beurpourcouple
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Seul dans les toilettes je me laissais aller à une obligation naturelle. Nos toilettes du rez-de-chaussée possédaient une minuscule fenêtre qui donnait derrière dans le jardin. J’entendis des bruits. Tendant l’oreille, j’entendis alors parler. — Crois-tu qu’il nous a vus ? demanda une voix que j’identifiais être celle de sylvain. — Certainement. De toute façon, il t’a bien vu dans la cuisine.
C’était ma femme, Emma. — Tu y allais de bon cœur. Ton petit cul bombé était magnifique. J’aurais bien enfoncé ma queue là-dedans. Elle se mit à rire. — Tu sais j’aime sa bite. J’aime baiser avec lui. Je l’aime tout court. Mais j’aime que tu me prennes aussi. — Comme tu aimes te faire baiser par Laurent.
Ce fut le choc. Elle se mit à rire encore. Laurent baisait ma femme. Toute la planète semblait la baiser ! — J’ai envie de voir de quoi est capable Marc ce soir. — Tu n’as pas peur qu’il nous voie ? — Je pense pas. Il a l’air d’avoir bu assez pour qu’il reste tranquille un moment. — J’ai envie de toi. — Moi aussi. Appelle Marc et Tania.
Putain, ma femme baisait également avec Tania. Mais c’est le monde à l’envers ! Je sortis des toilettes pour m’installer dans la chambre d’amis afin d’avoir une meilleure vue. Je laissai la lumière éteinte maintenant que la nuit tombait. Je vis ma femme entrer dans la maimister. Merde, pourvu qu’elle ne vienne pas ici.
Soudain, j’entendis la porte s’ouvrir. Merde. Ma femme entra. Elle fut rejointe par Tania et Marc. Ma femme toujours en maillot de bain, Tania aussi. Moi, je venais de me cacher dans la placard. Pourquoi m’être caché ? J’étais chez moi ! C’était ma femme ! La peur, l’envie de voir ? Je ne sais pas.
La porte s’ouvrit à nouveau et là je vis Sylvain et Laurent rentrer. Lui qui venait de me parler il y a quelques heures de ça d’un nouveau PC, maintenant il allait sauter ma femme ! — Nous voilà au grand complet.
Marc avait l’air tendu. Ma femme s’approcha de lui. — Ne t’en fais pas, on a l’habitude de faire ça.
Je n’arrive pas à y croire, ils ont l’habitude ! — Ah bon ? demanda Marc. — Oui, répondit Laurent. Souviens-toi de la randonnée. Lorsque nous avions fait semblant de nous perdre. Éh bien non, on baisait mesdames comme des porcs. Emma sourit, se remémorant certainement la scène. — Quand nous sommes partis au ski aussi. Pourquoi crois-tu qu’on rentrait plus tôt ? Pas pour le froid comme on disait. Mais pour que nos petites chiennes nous sucent la bite.
Tania se mit à rire. — Et pourquoi me faire participer. C’est mal vis-à-vis de Greg. — Greg doit s’en douter.
Non je m’en doutais pas salope ! — Et puis c’est Emma qui voulait voir ta queue. — J’ai bien aimé ta caresse tout à l’heure. Je t’aurais bien embrassé sur le coup mais je ne pouvais pas. Je n’aurais pas fait que ça d’ailleurs. — Et qu’aurais-tu fait ?
Emma sourit. Il rentrait dans mister jeu. — Regarde-bien.
Elle s’avança vers lui et l’embrassa. Enfonçant sa langue dans la sienne. Marc empoigna les fesses de ma femme en l’attirant vers lui. Il passa les mains sous le maillot, et commença à pétrir les fesses rebondies de ma femme. Cette dernière continuait de l’embrasser à pleine bouche. Il dirigea alors ses doigts vers le petit trou de ma femme et le trouva. Elle sursauta. Sylvain sourit. — Le bougre, il a compris comment fonctionne la salope.
Ma femme arrêta d’embrasser Marc et tourna la tête vers Sylvain avec le sourire aux lèvres. — Et comment ! dit-elle dans un souffle. Allez les gars ne restez pas comme ça.
Tania se retourna vers Sylvain et l’embrassa. Marc dégrafa le haut du maillot de ma femme. Ses seins furent libérés. — Putain j’ai toujours voulu les bouffer ! s’exclama Marc. Tu as des seins d’une belle pute. Moi qui rêvais de les avoir dans ma bouche. — Vas-y tu as le droit.
Il se pencha et commença à lécher un sein tout en pétrissant l’autre. Ma femme soupira. Ella adorait ça. Putain elle se faisait lécher les seins par un autre homme. Je n’arrivais pas à le croire. Mais le plus irréel c’est que je bandais. Merde !
Laurent quant à lui arriva derrière ma femme et lui caressa les fesses. Il s’agenouilla et les embrassa. — C’est bon les gars, on va bien s’amuser.
Ma femme était la dernière des salopes et baisait ave mes amis. Je n’arrivais pas à le croire. Elle frottait mister corps, se laissait lécher par d’autres que moi.
Tania avait enclenché la vitesse supérieure et avait débraguetté Sylvain, enfilant sa bite dans sa bouche. Elle avait libéré ses beaux seins de métisse et je fus consterné de voir que cela m’excitait. Elle avait un cul magnifique. Comme ma femme l’avait fait, elle se caressait le minou. Tania avait une bouche magnifique et avalait cette bite avec plaisir et dévotion.
Ma femme avait reprit les choses en mains, si on peut dire ça. Elle était à genoux, Marc et Laurent l’entourant. Ils avaient sorti leur bite. Ma femme les branlait avec fougue. Elle les regardait comme elle me regardait moi. Puis elle enfila la bite de Laurent dans sa bouche. Ma femme suçait un autre homme ! Elle y prenait beaucoup de plaisir semblait-il. Laurent lui attrapa la tête lui donnant le rythme des va-et-vient. Ma femme continuait de branler Marc, qui avait les yeux fermés de plaisir. — Putain ce que tu suces bien Emma, lança Laurent. T’es une championne. Je comprends Fred quand il disait que tu suçais comme une salope. Vas-y bien au fond. Avale ma bite. — Tu aimes ? dit-elle entre deux succions d’un air coquin. — Si j’aime ? Bénédicte en serait verte de jalousie si elle voyait que tu suces mieux qu’elle. T’as la bouche faite pour ça. — Merci, j’apprécie ton compliment. Tu vas voir toi !
Ma femme avait baisé avec Fred. Tous mes collègues lui étaient passés dessus ! Marc le remarqua aussi. — Tu as baisé avec Fred ? — Oui. Il a une bite énorme mon amour. Je me suis jamais fait défoncer le cul comme ça.
Ma femme m’avait toujours refusé la sodomie, mais était une pratiquante aguerrie ! Je me sentais petit. — Et vous l’avez fait quand ? — À l’anniversaire de Greg, dit-elle au moment où elle ressortit la bite de Laurent de sa bouche. — Vraiment ? — Oui avec Claude dans notre chambre au premier.
Très bien, tous mes soit-disant amis étaient passés sur ma femme. Ils restaient tous là juste pour la baiser tranquillement. — Tu baises avec tout le monde ? — J’aime ça oui ! Elle engouffra à nouveau la bite de Laurent et le suça tout en le regardant. — Tu suces trop bien. Mais là je sens que je vais venir.
Elle relâcha la bite et continua de le branler. — Jouis, c’est si bon de se laisser aller.
Elle engouffra derechef la bite de Laurent qui gémit. Elle branlait toujours Marc. Laurent prit la tête de ma femme entre ses deux mains et se cambra. J’entendis une sorte d’étouffement. Moi qui venais de gicler peu de temps avant dans la bouche de ma femme, Laurent le faisait également. — Salope ! Avale tout ! Je veux pas voir de jus dégouliner.
Ma femme s’activa à lui lécher la bite, à l’avaler avec soin, le regardant. — Putain ce que tu es bonne. — Moi ! s’exclama Marc.
Ma femme se retourna. — T’inquiète, ça fait un moment que je rêve de l’avoir dans ma bouche ta bite.
Elle lécha mister sexe du bout de la langue et le goba littéralement. Marc poussa un râle de bonheur.
Laurent lui se baissa et commença à doigter ma femme. Il se mit à lui lécher le clito. Elle ondula du bassin. — Continue, t’arrête pas sale pute ! lança Marc. Je veux juter dans ta bouche et que tu avales.
Laurent sourit. Il continuait de lécher la chatte de ma femme qui mouillait littéralement sur mister visage.
Soudain, j’entendis un deuxième râle de jouissance. Sylvain avait tout lâché dans la bouche de Tania. — Vas-y avale, oui. T’es une bonne chienne toi aussi.
Tania le suça en le regardant. De la voir à poil, la bite de Sylvain dans la bouche, m’excitait de plus en plus. Elle remonta vers lui et l’embrassa. Sylvain qui était allongé sur le lit lui chopa les fesses. Tania n’en demanda pas plus pour s’enfiler sur lui. Elle s’empala directement. La machine était bien huilée semblait-il. Elle poussa un gémissement et commença à effectuer des va-et-vient sur Sylvain. — Ta bite est superbement grosse. Va bien au fond, lança t’elle, pendant que Sylvain lui agrippait les seins.
Pendant ce temps là, ma femme suçait toujours Marc avec avidité. Elle altérnait la masturbation et la fellation, sortait sa bite de sa bouche et léchait ses couilles. Marc, les deux mains sur sa tête, avait les yeux fermés et gémissait. — Quelle chienne tu fais ! Si j’avais su !!!
Cela excitait ma femme qui remit la bite de mon collègue dans sa bouche. Elle lui astiquait le manche avec ses lèvres pulpeuses. Laurent, qui avait reprit du poil de la bête, se positionna à genoux et posa sa queue sur la chatte de ma femme. Elle se retourna. — Vas-y, empale-moi la chatte, défonce-moi !
Je ne reconnaissais pas ma femme. Laurent s’enfonça d’un coup. Elle cria. La fente de ma femme était largement ouverte. Sa queue pistonnait la chatte. Il lui agrippa les seins et commença une levrette. Ma femme se faisant prendre en levrette pendant qu’elle suçait un mec. Des amis à moi ! Je n’en pouvais plus, cela m’excitait malgré moi ! — Putain ce que c’est bon. Ton mari a bien de la chance de pouvoir te baiser quand il veut ! s’exclama Laurent. — C’est pas aussi bon qu’avec vous tous !
Laurent attrapa le bassin de ma femme et s’enfonça au fond de sa chatte. Elle poussa un râle de plaisir. — Vas-y va au bout ! C’est bon continue ! baise-moi !
Ma femme ressemblait à une chienne en chaleur. Elle remit dans sa bouche la bite de Marc et le suça à nouveau l’enfonçant au maximum. Ce dernier lui tenait la tête. — Tu parles plus jusqu’à ce que j’aie giclé dans ta bouche sale pute !
Ma femme se faisait rabaisser et elle avait l’air d’aimer ça. Je l’entendais gémir comme une folle. Laurent allait et venait de plus en plus rapidement. Il ne prenait pas de gant avec ma salope. Il la pénétrait rapidement jusqu’à la garde. Elle en grimaçait de plaisir mais n’avait pas le droit de sortir la bite de Marc de sa bouche. Soudain ce dernier se crispa. Il se mit à gicler dans la bouche de ma femme sans prévenir. — Oh putain ! Oh oui !!!!! Suce allez !
Ma femme n’en perdit pas une miette. Elle suça sa bite bien dure qui se dressait dans sa bouche. Elle la lava entièrement. Tania, quant à elle, était à quatre pattes sur le lit. Sylvain l’enculait. Il n’y allait pas de main morte, lui tenant la taille. Tania gémissait. — Tu aimes ça que je te l’enfonce ? — Ouiii, réussit-elle à dire. T’arrête pas. — J’y compte pas. Je vais juter dans ton cul sale chienne. — Vas-y !!
Le cul de Tania était remonté. Sylvain frappait dedans. Le bruit de mister corps percutant le cul de la métisse me donnait envie de me branler… et d’être à sa place. Mais le spectacle de l’infidélité de ma femme primait.
Maintenant, Laurent s’était retiré de sa chatte. Elle était passé sur Marc et s’était empalée à lui. Laurent lui léchait sa rondelle. — Pas la peine ! s’exclama ma femme. Tu peux y aller ! Défonce-moi le cul !
Laurent ne se fit pas prier. Il amena mister gland à la rondelle de ma femme. Cette dernière allait et venait sur la bite de Marc, se faisant pistonner avec plaisir. Laurent lui attrapa alors les hanches et s’empala d’un coup net dans le cul de ma femme. Je fus médusé de voir que la bite de mon ami était rentrée « comme dans du beurre » dans le cul de ma femme. Elle cria. Serrant les bras de Marc. — C’est bon ! — Tu aimes salope ? — Oui, j’aime que vous me preniez. Je suis votre petite pute ! baisez-moi !
Laurent s’activa dans le cul de ma femme. Mon ami baisait ma femme par le cul. Il enfonçait sa bite dedans. Il allait et venait rapidement. Ma femme se mit à crier. — Vous êtes des beaux salops ! Dire que ta femme ne sait pas que tu me baises Laurent ! — Heureusement je peux pas l’enculer elle ! Ni la traiter de pute ! Toi tu aimes. — J’aime ta queue surtout !
Ma femme se faisait prendre par les deux trous. Je n’en pouvais plus. Ma main se posa sur ma bite et je me branlais.
Sylvain fut le premier à décharger en Tania. Il s’enfonça bien profondément. Elle cria un long moment. Sylvain essuya sa bite sur le cul de Tania. Cette dernière se retourna et le suça un long moment. — Merci ma belle. Maintenant je vais m’occuper d’Emma.
Il se leva et vint vers elle. Ma femme le regarda en souriant. Elle prit sa bite dans la main et le branla. Elle était en train de se faire démonter dans tous les sens. Elle gémissait comme une folle. Tania arriva et lui caressa les seins. Puis se mit à lui lécher.
Ma femme était offerte et le centre d’intérêt de toutes ces permisternes. D’un coup elle engloutit la bite de Sylvain dans la bouche. — Oh oui ! T’es une sacré suceuse !
Laurent lui ramonait toujours la rondelle de plus en plus fort ce qui la déconcentrait parfois dans sa pipe. Laurent n’en pouvait plus, il se raidit et se mit à gicler dans le cul de ma femme. — Ohhhhh salopeeee. Je t’ai inondé le cul ! — Ne t’arrête pas !
Elle en redemandait ! — Je vais gicler aussi !
Marc se raidit également. Ma femme hurla sa jouissance à se moment là. — Putain j’ai jamais déversé autant dans une nana ! s’étonna Marc.
Je vis alors Laurent sortit du cul de ma femme. Des filets de foutre en sortait, dégoulinant sur mister sexe encore rempli de la queue de Marc. Ce dernier sortit aussi. Là aussi le sperme s’écoula. Il avait vraiment tout lâché dans sa chatte. Tania se mit alors en quête de lécher la chatte et le cul de ma femme, qui semblait aimer cette caresse. Elle lui lapait le sperme qui dégoulinait de mister cul. — Vous m’avez bien fait jouir bande de salops. — Toi aussi, lui répondit Laurent qui lui présenta sa bite pour qu’elle la nettoie.
Elle la mit dans sa bouche. La queue de Laurent était énorme et lui déformait la bouche. Elle n’arrivait quasiment pas à l’avaler. Je regardai mister trou du cul. Il était énorme. Tania y fourra sa langue. C’est alors que Sylvain arriva derrière ma femme et l’empala. Elle poussa un cri. — Je veux te ramoner le cul moi aussi.
Il commença à l’enculer sans délicatesse. Ma femme souriait en même temps qu’elle suçait Laurent. Moi je n’en pouvait plus de voir ma femme baisée de toutes parts, souillée de foutre. Sylvain ramonait dur. — Putain tu t’es sacrément vidé mon connard.
Laurent sourit. — Son cul est trop excitant.
Ma femme suçait toujours Laurent. — J’ai jamais vu une telle salope. On dirait pas comme ça sous ses airs de femmes de bonne famille. On croirait pas que tous les amis de mister mari lui passent dessus.
Ces phrases m’excitaient, je ne tins plus et me mis à jouir. J’essayai d’être le plus silencieux possible. Mais Tania entendit du bruit. Elle se dirigea vers le placard ou j’étais. J’étais foutu. Elle ouvrit en grand. Je vis sur mister visage un sourire immense. — Mais qui voilà ! Le mari cocu !
Emma tourna la tête la bite de Laurent toujours dans la bouche et Sylvain la sodomisant. Elle sourit. — Greg tu tombes bien. ! s’exclama Sylvain. Il faut que je te dise ta femme est une vrai cochonne. C’est un plaisir de l’enculer.
Tania sourit. — Reste pas comme ça !
Elle se baissa et commença à me sucer la bite. — Tu vas être tout propre.
Je n’en pouvais plus. Je me faisais sucer par Tania, une nana foutrement bien foutue et je regardais ma femme sucer un pote tout en se faisant enculer. Marc arriva et se positionna derrière Tania et lui présenta mister sexe contre sa rondelle. — Vas-y défonce moi.
Elle se remit à me sucer. — Tu aimes ? — Oui, bredouillai-je. — Je vais te sucer la bite jusqu’à ce que tu gicles dans ma bouche.
Elle s’activa. Sa langue était douce, passant sur mon méat turgescent. La chaleur de sa bouche et sa petite langue s’activant sur ma bite était un plaisir infini. — C’est vrai qu’il a une sacré queue ton mari !
Elle la remit dans la bouche et me suça avec power. Je fermai les yeux.
J’entendais ma femme râler pendant que je me faisais sucer par une autre. — Je vais juter salope ! s’exclama Sylvain.
Il se mit à gicler dans le cul de ma femme. Elle eut à nouveau un orgasme en sentant le jus lui rentrer dans le cul. Laurent se raidit également. Ma femme comprit et le suça plus fort. Le foutre lui gicla dans la bouche. Elle lui lava la queue. — C’était foutrement bon salope, lui dit Laurent. On recommence quand tu veux. — Reviens à la maimister quand tu souhaites baiser. Je suis ouverte à toute proposition.
Sylvain s’en alla en même temps que Laurent. Ils allèrent voir les autres qui devaient se poser des questions.
Ma femme se releva marchant un peu difficilement. Elle souriait. Je voyais le foutre dégouliner de sa chatte. Cela m’excitait ! Je pris la tête de Tania entre mes mains et lui giclai dans la bouche ! — Oh oui !!!!!!! tu aimes cochonne !!! m’étonnai-je à dire. — Humm hum, fit-elle.
Elle relâcha un instant ma queue. — Tu as une queue à être sucée.
Tania suça jusqu’à que ce qu’il n’y ait plus rien. — Alors ça te plaît de savoir que ta femme se fait baiser par d’autres. Ta jolie femme toute douce, qui est une vrai salope ? me demanda Emma.
Je hochai la tête. — Encule-moi.
Elle se mit à quatre patte. Je regardai Tania agripper les draps pendant que Marc l’enculait. Je me présentai derrière ma femme qui se retourna et m’embrassa. Je sentais le sperme dans sa bouche. Le sperme d’autres hommes ! — Allez !
Je rentrai sans peine ma bite dans mister cul et sentis le sperme de mes collègues. — Encule-moi !
Depuis, on s’adonne aux partouzes chez moi avec nos amis et je prends plaisir à voir ma femme se faire baiser par d’autres hommes.
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beurpourcouple
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Puisque tu aimes ce genre d'histoire en voici une autre du même auteur.. Très troublante aussi car c'est la première fois que le mari découvre cette facette de sa femme. Le cocu qui découvre en dernier la bitch-attitude de sa femme. Et pourtant il la satisfait, ce n'est donc pas pour palier un éventuel manque qu'elle baise ailleurs mais juste parce qu'elle aime ça.
allez ca commence plus bas...
— Oui, mon chéri, j’ai un fantasme inassouvi. Faire l’amour avec deux hommes pendant que tu regardes. — Ah, je comprends que ça soit inassouvi. J’ai pas vraiment envie que la femme que j’ai épousée il y a dejà 5 ans fasse ça avec un, sinon deux autres hommes. — Cela pourrait être marrant, me dit-elle en souriant. Un sourire espiègle, coquin qui arrivait toujours à me faire craquer lorsqu’elle voulait faire l’amour. — Tu ne m’auras pas avec ton sourire. Comment peux-tu avoir envie d’autres hommes alors que je suis ton mari ? Cela veut dire que tu ne tiens pas à moi, que je ne comble pas ton désir.
Elle se colla à moi et me caressa la poitrine. Je sentais mister corps brûlant. Nous venions de faire l’amour ce matin. — Non, non, non, mon cœur. Je t’aime et je ne veux pas d’un autre homme dans ma vie. Tu es et seras toujours le seul. Je n’ai pas d’affection pour un autre homme. Je sais que tu m’aimes, je n’ai confiance qu’en toi, tu me seras toujours fidèle. Je ne peux concevoir de ne pas vieillir à tes côtés. Je t’aime. — Alors pourquoi vouloir le faire avec deux autres hommes ? — Pour le plaisir. Et puis ce n’est qu’un fantasme. Je n’ai pas dit que je le réaliserai un jour. Il ne me viendrait pas à l’idée de faire quelque chose de pareil sans que tu sois là. — Merci. Elle sourit et m’embrassa dans le cou. — Et toi, tu n’en as pas un ? — Je ne pense pas. Tu me combles bien au-delà de mes espérances. — Merci, mon amour. Elle m’embrassa à nouveau dans le cou. Mais tu n’aimerais pas qu’une autre femme te fasse l’amour ? — Non, je ne crois pas.
Ma femme commençait à me caresser. Sa main passa sur mon torse, puis descendit sur mon ventre pour s’arrêter sur mon sexe. Elle le prit et le caressa doucement. Lorsqu’elle le sentit dur, elle le lâcha pour caresser mes testicules du bout des ongles. Cela ne manqua pas de me faire réagir. Je sursautai. Elle sourit puis se baissa doucement, ne me quittant pas du regard. Elle embrassa d’abord le bas de mon ventre du bout des lèvres, puis se mit à titiller mon nombril avec sa langue. Puis elle descendit plus bas. Elle prit mon sexe dans sa main et me branla doucement, toujours sans me quitter des yeux. Ensuite elle embrassa mon gland, un sourire aux lèvres. Elle embrassa mes testicules puis remonta le long de mon sexe du bout de la langue. Finalement elle enfonça mon sexe dans sa bouche, le ressortant, puis l’y réintroduisant. Sa langue me titillait, s’activait autour de mon sexe. Elle s’arrêta, embrassa mon sexe durci par l’excitation puis titilla mon gland, l’avalant une nouvelle fois. Le plaisir que ma femme m’infligeait était sans commune mesure. Elle s’arrêta à nouveau. — Ça ne t’exciterait pas plus de te dire que c’est une autre femme qui te suce ?
Elle remit ma queue dans sa bouche et s’activa à me faire jouir. Je lui pris la tête pour la guider. Elle s’arrêta à nouveau car elle me sentait de plus en plus fébrile. — Non, ça ne te plairait pas ? — Peut-être ! lui dis-je. T’arrête pas. — T’inquiète pas pour ça mon chéri, je vais te finir.
Elle se remit à me sucer avec énergie. Ses lèvres encerclaient mon sexe, l’enfonçant le plus loin qu’elle pouvait. Sa main jouait avec mes testicules, les malaxant doucement. Puis elle sentit que je me contractais pour me retenir. Elle me suça de plus belle, me branlant en même temps. Je ne pus qu’éjaculer dans sa bouche. Mon foutre inondait sa bouche. Elle ne s’arrêta pas de me regarder, tirant mister plaisir du mien. Elle avala ma semence et nettoya docilement ma queue. — C’était très agréable, mon amour. — Je l’espère bien. Alors, tu vois que tu aimerais te faire sucer par une autre que moi ! — Oh, arrête avec ça.
Je décidais de rendre à ma femme la monnaie de sa pièce. Je la basculais sur le lit et commençais à lui embrasser le cou, mes mains parcourant mister corps, s’arrêtant sur ses doux seins aux pointes durcies. Ma langue s’y attaqua par la suite, titillant du bout de celle-ci ses mamelons, les aspirant tandis que je malaxais fermement ses fesses. Je sentais sa respiration devenir de plus en plus saccadée, haletante. Ses seins se gonflaient de plus en plus à chaque inspiration. Je décidais donc de descendre et j’embrassais mister ventre, titillant mister nombril par le biais du magnifique piercing qu’elle s’était fait faire.
Lorsqu’elle me sentit approcher de mister intimité, elle écarta les jambes. J’entrepris de lui lécher tendrement le minou. Il était lisse depuis très longtemps ce qui me plaisait particulièrement pour le côté pratique de la chose.
Lorsque je me mis à embrasser mister sexe, je me rendis compte que ce dernier était déjà bien humide. Je lui écartai les lèvres et aspirai mister clito. Elle sursauta. — Oh oui, mon chéri, vas-y, je t’en prie.
Je me mis à la tâche et malaxai mister bouton de la langue. Elle se mit à gémir de plaisir, me regardant faire avec ce sourire que je lui connaissais si bien. Mes doigts trouvèrent l’entrée de sa chatte et s’y faufilèrent subrepticement. Elle se contracta un instant et poussa un soupir de plaisir. — Enfonce bien, mon chéri.
Je m’activais à présent à lui enfoncer mes doigts au plus profond de sa cavité, tout en lui excitant le clito. Je vis alors ma femme se toucher les seins, les malaxant fermement. Elle gémissait de plus en plus fort. Cette image me revigorait. J’avais de plus en plus de désir pour elle, tout en voulant l’amener au maximum de la jouissance. Mes doigts ressortirent, et ce fut ma langue qui prit possession de sa grotte, m’y enfonçant au plus profond. — Oh mon chéri, c’est bon ! Je vais jouir !
Elle ne mentait pas. Je la sentis se tendre. De petits soubresauts m’indiquèrent qu’elle était au paroxysme de la sensibilité. Son liquide m’inonda la bouche, pendant qu’elle criait sa jouissance, me maintenant la tête contre mister sexe. Je continuais à la lécher de mon mieux, puis remontais à elle. Elle m’embrassa avec fougue. — C’était bien ? — Oh oui ! C’était très bien, mon amour. Mais t’arrête pas, prends moi !
Elle se mit à quatre pattes. Je lui embrassais le dos, puis le creux des reins, cambré au maximum. Ma langue lécha ses fesses, puis descendit à nouveau vers mister sexe. Elle écarta les jambes. — Enfonce toi en moi, vas-y dépêche toi, s’il te plait, mon amour.
Je me relevais et présentais mon sexe à l’orée de mister minou. Je l’enfonçais quelque peu puis le ressortais. À nouveau, je l’enfonçais. Ma femme restait les yeux fermés, profitant de l’effet que je lui procurais. Puis je m’enfonçais d’un coup sans prévenir. Surprise, ma femme ouvrit les yeux et poussa un petit cri de plaisir. Son sourire espiègle irradiait mister visage. Elle me regardait avidement. Je commençai alors à pistonner mister sexe. Elle se mit à onduler du bassin pour sentir au maximum ce sexe en elle.
Je lui caressais le dos, puis les fesses, continuant mon mouvement de va-et-vient dans sa chatte. — Hum !! Vas-y, enfonce-toi bien au fond !!
Je lui tins alors le bassin des deux mains et lui imprimai la cadence. Lente au début, puis de plus en plus rapide. — Oh oui ! Prends-moi fort ! T’arrête pas mon chéri !! T’arrête surtout pas !
Je continuais de plus en plus rapidement. — Tu aimes me prendre comme ça, mon chéri ? — Oh oui ! réussissais-je à dire. — Je suis ta chienne. — Oui, tu es ma chienne. — Oui vas-y !
Ma femme gémissait de plus en plus fort, tirant les draps, sa tête se posant sur l’oreiller, les yeux plissés par un plaisir de plus en plus intense. Elle se mit alors à jouir. Je sentis mister sexe se resserrer contre le mien. Son corps semblait pris de spasmes. Elle poussa un cri. J’étais heureux de la voir ainsi. Elle s’effondra sur l’oreiller. — Tu n’as pas joui, mon chéri ? — Non, mais c’est pas grave. — Oh que si !
Elle me renversa sur le dos et monta sur moi. Elle m’embrassa tendrement, sa langue fouillant ma bouche. Elle était belle, ma femme ! Je lui caressai le dos, puis lui étreignit délicatement les fesses. Elle se releva alors, prit mon sexe dans sa main, le conduisit en elle, et poussa un soupir. Mes mains se posèrent sur ses hanches. Elle souleva ses cheveux, mouvement qui releva sa magnifique poitrine. Elle commença à s’empaler sur mon sexe. Ses fesses venaient buter contre mes testicules. — C’est bon, mon cœur. Tu es la plus belle.
Elle me regarda, sourit, puis posa les mains sur l’oreiller autour de ma tête et m’embrassa. Son bassin s’activait toujours à monter et descendre sur ma queue. …Et elle accélérait la cadence…. Je n’arrêtais pas de l’embrasser. Le plaisir commençait à m’envahir. Sentir le souffle saccadé de ma femme m’excitait encore plus. Ses douces lèvres parcouraient inlassablement mon cou. Mes mains empoignèrent mister bassin pour donner plus de power à ses mouvements. Elle poussa un cri de plaisir.
Sentir la chaleur humide de mister sexe autour du mien était un plaisir intense. Les mouvements que je lui faisais faire étaient de plus en plus rapides. Ma femme enfonça mister visage dans mon cou en gémissant de plus belle.
Le fait est que nous avions déjà fait deux fois l’amour en cette matinée, et je mettais de plus en plus de temps à jouir.
Ma femme ne s’en formalisa pas pour un sou. Elle se retira de moi, me présenta sa croupe totalement trempée et commença à me sucer à nouveau. Elle embouchait ma queue au maximum, pendant que je lui enfonçais deux doigts dans la chatte, titillant mister petit trou du bout de la langue. Pendant un instant, je la sentis se raidir. Elle n’était pas adepte de la sodomie et n’aimait pas vraiment que je m’occupe de cet orifice. Mais elle continua sa fellation.
Après quelques minutes de ce traitement elle se releva et se coucha sur le lit. Je me plaçaisur elle, lui relevai les jambes et m’enfonçai rapidement en elle. Elle m’embrassa à nouveau. Ses seins gonflés de plaisir se mouvaient au gré des coups de butoir que je lui donnais. Elle se mettait à gémir, signe que le traitement que je lui infligeais lui plaisait. — Tu te rends compte, si c’était Anne que tu sautais ? me dit elle entre deux respirations.
Anne était une amie. Magnifique jeune femme, des seins de taille normale, des jambes magnifiques et une splendide chute de reins. Elle était encore célibataire et, il faut bien l’avouer, était très attirante.
Le fait de penser à Anne dans le feu de l’action m’excita. Ma femme s’en rendit compte. Je le sus à mister sourire. Ma vigueur lui assurait d’avoir raimister. — Tu aimerais bien la prendre violemment comme ça ? …. Hein, mon chéri ?
Je ne pus répondre que oui tant l’image était séduisante et que ma jouissance venait de me saisir.
Je m’allongeai sur le côté. Ma femme entreprit de me sucer afin de ne pas perdre une goutte de ma semence. Puis elle s’allongea près de moi, se blottit et sourit. — Je t’aime, mon amour, plus que tout au monde.
Elle ferma les yeux et s’assoupit. J’en profitai pour prendre une douche. Lorsque je revins, ma femme dormait encore. Elle avait les cheveux châtain clair, un cou à la peau douce, des seins épanouis malgré sa fine silhouette. Et une magnifique chute de reins. C’était l’un de ses atouts majeurs. Elle le savait et n’arrêtait pas d’en jouer devant moi pour m’exciter, sachant que j’appréciais particulièrement cela chez une femme. Le lendemain soir, nous avions des invités qui venaient manger à la maimister. Anne et mister nouveau flirt, et Marc, un collègue et ami d’enfance. Sa femme était partie avec sa sœur voir un film au ciné, il en profitait donc pour sortir de mister côté. — Pierre ! Où as-tu mis mes boucles d’oreilles ? me demanda ma femme. — Je n’en sais rien, c’est pas moi qui les porte.
Je la vis passer la tête par l’encadrement de la porte. Elle souriait. — Je m’en doute, mais tu aurais pu le savoir. — Ce n’est pas le cas. — Tant pis ! Elle me fit un clin d’œil et s’éclipsa.
Le soir approchait et la misternerie se fit entendre. Comme je n’étais pas encore prêt, Eryn alla ouvrir. C’était Marc. Ce dernier, en bon invité qu’il était, avait apporté deux bouteilles de rouge. — Salut trésor, comment vas-tu ? demanda Marc à ma femme. — Bien, et toi ? — Ça va. J’ai très faim. — Et moi donc. Installe toi tranquillement on n’a pas fini de se préparer.
Elle remonta à la chambre. La misternerie se remit en marche quelques minutes plus tard et Marc alla ouvrir. — Ils finissent de se préparer, entendis-je.
Anne fit les présentations entre Marc et Eric; mister nouveau petit ami. J’entendis alors des bruits de pas dans les escaliers. Je poussais quelque peu la porte de la salle de bains pour ne pas être vu. C’était Anne. Elle entra dans la salle de bains. J’étais en boxer, finissant de me raser. — Salut toi ! — Eh ! Tu vois bien que je suis pas en tenue… Tu pouvais pas attendre ? — Tu es très chou comme ça, mon grand. Viens me faire la bise.
Elle m’obligea à me déplacer dans le simple but de me mater. Je vis mister sourire espiègle, discret, mais visible. Je lui fis la bise et la poussai doucement dehors. Elle baissa une dernière fois le regard vers mon boxer en souriant.
Ma femme apparut deux minutes plus tard en robe chic mais pas sophistiquée. — Alors, tu te pavanes devant Anne ? Ce que je t’ai dit hier t’a finalementdonné envie…
Elle était derrière moi, m’embrassa dans le cou et passa sa main sous mon boxer. — Eh ! je me rase, s’il te plait ! Et puis non, c’est elle qui est entrée.
Ma femme ne s’arrêta pas de me caresser et je me raidis rapidement. Elle se mit alors à me branler en me regardant dans le miroir. Je dus m’arrêter, ma femme me soulagea rapidement. Elle ressortit sa main pleine de mon sperme et la lécha doucement. — Tu es trop bon, mon chéri. Allez dépêche-toi, tu es en retard. Je descends.
Elle s’éclipsa rapidement.
Lorsque je descendis, tout le monde était déjà au salon en train de boire l’apéro. Anne me présenta Eric. Un mec qui avait l’air sympa.
Les conversations affluèrent et nous nous resservîmes plusieurs fois. Ma femme avait un avantage certain sur moi. Je ne tenais pas vraiment l’alcool. Elle non plus, mais plus que moi. Nous passâmes à table et Marc ouvrit les deux bouteilles, l’une après l’autre. Le repas était agréable et nous rîmes beaucoup.
L’alcool aidant, le sujet préféré de toutes les conversations arriva sur table : le sexe.
Anne commença à argumenter sur le fait qu’elle n’arrivait pas à concevoir que nous pussions encore faire l’amour avec autant de power et de plaisir que lors de nos premières fois. Ma femme lui rétorqua que si elle voulait elle n’avait qu’à regarder, à l’occasion. Anne sourit et accepta l’offre. Je ris mais commençai à calmer les ardeurs. — N’écoute pas Eryn, elle est sous l’effet du vin. Je ne te laisserai pas nous regarder. — C’est bien bête ça, me répondit directement Anne. — Peut-être, mais c’est ainsi.
Je concevais très bien que la platitude de mes réponses paraissait complètement futile, mais je m’en fichais un peu. Le repas prit fin vers minuit.
Nous repassâmes au salon, un verre à la main. La discussion n’avait toujours pas changé. — Regarde Marc, lui aussi est marié, et franchement il n’en est pas pour autant malheureux. — Euh, tu sais se faire un autre petit cul de temps en temps, ça dérange pas. — Ah ! Tu vois ! — Suis-je le seul à ne pas être obsédé ? rétorquai-je. Je suis toujours aussi heureux de faire l’amour à ma femme. — Et bien, parlons de la principale intéressée ! s’exclama Anne. Qu’en penses-tu ?
Eryn sourit, but une gorgée et lança de but en blanc : — Faire ça avec quelqu’un d’autre serait sympa, dit-elle en souriant, le regard porté vers les autres garçons de cette pièce. — Ah tu vois ! s’écria victorieusement Anne. Même ta femme !
Oui, même ma femme ! C’était pas pour me rassurer, soit dit en passant. Je n’avais pas raté le regard provocateur qu’elle avait eu à l’encontre de Marc et d’Eric.
Je repris aussi sec, histoire de détourner la conversation. — Mais, dis-moi, Marc, tu n’as jamais couché avec une autre femme que la tienne depuis ton mariage ? Rassure moi… — Ben oui, deux ! La première lors d’un camping… une hollandaise je crois, et la deuxième pendant les soldes. Une petite vendeuse de 20 ans… Je n’aurais pas cru qu’elle soit aussi douée. Je comptais lui apprendre deux trois trucs et elle m’a bien bluffé. — J’y crois pas, fis-je totalement sidéré. — Ça n’empêche pas que j’aime ma femme. Ça n’a rien avoir, c’était sur le coup. Et quel coup !!
Ma femme se mit à rire, suivie par le couple.
Le CD qui passait depuis un moment enchaîna avec des slows. N’aimant pas vraiment danser, au contraire de ma femme, celle-ci invita Eric à se lever pour un slow. Ce dernier accepta avec plaisir. Anne, quant à elle, fit de même avec Marc.
Je me retrouvais sur mon fauteuil, un verre à la main, à regarder les deux couples danser. C’est alors que je vis les mains entreprenantes de Marc remonter le long des cuisses d’Anne sans qu’elle ne dise rien. Les mains s’arrêtèrent sur les fesses de cette dernière qui lui sourit. Il commença alors une caresse pour honorer sa croupe. Je n’arrivais pas à le croire. Elle lui caressait le cou de ses mains. Marc passa la main par le côté fendu de sa robe et malaxa ses fesses avec plus d’ardeur. Elle posa sa tête contre mister épaule. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour que sa main atteigne un endroit particulier de mister anatomie. Il passa sa main entre ses cuisses. Je vis le corps d’Anne sursauter. Il avait dû atteindre mister minou et le caressait sans pudeur.
Ne sachant comment me tenir, je préférais porter mon regard sur ma femme. Quel ne fut pas mon malheur ! Ma chère et tendre caressait les couilles d’Eric qui ne disait rien, sa main droite triturant le sein de ma femme et sa main gauche lui caressant les fesses sous sa robe.
L’alcool est un ami versatile auquel il ne faut pas se fier !
Je ne savais que dire. Telle fut ma réaction. Ma femme se faisait peloter par un autre. C’était mister fantasme et elle le réalisait. Que devais-je faire ?
Elle me regarda alors, me sourit, puis se tourna vers Eric et l’embrassa langoureusement. À ce stade le suicide me paraissait une bonne option mais, manque de moyens, c’était avorté d’avance ! Eric l’étreignit et lui malaxa les fesses sous la robe. Ma femme poussa un soupir et sursauta. Eric était aux portes de mister intimité, et venait d’y pénétrer d’un doigt averti.
Elle s’arrêta de l’embrasser. — Hum, c’est bon.
C’est alors qu’Anne apparut devant moi. Elle se dandinait au mister de la musique, relevant ses cheveux, me regardant avec désir. Elle se pencha vers moi et me susurra à l’oreille : — Je vais bien m’occuper de toi mon salaud, pendant que ta salope se fait baiser
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beurpourcouple
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Elle m’embrassa. D’abord, je ne bougeais pas, mais instinctivement ma langue rencontra la sienne dans un baiser passionné. Sa main prit mes couilles et les malaxa à travers mon pantalon.
Du coin de l’œil je regardais ma femme. Marc, mon meilleur ami, caressait le dos d’Eryn. Elle se retourna vers lui et l’embrassa également. Eric, de mister côté, lui retira les bretelles de sa robe qui tomba à ses pieds. Ses seins furent mis à nu, Marc les caressa aussitôt pendant que Eric s’abaissait pour embrasser les fesses de ma femme. Il lui arracha mister string, ce qui la fit sursauter. Puis, d’un geste, il lui écarta les cuisses pour fourrer sa langue dans sa chatte. — Elle mouille bien, la chienne.
Au même moment, Anne finissait d’enlever mon pantalon. Je ne l’avais même pas remarqué tellement j’étais pétrifié, subjugué, excité par le spectacle que ma femme m’offrait. La bouche d’Anne se posa sur mon boxer. — Hum, ça fait longtemps que je rêvais de l’embrasser, celle-la. Elle se releva et ôta sa robe sous mes yeux. Elle était complètement nue dessous. Son sexe entièrement rasé. Elle remarqua que je lui regardais le minou. — Ta chienne m’a dit que tu aimais les chattes rasées. Ça m’a excité de savoir ça, alors voilà, j’ai tout enlevé.
Ma femme avait tout planifié. — Tu aimes ? — Oui, bredouillai-je. — Tant mieux.
Elle posa ses genoux sur les accoudoirs et me plaqua la bouche contre mister minou. Je regardais ma femme se faire lécher la chatte pendant qu’un autre lui suçait les seins. Elle avait les yeux fermés de plaisir, caressant les cheveux d’Eric qui lui bouffait maintenant complètement le minou. Je voyais ses abdominaux se contracter sous les impulsions de plaisir que les caresses lui prodiguaient. Elle me regarda et sourit. — Oh, c’est bon, Eric, t’arrête pas, dit-elle. Enfonce bien ta langue.
C’est alors que je fus doucement secoué par Anne. — C’est de mon minou que tu dois t’occuper, les autres s’occupent du sien, ne t’en fais pas…
Je la regardai et pris ses fesses dans mes mains, l’obligeant à venir vers moi. Ma bouche entra en contact avec mister sexe lisse et doux. Elle mouillait déjà énormément. Ma langue entra dans sa cavité pour fouiller ses parois. Anne ne mit pas longtemps à gémir. — Oh, c’est bon !
Elle caressa mes cheveux de ses mains, ne me lâchant plus. Son goût était délicieux. Je n’arrivais pas à croire que je faisais un cunni à une amie alors que ma femme était assaillie par deux autres hommes.
Après quelques bonnes minutes du traitement que j’infligeais à Anne cette dernière eut des contractions, preuve que ma langue avait réalisé mister affaire.
Elle se recula et m’embrassa à pleine bouche, sa langue tournant autour de la mienne. Elle s’arrêta. — Eryn ne me mentait pas en disant que tu était doué de la langue. Désolée de t’avoir inondé le visage, mais tu aurais dû être moins consciencieux à la tâche.
Elle s’abaissa et m’embrassa le torse. Je vis à nouveau ma femme.
Eric était toujours en train de lui enfoncer ses doigts dans la chatte, tout en lui léchant le clito. Quant à Marc, il était debout, nu, ma femme devant lui, en train de lui administrer une de ces pipes dont elle avait le secret. Ce dernier lui tenait la tête, lui imprimant le rythme. Ce n’était pas vraiment elle qui lui faisait une fellation, mais plutôt lui qui lui baisait la bouche !. Je la voyais fermer les yeux sous la vulgarité des assauts donnés à sa bouche. Marc me regarda. — Elle suce divinement, bien ta femme, Pierre !
Eryn ouvrit les yeux et me regarda sans s’arrêter. Elle avait mister regard plongé dans le mien. Cela l’excitait encore plus, j’en étais persuadé. Elle ferma les yeux et s’activa sur la queue de Marc qu’elle enfonçait plus encore. Elle venait d’avoir mister premier orgasme.
Anne venait de baisser mon boxer. Ma queue en sortit tel un pantin de sa boîte. — Hum, je comprends mieux qu’elle arrive encore à s’amuser avec toi. Tu as une belle bite.
Je la regardais. Elle me branlait avec rapidité. Elle m’excitait. Puis elle s’arrêta et enfourna sans plus attendre ma queue, qu’elle engloutit. Sa langue caressait ma bite durcie d’excitation. Je lui pris la tête et l’obligeai à accélérer. Elle se mit à me branler en même temps. Elle suçait très bien. — T’aimes ma bite dans ta bouche ? lui demandai-je.
Elle hocha la tête. — T’arrête pas, alors !
Elle s’activa à nouveau pendant que mon attention repassait vers ma femme. Elle suçait cette fois-ci Eric, lui malaxant les couilles, la bouche remplie. Je pus voir que du sperme coulait de ses lèvres. Elle avait dû réussir à faire jouir Marc. Cela m’excita d’avantage. — Allez, suce-moi, salope ! Tu aimes ça, hein, la bourgeoise ?
Marc était derrière ma femme et caressait du bout de sa queue les fesses de ma femme. Il lui écarta les jambes et je le vis s’enfoncer doucement dans ma femme, jusqu’à la moitié, puis la remplir d’un coup. Elle sursauta en poussant un cri, elle se retourna et lui décrocha un sourire. — Elle est énorme, mon chéri, me dit-elle. Il me remplit bien, je peux te l’assurer.
Oh oui !! Marc tenait les hanches de ma femme et lui pilonnait la chatte sans retenue. — C’est bien chaud à l’intérieur, une sacré chienne, ta femme.
Elle remit Eric en bouche et s’activa sur lui. C’est alors que ce dernier lui tint la tête et se crispa. Cet inconnu que ma femme suçait venait de lui jouir tout mister foutre dans la bouche. Ma femme continuait de le sucer, avalant au fur et à mesure. — Tu aimes avaler, toi ! Je veux pas voir une seule goutte sur ma bite.
Elle s’activa à la lui lustrer. Lorsque ce fut fait, il s’allongea. Marc arrêta de besogner ma femme comme une bête. Elle s’avança vers Eric et lui prit la queue. Elle la dirigea vers sa chatte. Eric poussa un râle de plaisir. — Chéri, Marc va m’enculer. C’est la première fois pour moi, ne rate rien du spectacle…
Cela eut le don d’exciter Anne qui redoubla de vigueur sur ma queue.
Marc s’installa derrière ma femme et plaça sa queue devant mister petit trou. — Doucement, c’est la premi…!
Elle n’eut pas le temps de finir et poussa un cri. Ah !! Marc venait de lui rentrer sa queue dans le cul d’un seul coup. — Hum, ma queue est bien serrée là. Faut arranger ça.
Et il se mit à l’enculer sans répit, pendant qu’Eric prenait ma femme. Une double pénétration, rien ne pouvait faire plus plaisir à ma femme. Elle se décrispa et je vis qu’elle commençait à y prendre du plaisir. Elle serrait parfois les dents mais criait de plus en plus. Elle me regarda pendant qu’elle se faisait prendre par les deux orifices. Eric lui embrassait le cou et Marc lui tenait les cheveux d’une main, tout en lui pétrissant un sein de l’autre. Elle me souriait entre deux râles. — Oh oui !! ne vous arrêtez pas ! — C’est bon de sentir deux queues en toi ? lui demanda Marc. — Oui !! J’aime ça ! je suis votre chienne ce soir !!
Marc me regarda en souriant. Anne me suçait toujours. Je lui enfonçais la queue plus profondément sans m’en rendre compte. Elle ne broncha pas. — Allez-y plus fort ! — T’es une sacrée pute, tout de même ! — Oh oui ! Oui !!
Ma femme en redemandait à présent. Marc continuait de la prendre férocement, ses deux mains tenant ses hanches, lui enfonçant sa queue au plus profond.
Soudain Marc se raidit. Ma femme tourna la tête vers lui. — Oh vas-y inonde moi le cul !
Il ferma les yeux en tentant vainement de se retenir mais dut s’avouer vaincu par le plaisir qui l’envahit. — Oh !! c’est bon !! Continue !
Eric se raidit également. — Oh oui !!
Cette double éjaculation lui déclencha un orgasme. Ma femme s’activait sur ses deux partenaires. — Je jouis, mon amour, je jouis !!!!!!!!!! — Oh putain ! Que c’est bon ! s’exclama Eric.
Il se retira et je vis mister jus dégouliner de la chatte de ma femme. Marc se retira également.
Tout cela m’avait trop excité, tenant la tête d’Anne je lui éjaculais sans prévenir dans le fond de la gorge. Cette dernière s’activa encore plus à me sucer. Elle me regarda tout sourire et nettoya entièrement ma queue. — C’était bon, mon salaud ? — Divin ! — J’en suis heureuse.
Elle se releva et je l’embrassais et en même temps je lui caressais d’une main un sein et de l’autre la chatte complètement mouillée.
Ma femme restait allongée, complètement essoufflée par sa prestation, pendant que ses deux partenaires la caressaient doucement. — Pasmisters aux choses sérieuse, dit Anne.
Elle s’empala d’un coup sur ma queue qui n’avait pas perdu la forme. — Humm… c’est bon … tu es vraiment bien monté…
Elle commença à aller et venir. Je lui léchais les seins en la conduisant de mes mains. Elle était cambrée et mister corps était magnifique. Elle alternait entre la rapidité qui me conférait un plaisir soutenu, et des moments plus tendres, pour profiter de chaque millimètre qui se trouvait dans mister sexe. Elle m’embrassait, me caressait, puis s’arrêta d’un coup et se leva. J’ouvris les yeux et vis ma femme. Elle me regardait d’une air coquin. — J’espère que ça t’a plu de me voir comme ça ? — Je ne sais pas. — Anne t’a plu ? — Oui, elle sait y faire. — Mieux que moi ? — Tu es la meilleure suceuse de toute ma vie. — Merci. À eux deux il ont à peine réussi à t’égaler, mon amour. Je t’aime.
Elle me prit le sexe et l’enfourna d’un seul coup dans sa bouche. Sa langue me titillait, sa main me branlait avec rapidité. Ma femme me connaissait vraiment bien. — C’est bon de sentir le jus d’Anne. Humm, ça m’excite.
Je regardais Anne qui suçait Eric. Marc arriva derrière ma femme. — J’ai vraiment bien fait de venir. Moi qui voulais me faire ta femme depuis longtemps, c’est chose faite, alors autant en profiter.
Il dirigea sa queue vers la chatte de ma femme et la prit d’un coup. Ma femme s’arrêta un instant sous le coup de l’étonnement et du plaisir. Puis elle redoubla d’effort dans sa fellation, me regardant en souriant, pendant qu’elle se faisait prendre en levrette. Voir ma femme me sucer pendant qu’elle se faisait prendre était particulièrement excitant. — Oui, ma chérie, c’est bon.
Elle ressortit ma queue de sa bouche et, du bout de la langue, me titilla les testicules. — C’est bon, t’arrête pas, Marc !! Vas-y plus profond, allez !!
Ce dernier enfonça sa queue jusqu’au fond de l’intimité de ma femme et recommença. J’entendais mister ventre frapper contre les fesses de ma femme. Il y allait de plus en plus vite et de plus en plus fort. Mon Eryn avait le visage déformé de plaisir. — T’es vraiment une sacré baiseuse ! s’exclama Marc.
Anne revint alors vers nous avec Eric. Ma femme avait toujours ma queue dans la bouche lorsque celle d’Eric vint vers elle. Elle l’attrapa et se mit à la sucer également, puis alterna avec la mienne, pendant qu’Anne lui léchait les seins. Je me surpris à me demander si c’était la première fois qu’elle lui léchait les seins. Elle arrêta de sucer Eric et repoussa Marc pour venir s’empaler sur moi. Elle me regarda, m’embrassa à pleine bouche. Je lui caressais les seins. Elle fit venir les deux gars et les branla pendant que je lui tenais les hanches et la faisais aller et venir sur moi. J’eus un sursaut lorsque je sentis Anne me lécher les testicules à pleine langue, dérapant sur le sexe de ma femme. Elle alternait entre les deux sexes qui s’offraient à elle. À quelques centimètres de moi, ma femme suçait deux gars avec toute la hargne qu’elle pouvait y mettre, enfonçant leur queue jusqu’au fond de sa gorge. Eric lui éjacula en premier dans la bouche. Elle lui nettoya tant bien que mal la queue tout en branlant Marc, puis s’activa sur lui. Il ne mit pas longtemps à lui balancer plusieurs rasades de sperme. Il lui tint la tête des deux mains. — Oh oui, salope. Tu suces trop bien.
Il se retira. Anne vint devant ma femme et j’eus une vision magnifique de la pelle qu’elles se roulèrent en se caressant les seins. Ma femme partageait le sperme qu’elle venait de prendre dans la bouche. Anne avala copieusement. J’en profitais pour caresser le corps d’Anne, lui enfonçant quelques doigts. Cette dernière ne s’en offusqua pas et retint ma main lorsque je voulus m’en aller. Je lui triturais le bouton. Elle m’arrêta, et Eric prit le relais en la prenant en levrette pendant qu’elle suçait une nouvelle fois Marc. Ce denier resta allongé sur le sol à demi-bandé. — Mon chéri, c’est une soirée magnifique. Vas-y bien à fond.
J’étais tellement excité que je me levais, déposais ma femme sur le sol et la prenais d’un coup. Elle avait passé ses jambes autour de ma taille et je la pistonnais de plus en plus fort. — Oui ! oui ! oui ! Défonce-moi !! Je suis ta chienne, ce soir !! Baise-moi !!
Dans un ultime coup de butoir j’éjaculais dans la chatte de ma femme. J’eus l’impression que je n’arriverais pas à m’arrêter. Je continuais à la prendre. Ses seins ballottaient. Ils étaient magnifiques. Ma femme était magnifique. Je ralentis au bout d’une moment. Eryn me regardait, le sourire aux lèvres. Je m’écroulais. Elle me prit dans les bras et me caressa doucement. — Merci, mon amour, c’était vraiment superbe. Merci d’avoir laissé faire, c’est le plus beau cadeau que tu m’aies fait, je n’oublierai jamais. — C’était ton fantasme. — Oui, et maintenant que je l’ai réalisé, je vais pouvoir passer au suivant. — Lequel ? — Te faire l’amour tout une nuit avec Anne. Rien que nous deux pour s’occuper de toi. — Je dis pas non. — Mais avant je vais continuer d’en profiter avec Marc et Eric…
Elle se leva et alla embrasser Marc. — Vous venez, les gars, nous allons terminer la nuit tous les trois dans la chambre…
Eric arrêta de limer Anne, et Marc se leva. Ils montèrent tous les trois dans la chambre. Marc me regarda en souriant pendant qu’il triturait le cul de ma femme.
Anne vint vers moi me remit en forme en me suçant. Je ne pensais pas réussir à rebander à nouveau, mais j’étais tellement excité par cette soirée que je me découvris des powers insoupçonnées. Anne s’empala doucement. Je sentais sa chatte humide. Elle se pencha vers moi pour m’embrasser. Sa langue fouilla entièrement ma bouche. À ce moment j’entendis ma femme crier très fort. J’avais l’impression qu’elle s’était retenue devant moi. — Oh oui, encule ta salope ! l’entendis-je hurler. — J’ai l’impression qu’il y en a une qui en prend pour mister compte.
Je la regardais droit dans les yeux et la repoussais d’un coup, la forçant à se mettre à genoux. Je lui plaçais ma queue sur mister œillet. — Doucement !
Comme Marc avec ma femme, je pénétrais le cul d’Anne d’un coup. Elle cria, puis laissa retomber sa tête contre le sol. Je commençais à lui pénétrer mister petit trou au maximum pendant que j’entendais ma femme hurler mister plaisir de se faire prendre par derrière.
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