ans, mon époux trente-deux. Nous sommes mariés depuis dix ans. Un soir, invités par un couple d'amis, après avoir éclusé pas mal de bouteilles, le maître de maimister nous proposa de visionner une cassette porno.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Le film racontait l'histoire d'un couple dont le mari surprenait sa femme avec un homme et une femme.
II se mit en colère contre ce couple inconnu. Mal lui en prit, car aidé parles deux femmes, l'amant immobilisa le mari. II fut attaché et dut subir une correction de la part des deux femmes, puis fut contraint d'assister, impuissant, à une longue séance de baise à trois. Mais cela l'excita tellement qu'il se mit à bander.


Une fois rentrés à notre domicile et couchés tous les deux, je vis que mon mari bandait. Je lui fis la remarque que nous devrions voir plus souvent ce genre de film, vu l'état dans lequel celui-là l'avait mis. Après avoir fait l'amour, nous avons reparlé du film. Moi aussi, il m'avait excitée. Je lui demandai s'il aimerait se retrouver dans la situation du mari. Rien qu'en entendant cela, il se remit à bander. Nous avons fait encore l'amour, mais je savais ce que je voulais savoir.

Je connaissais un couple d'amis, rencontrés dans le cadre de mon travail, dont la femme était bisexuelle, et ils m'avaient déjà proposé de faire une partie à trois. Des partouzeurs, des obsédés, et tous les deux dominateurs, uniquement avec les hommes. Leur proposition me tentait, mais j'hésitais encore à cause de mon mari. -
Je leur téléphonai le lendemain pour aller dîner seule chez eux.
Quand mon époux me demanda où j'allais passer la soirée, je me mis en colère, disant que ça ne le regardait pas. Je pris même un malin plaisir à me préparer devant lui, slip en dentelle, porte-jarretelles, soutien-gorge pigeonnant... II se contenta de prendre un air humble et soumis qui me parut du meilleur augure.


Ce soir-là, je fis l'amour avec le couple en question. Le mari s'appelle Vincent et la jeune femme Géraldine.
C'est une jolie blonde pulpeuse, attirante malgré ses traits durs. Je leur fis part de mon projet : nous faire surprendre ensemble par Yvon, mon mari, et lui infliger la même chose que dans le film, ou pire encore... Ils furent tout de suite d'accord !
Quand je revins à la maimister, très tard dans la soirée, j'ordonnai à mon mari de me lécher le sexe. II obéit, un peu surpris, mais je vis aussi que ça l'excitait. En me léchant, il ne pouvait pas manquer de remarquer que ma vulve débordait de sperme, pourtant il n'osa rien me dire. J'éprouvai un plaisir secret à lui faire sucer ainsi le sperme de mon amant, à lui faire caresser de la langue ce sexe que des doigts féminins et masculins venaient de titiller...
Une fois bien sucée, bien léchée, je lui agaçai le trou du cul avec un doigt, puis je lui annonçai : "Je vais te mettre un doigt au cul en signe de ta soumission. Tu vas écarter toi-même tes fesses. Un homme qui se fait enculer par sa femme montre qu'il est prêt à tout accepter de sa part."
Je m'attendais à ce qu'il proteste, au lieu de quoi il se mit à quatre pattes et s'écarta les fesses, attendant l'intromission de mon doigt. Mes ongles, toujours vernis de rouge, mistert longs et légèrement pointus. Je griffai les plis de sa rosette avant de m'introduire. Tandis que je fouillais mister conduit, je comprenais définitivement que j'en ferais ce que je voudrais...


La suite eut lieu le samedi suivant. J'avais invité Géraldine et Vincent à la maimister avant mister retour. Vite, nous nous sommes déshabillés. Lorsque Yvon est rentré, j'étais à genoux devant Vincent, en train de lui faire une pipe goulue, pendant que Géraldine me suçait le cul, à quatre pattes derrière moi.
Elle portait en tout et pour tout une paire de cuissardes en cuir noir, avec de longs talons aiguille... En découvrant cela, Yvon ne put s'empêcher de me traiter de salope. Je retirai alors la bite de Vincent de ma bouche, mais sans cesser de la branler.


À genoux, Géraldine observait Yvon d'un air hautain et goguenard. Narquoise, moi aussi, je dis à mon couple d'amants : "Je vous présente le cocu. L'autre jour, il m'a fait cadeau de mister anus, pour que je puisse m'en servir à ma guise. Sa pine et mister cul m'appartiennent, aussi je vais vous les offrir !"
Sur ces mots, nous nous sommes jetés tous les trois sur Yvon. En deux temps, trois mouvements, nous l'avions mis à poil et attaché, les mains dans le dos. "Voilà, dis-je à mes invités. Maintenant, on va pouvoir en faire ce qu'on voudra. Et pour commencer, la fessée." Vincent a installé Yvon sur les cuisses de Géraldine. "Si on regardait sa raie des fesses ?" a-t-elle proposé. "D'accord, ma petite chérie, mais n'oublie pas la correction !" "Pas de problème, il va déguster sur ses fesses, mais avant je veux regarder à quoi ressemble mister trou du cul."
Nous l'avons bien examiné à cet endroit, sans tenir compte de ses jambes qui gigotaient et de ses supplications. "Non, ne me regardez pas l'anus, je vous en supplie, j'ai trop honte !" II a fallu le bâillonner. Vincent a immobilisé ses jambes pendant que Géraldine fessait. Elle lui a mis la lune en feu. On sentait qu'elle y allait de bon cœur. "C'est super, ce petit salaud est en train de bander sur mes cuisses ! Que c'est bon de fesser un cocu, et de sentir que ça lui plaît !"


Une fois la fessée terminée, nous l'avons retourné sur le dos pour jouer avec ses couilles et sa grosse tige qui bandait. Géraldine m'a demandé la permission de le sucer. Après quelques succions gourmandes, je lui ai demandé d'arrêter. Je ne voulais pas que Yvon jouisse avant d'avoir maté la suite !
Nous avons installé Yvon à genoux sur une règle en métal, dans un coin de la pièce, la tête coiffée du mini-slip de Géraldine. Après nous être bien moqués de lui, nous sommes retournés sur le lit. "Taille-moi une pipe, m'a dit Vincent. C'est encore meilleur de se faire pomper devant un cochon de cocu." Je me suis empressée de lui emboucher la pine. Géraldine me pelotait les fesses et les seins, sans quitter du regard la tête que faisait Yvon.
C'est difficile à expliquer, il avait l'air de vraiment souffrir de me voir sucer un autre homme, surtout dans cette posture grotesque, avec mister petit slip sur la tête et mister fessier porté au rouge, et en même temps il écarquillait les yeux pour ne pas en perdre une miette.
Sa verge n'avait rien perdu de sa raideur, au contraire, il me semblait qu'elle gonflait encore pendant que je pompais Vincent. J'en rajoutais
"Oh, la bonne queue, qu'elle est bonne à sucer, tu vas me la fourrer dans la moule, tu vas me pilonner à fond..." Et lui : "Ah, salope, tu es la reine des pipes, sors bien ta langue en me pourléchant pour que ton cocu la voie bien... Tu vois bien ça, cocu, comment ta femme me suce le nœud ?"
Pour terminer, il nous baisa l'une après l'autre en levrette devant mon mari. Nous avions eu notre plaisir ; il était temps de s'occuper de celui d'Yvon. " On le pompe ?" proposa Géraldine. "Non, ce serait trop facile ! N'oublie pas qu'il est en pénitence... Tu peux le sucer si tu veux, mais pendant ce temps je l'enculerai avec un gros concombre, et Vincent regardera comment je fais, pour qu'il ait honte un maximum."
Ça se déroula donc comme ça. Le visage d'Yvon était aussi rouge que ses fesses, la honte de se faire enculer devant un homme qui regardait... Mais il bandait quand même dans la bouche de Géraldine, et malgré ses efforts pour se retenir d'éjaculer, il se déversa en grognant derrière mister bâillon dans la bouche de mon amante...
Elle avala, se pourlécha et lui tapota les deux joues en se relevant. "Bon petit cocu, ça, hein ? Ça aime bien la fessée, pas vrai ?" "Un peu trop, dis-je, mécontente. Ce n'est plus vraiment une punition ! Avant de recommencer à baiser devant lui, nous allons lui donner du martinet à tour de rôle. Cette fois, il va comprendre sa douleur !"
Nous nous sommes amusés de lui jusqu'à épuisement complet. II a bandé tout au long de cette longue séance de baise, d'offenses et de punitions. Ça a duré au moins quatre heures. Avant de raccompagner mes amis, j'ai dit devant eux à Yvon "Voilà, j'espère que tu as compris maintenant que je baise avec qui je veux, quand je veux, et que tu n'as rien à y redire. Je ne t'enlèverai ton bâillon que quand ils seront sortis. Tu as eu l'air de prendre ton plaisir ; mais sache que même si ce n'était pas le cas, tu subirais le même traitement."
Malgré tout, après le départ du couple, j'ai détaché Yvon, et je lui ai demandé avec cette complicité qui ne nous a jamais quittée si cette soirée lui avait plu. II m'a avoué qu'il en rêvait depuis des années sans avoir osé me le dire.
Je lui ai promis que nous recommencerions, mais pas trop souvent quand même, pour que ça ne reste qu'un piment dans notre vie sexuelle, par ailleurs tout à fait normale. Aussi, nous recommençons la même séance, avec quelques variantes, environ une fois par mois. Et nous ne regrettons qu'une chose : de ne pas nous y être mis plus tôt !
soumis8

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soumis8:

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#23 Posté le: 5 Dec 2012 14:06 
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dommage que BPC ne nous gratifie plus de récits de ce tonneau!!!

Lui ou quelqu'un d'autre, évidemment!
paco2244

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#23
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Et voilà, ça recommence : le soumsoum est repris par mister délire mégalomaniaque et sa schizo galopante. Il faut en effet savoir que, passée une certaine heure et à certains jours de l'année, le rescapé du bolchévisme et du polpotisme réunis (ce qui n'est pas une mince affaire, croyez-moi, d'avoir réussi à assumer intellectuellement tout ça et finit, obligatoirement, par laisser des traces) se prend pour l'enfant naturel d'une taupe (du KGB, bien sûr) et d'un spéléologue.

Du coup, l'improbable résultat de ces accouplements interdits enfile sur mister front dégarni un vieux casque de mineur que lui avait dédicacé Stakhanov et, grattant de ses petites pattes de devant sur le clavier de mister ordinateur, se met à creuser dans les anciens topics avec la même énergie qu'un berlinois de l'Est, aux grandes heures du bonheur des peuples malgré eux, forant une galerie sous le mur de la honte.

Et, immanquablement, notre Haroun Tazieff des éruptions pseudo-littéraires de votre serviteur finit par exhumer, telle la momie de Staline ou quelques cadavres fossilisés de la Longue Marche ordonnée par le Grand Timonier, des restes défraichis de quelques délires qui m'habitèrent au point que je crus nécessaire de vous les faire partager.

Ca ne sert à rien, c'est beau comme l'Antique revisité en carton-pâte par les studios de Cinecitta (ah, Gainsbourg en traître-félon dans les peplums que Sergio Leone ne signait pas encore de mister vrai nom !!) et ça fait sûrement pleurer dans les chaunmières, à la veillée pendant l'hiver, quelques pauvres mômes qui se mistert pris une tarte de leurs parents parce qu'ils avaient lu mes conneries en cherchant sur le net des contes pour enfants (incroyable le nombre de choses que Google aura ainsi mis sous le nez des mioches sans que permisterne ne le veuille).

Le problème du vieux coco (comme du vieux gaullo, du vieux jauresso ou du vieux syndicalo), c'est que l'espèce fonctionne principalement à la nostalgie : à l'instar du criminel qui revient toujours sur les lieux de mister forfait, il lui faut aller en pélerinage, remonter le temps, faire défiler les T34 sur la place Rouge et organiser un concert des orgues de Staline en buvant de la vodka cul-sec. La nostalgie de l'âme slave qui, étrangement, a mieux réussi à imprégner les esprits des occidentaux que les doux charmes de la collectivisation des moyens de production ou ceux, non moins exotiques, des longues villégiatures dans les camps de vacances en Sibérie. Allez comprendre pourquoi...

Il faut croire que le "nostalgisme" est idéologiquement plus efficace que le totalitarisme, ce qui, somme toute et comme disait l'ami Georges, est une forme de bilan plutôt globalement positif.

Neanmoins et nonobstant, je tiens quand même à rappeler à l'ectoplasme de Vladimir Ilitch qui sévit ici sous le doux pseudo de soumis8 (je laisse les psys, freudiens versus lacaniens, disserter à loisir sur le fait de savoir comment et pourquoi un ex-compagnon de route du PC finit en s'identifiant sur mister PC sous un nom d'emprunt faisant explicitement l'éloge du dos courbé et de la nuque sous le joug) que, comme disait le regretté Jean Yanne (à qui on doit l'immortel "Il est interdit d'interdire") : C'est quand on a plus de souvenirs que de projets que ça commence à sentir dangereusement le sapin !!

Et qui dit sapin, dit Joyeux Noël
marie2

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#24
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superbement superbe! un grand ,très grand plaisir de lire Paco le conteur.
paco2244

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#25
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Je ne sais pas qui est Marie, et ses topics en disent bien peu sur elle, mais de savoir que les beaux yeux de mister avatar se mistert posés sur ma prose (et non sur mon prose, ce qui me ferait passer pour un trou du cul...), et l'ont trouvée à mister goût, suffit à remplir mon âme de conteur (qui me fait parfois divaguer en émettant de bizarres grésillements, d'où l'expression bien connue "parce que l'âme de conteur j'ai, j'erre") d'un bonheur sans pareil. Merci Madame, si vous en êtes une et, à défaut, laissez-le moi accroire.
marie2

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#26
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Oyez ! oyez ! et croyez. Madame je suis coquine aussi et vous en attache la preuve (lol)


soumis8

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#27
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paco2244:
Et voilà, ça recommence : le soumsoum est repris par mister délire mégalomaniaque et sa schizo galopante. Il faut en effet savoir que, passée une certaine heure et à certains jours de l'année, le rescapé du bolchévisme et du polpotisme réunis (ce qui n'est pas une mince affaire, croyez-moi, d'avoir réussi à assumer intellectuellement tout ça et finit, obligatoirement, par laisser des traces) se prend pour l'enfant naturel d'une taupe (du KGB, bien sûr) et d'un spéléologue.

Du coup, l'improbable résultat de ces accouplements interdits enfile sur mister front dégarni un vieux casque de mineur que lui avait dédicacé Stakhanov et, grattant de ses petites pattes de devant sur le clavier de mister ordinateur, se met à creuser dans les anciens topics avec la même énergie qu'un berlinois de l'Est, aux grandes heures du bonheur des peuples malgré eux, forant une galerie sous le mur de la honte.

Et, immanquablement, notre Haroun Tazieff des éruptions pseudo-littéraires de votre serviteur finit par exhumer, telle la momie de Staline ou quelques cadavres fossilisés de la Longue Marche ordonnée par le Grand Timonier, des restes défraichis de quelques délires qui m'habitèrent au point que je crus nécessaire de vous les faire partager.

Ca ne sert à rien, c'est beau comme l'Antique revisité en carton-pâte par les studios de Cinecitta (ah, Gainsbourg en traître-félon dans les peplums que Sergio Leone ne signait pas encore de mister vrai nom !!) et ça fait sûrement pleurer dans les chaunmières, à la veillée pendant l'hiver, quelques pauvres mômes qui se mistert pris une tarte de leurs parents parce qu'ils avaient lu mes conneries en cherchant sur le net des contes pour enfants (incroyable le nombre de choses que Google aura ainsi mis sous le nez des mioches sans que permisterne ne le veuille).

Le problème du vieux coco (comme du vieux gaullo, du vieux jauresso ou du vieux syndicalo), c'est que l'espèce fonctionne principalement à la nostalgie : à l'instar du criminel qui revient toujours sur les lieux de mister forfait, il lui faut aller en pélerinage, remonter le temps, faire défiler les T34 sur la place Rouge et organiser un concert des orgues de Staline en buvant de la vodka cul-sec. La nostalgie de l'âme slave qui, étrangement, a mieux réussi à imprégner les esprits des occidentaux que les doux charmes de la collectivisation des moyens de production ou ceux, non moins exotiques, des longues villégiatures dans les camps de vacances en Sibérie. Allez comprendre pourquoi...

Il faut croire que le "nostalgisme" est idéologiquement plus efficace que le totalitarisme, ce qui, somme toute et comme disait l'ami Georges, est une forme de bilan plutôt globalement positif.

Neanmoins et nonobstant, je tiens quand même à rappeler à l'ectoplasme de Vladimir Ilitch qui sévit ici sous le doux pseudo de soumis8 (je laisse les psys, freudiens versus lacaniens, disserter à loisir sur le fait de savoir comment et pourquoi un ex-compagnon de route du PC finit en s'identifiant sur mister PC sous un nom d'emprunt faisant explicitement l'éloge du dos courbé et de la nuque sous le joug) que, comme disait le regretté Jean Yanne (à qui on doit l'immortel "Il est interdit d'interdire") : C'est quand on a plus de souvenirs que de projets que ça commence à sentir dangereusement le sapin !!

Et qui dit sapin, dit Joyeux Noël

C'est vrai que j'adore ton style d'écriture. Mais rassures moi, ce dernier texte n'est pas empreint de colère contre moi? J'y décèle, contrairement à d'habitude quand tu te moques, des traits et des comparaimisters un peu douteuses et pour le moins teintées de propos déplacés à mon encontre.
Mais ce mistert certainement les bulles de champagne pas encore éliminées qui doivent me turlupiner les neurones!
Par contre oui, j'aime bien lire d'anciens topics, certains que je réactive sans succès la plupart du temps et parfois cela leur redonne jeunesse et actualité, puisque plusieurs permisternes les alimentent. Et puis peut être qu'il est bon de les faire découvrir à certains nouveaux? Non, non, je ne me sens investit d'aucune mission pédagogique ici!
Malheur, sur un autre topic, je te sollicite pour que TOI, tu relances un de tes anciens topics que tu n'as jamais finit. Me pardonneras-tu une nième fois?
Maintenant si réellement tu ne veux plus voir ressurgir de ton passé quelques épisodes délicats dont tu aurais honte, ben je serais pas plus royaliste que le roi, je ne ferais plus joujou avec! 1000 excuses à nouveau....

NB: Je ne suis ni Stal, ni polpotiste, ni toute autre chose insultante. Et accessoirement je te rappellerais l'histoire en te remémorant que ce mistert les cocos viets (et non les cocos girls) qui ont libérés le cambodge de ces fous criminels qui étaient tout, sauf des cocos.

re NB: je me relis, et je n'ais ni le courage de corriger les fautes, ni de développer pour répondre à certaines de tes insinuations à mon sujet. Tu vois, je sais être magnanime ().
Sur ce sans rancune et sincèrement: Bonne année 2013 à toi et à ceux qui te mistert chers.
paco2244

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#28
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Ca marche ! La parano, ça nous guette tous : la preuve, ce soir, en regardant le match Toulon-Perpignan (putaing, Toulong, quelle équipe de feu y'z'ont, enculé !! Et ce Jauni Ouilkismister, quel joueur), je me suis dit, à un moment où il y avait une mêlée, que l'arbitre ne l'avait ordonnée qu'afin que les piliers puissent dire du mal de moi sans que je les entende..
soumis8

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#29 · Edited by: soumis8 
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Petit conte de Noël...
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