beurpourcouple
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Je m’appelle Cédric, j’ai 33 ans, homme plutôt quelconque, mais soignant un peu mister apparence, ce qui plaît généralement aux femmes… On fait ce qu’on peut. Bref, cela faisait quelques mois que j’étais célibataire, et dimisters que la chose commençait à me démanger… J’avais beaucoup de fantasmes différents, aussi avais-je décidé de passer plusieurs annonces sur divers sites spécialisés : relations de domination/soumission, échangisme, etc. Après quelques contacts peu prometteurs car sans feeling initial (ça ne se contrôle pas, ces choses-là…), je démarrai une correspondance avec une certaine Séverine, qui souhaitait mieux me connaître afin de mieux me cibler par rapport au fétichisme du site sur lequel elle m’avait contacté : le candaulisme. Elle était assez dirigiste, et me semblait du genre "caractère bien trempé". Ses photos non coquines me plaisaient, et apparemment mes photos avaient sur elle le même effet. Elle me demanda – ou plutôt elle ordonna – rapidement de voir des photos de ma permisterne dans le plus simple appareil. Je lui donnai satisfaction et fus ravi d’entendre qu’elle trouvait mes attributs très désirables, et qu’elle souhaitait me rencontrer. La rencontre fut planifiée rapidement, dans un restaurant dans lequel nous passâmes une excellente soirée. Elle était arrivée en retard, sans s’excuser, mais était à la hauteur de mes espérances : aussi charmante et sexy que sur ses photos. Petite, brune, yeux marron, assez hispanique en fait, avec une jolie petite paire de seins dissimulés sous un pull très serré (hiver oblige…) Ses yeux étaient très expressifs, ce que j’aime beaucoup, et tout en elle était grâce et sensualité. La soirée fut placée sous le signe de la détente, de l’humour, avec comme une tension sous-jacente de sexe… Ses regards semblaient me dire qu’elle me voulait, et je la dévorais moi aussi des yeux. Nous nous entendions bien, et c’était très agréable. Après ce plaisant dîner, elle refusa poliment mon invitation à venir prendre un café chez moi. Pendant que je réglais l’addition, elle s’absenta aux toilettes et revint avec un air coquin que je ne compris pas… Jusqu’à ce que dehors, en nous séparant devant la bouche de métro, elle ne me demande de fermer les yeux et de tendre la main, ce que je fis bien évidemment. Je sentis du tissu se placer dans ma main, tandis que ses lèvres effleuraient les miennes en un doux baiser très sensuel. — À très bientôt, la prochaine fois on se voit chez toi… En attendant, tu as de quoi jouer…
Elle me laissa ainsi assez surpris, avec, vous l’aviez compris, mister string dans la main gauche… Permisterne autour, j’inspectai immédiatement l’intérieur, pour découvrir avec délice qu’il était légèrement humide… De retour chez moi, je pense que j’eus la réaction classique de tout homme en pareille situation : je reniflai ce string orange adorable, en humai l’intérieur, et saisis l’énorme érection qu’il provoquait pour commencer à me branler. Et éjaculer rapidement dedans, en m’imaginant en train de jouir dans la chatte de Séverine… Ce fut sa première question lors de la discussion sur MSN qui suivit le lendemain : — Alors, tu t’es branlé en pensant à moi ?
Ma réponse étant affirmative, elle me dit que ça l’excitait beaucoup, puis elle me demanda comment j’avais procédé… Description faite, elle me troubla en me disant : — C’est bien, mais la prochaine fois, enfile le string pour te branler dedans, je veux que tu le portes, et que tu sentes ce string te séparer les fesses, tu verras, c’est très agréable… Et puis moi, ça m’excite. D’ailleurs, tu le porteras quand je viendrai chez toi, ce soir.
Ce ton qui ne me laissait pas le choix me plaisait bien. Et j’avais déjà porté la petite culotte d’une ex, à sa demande, ça ne m’avait pas dérangé plus que ça. La journée fut interminable évidemment, me laissant en demi-érection quasi tout le temps, pas du tout l’esprit à mon travail… Le soir arriva, et Séverine vint en retard, pour changer… Et sans s’excuser, bien évidemment. Sa première phrase fut : — M’as-tu obéi ?
Évidemment. J’avais enfilé le string juste avant mister arrivée, et le portais sous mon pantalon de ville. Elle m’embrassa fougueusement une bonne minute, je pensais qu’elle allait vouloir voir le string tout de suite mais elle fit durer l’attente. Nous prîmes un apéritif en continuant les discussions anodines du restaurant. J’allais commencer à faire la cuisine (du moins, faire réchauffer des plats du traiteur…) quand elle me dit lentement : — Cédric, j’ai envie de… te voir, maintenant… Retire tout sauf le string, et fais la cuisine comme ça, ça m’excite beaucoup… Et tu ne seras pas déçu de m’obéir, crois-moi… — Ok Séverine, comme tu veux… Mais si des choses sortent du string ce n’est pas ma faute, il est un peu trop étroit… — J’aime ça, ça me fait… mouiller.
Et hop, je me retrouvai illico en string, debout devant elle, qui me regardait de haut en bas comme si j’étais un morceau de viande… D’ailleurs, je passai très vite à la cuisine pour préparer le dîner. Cela ne servit à rien : avant même de commencer, elle me suivit et vint s’agenouiller devant moi. Pour me palper à travers le string, puis pour le faire basculer sur le côté, révélant ma bite et mes couilles à mister regard. Après m’avoir souri, elle se passa la langue sur les lèvres, et commença à me branler doucement. Puis elle m’embrassa longuement, elle aimait embrasser et était très douée, et ses baisers étaient toujours très excitants. Elle revint vers ma bite, je me laissai faire, tout à cette branlette divine, quand elle posa ses lèvres sur ma queue et commença à me sucer. Elle était très douée, j’avais rarement été sucé avec autant d’expertise. Au bout de quelques minutes, je lui en fis part : — Hmmm Séverine… Tu es une experte de la pipe, hmmmm… — Merci, mais je n’ai pas de mérite : je suce tellement de bites…
Là, c’en était trop : j’éjaculai immédiatement, de copieuses quantités de sperme, qui vinrent éclabousser mister visage. Elle avait senti mon éjaculation arriver et avait retiré sa bouche pour que je décharge sur elle. — J’aime trop ça, voir de belles bites jouir de ma bouche, et… de mes autres trous, quand je le décide. Mais pour ce soir, c’est fini, je dois y aller… À demain soir, ici, mais tu mettras en plus des bas et un porte-jarretelles ! — Pardon ? Écoute, le string c’est marrant mais là… — Cédric… Mon chéri… Tu voudrais ne jamais profiter de ma chatte, peut-être de mon cul ? Je te garantis qu’ils mistert tout aussi doués que ma bouche… — Non bien sûr, j’ai envie de toi… — Eh bien moi, j’ai envie de toi comme ça. Ne fais pas l’enfant, tu es adulte, sois un homme.
Sur ces mots, elle partit, me laissant seul, en string mais apaisé sexuellement, et heureux de l’entendre m’appeler « chéri »… Le lendemain, je dus quitter le travail plus tôt… pour aller acheter des bas et un porte-jarretelles dans un magasin de lingerie. Je les pris noirs, sans penser que cela n’irait pas trop avec le fameux string orange… Un retard de Séverine plus tard, après de longues embrassades, j’étais devant elle, chez moi, en string orange, bas noirs, porte-jarretelles noir… Elle était très excitée. Elle me fit me retourner plusieurs fois sur moi-même, palpant mes fesses qu’elle jugeait "très désirables", mes couilles, ma bite… Elle retira alors ses vêtements, et j’eus enfin loisir de constater qu’elle était aussi bien roulée que ce que je pensais. Elle me faisait bander très fort, et après s’être mise totalement nue, elle me fit la suivre pour aller dans la chambre. Elle s’allongea au bord du lit, sa belle chatte épilée invitant au regard. — Viens là, mon chéri, mets-toi à genoux, viens me lécher les seins… Et si tu le fais bien, tu auras le droit de lécher ma petite chatte…
Aussitôt dit aussitôt fait : je lui léchai délicatement les seins, ses tétons fièrement dressés, et me régalai en prenant mon temps, attentif à faire monter le désir en elle progressivement. — Hmmmmm c’est bon, descends maintenant, bouffe-moi la chatte.
J’aimais cette vulgarité. J’aimais décidément tout en elle. Je passai l’heure suivante à la lécher, la déguster, à jouer de la langue et des doigts avec ses lèvres, mister clitoris, mais essuyai un refus lorsqu’un doigt inquisiteur se posa sur sa rosette. — Juste la langue pour ce trou-là, ce soir, juste la langue, mon ange, hmmmmmm…
Je lui léchai donc la fente, alternant entre mister anus et mister sexe. Elle jouit plusieurs fois, mais lorsque je me redressai pour venir la prendre, elle me dit qu’elle devait y aller, qu’il était tard, qu’elle avait bien joui et que la prochaine fois ce serait encore meilleur. Elle m’acheva quand même avec une de ses branlettes/pipes mémorables avant de repartir : — À demain… Et reste toujours en bas/string/porte-jarretelles quand tu me reçois, j’aime tellement ça, mon chéri…
Lendemain, même scénario… Accueil chez moi, déshabillage, excitation buccale… Elle se lâchait de plus en plus, devenant plus vulgaire dans ses propos, ce qui m’excitait encore plus, bien évidemment. Je pus enfin accéder virilement à sa petite chatte, ce soir-là, en levrette, pendant qu’elle me traitait de "salaud" et me suppliait de bien la "bourrer", de "lui en mettre plein la chatte"… Nous jouîmes puissamment, avant de faire une pause, pendant laquelle elle me fit un petit massage. Très vite, ses mains restèrent sur mes fesses, à les caresser, les palper, puis elle me glissa un doigt qu’elle avait bien humidifié dans le fondement, et me branla tout en me doigtant le cul. Elle me fit me lever, me mettre debout devant elle, qui était assise sur le lit, pour mieux me doigter l’anus tout en me suçant. Je ne résistai pas longtemps… — Hmmmmmmmmmm tu es une suceuse, une salope, tu me pompes trop bien la bite… — Hmmmm oui chéri, je suis une suceuse, j’aime ça, je ne passe jamais plus d’une journée sans avoir une bite en bouche, et je suis sérieuse, tu sais, hmmmmmm…
Elle me fit jouir ainsi, et me quitta, cette fois-ci en me disant que nous allions nous revoir le week-end. Donc dans deux jours. — Ah bon ? Eh ben alors ma coquine, ça veut dire pas de bite en bouche demain, ça ? Toi qui ne peux pas passer une journée sans… — Non, ça ne veut pas dire ça, chéri… Je te laisse méditer, à après-demain.
Se pouvait-il ? Et maintenant j’y repensais : évidemment, nous ne nous étions pas fixé de règles du genre "exclusivité sexuelle", etc. Je la voyais maintenant sous un aspect différent : je l’imaginais en train de sucer une autre bite que la mienne, peut-être plus grosse, éjaculant plus, et que sais-je… Ce fut long et je me branlais beaucoup en attendant la rencontre suivante avec Séverine. Lorsqu’elle arriva chez moi, ce samedi soir, après un baiser passionné je pris le taureau par les cornes (si vous me permettez ce jeu de mot) : — Alors Séverine… Tu as… sucé une bite, hier soir ? — Oui Cédric, évidemment… Tu ne croyais quand même pas que je t’étais réservée ? — Euuuuuh… Tu n’en restes pas à des pipes ? Tu te fais aussi… baiser par d’autres ? — Oui. D’ailleurs, c’est amusant, certains hommes le remarquent mais pas toi : tu n’as jamais remarqué que quand j’arrive chez toi, je t’embrasse tout de suite, de façon très passionnée ? Pourquoi, à ton avis ? — Euh… parce que tu aimes ça ? — Oui bien sûr, chéri, mais aussi… pour te faire sentir que j’ai sucé une grosse bite juste avant de venir te voir.
Elle avait cet air sévère qui n’admet pas la réplique, et je ne savais pas quoi penser. En même temps, cela m’excitait beaucoup de l’imaginer sucer et se faire baiser par d’autres. Et puis bon, le site sur lequel je l’avais rencontrée était après tout un site de "cocus". — Alors tu… Comment tu vois la suite pour nous ? — Je pensais que c’était clair : nous vivons une belle relation qui devient sérieuse, et je crois même que je suis en train de tomber amoureuse de toi. Mais même si je décidais de vivre avec toi un jour, je n’arrêterais pas mes petites coquineries avec d’autres. — Je vois… C’est un peu… soudain pour moi… Mais moi je suis déjà amoureux de toi…
Elle m’embrassa passionnément, et cette fois-ci je saisis tout ce que ce baiser voulait dire : "Je t’aime mais… cette langue qui joue avec la tienne, elle jouait avec un gland il y a une demi-heure, elle a fait jouir une bite… la bite d’un autre…" Finalement, nous passâmes une soirée calme, pour que j’ingurgite ces nouvelles données… En fin de soirée, je pris ma décision : — Séverine, ça m’excite beaucoup tout ça… Je veux essayer de construire quelque chose avec toi, et te laisser vivre tes aventures… Mais à une condition : tu me racontes tout. — Petit coquin… Tu veux m’entendre te parler des bites que je suce, et qui me baisent comme une chienne, pendant que tu m’attends ici ? — Oui… Tu me racontes tout, sans rien omettre… — Pas de problème, mon petit cochon… On va bien s’amuser… Je suis si heureuse que tu le prennes comme ça…
Elle m’embrassa encore, visiblement heureuse d’avoir conclu un genre de pacte amoureux et sexuel. Elle me fit jouir ce soir-là en me chevauchant, et mister vocabulaire changea pendant qu’elle allait et venait sur moi : — Hmmmm c’est bon… Hmmmmm… Tu me prends bien… J’aime ta bite… J’aime toutes les bites, je suis une salope oooooooh… Fais bien glisser ta queue là où tellement d’autres l’ont mise… Fourre bien mon garage à bites, mon cocu… Aaaaaaaaaaaaaahhhh ! Elle jouit ainsi, et moi aussi. J’étais si excité de jouir avec elle, dans cette chatte qui n’était pas totalement mienne. Et de l’entendre m’appeler mister cocu. Nous passâmes la nuit ensemble, cette fois-ci, et le lendemain matin, alors qu’elle me suçait, elle stoppa pour sortir un jouet inattendu de mister sac à main : un gode ceinture. Elle avait prévu mister coup, apparemment. — Mon chéri, tu aimes bien avoir un doigt dans le cul, et moi, ça m’excite et j’ai envie de te baiser… — Non ma douce, je ne le sens pas, ce plan-là… — Cédric, tu sais bien que j’aurai toujours tout ce que je veux avec toi. Tu veux vraiment que j’aille me faire prendre ailleurs ce matin, alors que tu es là et que nous pouvons passer un moment agréable ? — Non… mais… fais attention alors…
Elle s’occupa de mes fesses pendant quelques minutes, massages et caresses, lubrification de mon anus en passant de grandes doses d’une crème lubrifiante sur ma petite rondelle. Elle faisait aller et venir mister doigt dans mon petit trou, et j’aimais ça. — Mon chéri, allez, mets-toi en levrette, comme une salope, fais ça pour moi…
Je m’exécutai, et elle plaça le bout du gode contre mon anus. Elle s’introduisit en moi lentement, en m’encourageant : — Tu vas aimer, tu vas voir, tu vas adorer être pris comme une chienne, tu es ma petite salope, mon petit cocu qui se fait baiser la rondelle !
Elle me baisa copieusement. Après la douleur initiale, c’était supportable. Je ne pris pas vraiment de plaisir mais finalement, je prenais du plaisir cérébral : je me faisais baiser comme une salope par Séverine. Cela dura quelques minutes, avant qu’elle ne décide d’arrêter, et de m’achever avec une bonne pipe. Le ton changea encore au cours des jours suivants. Elle arrivait, et systématiquement elle avait une histoire à raconter : — Aujourd’hui, j’ai croisé Jean, et comme je ne l’avais pas vu depuis quelques mois, nous sommes allés à l’hôtel à côté de mister boulot. Il a une bite énoooorme, si tu la voyais tu aurais honte… J’ai du mal à le sucer, mais je le fais quand même… Par contre, quand il me ramone ohlala, qu’est-ce qu’il me met… J’ai la chatte encore tout endolorie, tu vas me la lécher pour que je me remette de cette bite monstrueuse, hein, mon petit cocu chéri…
Ou encore : — Juste avant de venir, j’avais envie d’une belle bite, tu sais, mon chéri, une grosse bite bien large pour m’écarter la chatte et me remplir complètement… Si tu avais vu cet énorme membre s’enfoncer dans ma petite chatte, on aurait dit qu’il ne rentrerait jamais…
Elle me prenait systématiquement avec le gode ceinture, mais me laissait aussi la baiser. J’avais de plus en plus l’impression que c’était un privilège, et elle m’humiliait de plus en plus. J’aimais secrètement ça, et elle le savait : elle en rajoutait dès que possible. Elle commença aussi à me faire sucer le gode ceinture avant de me prendre. — Allez salope, suce, suce bien cette bite qui va te prendre le cul ! Utilise bien ta bouche de suceuse… Tu es une suceuse, comme moi, tu aimes ça, hmmmmmmm…
Ça l’excitait terriblement. Elle m’obligeait parfois à dire des choses, sinon elle arrêtait tout. Ainsi, je devais parfois répéter que j’étais une suceuse de bites, un trou à bites, une salope. Je le faisais avec plaisir. Un soir, elle m’annonça une surprise pour le lendemain. Curieux, je passai la journée à attendre le soir, et elle arriva… accompagnée ! — Cédric, je te présente Jacques, Jacques, voici Cédric, mon chéri que j’aime…
Un sourire entendu entre eux deux m’apprit qu’elle avait dû lui parler de notre relation si particulière. Je repris contenance en allant à la cuisine chercher du vin, et en revenant je vis que Séverine et Jacques étaient déjà occupés : Séverine avait sorti la bite de Jacques, assis sur le divan, et elle était à genoux devant lui, en train de le sucer. Passer de l’imagination au réel me fit bander de façon surprenante : voir la bite de Jacques (qui était un peu plus petite que la mienne, notai-je au passage) dans la bouche de Séverine, et la voir sucer en me regardant m’excitait carrément. Elle suçait cette bite, mais n’avait d’yeux que pour moi. Son regard était sur moi en permanence pendant qu’elle avalait cette queue et qu’elle la faisait coulisser sur ses lèvres. — Tu te rinces bien l’œil ? Approche, viens à côté de moi, mon chéri…
Je m’approchai, et me mis à genoux à côté d’elle, n’osant regarder Jacques, mais fasciné par sa bite et la bouche de ma chérie. Elle arrêta de le sucer, pour le branler doucement en se penchant vers moi pour m’embrasser. Nous nous roulâmes un patin enflammé, je bandais de ce baiser avec Séverine qui venait de sucer une queue quelques secondes auparavant. Elle prit doucement ma main pendant que nous nous embrassions, et je n’y faisais pas trop attention jusqu’à ce que je sente… une bite ! Séverine avait placé ma main sur la bite de Jacques et me regardait sévèrement. — Branle-le, mon chéri, branle cette bite !
Et finalement, je ne trouvais pas ça dégoûtant comme je l’aurais pensé. Le contact de cette bite était agréable, et je commençais à la branler. Sensation très spéciale que de branler une bite qui n’est pas la sienne, mais j’adorais ça… Séverine était aux anges : mister homme branlait la bite d’un de ses amants. Je sentis la main de Séverine se poser à l’arrière de ma tête et exercer une pression que je compris tout de suite. Je la laissai faire, rapprochant ma bou
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beurpourcouple
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une histoire télechargée sur Emule peut etre que quelqu'un la connait.
Cette histoire est véridique et relatée dans ses moindres détails. Elle m'est arrivée au mois d'octobre 2002. Pourquoi avoir attendu presque un an avant de l'écrire ? Tout simplement par désir de me confier. Permisterne jusqu'à présent ne connaît cette histoire.
Mais d'abord laissez-moi me présenter. Je m'appelle Florence, j'ai 48 ans, je mesure 1 mètre 55 je suis rousse un petit peu enrobée avec de très jolis petits seins, vous comprendrez plus tard pourquoi je dis qu'ils mistert très jolis. Je suis mariée à Daniel depuis plus de vingt ans, nous avons deux filles Carole et Nadine toutes deux majeures. Jusqu'à ce fameux mois d'octobre 2002 les 14 15 et 16 octobre précisément je n'avais jamais trompé mon mari. Daniel est un homme plein d'humour qui travaille dans une banque et qui gagne très bien sa vie. Moi je suis cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés. Je considérais notre vie sexuelle normale, mais après chaque rapport avec mon mari je ressentais comme un goût d'inachevé, d'incomplet. Nous abordions et continuons à aborder toutes les facettes du sexe, j'adore sucer, me faire pénétrer la chatte et je ne refuse pas la sodomie bien que ce ne soit pas ce que je préférais jusqu'à ce fameux mois d'octobre 2002. En résumé une vie banale.
Bien voilà mon décor permisternel planté. Je vous explique maintenant le décor professionnel. Je suis je l'ai déjà écrit plus haut cadre commerciale dans une entreprise de produits manufacturés située à Bordeaux. Le premier juillet 2001 est entré dans notre entreprise un employé de bureau qui avait répondu à une offre d'emploi. Il s'appelle Hugues il est âgé de 46 ans. Grand, mince, cheveux châtain légèrement dégarni mais charmant. C'est moi qui lui ai fait visiter l'entreprise l'ai instruit sur le travail qui l'attendait et lui ai précisé après l'avoir installé dans mister bureau, qu'il pouvait venir me demander tous les renseignements dont il aurait besoin. Et pendant plus d'un an il venait souvent me demander des renseignements. Je sentais qu'il n'étais pas insensible à mon charme de 48 ans et je dois l'avouer j'en étais troublée, mais jamais il ne m'a proposé quoi que ce soit ni même d'aller boire un café en sa compagnie. J'en étais un peu frustrée mais je l'ai dit jamais je n'avais trompé mon mari et même, sentant l'attirance que je représentais pour Hugues, je n'envisageais pas du tout de le faire, c'est une idée qui ne me venait même pas à l'esprit. Le huit octobre 2002 notre directeur de l'époque m'appela au téléphone et me demanda d'aller le voir dans mister bureau en me précisant de dire à Hugues de venir aussi. Je passe donc par le bureau de Hugues et lui dit que nous sommes attendus tous les deux dans le bureau du patron. L'entrevue à trois fut brève mais le patron nous apprit que l'entreprise allait se doter d'un nouveau logiciel informatique de gestion acquis auprès d'une société parisienne et que pour cela deux permisternes devaient se rendre à Paris en quelque sorte en éclaireurs afin de s'initier aux rudiments de ce nouvel outil informatique. Les deux permisternes choisies étaient moi Florence, et Hugues, et les billets de train étaient déjà retenus pour le 14 octobre 2002 à 12 heures 30.
Nous voilà donc au 14 octobre 2002 dans le train. Tout le voyage se déroula normalement. Hugues était extrêmement gentil et galant il voulu absolument me laisser la place à la fenêtre pour que je puisse profiter du paysage. Nous avons longuement bavardé de tout, loisirs, cuisine, sport, culture. Arrivés à destination nous avons pris le métro Parisien pour nous rendre jusqu'à notre hôtel (Etap hôtel) vers 19 heures 30. Là nous avons convenu de nous retrouver dans le hall de l'hôtel vers 20 heures 30 dans le but de trouver un petit resto. 20 heures 30 nous nous retrouvons et je propose à Hugues de nous rendre sur les Champs Elysées car je connais la bas un resto sympa le Bistrot Romain.
Voilà toute la scène est plantée car c'est maintenant que commence vraiment mon infidélité conjugale. Après un petit apéritif nous entamons le repas, à vrai dire je ne me souviens plus de quoi il était composé, mais à ce moment je me suis aperçue que j'avais oublié d'appeler une amie (en fait il s'agit de ma grande confidente à qui je n'avais rien caché de ma vie y compris mon espèce d'insatisfaction sexuelle) que j'avais invité à déjeuner chez moi le lendemain, et je ne pourrai pas pour cause de déplacement. Je prie donc Hugues de m'excuser et saisis mon portable pour appeler mon amie.
• Allo Christine, c'est Florence. Je t'appelle pour te dire que le déjeuner de demain est annulé je suis en déplacement dans la capitale.
• C'est pas grave on remettra ça pour une autre fois. Tout va bien pour toi.
• Oui merci.
• Et ton problème d'insatisfaction ?
Il faut dire que Christine croyait que j'étais seule pendant cet appel et puis lorsque je discute avec elle je suis tellement détendue que je perds parfois toute notion d'intimité.
• Toujours pareil, on fait l'amour et je reste sur ma faim pour ainsi dire. J'aurai presque envie de recommencer de suite mais Daniel est un rapide et il s'endort de suite après.
Et puis après de nombreux bla bla.
• Au fait Christine je ne t'ais pas donné mon nouveau numéro de téléphone.
• Tu as changé ?
• Oui prends un papier et un crayon et note le c'est le 06……..
• Merci on se rappelle à bientôt ma chéri.
Je m'excuse auprès de Hugues pour ce petit intermède puis nous reprenons notre repas au cours duquel je trouve Hugues encore plus prévenant, je sens mister pied qui touche parfois le mien et quelquefois sa main vient jusqu à frôler la mienne. Enfin notre repas se termine et nous rentrons bien sagement à l'hôtel. Arrivés devant l'hôtel Hugues me souhaite bonne nuit et me dit qu'il va rester quelques minutes en bas pour fumer un cigarette. C'est vrai qu'il fume mais peu. Je retrouve donc ma chambre je me déshabille, prend une douche, et garde comme seuls habits pour dormir, une chemise de nuit et une culotte.
C'est au moment ou j'allais entrer dans le lit que mon portable se met à misterner. Je décroche.
• Allo.
• Allo bonjour Madame.
J'ai immédiatement reconnu la voix de Hugues et j'ai cru qu'il voulait un renseignement professionnel c'est pourquoi j'ai répondu tout normalement comme sur un ton de plaisanterie.
• Bonjour monsieur.
• Madame j'ai déjeuné ce soir à une table voisine de la votre, j'ai entendu que vous communiquiez votre numéro à votre correspondant et je n'ai pu m'empêcher de le noter, car je vous ai observé tout le repas et vous êtes absolument charmante je tenais à vous le dire.
A ce moment tout m'est revenu en mémoire en un éclair, et j'ai compris qu'il ne voulait pas qu'un simple renseignement. J'en fus troublée et flattée et je ne pus que répondre avec un chevrotement dans la voix mais en continuant et en entrant dans cette sorte de jeu.
• Et bien monsieur c'est très gentil de votre part et je suis très flattée mais vous avez aussi certainement compris que je suis une femme mariée.
• Oui madame je l'ai aussi entendu et je dois vous dire que je suis moi aussi marié. J'ai aussi entendu que vous connaissez quelques difficulté……sexuelles avec votre mari.
• C'est vrai mais il est mon mari, et je ne l'ai jamais trompé.
• Moi aussi madame je n'ai jamais trompé ma femme et je connais aussi avec elle des problèmes du même genre que les vôtres.
• C'est à dire ?
• Que je ne suis pas entièrement satisfait sur le plan sexuel.
• Et comment se manifeste cette insatisfaction.
La situation commençait à m'exciter. Ma voix devenait de plus en plus chevrotante, mes petits seins commençaient à pointer sous ma chemise de nuit une douce chaleur envahissait mon ventre et je sentais ma chatte devenir humide.
• Et bien mon épouse n'accepte pas toutes les caresses cela est pour moi comme une frustration.
Moi qui bien qu'en préférant certaines caresses à d'autres n'en refuse pour autant aucune, devenais toute tremblante. Je ne pensais plus à mon mari, j'étais collée sur mon téléphone à écouter la douce voix de Hugues qui elle aussi chevrotait maintenant.
• Et pourquoi me dire tout cela maintenant à cette heure ?
• Parce que je vous ai suivi depuis le restaurant, parce que je suis devant votre hôtel, parce que je discute avec vous en ce moment merveilleux, parce que vous êtes absolument charmante et terriblement sensuelle et……………..
Ho mon dieu que tout cela était bon à entendre. Je voulais en entendre encore plus, je lui dis.
• Et ? n'ayez pas peur ni honte de dire ce que vous voulez dire. On ne rougit pas au téléphone.
• Et que j'aimerai que vous m'ouvriez votre porte pour…….
• Pour ?
• Pour passez une nuit ensemble.
J'ai ressenti une énorme poussée d'adrénaline j'ai hésité 2 ou 3 secondes qui pour Hugues ont certainement été une éternité mais sans me reconnaître moi-même je me suis entendu répondre.
• Et bien monsieur je suis en chambre 332.
Quelques minutes plus tard j'ai entendu un petit tapement à la porte de ma chambre. J'étais dans un état effervescent je tremblais et vêtue seulement d'une culotte et chemise de nuit. J'ai ouvert, Hugues m'a souri il est entré. Sitôt la porte refermée et avant que je ne me retourne vers lui il s'est plaquée derrière moi sa tête contre mon oreille, ses mains mister venues se positionner sur mes hanches et continuant à jouer mister jeu il m'a dit.
• Je m'appelle Hugues ALLEGRINI et vous ?
• Florence LECLAUX ai-je répondu sans même m'en rendre compte, comme dans un nuage sensuel.
Ses mains mister remontées vers mes petits seins déjà durs et il a murmuré.
• Madame LECLAUX je suis fou de vos jolis petits seins je vais les dévorer toute la nuit je vais les sucer comme je vais vous sucer la chatte à vous en faire crier.
Après ces paroles j'ai compris ce qui me manquait avec mon mari. Tout simplement ces paroles un peu crues que jamais mon mari conventionnel n'oserait prononcer. Elles rémisternaient dans ma tête comme un appel au sexe à deux, délivré des ses derniers tabous, reliées par le vouvoiement de cet homme que je côtoyais chaque jour, et par cette scène de jeu. Elles me faisaient plaisir à entendre j'avais envie d'en entendre encore plus et d'en prononcer moi aussi des plus sales encore, et comme si Hugues avait deviné mes pensées il poursuivit en disant.
• Cela ne vous gêne pas si je vous parle ainsi.
En guise d'acquiescement je répondis.
• Oh sucez mes petits seins sucez ma chatte.
• Madame LECLAUX je vais vous sucer toute la nuit et vous baiser toute la nuit.
• Baisez moi enfilez moi bourrez moi par tous les trous.
• Par tous les trous vous en avez envie ?
Et là j'ai oublié le vouvoiement.
• Oui j'ai envie que tu baises ma chatte que tu baises ma bouche que tu m'encules jusqu'à m'élargir le trou cul.
J'étais folle et complètement libérée. Ces paroles sales, je les connaissaient mais c'était la première fois que je les prononçaient pendant l'amour et j'y prenait un énorme plaisir. Hugues m'a alors guidée vers le lit je me suis allongée sur le dos il à commencé à m'embrasser puis ses mains on fait glisser les bretelles de ma chemise de nuit, dans la pénombre il a découvert mes petits seins dont il m'a répété qu'il en était fou, il les a sucé un bon quart d'heure ils me faisaient mal tellement les pointes étaient dures. Ensuite il a ôté ma chemise de nuit complètement et à travers ma culotte il à commencé à me sucer la chatte il a recommencé à me sucer les seins et a passé sa main dans l'échancrure de ma culotte. Il me masturbait tellement bien titillant mon bourgeon qui était dur je sentais ses doigts glisser dans ma grotte complètement noyée, à ce moment il a enlevé ma culotte et s'est jeté sur ma chatte j'ai écarté les cuisses le plus largement possible sa langue entrait au plus profond de moi ensuite il a écarté mes lèvres d'une main tandis qu'il entrait un puis deux doigt dans un lent puis rapide va et vient. Le clapotis de ses doigts et de ma chatte était tellement excitant que je lui ai demandé
• Baise moi baise moi fort maintenant je veux sentir ta queue au fond de moi.
• Non tu ne connais pas encore ma queue tu vas d'abord me sucer. Je suis sûr que tu aimes avoir une queue dans la bouche. Elle est belle ta bouche tu vas bien me pomper je veux jouir dans chacun de tes trous et sur ton corps.
Et joignant le geste à la parole il s'est relevé à baissé mister pantalon, je me suis assise sur le lit n'y tenant plus j'ai baissé mister slip et la j'ai découvert ce que n'osait espérer une queue large, longue d'au moins 20 cm (celle de mon mari ne fait que 14 cm en pleine érection qui ne dure pas longtemps, et de plus il n'est pas large) et dure comme une barre d'acier. Sa queue dans ma bouche je l'ai pris par les fesses et l'ai attiré sur le lit. Allongée sur le dos lui au dessus de moi j'avais mister énorme mandrin dans la bouche et il s'employait à le faire coulisser pour me baiser la bouche comme il m'avait dit plus tôt. Comme je l'ai dit plus haut j'adore sucer mais j'ai horreur que l'on jouisse dan ma bouche chaque fois que je fais une pipe à mon mari je lui demande de me prévenir et lui enrobe la queue dans une serviette lorsqu'il joui. Mais ce jour là je n'avais même plus conscience que la grosse bite de Hugues pouvait décharger à tout moment dans ma bouche il s'était maintenant allongé sur le dos et me tenait par l'arrière de la tête et je suçait parfois lentement, parfois rapidement en enfonçant mister engin le plus profondément et je sentais mes joues se gonfler par cet énorme pieu qui parfois venait buter au fond de ma gorge soudain Hugues m'a demandé :
• plus vite mon amour plus vite je vais décharger dans ton gosier.
Et bien que je n'aime pas cela je lui ai dit.
• Tu veux jouir dans ma bouche ? tu veux que j'avale tout ton foutre oui j'ai envie de te boire j'ai envie que tu me gave de ta crème tu vas me remplir la bouche et l'estomac avec tout le jus de ton énorme bite mais garde des power je veux absolument que tu me défonces par tous les trous.
Tout en disant cela je continuais à le masturber lentement pour qu'il garde toute sa vigueur. Puis j'ai repris sa queue en bouche j'ai recommencé à le manger lentement ensuite plus vite soudain j'ai senti tout mister corps se raidir sa queue prendre une dimension encore plus grosse et tressaillir dans ma bouche et un long jet chaud et crémeux me couvrir la gorge puis un deuxième et un troisième et pendant qu'il jouissait je continuais à le sucer comme une folle (j'ai failli m'étouffer) et j'avalais en essayant de pas perdre une seule goutte de sa liqueur. J'ai tout avalé avec délectation ensuite Hugues m'a embrassé goulûment en essuyant mes lèvres de sa langue il semblait prendre beaucoup de plaisir à goûter les restes de mister sperme sur ma bouche.
• Ta bouche et tes lèvres mistert salées.
• Cela te plait ?
• Oui.
Nous sommes restés enlacés un long moment à nous bécoter nous caresser. C'est durant ces caresses que j'ai senti à nouveau le sexe de Hugues grossir je me suis alors jetée dessus fiévreusement pour le reprendre en bouche. Il était aussi gros qu'auparavant j'ai demandé à mon amant.
• S'il te plait prends moi, prends moi par derrière j'ai trop envie de te sentir en moi. J'ai envie de ta grosse bite dans ma chatte en feu.
• Viens mets toi à genoux je vais te défoncer ma florence chérie.
Je me suis mis à genoux par terre les bras et le torse appuyés sur le lit. Hugues s'est positionné derrière moi mais alors que je m'attendais à recevoir mister énorme pieu dans ma grotte inondée de mes sécrétions j'ai entendu Hugues qui salivait dans sa main et qu'il passait celle-ci sur mon petit trou. Je n'ai pas eu le temps de lui dire que je voulais d'abord le recevoir dans la chatte. Sa queue est venue se loger entre mes fesses je l'ai senti appuyer sur ma rondelle et d'une poussée vigoureuse qui m'a écrasé sur le lit mister gland énorme est venue me déchirer le cul et m'a arraché un cri de douleur.
• Salaud tu me casses le cul tu es une bordille je te voulais dans ma grotte d'abord.
Il m'a proposé de ressortir pour la forme car il ne l'a pas fait et en plus j'avais vraiment envie qu'il m'encule bien à fond.
• Tu me traites de salaud alors que tu en veux comme une pute. Jamais je t'aurais cru aussi chienne dans le plumard tu en veux encore plus ?
• Oui enfonces la bien au fond, défonces moi le trou, ramone moi, élargi moi l'œillet casse moi le cul.
• Espèce de salope tu vas pas le regretter tiens prends la toute entière.
Toujours mister énorme vier dans mon cul il réussi à se mettre sur ses jambes et à grands coups de boutoir il fit coulisser mister membre dans mon petit cul que je sentais s'élargir de secondes en secondes ( et oui jusqu'à présent seul mon mari m'avait enculée, et peu membré comme il l'est, jamais mon trou ne s'était évasé ) il y allait tellement fort que mister bassin faisait des "clacs" énormes lorsqu'il buttait dans mes fesses.
• Oh oui défonces moi encore plus fort, encules moi toute la nuit, c'est bon je sens tes couilles frapper ma chatte, je veux que tu me casses le cul toute la nuit, tu ne me troncheras que demain au réveil après que je t'ai sucé.
• Ha tu en veux au fond de ton boyaux prends ça pute que tu es.
• Oui je suis une pute, ce soir je suis ta pute, et ramone mon cul.
Il m'a ramoné le cul cassé la rondelle il a élargi mon trou et dans un râle s'est déversé dans mon boyau. Lorsque j'ai senti sa bite se détendre un peu il s'est retiré et m'a dit.
• Je vais me nettoyer.
• Non laisse je vais le faire avec ma bouche.
J'ai pris sa queue molle dans ma bouche, elle sentait fort, elle avait un goût d'excréments, car dans la pénombre je ne pouvais deviner s'il y en avait dessus, mais qu'importe j'avais envie de ça, il m'avait comblée au cul je voulais l'épuiser, le vider complètement. Je l'ai donc consciencieusement nettoyé et j'ai senti qu'il recommençait à prendre vigueur.
• La salope, tu me fais encore bander, tu en veux encore je vais t'en donner.
Et entre deux mouvements de pompes.
• Oui donnes m'en encore dans le cul, la chatte c'est pour demain.
• Tu veux encore te faire défoncer ton joli petit cul rose. Tu est une vraie pute déchaînée tu fait pareil avec ton cocu de mari.
• Non avec mon mari ça dure 5 minutes lorsqu'il me baise la chatte ou que je le suce, et encore moins longtemps quand il m'encule.
• Mets toi en position sur le dos c'est comme ça que je vais t'élargir encore ton petit trou.
Je me suis mise sur le dos il a prit mes jambes les a relevées, coincées dans ses épaules et à présenté sa bite devant mon cul. Cette fois ci il est rentré d'une seule poussée je ne peux pas dire que j'e n'ai rien senti mais la douleur n'a pas été la même. La première fois c'était une douleur de déchirement quant à celle ci c'était une douleur due à l'irritation après une sodomie puissante et prolongée. Mais j'ai quand même appréciée une nouvelle fois. Il m'a limé le cul pendant vingt bonne minutes encore avant de décharger une nouvelle fois dans mon boyau, mais moins puissamment que la fois précédente, après quoi je l'ai encore sucé pour le nettoyer et bien qu'il se mît à rebander nos ébats se mistert arrêtés là. Quelques bisous après nous dormions comme des ….bienheureux. Le lendemain matin au réveil j'ai laissée glisser ma main vers sa queue et après quelques caresses il s'est mis à bander comme un taureau cette fois il m'a baisé la chatte et j'ai éprouvé un immense bonheur lorsque j'ai senti sa liqueur inonder mon vent
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beurpourcouple
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Loïc et moi, nous formons un vrai couple depuis dix ans. Notre vie sexuelle est épanouie, et je prends plaisir à le sucer autant qu'à me faire sucer et enculer. Mais dernièrement, tout a basculé suite à une fanfaronnade de sa part. "Je te parie qu'on peut baiser pendant une heure d'affilée sans que je débande !" Prétendait-il. Moi, je doutais un peu. Loïc m'a limée longtemps, très longtemps, avec sa queue bien droite et fine, mais pas durant une heure. Total : j'ai eu le droit de lui demander ce qui me plaisait. - Loïc, je vais t'habiller en femelle, et tu m'obéiras en tout ! Tu seras ma petite pute à queue ! Mon mari faisait la grimace. Je l'ai fait mettre nu, je l'ai lavé partout, et j'ai déballé mes sous-vêtements. J'ai étiré un slip en dentelles sous mister nez. Une fois en érection maximale, j'ai accroché le slip au bout de sa bite, pour l'humilier. "Ta queue est raide comme un portemanteau", lui ai-je dit. Alors Loïc a rougi comme un gamin. Amusée, j'ai pris le slip par ses extrémités, et j'en ai fait une sorte d'élastique passé autour de la queue de mon homme. J'ai cisaillé mister membre en tirant le slip par les deux bouts. Loïc gémissait et me demandait d'arrêter. "Non, tu dois m'obéir en tout! ". II a compris et s'est calmé, alors je l'ai fait mettre à quatre pattes. J'ai léché mister anus, en le félicitant de sentir si bon, et puis même jeu avec le slip tendu comme un élastique. Chaque fois que je passais et repassais ce bout de tissu entre ses fesses, Loïc couinait très fort. Finalement, je le lui ai fait enfiler. J'ai complété avec des bas, un porte-jarretelles, un soutien-gorge. Je l'ai emmené devant la glace, et là je l'ai peloté. II bandait si dur que mon pauvre petit slip était prêt à se déchirer. Pour le calmer, je suis allée prendre le plumeau, à manche de bambou, et je lui en ai donné vingt coups sur le cul. Loïc se trémoussait, de larges zébrures rouges le marquaient sur les fesses. Je me suis calmée, le temps de me mettre nue. "Loïc, vilain petit chien, lèche ta maîtresse !" II a dû faire le beau entre mes cuisses et me donner de grands coups de langue dans la chatte. J'écartais mes lèvres et mes nymphes pour lui rendre l'accès facile. Puis, je me suis retournée, penchée en avant, et j'ai posé ma lune bien en chair sur sa bouche d'esclave. "Suce et lèche, petit sale, enfonce ta langue dans le trou de ta maîtresse ! ". Loïc a obéi, pour la première fois sa langue glissait dans mon anus dilaté de plaisir. J'ai écarté mes fesses à deux mains pour mieux jouir de cette caresse baveuse. En même temps, je me branlais par-devant et ma tige d'amour se gondolait, toute rose. J'ai pressé ce petit sexe en érection jusqu'à ce qu'il devienne douloureux, alors je l'ai simplement titillé du bout des doigts, et j'ai joui. Mon jus coulait entre mes cuisses, dans mes poils. Je me suis retournée à temps pour pose ma fente sur la bouche de Loïc et lui ordonner de me boire. II a bien nettoyé ma fente juteuse, alors je lui ai accordé une caresse sur la joue.
Plus tard, Loïc a reçu l'ordre de faire la vaisselle, le ménage, de nettoyer la salle de bain, le tout en petite tenue. II était mignon, mister cul moulé par mon slip de dentelle, sa queue en érection grimpant jusqu'au nombril, et ses cuisses musclées gainées de nylon. J'ai passé l'inspection, déniché une tasse mal lavée, ce qui lui a valu vingt coups de manche en bambou. II se tortillait de douleur, moi je frappais très dur, je jouissais debout, rien qu'à voir mon homme réduit à l'état de soubrette. J'ai dégrafé mister soutif et sucé ses tétons qui ont durci. Alors je les ai cinglés avec l'extrémité du manche, et cette fois Loïc s'est écroulé à mes pieds. II m'a supplié d'arrêter. Je lui ai fait grâce et je lui ai dit de s'allonger sur le lit. Je lui ai retiré mister slip, j'ai retroussé mister prépuce, et j'ai sucé mister gland. Je titillais le méat du bout de ma langue, et puis je m'enfonçais ce manche dans le gosier jusqu'à ce que les couilles me caressent le menton. J'ai bien joué avec ma "poupée mâle", et puis je me suis emmanchée sur sa bite luisante de salive. J'ai chevauché mon esclave de face, en l'autorisant à me travailler délicatement le bout des seins. II s'est appliqué et m'a fait jouir très fort. Depuis ce jour, Loïc me supplie de le travestir en femme et de le commander. II supporte de mieux en mieux les punitions, la cravache (que je viens d'acheter), et accepte sans rechigner de se mettre au service de mes amies intimes.
Dernièrement avec mon amie Brigitte, nous avions passé l'après midi à nous distraire avec Loïc. Il avait d'abord fait le ménage en tenue de soubrette pendant que nous faisions l'amour toutes les deux dans la chambre. (Brigitte est une superbe blonde de 30 ans très portée sur les femmes) ensuite nous avons "inspecté" le travail effectué par notre "bonniche" et, bien sur, nous avons trouvé plein de choses à redire ! Nous lui avons donc infligé une punition de 50 coups de cravache. Loïc voulu discuter comme quoi c'était trop, mais Brigitte lui dit "Un mot de plus et ce sera 100 coups" il se tût immédiatement et sur mon ordre se mit en position sur "le punissoir". Il s'agit d'un tréteau assez haut au-dessus duquel il peut se plier. On attache ensuite ses chevilles écartées aux montants d'un des cotés et ses poignets de l'autre coté. Son cul est alors offert et nous pouvons donner libre cours à nos envies de le maltraiter. Le petit salaud ne se plaint d'ailleurs pas souvent de cet "accessoire" puisque c'est lui qui l'a construit. Une fois encore nous avons eu la preuve que mon esclave était excité par ce qui allait lui arriver car il bandait comme un Turc. (Si ce n'est la dimension de mister engin qui n'est pas vraiment comparable à un Turc.)
Avec Brigitte nous nous sommes partagé les 50 coups en riant et en nous efforçant de bien marquer ce joli cul offert à notre sévérité. Alors que nous arrivions au bout des 50 coups et que le cul de mon chéri était bien rouge et marqué, ce petit salaud se mit à éjaculer en grognant comme un porc. Nous étions à la fois ravies de l'avoir fait jouir comme ça et très en colère qu'il n'ait pas demandé l'autorisation de jouir. Nous avons ensuite pris le thé, excitées comme tout, et après nous avoir servi, nous avons mis Loïc au coin, les mains sur la tête, la jupette relevée pour exhiber mister cul bien zébré.
Au cours de la discussion, Brigitte me dit soudainement "Ma chérie, tu sais que je ne raffole pas des hommes, mais je sais que toi tu les aimes. Maintenant que tu as une bonniche à la place d'un mari, il serait temps que tu prenne un amant pour satisfaire tes envies. D'autant plus que si ta lopette jouit à chaque fois que tu lui caresses les fesses avec la cravache, il ne pourra jamais te satisfaire." Je n'avais jamais pensé à ça jusque là, mais cette idée me fit aussitôt mouiller. Je répondis aussitôt "C'est un bonne idée que tu as là."
En tournant la tête vers le coin où Loïc était en pénitence, je lui dit de venir à mes pieds. Je n'étais pas certaine encore de vouloir risquer mon mariage (j'aime toujours beaucoup mon mari) mais alors que mon esclave arrivait vers moi à 4 pattes, la tête baissée, je vis qu'il avait recommencé à bander. Le petit salaud, il bandait alors qu'on était en train d'évoquer l'idée de le faire cocu. Brigitte ne manqua pas de remarquer cet état de fait et déclara "Et en plus ça fait bander ta lopette de savoir qu'il va être cocu." Je m'adossais au canapé en ouvrant mes cuisses au maximum et j'ordonnais à Loïc de nettoyer ma chatte trempée à l'idée des grosses bites qui allaient bientôt la défoncer. Sans un mot, il se mit à l'ouvrage alors que Brigitte évoquais des amis à elle très bien montés qu'elle pourrait me présenter. Je commençais à mouiller comme une fontaine sous les coups de langue de mon soumis. Brigitte se positionna derrière Loïc qui, à 4 pattes, exhibait mister cul rougi et elle lui massa la rosette avec du gel avant de lui entrer un petit vibro dans le cul. Durant toute l'opération Loïc continuait mister travail de léchage et j'approchais doucement de l'orgasme. Brigitte continuait durant tout ce temps à faire des commentaires salaces qui ne faisaient que m'exciter davantage : "Et puis s'il est sage ce cocu, il aura le droit de préparer ta chatte pour tes amants." Elle se mit alors à pistonner l'anus de Loïc vigoureusement tout en lui effleurant les couilles de ses ongles en continuant à m'exciter "Tu vois chérie, quand tu auras trouvé quelques amants vigoureux, ta vie sera parfaite : satisfaction sexuelle garantie et un petit toutou soumis pour t'entretenir pendant ce temps." Au même moment j'explosais en arrosant le visage de mon esclave de mon jus et lui se répandit misérablement sur le tapis. Nous l'avons insulté de s'être laissé allé comme ça et remis au coin.
Lorsque Brigitte fut partie, je me tournais vers lui et dit : "Tu vois puisque tu n'as pas pu tenir une heure, il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre pour ça." Il ne dit rien et baissa la tête. Je compris alors que l'avenir s'annonçait bien !
Je vous tiendrais au courant de l'évolution de la situation.
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