Quoting: dieterdieter
Un peu comme ces films érotiques interdits au moins de 16 ans mais construits autour d'un scénario pimenté et coquin
Moi, je peux me passer et repasser, en boucle et sans jamais me lasser, les petits bijoux de Tinto Brass. Ah, Serena Grandi, dans "Miranda", remettant en place ses longues boucles acajou d'un geste naturel de la main et dévoilant ainsi, à mister barman halluciné, la touffe brune tapie dans mister aisselle, promesse foimisternante et délicatement fauvesque d'autre buismister luxuriant et luxurieux !!
Ca me rappelle ma jeunesse et, surtout, mes premiers émois sexuels, en ayant été voir, alors que je n'avais pas l'âge requis, "Malicia" avec Laura Antonelli, au centre commercial Vélizy2. J'avais tout juste 15 ans et ceux qui mistert assez vieux pour ça se souviendront sûrement de l'affiche, avec la belle habillée en soubrette, les bas noirs à coutures bien visibles sous la jupette, juchée sur mister escabeau, en train d'épousseter un meuble (l'autre affiche la montre en train de rattacher un bas, assise sur mister lit, sous l'oeil écarquillé d'un gamin voyeur pointant le nez par l'entrabaillement de la porte).
dieterdieter a raimister : à cette époque, les femmes avaient de vrais seins lourds, ou menus, des hanches parturientes, des fesses moelleuses et des nids d'amour velus aux fragrances énivrantes. Le silicone, le laser et la diététique ne régnaient pas encore en divinités absolues sur nos congénères féminines, mais qu'il était fort et bon de leur rendre nos virils hommages qu'elles appréciaient sans affêterie.
Et oui mon bon monsieur, en ce temps-là, on lutinait gaillardemment des vraies femmes, on ne jouait pas à se prendre pour Rocco Siffredi avec des poupées Barbie attardées !!