beur40ans
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voila je ne sais pas si cela à deja été fait mais je poste des histoires que je trouve bandante trouvé sur le net.
Récit de Claude. Je me rappelle une histoire qui nous est arrivée voici environ 25 ans. A l’époque dans notre région il y avait une coutume concernant la caserne militaire de notre sous-préfecture, les nouvelles recrues après les trois mois de classe étaient accueillies dans un village des alentours et pris en charge par les habitants pendant un week-end. C’était pour renpowerr la cohésion de l’armée avec la population bien mise à mal après les événements de mai 68. Nous habitions dans cette petite ville et notre rôle consistait à héberger une recrue le soir du samedi (dîner et coucher) le conduire au défilé du dimanche matin et de participer à la sauterie d’après la prestation militaire. Ma femme appartenant au conseil municipal a été mise à contribution car si le nombre des habitants souhaitant héberger les soldats (école de sous-officiers) était suffisant il en restait quand même quelques-uns uns difficile à caser. — Eh Claude (c’est moi 28 ans à l’époque) ! On me propose un jeune soldat, un invité du Bénin, car l’école dans le cadre de la coopération franco-africaine avait quelques sous-officiers étrangers. — Tu sais Françoise (mon épouse 25 ans ) je ne suis pas raciste mais tu n’as pas mieux ? . — Il s’appelle Mohamed N’Gour. — D’accord et en plus il est arabe !
Disposant d’une chambre d’amis dans mes combles nous avons accepté. Ce week-end est arrivé. Le samedi en fin d’après midi les soldats mistert arrivés et autour d’un pot offert par la mairie et après pas mal de discours les recrues ont été présentées et remises aux familles d’accueil. C’est là que nous avons vu arriver un grand noir et même bien noir qui avec mister grand sourire m’a fait penser à une pub Banania, il devait bien faire deux mètres. Arrivés à la maimister, l’installation fut rapide et nous nous sommes retrouvés dans le salon pour l’apéritif. Les discussions étaient d’une grande banalité, mais peut être à cause de la chaleur de ce mois de juin et aussi très certainement aux nombreux punchs bien frais, sauf Mohamed car sa religion lui interdisait, le contact entre nous a bien pris et les rires ont pris le dessus. Au repas notre principal sujet de conversation était la vie courante dans mister petit pays (le Bénin), les coutumes et les habitudes de ses habitants. Puis nous avons dévié sur la religion et on lui demande comment il la vit, si les contraintes ne lui pèsent pas trop. Pour lui la non-prise d’alcool ne lui fait rien mais mister plus gros problème était les femmes, car si la femme du voisin est sacrée, les jeunes filles doivent rester vierges jusqu’au mariage sous peine de ne jamais trouver de mari. Mais selon lui faire l’amour avec une femme blanche n’était pas un péché car n’étant pas musulmane il pouvait y aller. Françoise de plus en plus rouge lui posa des questions beaucoup plus précises sur la sexualité féminine noire. La polygamie est très répandue, environ 3 à 4 femmes par homme, celui-ci ne pouvant pas honorer souvent leurs femmes, elles doivent pour pouvoir assouvir leurs fantasmes sexuels avoir recours assez souvent à des moyens artificiels. L’artisanat local est beaucoup inventif pour elles ; des godemichés en bois exotiques de formes diverses ou des objets dont le seul usage n’est que de donner du plaisir. Je voyais Françoise de plus en plus cramoisie, ses pupilles dilatées et la bouche ouverte. Elle buvait ses paroles et je sentais en elle de plus en plus d’attention surtout quand il se mit à parler des décoctions d’herbes, de fleurs ou de feuilles dont les femmes ou jeunes filles se passent sur les parties les plus sensibles de leur corps pour accéder au plaisir suprême. D’ailleurs si vous voulez voir ce que c’est, j’ai une boite avec moi que je dois transmettre à une cousine de Paris et à qui je dois lui apporter tout de suite après notre week-end. — Oui dit doucement Françoise dans un souffle.
Mohamed monta dans sa chambre, je vis ma femme se masser le bas ventre je n’en revenais pas elle si discrète d’habitude, quand il revint il nous montra une jolie boite en bois rouge d’environ 30 cm de long et 10 de haut. Il l’ouvrit, elle se sépara en deux, le couvercle était rempli de petites étagères où se trouva d’innombrables petites fioles de toutes les couleurs et de diverses contenances. Dans le bas était disposés des objets en bois que nous pouvions deviner facilement l’utilisation, des godemichés de différentes tailles surtout un très gros tout en bois sculpté même avec les veines apparentes et le gland très suggestif. Il le prit, le donna à Françoise qui après un mouvement de recul le soupesa et eu un sourire radieux. — Oh la la ! si tous tes compatriotes mistert de cet acabit je plains (ou j’envie) vos femmes — Pour la comparaimister pas de problèmes lui dit Mohamed.
Ce dialogue me parut surréaliste ma femme si réservée, elle qui ne veut faire l’amour que dans le noir ou la pénombre. Il sortit un flacon, prit un peu du contenu sur le doigt (une sorte de crème) le tendit à Françoise — Gouttez !
Devant mister hésitation il en prit sur le bout de sa langue — Vous voyez ce n’est pas un poimister !
Elle consentit à en prendre un peu sur le bout des lèvres. — Mais ça pique, c’est du piment ? — C’est un mélange de plantes préparé par les femmes du village, directement de la productrice à la consommatrice, elles se le mettent aux endroits sensibles plus particulièrement sur le bout du sein, sur le clitoris ou autour du sexe. Vous voulez essayer ?
Elle devint toute rouge. Elle ne s’était déshabillée que devant mister docteur ou devant moi. — Bon je veux bien essayer sur les seins (car pratiquant les seins nus à la plage elle avait moins d’appréhensions à se dévêtir devant un inconnu). Mais je veux que se soit Claude qui me la passe.
Elle s’assit sur une chaise, se tourna vers moi et se débarrassa de mister corsage et de mister soutien-gorge. Ses beaux seins apparus les bouts très gros et rouges démontraient l’état d’excitation de ma femme. Mohamed me tendit le flacon. Je pris de la crème dans le fond de ma main et comme on passe de la pommade sur un corps je massais délicatement ses seins sur le pourtour en passant sur le bout et remalaxant en rond en revenant toujours sur les bouts qui durcissaient de plus en plus. La crème dut faire mister effet car je la voyais respirer de façon pas très normale, elle fermait les yeux et poussait des soupirs d’aise. — Ça brûle dit-elle c’est sensationnel cela parcourt tout mon corps du bout du sein au plus profond de moi.
Mohamed me fit placer derrière Françoise. — Continuez !
Il se plaçât devant elle, mit ses paumes de main sur ses genoux et remonta doucement le long des cuisses. Ma femme eut un sursaut et tout de suite resserra les jambes. — Laissez moi faire, se serait dommage de vous priver de sensations inoubliables.
Je ne voyais que sa tête, placée comme je l’étais situé mais j’ai tout de même aperçu ses mains qui remontaient en me penchant un peu et en regardant comme un voyeur. Françoise écartait maintenant les cuisses, arrivé sur la culotte il la prit à la taille et commença à la descendre, elle se souleva pour en faciliter la chute, ce qui prouve bien sa complète soumission. La culotte au bas des chevilles il lui souleva le pied pour la dégager, il avait la figure au niveau de mister sexe, il retroussa aussi sa jupe d’été ample puis avec aussi un geste précis il la fit passer par la tête. Mon épouse se retrouva toute nue. Elle était complètement aux exigences des deux hommes, moi qui lui massait toujours les seins avec des approches sur mister petit ventre plat, Mohamed reprit de la crème sur le bout du doigt lui entrouvrit les lèvres intimes et mit sa crème sur les lèvres et sur le pourtour du clitoris, elle eut un sursaut puis se calma en poussant des petits cris, j’ai un drôle de sentiment en le voyant faire je bandais à mort. Mais quand j’ai vu ses grands doigts reprendre de la pommade et lui rentrer profondément dans mister vagin j’ai compris que j’étais devenu un voyeur pas encore cocu mais content. Françoise se tendit comme un arc et se mit à crier comme je ne l’avais jamais entendu. Nous l’avons prise puis posée sur la peau de bête qui était située en face de la cheminée bien sur éteinte en cette nuit d’été. Elle se mit en position recroquevillée en se massant le corps, les seins mister ventre en marmonnant des paroles incompréhensibles, puis au bout d’au moins 5 minutes que nous avons passé à la regarder elle se releva. — Je n’ai jamais connu cela, j’ai eu au moins une dizaine d’orgasmes et tout mon corps en tremble encore, ton produit est vraiment phénoménal. Je suis trempée, elle mit un doigt dans mister vagin puis le sentit. Je suis crevée.
Elle s’assit en tailleur les jambes bien écartées le sexe en contact avec la peau de bête, toutes inhibitions enlevées. — Bon ! Qu’est ce que tu me propose maintenant ? dit-elle — Elle en veut encore dit Mohamed et bien tu va en avoir !
Tiens ils se tutoient maintenant ? Et moi je bandais toujours. Je lui aurais bien fait l’amour mais je n’étais pas encore prêt aux partouzes. Mohamed se leva, la prit aux épaules et la coucha sur le dos. Il prit un coussin lui passa sous ses fesses ce qui eu pour effet de soulever mister sexe, il lui écarta les cuisses puis prit sa toimister intime toute trempée à la main. — Quelle forêt ! Pour que la lotion aille plus profondément il faut que tout ça soit rasé !
Il prit dans sa boite une autre petite poche, elle contenait des ustensiles de coiffeur. Il me demanda une serviette pour lui passer sous les fesses, puis prenant la toimister à pleine main il la coupa avec mister ciseau, les boucles tombant par terre. Françoise ne disait plus rien elle fermait les yeux et écartait les cuisses au maximum. Il riait et de temps en temps introduisait ses doigts dans mister intimité ou sur le clito. Le plus gros de sa touffe étant partie, il sortit un rasoir comme on en voyait avant chez le barbier, l’aiguisa sur mister affûtoir, puis de sa main gauche saisie ses lèvres intimes, tira dessus pour ne pas les blesser par la lame acérée et commença mister rasage très lentement sur tout le tour du sexe. En dix minutes le résultat était saisissant, un sexe tout poli faisait place à la forêt plutôt disgracieuse d’auparavant, mais ce qui me parût énorme c’était mister clitoris très rouge, proéminent qui se dégageait, peut être que cela était normal ou alors ses orgasmes consécutifs l’avaient développé. Il sortit de sa boite un autre flacon, avec une autre pommade de couleur rose et lui en passa sur les traces du rasoir. C’est du suif de singe, un singe commun dans notre pays qui se distingue par ses pratiques sexuelles continuelles, tu va voir sur le coup cela apaise leu feu du rasoir et après c’est un autre feu qui le remplace, beaucoup plus intime. Il continua à la pommader, lui en passant maintenant dans le sexe, sur le clito, dans le vagin et même sous mes yeux complètement ahuris, il tourna autour de l’anus qui se resserra de lui-même car elle était vierge de ce côté là. Il reprit de la potion se remit sur mister œillet rose avec l’index il la pénétra d’un seul coup, elle sursauta, il me dit de la maintenir de lui triturer les seins ce que je fis sur-le-champ. Il avait l’index planté dans mister cul et le pouce et un ou deux autres doigts dans mister vagin ou sur mister clito, il bougeait sa main dans tous les sens. Elle ne savait plus où elle était, elle recommençait à pousser des cris, elle bougeait beaucoup. — Cela lui fait de l’effet dit Mohamed et tu n’as encore pas fini.
Il saisit dans sa boite le gros godemiché que nous avions vu au début de la soirée, mit au milieu du faux membre en ébène une bague de poil de bête, l’enduisit de la pommade et lui introduisit tout doucement dans le vagin. Elle se mit à crier, pas des cris de douleur mais des cris de jouissance extrême, je compris l’utilité de la bague à chaque mouvement de pénétration en même temps que le godemiché buttait au fond du vagin la bague aux poils drus se frottait sur le clitoris, l’excitait encore plus. Il laissa le gros god en place au fond de ses entrailles, la retourna avec mon aide sur le ventre toujours avec le coussin sous mister ventre. Françoise prit elle-même le god et le tourna dans mister intimité en poussant des cris de plus en plus aigus. Pendant qu’elle se donnait du plaisir il prit un autre petit godemiché, mit une autre crème dessus et l’introduisit doucement dans l’anus de ma femme, cela donnait une image très cochonne de la situation, Françoise arracha le gros god se pinça se tritura le clito pendant que Mohamed faisait du va-et-vient dans mister cul. Je ne tenais plus, mon sexe était énorme et d’un seul coup je me suis mis à décharger tout seul. Ma femme eut des gestes brusques, des propos incohérents puis se détendit se mit en chien de fusil et semblait dormir. Tu sais me dit Mohamed, avec le traitement que je viens de lui faire subir elle peu très bien avoir au moins une vingtaine d’orgasmes consécutifs, il ne faut pas lui faire cela tous les jours. Emportons la dans mister lit. Elle ne bougeait plus, mister souffle étant lent comme pour un dormeur et avec un sourire radieux sur ses lèvres. Elle n’eut aucun geste et quand on la posa sur le lit, elle se remit en chien de fusil. — Tu permets me dit-il ?
Je ne voyais pas comment lui dire non. Il se déshabilla, je vis alors mister sexe noir au bout rose, pas très gros mais très long. Il se mit derrière ma femme toujours couchée sur le côté, il mit mister sexe dressé entre ses fesses et lentement il l’introduit dans mister sexe. — Elle est trempée ce ne sera pas trop dur à la pénétrer.
Il bougeait à peine, Françoise ne disait rien, il la limait consciencieusement, il la ceintura et avec ses doigts longs et calleux lui pinçait les seins lui caressait le ventre le clito. Il se masturbait plus qu’il ne lui donnait du plaisir. Toute cette initiation a du lui aussi l’exciter, il se cabra et se mit à décharger dans mister sexe profondément. Il se leva, me dit bonsoir et à demain et se rendit dans sa chambre me laissant seul désemparé. Je me couchai mon sexe encore démesuré, je pris la place de Mohamed derrière ma femme. Elle était vraiment inondée par ses effluves permisternels d’abord mais aussi par le sperme du soldat, je mis mon sexe dans mister vagin mes bras autour de mister corps le bout des seins était très durs et à mon contact ils frémissaient encore et en demandaient toujours. Je ne bougeais pas dans mister ventre sinon dans l’état d’excitation que j’étais, je déchargerais tout de suite, mais ce fut elle qui se mit à onduler du bassin mon gland enfoui tout au fond se trouva malaxé par le col de l’utérus. Mon sexe se mit à gicler de longs jets puissants, je croyais que cela n’allait s’arrêter, je trempais dans toutes sortes de liquides, je pris une serviette dans l’armoire pour éponger, me recouchai. Elle se retourna me posa un petit baiser au coin de lèvres. — Merci mon chéri
Et nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre crevés mais heureux. Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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catpat77
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jolie recit a quand la suite..........
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chrislebo
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#3 · Edited by: chrislebo
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Attention avec les droits d'auteurs !!!!!!!!
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beur40ans
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Suite de MOHAMED La lumière du jour commençait à percer au travers des volets, la chaleur de ce mois de juin se faisait déjà sentir. Je m’étirais dans mon lit, Claude à mes côtés se réveillait doucement. — Oh ! Comme j’ai bien dormi, j’ai fait un rêve érotique merveilleux, si tu savais.
Je pris la main de Claude et je la posais sur mon sein — Allons caresses-moi, mon rêve m’a tout émoustillée.
Pendant qu’il pinçait le bout et malaxait mon sein, je passais ma main sur mon sexe. Je bondis et m’assis dans le lit, ma toimister disparue, mon clitoris endolori et raide, toute la nuit m’apparut en un éclair. — Qu’ai-je fais ? Mohamed, la boite, les godemichés tout cela remontaient à mon souvenir. — Rien de bien méchant ! Tu as eu du plaisir tout simplement.
A ce moment Mohamed apparut sur le pas de la porte vêtu seulement d’un joli caleçon à fleurs. — Bonjour ! Vous avez bien dormi ?
Le voyant, je pris le drap et je me suis couverte les seins. Je ne me souvenais pas bien de mister rôle dans cette histoire. Jeune mariée (environ 5 ans) je n’avais jamais trompé mon mari et les aventures extra-conjugales ne me tentaient guère. Il rentra dans la chambre et il s’assit au bord du lit de mon côté. J’eus un mouvement de surprise et de recul, mais qu’ai-je fais cette nuit pour qu’il agisse de la sorte ? — Ne craint rien me dit Claude, Mohamed a été très charmant et gentil avec toi hier soir.
Claude prit le drap et l’abaissa lentement jusqu’aux chevilles. Je ne pus résister, l’acceptation de Claude et mon absence de réaction m’avait complètement anéantie. Mohamed tirait aussi sur le drap de mister côté. Un sentiment bizarre m’envahit, Claude allongé à ma droite prit le bout de mon sein droit dans la bouche et se mit à le sucer, Mohamed de mister côté s’allongea sur ma gauche et suça lui aussi mon sein gauche. Leurs mains me caressaient et rejoignaient même autour de mon clitoris, je fermai les yeux pour un réveil agréable j’étais servie, moi qui appréciais faire l’amour surtout le matin car je sentais plus détendue et réceptive. Je sentais des doigts qui m’envahissaient le vagin, qui tournaient autour de clito, qui le pinçaient pour l’exciter, et bien sûr mes seins toujours sucés. Mohamed quitta mister caleçon, mes mains allaient au-devant de mister sexe, je le pris au creux de ma main, le ceintura et le remontais doucement jusqu’au gland. Dans ma tête je m’amusais à une comparaimister avec celui de Claude, d’ailleurs je lui pris aussi mister sexe dans ma main disponible, celui de mon mari était de la même grosseur, ils bandaient tous les deux, mais celui de Mohamed était au moins deux fois plus long, j’exagère à peine, j’ai eu une décharge électrique dans mon ventre rien qu’à l’idée de sentir de sexe énorme dans le plus profond de moi. Le travail de mes deux hommes commençait à me faire de l’effet, tout mon corps était alangui, je sentis des picotements dans mon sexe, j’avais honte, ce sera mon premier amant et noir en plus, mais puisque Claude est d’accord ! Je me tournai vers Mohamed, pris mister sexe longiligne dans la main et passai le gland sur mes lèvres pour exciter le clito, après cinq au six passages sur celui-ci il était devenu très gros. Puis je m’introduis le bout de gland dans mon vagin et je me suis mis à pousser fortement du bassin pour l’engloutir en entier. Sentir mister sexe butter au fond de mon ventre et taper sur le col de l’utérus m’a fait avoir un orgasme instantané, je mouillais profondément.
Mohamed ainsi emmanché me retourna sur le dos et je vis ce grand noir au-dessus de moi qui me limait consciencieusement, je posai mes mains sur mister torse, le caressai, lui titillai le bout des seins. Claude mister côté aspirait toujours de sa bouche mon mamelon. J’étais bien, mon baiseur poussait des ah ah en cognant au fond de ma grotte. C’était et c’est toujours la meilleure façon de me faire jouir, car je suis beaucoup plus vaginale que clitoridienne. Son gland s’immobilisa au fond du vagin, il tournoya autour du col pendant quelques instants sans ressortir, je le sentis grossir et de puissantes giclées de sperme m’inonda, j’eus encore des éblouissements et je sentis de petits et d’innombrables orgasmes me submerger, mon corps en entier se mit à trembler. Il se retira et se coucha sur le dos le sexe dégoulinant de mon foutre et du sien encore droit, je me tourna le pris dans ma main. — Merci ! Mon joli sexe noir au bout rose et je me mis à l’embrasser, j’étais devenue folle je n’avais jamais fait une chose pareille à mon mari. Je pris le gland dans ma bouche et l’essuya du bout de la langue, cela avait un goût bizarre mais pas répugnant.
Je sentis Claude derrière moi remplacer Mohamed dans mon vagin, il poussait des cris en tapant lui aussi, et c’est à ce moment que j’ai fait intérieurement la comparaimister entre mes deux baiseurs. Claude me remplissait moins bien mais cognait plus sur mes lèvres ou mon clito qu’au fond du vagin, alors que Mohamed buttait toujours sur mon col, la comparaimister ne plaidait en faveur de mon mari mais je l’aimais n’est pas cela l’essentiel ? Mon mari presque aussitôt éjacula, je ne ressentis rien mais je me trémoussai pour lui faire comprendre que j’avais eu aussi du plaisir. Il resta dans mon sexe un moment, le foutre coulait entre mes cuisses, quel mélange : du sperme africain, du sperme français et toutes mes sécrétions intimes. Je suçais toujours le gland de Mohamed j’essayais de le rentrer plus profondément dans ma gorge mais j’avais le haut le cœur, je ressentis dans sa tige des frémissements. Je me suis levée dans seul coup. — Allez bande de fainéants il faut se lever le colonel vous attend pour le défilé !
Je suis partie prendre une douche bien méritée pendant que les hommes montaient au 1er étage où Claude en avait fait une deuxième salle de bains à côté des chambres de nos futurs enfants. Mon entrejambe me faisait un peu mal et l’eau de la douche me faisait du bien. À ma sortie seulement enveloppée d’une courte serviette qui m’arrivait au bas des fesses je croise Mohamed habillé en militaire prêt pour la revue. Il avait au bout du bras sa mallette érotique, visiblement il m’attendait. — Que veux-tu ? — Je vais réparer les dégâts de la nuit et de ce matin. — ?
Il me prit par la main et me hissa sur le bout de la table de la cuisine, il défit la serviette de bain et m’écarta les cuisses, je le laissais faire. Qu’allait-il encore inventer ? Il pris de la pommade dans un de ses flacons et me badigeonna le sexe sans oublier le clitoris qui était encore très sensible. — C’est du suif d’hippopotame reconnu pour ses vertus cicatrisantes et relaxantes.
Puis dans sa mallette il retira un objet oblong en forme d’œuf avec une ficelle qui partait de la grande base. Il le mit au bord du vagin et le fit rentrer entièrement en moi comme on fait pour un suppositoire. J’étais assez surprise, l’objet remonta à fond et se colla au plus profond de moi. — Et maintenant saute de la table un grand coup !
Je fis comme il me dit et tout de suite mes entrailles se mistert mises à tressaillir, cela cognait sur les parois du vagin c’était une situation très agréable. — C’est un œuf en bois creusé à l’intérieur duquel il y a de nombreuses billes en bois de différentes grosseurs et à chaque mouvement violent ou saut que tu fais ces billes viennent cogner les fines parois de l’œuf, c’est très prisé par les femmes de chez nous car elles se donnent du plaisir n’importe ou même dans la rue, au bureau et même en famille.
Je pris la serviette sous le bras et en sautant j’ai rejoins ma chambre où Claude finissait de s’habiller. Je ne lui dis rien sur la présence d’un objet étranger dans mon corps, il crut que ma joie présente était due à mon réveil en fanfare. Il quitta la chambre me dit à tout à l’heure pour le repas et m’embrassa sans s’apercevoir du bout de ficelle qui dépassait de moi. Seule dans la chambre je m’assois sur le bord du lit et je regarde cette ficelle, je la prends et tire dessus, l’œuf descend et arrivé presque dehors je la lâche ce qui eu pour effet de propulser l’objet en avant du fait de sa forme et de cogner violemment sur le col de l’utérus. — Super !
Je me suis habillée, mis de jolis dessous et une petite robe d’été à boutonnage devant, me suis installée dans le rocking-chair du salon et après quelques oscillations ce fut génial. Depuis quelques jours ou quelques semaines je ne comprends plus ce qui se passe, je suis prise d’une fringale sexuelle, hésitant à demander à Claude tout le temps de me satisfaire, je me suis remis à la masturbation, pratique que j’avais presque entièrement arrêté depuis mon mariage. Aussi les ustensiles de notre visiteur me conviennent parfaitement, et comme j’ai rendez-vous avec mon gynécologue la semaine prochaine je lui poserais la question. — Déjà midi ! Vite à la salle des fêtes pour le repas organisé par la mairie après le défilé militaire.
Le repas se passe dans notre salle des fêtes et se déroule sous forme de buffet où les permisternes se servent et vont s’asseoir autour de grandes tables posées sur des tréteaux. Je vis Claude parler avec le maire et des militaires, vieux souvenirs du service peut-être. Je sentis une main inquisitrice sur mes fesses, dans la cohue cela ne se voyait pas, je me retourne et je vois bien sur notre soldat tout souriant accompagné par un autre soldat tout aussi noir que lui mais nettement moins grand mais plus trapu. — Je vous présente Selim, un compatriote africain du Togo. — Enchanté lui dis-je en lui tendant la main. Il avait une poignée de main bizarre plutôt caressante qu’amicale. Qu’est-ce que Mohamed lui a dit ?
Après l’apéritif tout le monde a été s’asseoir et je me suis retrouvée coincée contre le mur de la salle entre les deux copains, Claude et d’autres permisternes en face de nous. Au cours du repas Mohamed tout en parlant avec d’autres permisternes en face ou à côté, passa sa main gauche en dessous de la table posa ma main directement sur mon pubis et délicatement déboutonna ma robe a cet endroit et commença avec ses doigts agiles de lents travaux d’approche sur mon clitoris et mon sexe. Je n’osais pas réagir car en plus cela ne se voyait absolument pas. Je parlais avec Claude, le maire ou des officiers pendant ce temps là, à certains moments ma voix n’était plus aussi limpide mais on pouvait le mettre sur le compte de l’alcool. Puis j’ai senti sur ma gauche une autre main qui se rejoignait avec l’autre qui se promenait sur mon slip tout trempé, instinctivement j’ai resserré les cuisses, Mohamed inséra sa main et me força à les rouvrir, je regardais Selim qui innocemment tout en parlant à mon mari me caressa aussi et en passant ses doigts sous l’élastique de ma culotte grattait à l’entrée de sexe mouillé. J’ai eu un réflexe instinctif, buvant un verre de vin rouge je l’ai laissé tomber et le pauvre Selim même en faisant un bond en arrière en reçu une bonne partie sur mister pantalon et sa chemise. — Oh ! Excusez-moi lui dis-je confuse je vais essayer de le nettoyer, venez avec moi, j’ai vu un robinet pas très loin.
Je me suis levée en prenant soin de rattacher ma robe et j’ai conduit à l’écart, avec une serviette et de l’eau j’ai épongé ou plutôt essayé de réparer ma bévue. Mais plus je frottais plus cela s’étalait, en désespoir de cause puisque j’étais responsable et même si Selim le méritait un peu je ne pouvais pas le laisser dans un état pareil. Le repas était presque terminé et les doublettes se formaient pour jouer à la pétanque, Claude avait déjà les boules en main. — Il faut que j’aille à la maimister pour lui laver ses affaires il ne peut pas repartir comme cela. — Vas-y, ils ne partent que dans cinq heures tu as tout le temps pour le laver et le sécher.
Je pars vers la voiture accompagnée de Selim et à ce moment la Mohamed nous rejoint — Je vais chercher mon sac cela fera un voyage en moins. — D’accord ! Mais en voyant mister sourire j’ai eu une drôle d’impression.
Arrivés à la maimister je fais déshabiller Selim. Il se retrouva torse nu et seulement vêtu d’un slip genre kangourou, je ne pus m’empêcher d’admirer ses pectoraux et cette boule qui gonflait mister slip. Les deux copains tournaient autour de moi, me caressaient les fesses, frôlaient mes seins. — Arrêtez, les habits ne seront jamais prêts. Allez m’attendre dans le salon.
La petite lessive faite, je mis ses affaires dans mon sèche-linge, dans une heure se sera sec. Remontée dans le salon je ne les vis pas, entendant des bruits du 1er étage je leur demande s’ils n’ont besoin de rien, à boire ou autre service. — Viens ! Me dit Mohamed j’ai un problème avec mon sac.
Arrivée sur le pas de la porte, je me suis arrêtée ébahie, dans cette pièce des combles mon mari n’avait pas encore fini de la faire et pour la visite de notre invité il l’avait arrangée, nettoyée et installé un grand matelas pour faire office de lit d’appoint, et sur ce matelas les deux garçons nus comme des vers étaient allongés sur le dos leur sexe à la main. Je ne répondis pas, mes yeux éberlués allaient d’un corps à l’autre, d’un sexe à l’autre, d’un visage à l’autre aussi souriants et ravis de me faire une bonne blague. Devant mon absence de réaction, extérieure mais pas intérieure car je mouillais beaucoup, ils se mistert levés, ils ont enlevé ma ceinture déboutonnée ma robe dégrafée mon soutien-gorge et baissé ma petite culotte. Je me suis laissée faire, je n’avais aucune réaction, j’étais dans un autre monde. Me prenant par la main, ils m’ont couchée sur le lit entre les deux lascars. Ils me caressaient partout, prenant chacun un sein dans la bouche ils me suçaient divinement. Selim partit à la recherche de mon corps avec ses lèvres, elles descendaient doucement sur mon nombril et en passant mit la pointe de sa langue à l’intérieur. Descendant toujours plus il embrassa mon ventre puis toujours plus bas arriva sur mon pubis rasé, je desserre les cuisses je sens sa chevelure bouclée à l’intérieur de mes cuisses. Il se met maintenant à genoux entre mes jambes, m’attire, m’installe sur lui et en mettant ses mains sous les fesses me positionne à sa hauteur mister visage sur mon sexe d’où la ficelle dépasse toujours il l’a prend dans ses dents et s’amuse à tirer et à la lâcher, j’entends encore mister rire mais si j’étais honteuse j’avais un plaisir énorme. Il la tira doucement et l’œuf ressorti doucement en faisant un bruit d’une bouteille que l’on débouche. Flop ! — À notre santé !
Mohamed la bouche sur un sein la main sur l’autre ou sur mon ventre ou mon clito, faisait aussi mister travail de sape. Selim ayant libéré mon vagin de cet objet merveilleux aspira avec sa bouche mes lèvres et du bout de sa langue titilla mon clitoris ou essaya d’aller le plus profondément de mon corps, j’ai eu des sensations très fortes et un orgasme fulgurant me traversa. Un torrent dévalait de mon sexe. — Qu’est ce qu’elle mouille, c’est une vraie fontaine !
Il me reposa et je vis mister membre énorme, je le pris dans la main je ne faisais même pas le tour, avec mes doigts, elle est très grosse pas très longue mais une circonférence inouïe. Jamais elle ne va rentrer ! Je pris mister gland le positionna à l’entrée de ma grotte et d’une seule poussée mister membre a été aspiré, humide comme j’étais cela n’a pas posé trop de problèmes, j’ai eu une sensation divine de remplissage toutes les parois intimes mistert en contact avec mister sexe, il va m’éclater, il me laboura en ahanant, je sentais beaucoup mister gland promeneur dans mes entrailles. À grands coups de rein il pistonnait fort à chaque poussée mister bas ventre claquait sur mon pubis, ses poils aussi bouclés que sa chevelure et drus chatouillaient mon clito et me procuraient des sensations agréables je sentais le plaisir arriver encore. Tiens me voilà devenue clitoridienne maintenant ? Les mouvements de Selim se ralentissaient, mister gland se mit à grossir et mister membre à plusieurs reprises gicla dans mon vagin, je fus pris de tremblements et l’orgasme ou plutôt plusieurs orgasmes m’ont traversé. Il ne retira pas mister sexe était aussi gros. Tiens les noirs ne débandent pas après l’amour ? J’étais aux anges jamais plaisir ne fut plus intense, toujours ma fringale sexuelle ? Il s’en alla quand même et Mohamed repris le relais. Sans préambule mais y en avait-il besoin ? Il me retourna me mit en position de chien de fusil (position que j’affectionne d’habitude avec mon mari car on gagne 3 centimètres par derrière, il paraît) et il me transperça, quelle différence entre les deux hommes je pouvais faire la comparaimister, Mohamed très long et Selim très gros, qu’est ce que je préfère ? Tous ont leur charme, depuis ce matin j’ai pu tester trois mâles et aucun n’est pareil ! C’est beau la diversité humaine. Il me pistonna et buttait toujours au fond de ma grotte, c’est divin. Il se retira, pourquoi ? J’allais le comprendre. Il pris le sperme de Selim et de ma mouille qui sortait de mon vagin avec sa main et me badigeonna mon sexe qui n’en avait pas besoin trempé comme il l’était et remonta dans le sillon fessier et s’arrêtant mister mon petit œillet rose, j’étais vierge de ce côté, mister index tournoya autour le mouilla et s’engouffra dans mon cul. Claude ne me l’avait jamais fait, pas parce qu’il ne voulait pas il avait déjà essayé mais j’avais toujours refusé, mon éducation chrétienne peut-être ? Son doigt tournait dans mon cul, je me suis cabré, mais Selim de l’autre côté me tenait plaquée contre mister ventre et ses bras autour de mon corps bloquaient mes bras, il inséra sa jambe entre mes cuisses pour les maintenir écartées, j’étais primisternière de ces deux noirs. Mohamed faisait la navette entre mon sexe et mon cul pour le mouiller encore et à chaque arrêt il forçait mon anus. Ainsi maintenue, je ne pouvais rien faire, même mes cris ne leur faisaient pas arrêter leurs manœuvres. Je ne sentis plus mister doigt, mais je sentis l’arrivée de mister membre contre mon cul, il s’arrêta se positionna à l’entrée. — Détends-toi ! Tu vas voir c’est peut-être dur au début mais après c’est le pied et trempée comme tu l’es, tu ne vas même pas t’en apercevoir.
Mes muscles anaux se mistert relâchés, puisque je ne pouvais rien faire autant l’accepter. Son membre aidé par la mouille intense commença à pénétrer mon cul, il s’avança petit à petit, je remerciais intérieurement Mohamed pour sa gentillesse. L’introduction de mister engin fut un peu pénible au début mais beaucoup moins que je ne l’appréhendais, une fois le gland passé il poussa plus fortement et m’investit complètement, il s’arrêta. — Je ne bouge plus, habitue-toi à ma bite me dit-il. — Merci cela va bien et je crois même que je commence à apprécier lui répondis-je.
Ses doigts se mistert mis sur ma vulve et caressaient mon sexe et le creux des cuisses. Selim de mister côté s’est écarté de moi, me pelotait les seins et m’embrassait en remuant sa langue autour de ma langue. Mohamed se remis à bouger et à me pistonner le cul, je ressentais mister membre très loin, il va me défoncer, tout le bien que cela me faisait ! En m’immobilisant les bras autour de mon corps il s’allongea sur le dos et me ramena sur lui toujours emmanchée, le dos contre Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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beur40ans
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mister ventre et les cuisses bien écartées. Je faisais face maintenant à Selim qui se positionna entre mes jambes, les prit par derrière et les souleva légèrement et Mohamed l’aidait tout en soulevant mes fesses pour me défoncer encore. Selim se mit sur moi et mister sexe qui bandait à mort me perfora, je n’avais jamais vu cela, une double pénétration je ne le croyais pas possible. J’ai eu une sensation fabuleuse j’étais remplie de partout toutes ces bites qui me ramonaient c’était prodigieux, je voulais en aucun cas que cela s’arrête. Envahie par tous les orifices le monde s’arrêta, je n’étais plus qu’un corps abandonné à mister plus bas instinct natural, le ballet amoureux se mis en place, Mohamed qui limait de bas en haut et de haut en bas, Selim d’avant en arrière et d’arrière en avant, et moi au milieu de tout cela dans une danse effrénée dans tous les sens. Combien de temps çà a duré, je ne le sais pas mais je ne ressentais qu’orgasmes sur orgasmes et quand les deux hommes ont déchargé ensemble, belle synchronisation ! Je me suis presque évanouie et endormie. Le monde s’était arrêté et je suis réveillée à cause de chatouillis sur mes seins. J’ouvris les yeux et je vis mes deux fabuleux baiseurs, un pinceau à la main dessiner des ronds sur le bout des seins avec du produit pris dans des petits flacons de sa mallette érotique. J’ai eu un sursaut ! Mon gynéco la semaine prochaine ! — N’aies pas peur ! Ce n’est qu’une décoction de fleurs avec un peu de henné pour la coloration ça partira au premier ou deuxième lavage.
Ils continuaient à peindre des fleurs ou des motifs sur mes seins et le bout fut peint en rouge. Ils descendirent vers mon sexe le nettoya avec mon slip posé par terre et se mirent à le décorer aussi, les lèvres et le clito en rouge vif et avec d’autres couleurs dessinaient sur mon pubis rasé. — Regarde ! Me dirent-ils en souriant.
Je me redresse et regarde les chefs-d’œuvre, c’était joli mais j’espère que cela va partir car les gros sexes dessinés de chaque côté des lèvres vont faire bizarre chez mon gynéco. Ils m’avaient signé un gros sexe noir énorme d’un côté et de l’autre Mohamed avait dessiné un sexe en forme de serpent, ils peaufinaient en mettant du rose sur le bout. Puis nous nous sommes levés, le départ approchant et après une douche bien réparatrice et bien sur après le repassage des vêtements de Selim en route ! Je m’étais habillée avec toujours ma petite robe mais ils n’ont pas voulu que je mette de slip (j’étais bien contente car cela me brûlait) ni de soutien-gorge, et ils ont insisté pour que je remette l’œuf mais j’ai refusé. — Oh non ! Un peu de repos quand même !
Mohamed me l’a laissé en souvenir dit-il et aussi un pot de crème pour apaiser mes parties sensibles. Nous sommes arrivés en même temps que la plupart des autres familles d’accueil comme cela mon absence n’aura pas j’espère été trop aperçue. Claude m’attendait, il ne dit rien sinon pour remarquer que Selim avait maintenant des affaires plus propres que tout à l’heure. Au moment du départ au pied du car militaire mes deux amants m’embrassant sur les joues me dirent merci pour mon hospitalité c’était quand même la moindre des choses et l’un après l’autre en me saluant passa la main entre deux boutons de ma robe à hauteur du pubis mais pris dans la foule cela ne se voyait pas et ils caressaient mon minou et me murmuraient à l’oreille — Merci pour tout !
Mohamed me mit dans la main un morceau de papier. — C’est l’adresse de ma cousine Jacqueline à Paris tu devrais y aller ! C’est le paradis pour les femmes.
Rentrés à la maimister je me suis couchée immédiatement, mais avant j’ai mis le papier de Mohamed dans mon sac, on ne sait jamais. Claude n’a jamais su l’après-midi torride que j’ai passé même s’il s’en doute un peu, il ne me l’a pas demandé et lui aurais-je dis je ne sais pas. Mais depuis ce week-end mémorable où j’ai connu la fellation, la sodomie, la pénétration double et l’adultère Mohamed et Selim participe dans ma (ou nos) tête(s) à nos ébats amoureux et c’est Claude qui en profite, et depuis je n’ai jamais depuis trompé mon mari. Mais comme mes baiseurs me l’ont dit " baiser avec une femme blanche ce n’est pas un péché " j’ai juste changé femme blanche par homme noir. Une semaine après je me suis rendue chez mon gynécologue, un homme pas mal d’une quarantaine d’années, très anxieuse car les dessins sur les seins n’étaient pas partis, malgré les promesses de mes deux lascars. Heureusement que ma toimister a repoussé un peu elle cache les dessins obscènes. Que vais-je lui dire ? Toute nue sur sa table il a bien sur remarqué les dessins. — C’est très joli ! me dit-il en souriant — Ce mistert des tatouages provisoires que j’essaye avant les vacances pour la plage lui mentis-je !
L’examen terminé, je me rhabillai en vitesse. — Eh bien chère madame vous êtes sûrement enceinte de cinq à six semaines ! Vous n’avez pas de nausées le matin ? — Non ! Seulement quand Mohamed m’a enfoncé mister sexe dans la bouche trop profondément pensais-je ! — N’avez vous pas des envies ? — Si surtout des fringales sexuelles. — C’est le même principe que les envies de fraises le corps réagit au changement intérieur par une demande supérieure à la norme.
J’étais folle de joie, j’ai rangé mes ustensiles sexuels et sept mois après tu es venu ma chère fille, tu l’as échappé belle car si c’était un garçon nous avons hésité comme prénom entre Mohamed et Selim. Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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vitaminus
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super ton recit tu devrais le mettre sur "www.xstory-fr.com" super bandant les noirs sa plait toujours avec leurs grosses belle queue. mesdame je triques pour vous,et je vous attends en sicile terre de feu et de soleil.
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beur40ans
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Un an s’est passé depuis la visite de nos deux soldats, la vie a repris mister train-train quotidien avec l’arrivée d’une petite Claire dans notre foyer. Notre amour est toujours aussi fort et depuis mes exploits passés je suis restée très sage. Etant cadre informatique dans une grande administration je me devais d’assister à une semaine (trois jours) de formation et d’information sur un grand projet qui devait se dérouler dans la banlieue parisienne, je n’étais guère enchantée de ce déplacement mais en tant que responsable de service je devais faire un effort, mes parents n’habitant pas très loin se feront une joie d’accueillir Claire pour cette période. Le bureau du permisternel me donna mes billets de train, mon bon de réservation pour l’hôtel 4 étoiles et ma convocation au stage. Arrivée à la maimister le soir je mis Claude au courant de mes projets professionnels futurs. — Mais c’est bien il y a peu de femmes cadres, oublie ta fille une petite semaine et profite de cette période pour te remettre en scelle après tes congés de maternité.
Je préparais mes affaires dans ma valise, des vêtements d’été car il faisait encore très chaud l’arrière saimister était agréable, le départ est pour demain. Je relus ma convocation. — Information et cours Espace Jean Mermoz au 23 rue de la paix, Ivry sur Seine. — Rendez-vous le mardi 5 septembre à 9 heures etc.. — Hôtel Ibis 145 rue de Vitry à Ivry sur Seine.
Tous ces noms en Y me disaient quelque chose, où avais-je lu ses villes ? Nous n’avions pas de famille en région parisienne cela ne pouvait pas être ça, des amis non plus, je demandai à Claude, lui non plus cela ne lui disait rien du tout encore moins qu’à moi. Au fur et à mesure que je remplissais ma valise je réfléchissais mais rien ne venait. Ce fut que lorsque je pris mes sous-vêtements et surtout en voyant l’œuf (que j’avais planqué dans mes petites culottes là où Claude ne fouillait jamais) de mes amis africains que cela fit tilt ! — La cousine à Mohamed ! — Quoi me répondit Claude en lisant mister journal ? — Rien.
Je pris l’œuf dans la main (œuf qui n’avait d’œuf que le nom car c’était un objet en bois réalisé par un artisan, évidé à l’intérieur et où l’on avait placé des petites billes de bois, et à chaque geste vulgar ces billes venaient taper sur la mince paroi de l’œuf pour le faire rémisterner et si l’on le place bien au fond du vagin c’est divin). Je l’emmène ou pas ? Il peut mettre utile pendant cette semaine seule dans mon lit, et je le déposai dans la valise. Pour en avoir le cœur net je recherche le bout de papier que Mohamed m’avait déposé dans la main au moment du départ, il était bien aussi planqué dans mon portefeuille, les femmes même mariées ont bien le droit d’avoir leur jardin secret. Je le retrouve et lus : — Jacqueline N’Gour 25 rue de Vitry à X.. Téléphone ….
Le voilà mon Vitry ! (Tous les noms de rue ou de villes mistert fausses Jacqueline exerçant peut-être toujours mister activité). Ça y est je me retrouve encore tout excitée je me retrouve un an en arrière. LUNDI Habitant à plus de 300 kilomètres de Paris, pour mon rendre stage je dus partir la veille. Claude m’emmène au train qui part vers midi et le voyage ne doit durer qu’à peine 3 heures et demi si tout bien, après les effusions sur le quai de gare je prends place dans un wagon de première classe qui m’avait été réservé par mon bureau, eh oui les cadres voyagent en 1ère, je m’installe, je tire sur ma jupe un peu courte mais avec ce temps splendide de début septembre c’est agréable. Il n’y a pas grand monde mais à l’arrêt suivant un charmant monsieur qui avait pourtant tout le wagon pour s’asseoir s’installe en face de moi et en s’approchant me sourit. Je m’endors bercée par le ronron du train, et tout de suite arrivent des rêves érotiques dans lesquels j’occupe la place centrale. Je me réveille en sursaut car un grand type très laid avec un sexe énorme voulait m’enculer. J’ai dû avoir un sommeil agité car à mon réveil ma jupe avait beaucoup remontée et mon voisin d’en face n’en perd pas une miette lorgnant sur ma petite culotte rose. Gênée, je me lève prends mon sac à main et me dirige vers les toilettes. Ma culotte effectivement commence à être mouillée, j’essaye des réparer les dégâts en séchant comme je peu avec le sèche-mains et quand je la remets, elle est toute chaude, c’est super. Mais avant, apercevant l’œuf au fond de mon sac, je me pose la question le mettre ou pas ? Après quelques hésitations de pures formes je le prends et me l’introduis dans le sexe. Je fais deux ou trois sauts pour le tester ça marche toujours aussi bien. Revenu dans le wagon je me réinstalle à ma place et, en m’asseyant, je croise et décroise mes jambes exprès pour faire voir à mon voisin d’en face le fond de mon slip, le pauvre il devient de plus en plus rouge, j’ai décidé de l’allumer. Arrivée à la gare de Lyon celui-ci essaye de me suivre mais pris par ses bagages je réussis à le semer. Je ris, je courre presque dans les couloirs du métro, quelle salope je suis devenue. Je pus voir que courir avec l’objet dans mon sexe, c’est vraiment jouissif, je sens les chocs répétés sur les parois de l’œuf et ça rémisterne dans tout le corps. Une heure de métro dans la cohue c’est beaucoup quand on part travailler mais pour moi cela m’a paru très court, car à chaque bousculade cela me fait frismisterner et même à la station Bastille lors changement de lignes dans l’escalator coincée dans la file j’ai senti une main sur les fesses. Je n’eus aucun mal à trouver l’hôtel. Après l’installation dans ma chambre et une bonne douche, me rhabille, range mon œuf dans sa boite. Il n’est que 17 heures qu’allais-je faire jusqu’à l’heure du repas ? Je prends le papier avec l’adresse de Jacqueline, descends à la réception et montre mon papier au concierge. — J’ai une cousine qui habite là, savez vous où cela se trouve ? — Ce n’est pas dur je crois que c’est dans le prolongement de cette rue me dit-il en montrant avec sa main puis la deuxième ou troisième à droite, ce n’est pas plus d’un quart d’heure à pied. Vous avez le temps le repas du soir est servi jusqu’à 23 heures. — Merci.
Sortie de l’hôtel, je me dirige comme le concierge me l’avait indiqué. En marchant, je me suis encore demandée ce que j’allais faire là-bas, qu’est-ce que je pourrais bien lui dire à cette Jacqueline etc… Depuis que je sais que je participe à ce stage et que j’ai fait la relation avec la cousine à Mohamed, une partie de mon corps dit "Bon ! tu as bien profité de tes deux amants mais maintenant mère famille ça suffit calme-toi" et l’autre "Allez profites-en tu n’as que 26 ans vit ta vie à fond, tu aimes ton mari, tu ne vas pas le quitter, tu ne veux qu’assouvir tes fantasmes sexuels ce n’est pas pareil, vas-y". Effectivement le concierge connaissait bien le coin car je n’ai aucun mal à trouver la rue et je me suis retrouvée devant le 25 qui avec le 27 ne faisait qu’un seul pavillon, ils peuvent loger au moins une vingtaine là dedans me dis-je en l’apercevant, charmant pavillon de banlieue avec un petit jardin devant. En marchant je l’ai dépassé, suis revenue en arrière puis l’ai re-dépassé, toujours ces contradictions en moi et c’est alors le destin peut-être qui s’est manifesté en la présence d’une petite fille qui me voyant regarder la maimister me dit : — C’est chez moi ! Tu veux voir ma maman ? — Oui, ais-je dit dans un souffle, elle s’appelle Jacqueline ? — Oui elle doit être là, je rentre juste de l’école.
Elle me prend la main, cogne à la porte, "Maman, maman !" La porte s’ouvre sur une jeune et jolie femme 35, 40 ans pas plus, habillée en un charmant boubou bariolé. — Oui dit-elle en souriant ? — Je suis Françoise P. de B., c’est votre cousin Mohamed qui m’a donné votre adresse et comme je suis à l’hôtel au bout de la rue je me suis permise de vous rendre une petite visite. — Ah ! C’est vous Françoise, entrez donc, Mohamed m’a beaucoup parlé de vous et il en était très content de votre hospitalité, chez nous c’est le signe de vrais amis. — Non ! Je ne veux pas vous déranger, je repasserais plus tard lui dis-je car la première partie de moi essaya de reprendre le dessus. — Pas question, rentrez boire un thé.
Elle me prend la main et m’entraîne à l’intérieur de la maimister. C’est assez sombre des tentures partout au mur et par terre, me tenant toujours par la main elle du sentir mon appréhension car j’avais des picotements dans les doigts. Elle me sourit. — Vous avez des enfants ? — Oui une fille de six mois. — Bien ! Alors venez, je vais vous présenter le clan des femmes. — Quel rapport avec ma maternité ? — Nous sommes en réunion sur un problème familial et le rite animiste que nous allons mettre en place n’accepte que des femmes ayant enfanté. Vous voulez y participer ? — Oui !
Nous travermisters le vestibule, la petite fille partit de l’autre côté, elle ouvre une porte et je suis retrouvée au milieu d’une dizaine de femmes dans une pièce circulaire où les femmes assises sur des poufs entourent une jeune femme assise sur un grand pouf central rouge vif. Nous nous sommes installés à l’écart, les femmes discutaient beaucoup entre elles. — Cette jeune veuve s’est mariée voici plus d’un an et elle n’a toujours pas eu d’enfant avec mister nouveau mari alors qu’elle en a de mister premier mariage. — Ah bon ! Que voulez vous lui faire ? — La famille de mister mari dit que c’est le fantôme de l’ancien qui rôde et empêche la fécondation et notre rôle est de chasser cet esprit méchant. — Et qui mistert ces femmes autour ? — La mère, les tantes et les sœurs du mari celles qui ont eu un ou des enfants car au moins sur elles le mauvais esprit n’a pas eu d’emprise. — Et vous croyez que cela marche ? — Vous savez, je suis infirmière-chef dans un grand hôpital parisien et cette méthode en vaut une autre, le psychisme fait quelque fois des miracles.
Après moult palabres, les femmes ont préparé dans une grande bassine une décoction de plantes et pendant qu’une tournait la préparation les autres se mistert approchées de la jeune veuve, l’ont levée et déshabillée, du moins la partie basse du corps. Puis l’ont couchée sur le grand pouf rouge, attaché les mains et les pieds et fixé par des ficelles par terre, de sorte que la jeune femme se trouva écartelée sur le pouf. Le supplice de la croix pensais-je. Si les mains étaient réunies ses pieds étaient très écartés mister sexe proéminent se trouva à la vue de tous. — Elle est d’accord me dit Jacqueline, c’est elle qui nous l’a demandé.
Les femmes maintenant lui présentent une fiole et la font boire. — C’est un relaxant avec un peu de cuckolds brownie pour lui enlever la volonté.
Puis elles passent chacune leur tour devant la suppliciée, prennent un peu d’eau dans la bassine et l’asperge le ventre et essayent de lui en mettre dans le sexe. Une bonne dizaine étant passée, la plus vieille, la mère du marié peut être ?, prend sur une table un grand godemiché d’un diamètre normal mais d’une longueur énorme. — C’est pour lui faire un lavement vaginal, pour noyer le mauvais esprit.
Elle lui introduit dans le sexe, la jeune femme pousse un cri mais la mère continue mister avancée, arrivée au fond de la grotte elle remonte le godemiché une autre femme place un entonnoir et toutes font une procession en mettant un peu d’eau à chaque fois, puis en remuant le god dans tous les sens elle prononce des mots que je n’ai pas compris. Elle retire l’objet, l’eau coule du sexe et inonde le tapis. À ce moment un homme est arrivé tout nu le membre bien en érection. — Le mari, me dit Jacqueline
Il l’induit dans sa femme en prononçant lui aussi des propos incompréhensibles, je suis ébahie, voir ce gros sexe aller et venir me procure ses sensations incroyables. Je ne vais pas avoir un orgasme quand même ! Il s’immobilise, crachant mister sperme et se retire. Son sexe est toujours aussi gros des gouttes perlent au bout du gland puis débande doucement, quelle vision ! Tiens ça y est je mouille. Les femmes détachent la jeune veuve mais lui montent les jambes très hautes pour ne pas que le sperme ne tombe, deux femmes à chaque jambe la maintiennent et la mère du marié prenant un autre petit god pilonne mister sexe pour repousser le sperme de mister garçon dans le fond du vagin de sa bru. Déjà 8 heures ! Je pris congé de Jacqueline. — Revenez quand vous voulez, j’ai des cadeaux pour vous !
C’était plus une fuite qu’un départ, sur tout le parcours de retour à mon hôtel cette scène revient toujours à mon esprit, je voyais et revoyais ce gros sexe rentrer et sortir de ce con béant. Mon repas vite expédié, je remonte dans ma chambre, j’appelle Claude au téléphone lui dis que j’avais fait une ballade à pied en arrivant cet après-midi (menteuse) et que maintenant fourbue (c’est vrai) je me couche et ne vais pas tarder à m’endormir, tout dépend du programme télé. Puis, après un autre appel à ma mère pour avoir des nouvelles de ma fille, je me déshabille, prends ma petite culotte à la main, dans quel état elle est ! Je passe ma nuisette, pas celle que j’affectionne en dentelles très courte au ras des fesses mais une plus sage arrivant au-dessus des genoux, me regardant dans la glace je me dis qu’elle est quand même un peu transparente. Je me couche dans ce grand lit, seule avec un petit cafard, je repense à Claire et à mon mari. À la télé un film passe, pas terrible, ma vision est ailleurs. Mais en ne voulant pas penser à mes êtres chers, je revois les scènes cochonnes de cet après-midi c’était un cercle vicieux, alors j’ai préféré revoir le baiseur et la jeune veuve dans ma tête, ma main doucement descend sur mon pubis et commence à me caresser le minou, je suis bien, penser au cul enlève tous les soucis (belle maxime). Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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beur40ans
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MARDI La journée se passe très bien, les orateurs mistert agréables à entendre et leurs explications limpides, je ne pense plus qu’au boulot sauf quand dans la conversation on parla de bits informatiques je retrouvais les bites bien noires au bout rose. La fin du stage est à 16 heures pour faciliter ceux qui habitent dans la région parisienne (la majorité) de partir avant les bouchons des autoroutes. Je décide de retourner voir Jacqueline, cela me démange dans la tête mais dans tout le corps aussi. C’est elle qui m’accueille en m’embrassant comme une vieille copine. Elle est toute seule dans la maimister, elle m’offre le thé et la conversation débute. Après les banalités d’usage elle me parle de mister cousin Mohamed dont elle semblait connaître ses appétits sexuels. — Chez nous l’amour physique n’est pas tabou. Si on ne peut pas le pratiquer aisément, à cause de la religion, on peut en parler librement, toujours l’esprit africain des discussions ou palabres, et il m’en a parlé beaucoup, comment l’avez-vous trouvé ? — Très bien lui dis-je, il m’a fait découvrir des plaisirs que je ne croyais jamais connaître, surtout avec vos fameux ustensiles. — Les hommes chez nous ont trois ou quatre femmes et évidemment c’est surtout la petite dernière qui a le plus d’honneur. Aussi les épouses délaissées pour assouvir leurs désirs sexuels doivent avoir recours à des subterfuges, venez.
Elle me prend par la main et me conduit dans une autre pièce où règne une certaine pénombre. Sur le mur est accroché toutes sortes de godemichés, des longs, des courts, des gros, des petits, des tordus, des avec des bourses ou des sans, quel éventail ! Je ne sais pas quel choix je ferais. Puis plus loin des œufs de tous calibres, pour grand ou petit vagin pensais-je, je m’arrête devant de petites boîtes cylindriques de 10 à 20cm de long et peut-être cinq centimètres de diamètre en deux parties qui s’emboîtent un peu comme les kinder surprise. — C’est une boite dans laquelle nous renfermons des insectes genre hannetons lesquels renfermés dans le noir s’affolent et viennent rebondir sur les parois. Et si vous le mettez profondément en vous je peux vous assurer le plaisir immédiat.
D’autres objets jalonnent les étagères, je reconnais des bagues de poils de bête à mettre sur le membre humain ou sur un godemiché, des chapelets de billes en bois et puis sur une étagère en haut des quantités impressionnantes de pots, fioles contenant des crèmes ou pommades de toutes les couleurs. — Vous connaissez je crois me dit-elle sournoisement. — Oui ! Je rougis mais je frismisternais intérieurement. — Je vais vous en donner en cadeau et elle fit un assortiment qu’elle mit dans un carton. Faites-moi y penser si j’oublie.
Nous revenons dans mister salon, buvons encore du thé et je prends congé d’elle en la remerciant de mister hospitalité. — À demain, me dit-elle !
Je n’ose pas lui réclamer les cadeaux qu’elle m’avait promis mais je ne suis pas encore partie, je rentre à l’hôtel, expédie mon repas et arrivée dans ma chambre je commence par téléphoner. Mes parents m’ont donné des nouvelles de Claire, tout va bien, mais mon chéri Claude ne réponds pas, il doit être en réunion. Je me déshabille, mets ma chemise de nuit et, après avoir allumé la télé, je me couche. Le film n’est pas terrible, je ne vais pas tarder à m’endormir. À ce moment des coups légers retentissent à la porte, c’est dans la télé ou pas ? Je prête l’oreille, rien je me recouche puis encore des coups. — Madame !
Je me lève, entrebâille la porte et je vois un gamin avec un sac à la main, je suis assez étonnée. — Je suis le neveu de Jacqueline et vous avez oublié votre paquet !
J’hésite à cause de ma tenue mais enfin ce n’est qu’un gosse. — Entre lui dis-je ! Je vais faire un peu de conversation avec lui il me paraît très mignon.
Nous nous sommes assis dans les fauteuils placés autour du lit. Je vois bien qu’il lorgne sur mon slip et mon soutien-gorge que j’avais posé par terre vers le lit, délicatement je les range dans la salle de bain. Puis je ne suis pas rendu compte tout de suite que j’étais positionnée à côté du lampadaire et qu’il me voyait toute nue en transparence. Il me regarde avec des yeux de plus en rond et hagard, je comprends et me déplace un peu. À mister âge il n’est tout de même pas obsédé par les femmes, mais quel âge as-tu ? — 18 ans madame ! — Mais tu es presque un homme ! Tu vas encore à l’école ? — Non madame je suis apprenti menuisier chez un artisan de la ville. Et le soir j’aide mon père, le frère de Jacqueline, dans mister atelier privé à faire les objets que vous avez du voir chez ma tante. — Quoi ! Tu fais toutes ces choses pour femmes. Eh bien déluré le jeune. Et tu sais à quoi ils servent ? — Oui et même j’en fait sur mesure mais c’est ma tante qui prend les dimensions voulues par la dame. Vous ne voulez pas que je vous en fasse un ? me dit-il — Pardon ? J’étais éberluée.
Il sort une espèce de mètre en ruban et s’approche de moi. Je bondis et me recule. — Ça va pas ! Petit vicieux lui dis-je en souriant. Eh bien dans cette famille ça promet. — Je serais très content de vous l’offrir, madame, Mohamed m’a beaucoup parlé de vous me dit-il d’un air très malheureux. — Ah oui et de quoi il t’a parlé ? On verra plus tard ! Il me fait mal au cœur avec mister air dépité après tout c’est peut-être sincère mister envie de m’offrir un présent. — Il m’a parlé de vos seins en forme de poire paraît-il et de votre foufoune qu’il a du raser ! Allez madame, faites moi voir vos seins j’en ai jamais vu.
Il s’avance, veut me toucher, je ne sais pas quoi faire mais après tout jouer l’institutrice pourquoi pas ! — Bon je veux bien te les montrer, mais tu ne touches pas et après tu te sauves ! D’accord ! — Oui madame je regarde mais je ne touches pas. — Allez recule et retourne-toi ! Ma pudeur quand même.
Il se met contre le mur les bras dans le dos comme pour un jeu. Je défais les boutons du haut de ma chemise de nuit que je descends jusqu’à la taille, je suis dépoitraillée les seins fermes même après ma maternité, je peux encore en être fière. — Tu peux te retourner ! — Oh !!
Il roule des yeux et s’approche de moi et met mister nez à une vingtaine de centimètres du bout des seins. — C’est vrai Mohamed me l’avait dit, ils mistert très beaux.
Après avoir fait le tour de mes seins, je vois bien que cela le démange de les toucher. — Tu ne touches pas ! — Non madame mais je peux voir la foufoune aussi ? — Bon d’accord, j’étais prise au jeu cela m’excitait.
Je fais tomber la chemise de nuit. Il se baisse, se met à genoux et regarde mon sexe, quelle leçon d’anatomie. — Mais je ne vois rien madame, Mohamed m’a dit que vous avez un joli bouton et un joli trou et même une jolie fleur toute rose derrière.
Il m’excite de plus en plus de me parler de mon amant noir. Puisqu’il veut voir, je vais aller jusqu’au bout des ses désirs, je suis déjà partie trop loin pour faire machine arrière. Je m’assoie sur le bord du lit, les pieds touchant par terre et je me suis allongée sur le dos. J’écarte les jambes, le jeune se met à genoux et met les mains sur mes cuisses, je me redresse un peu je ne veux pas lui interdire des gestes que je comprends un peu. — Mais je ne vois rien ! S’excusa-t-il.
Devant mon silence il écarte un peu plus mes suisses et je sens mister doigt sur mon clito, il tourne autour puis s’enhardissant face à mon absence de réaction il le prit entre ses doigts et le décapuchonna. Il doit s’avancer car je sens ses boucles crépues chatouiller le haut de mes cuisses, et quelques temps plus tard je ressens des frismisternements dans mon corps. Il titille mon clitoris avec le bout de sa langue et les mains sous mes jambes il me fait poser les pieds sur le lit ce qui me fait écarter les cuisses au maximum. Eh bien ! Le gamin il sait y faire avec les femmes ! Il fait pénétrer sa langue dans le vagin maintenant et ses deux mains se positionnent sur mes seins et pincent le mamelon. Je suis très bien, je ferme les yeux, il découvre mon corps je sens mister souffle sur mon sexe et ses doigts mistert partout. Combien de temps cela a duré, je ne sais pas je suis dans un demi-sommeil. Dring ! Le téléphone misterne. Que faire ? Décrocher ? Peut-être un problème chez moi. Je prends le combiné. — Allô ! Ma chérie, je ne te réveille pas j’espère ? Je rentre de réunion à l’instant.
C’est Claude mon mari. — Mais non mon amour, mais le film est tellement nul j’écoute la radio. Je serre des dents par moment le jeune profitait de la situation honteusement, je mis la main sur le micro, arrête ! — Non, écarte les cuisses, sinon je crie je hurle et tu expliqueras cela à ton mari.
Il ne reste plus qu’à m’exécuter, je me relève sur un coude, je vois le môme en face moi il est entre mes jambes, défait sa ceinture et baisse mister pantalon, il bande le cochon, mister sexe raide est bien à l’horizontal, il n’est pas très gros mais déjà assez long, un petit serpent pensais-je. Je parle à Claude et il me raconte sa journée et moi j’essaye de parler le moins possible car j’ais peur qu’il entende les bruits de la chambre. — Il marche mal ton téléphone ! — Tu sais dans les hôtels !
Le jeune se déshabille entièrement, je regarde effarée, pas mal pour mister âge et en silence il me retourne, me met sur le ventre et en me tournant comme une toupie il me positionne les genoux touchant le sol les fesses proéminentes et le ventre sur le lit. Heureusement il y a pas mal de fil au bout du téléphone. Il pose ses mains sur mes hanches et se met lui aussi à genoux derrière moi. Claude parle toujours, oui, oui lui répondis-je mais surtout je pense que fait mon baiseur ? Je le sais immédiatement car je sens mister sexe à l’entrée de ma grotte et hop ! D’un seul coup il est entré, prends possession de moi. — Aie ! — Qu’as-tu ma chérie ? — Rien je me suis cognée contre les barreaux du lit.
Et comme je sens mon amant me labourer de plus en plus je décide d’abréger la conversation. — Mon amour il faut que je dorme car demain pour la clôture du stage nous allons tous au restaurant et après peut-être en boîte, tu veux bien ? — Mais oui ! Si je comprends bien, pas la peine de te rappeler demain à cette heure, tu seras en train de faire la nouba ! — Bonne nuit je t’aime.
Je sens le jeune s’activer, il a des dons le gamin, et moi en train de prendre mon pied, je raccroche et je suis restée dans la position attendant le coup de grâce qui ne fut pas long à venir car accompagné par un bruit de bête il crache dans mon sexe à longues giclées. Je passe mes mains dans mister dos pour le maintenir. — Reste au fond de moi, bien en buttée sur mon col, j’adore
Il bouge encore, il bande toujours et je sens un orgasme me traverser. Je reste un peu sur le ventre, mon amant me caresse le dos, les fesses, toujours mister pieu en moi, j’apprécie. Après un certain moment de plénitude nous nous levons je l’enlace, et l’embrasse sur les lèvres il doit aimer car il se montre très gourmand sa langue s’immisçant souvent dans ma bouche, il apprend vite. Puis je le pousse en riant sur le lit et m’assois dessus mon sexe dégoulinant au niveau du sien. Je titille le bout des seins lui caresse le torse. — Comment t’appelles-tu, je ne sais même pas ton nom ! — Didier !
Il se met les bras en croix et les jambes bien écartées, il est heureux, il jubile. Je me mets entre ses cuisses l’embrasse le ventre puis je descends en lui donnant des baisers partout. J’arrive vers mister sexe, Didier ne bouge pas, je prends ses boules dans la main, je les câline, je les soupèse et je me glisse vers mister membre flasque. Il est pas mal monté encore quelques années cela sera parfait, j’embrasse maintenant mister gland puis je l’aspire dans ma bouche. Il a un goût légèrement amer, mais je commence à apprécier, je sens le gland grossir de plus en plus, quel appétit ! Que faire, aller jusqu’au bout ? Mais je ne l’ai jamais fait avant, même avec mon mari, ça va m’étouffer ? Eh bien je décide de continuer advienne que pourra ! Ma bouche coulisse sur mister sexe qui sous mes efforts s’étire, grossit car en plus avec la main je pelote ses couilles. Didier avance mister bassin au-devant de ma bouche, je n’ose pas aller trop loin de peur de m’étouffer, je sens bien qu’il ne va pas tarder à éjaculer et bien sûr les premières giclées arrivent dans ma gorge, je m’écarte et reçois le restant de sa semence sur la figure et dans les cheveux. Je remets le membre dans ma bouche et avec ma langue je lui nettoie le bout du gland. Et nous restons un long moment comme ça. — Maintenant tu dois partir ! Fait attention essaye d’éviter le concierge, il va demander d’où tu viens. — Pas de problèmes ma sœur travaille dans l’hôtel, je connais la sortie de service.
Il se lève, je n’ai pas le courage d’aller me laver je reste couchée dans mister sperme, il s’en va. — Bonsoir madame, à demain ! Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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catpat77
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alors mme n'as plus de jambe ou trop de jut pour racconter la suite.............
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catpat77
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beur40ans
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Jean me met sur le dos et effectivement sur ma demande prend un sein dans la bouche en faisant tournoyer sa langue autour de mon téton et se positionne sur l’autre sein en me pelotant et pinçant l’autre téton entre le pouce et l’index. Mes seins mistert très sensibles et mister action me comble d’aise. Sa main se déplace sur mon ventre, me caresse le nombril puis descend sur mon pubis, je maintiens sa tête sur mon sein et remonte mes talons sous mes fesses en écartant bien les cuisses, je suis bien ! Ses doigts se promènent sur mon clito sur ma vulve trempée et aidés par les flots de mon vagin masse l’entrée de mon anus. Ils tournent autour de mon petit trou et Jean avec le pouce dans ma grotte en le faisant tourner place mister index sur mon cul et après quelques massages délicats me l’introduit. Je suis surprise de mister action, j’ai un moment de sursaut je resserre les cuisses instinctivement mais Jean me maintien fermement, mister doigt tourne dans mon cul, je suis vaincue je desserre les jambes, je ne suis pas tellement une adepte de la sodomie mais je comprends qu’un homme puisse en avoir envie. Jean enlève sa main et me retourne sur le ventre, ça y est je vais y passer. Effectivement il se met à genoux entre mes jambes et s’appuyant sur ses bras le long de mon corps il retombe sur moi lentement, je sens mister gland sur mon anus. Dans ma tête je me dis que je vais l’aider sinon il va me faire trop mal, aussi je prends mister membre et le positionne à l’entrée de mon cul, il est impatient. — Doucement lui dis-je !
Je me détends et introduit mister sexe, quelle facilité ! Bien sur aidé par mes effluves intimes et mister sperme sa bite poursuit mister chemin dans mon antre. Je me sens envahie il me transperce, ses couilles maintenant battent sur mes fesses il ahane et souffle de plus en plus. Ses mains sur mes hanches accélèrent le mouvement, mes fesses claquent à chaque poussée je sens mister gland grossir et ses giclées de sperme se répandre dans mon cul, il prend mes seins dans ses paumes, les pétrit les malaxe, des éclairs m’éblouissent c’est le pied ! Quel baiseur ! Toujours emmanchés l’un dans l’autre nous nous couchons sur le flanc ses bras m’encerclent, je me sens en sécurité mon dos en contact avec mister torse. Je lui prends les mains qui se reposent sur mon ventre et les positionne sur mes seins et après je m’endors. Je ne sais pas combien de temps je me suis assoupie. Des coups rémisternent à la porte j’ai du mal à ouvrir les yeux c’est Jean qui se lève, d’après les paroles que je perçois c’est Arsène qui ayant fini avec mon amie Céline veut repartir chez lui. — Tu viens Jean ? Dit-il, elle m’a mis la queue en compote. — Eh bien ! Moi c’est pareil. Mais je ne suis pas pressé, permisterne ne m’attend aussi avant de partir je lui en mettrais bien encore un petit coup. — J’aurais bien voulu aussi, dit Arsène, mais Céline dort profondément elle ne doit pas être habituée de se faire baiser de cette façon. — Rentre ! Viens voir ce beau brin de femme.
Je m’aperçois bien que je suis dans une position très incorrecte, nue sur le dos les bras en croix et les jambes écartées mais je n’ai pas le courage de bouger aussi quand Arsène pénètre dans la chambre il ne peut s’empêcher de siffler d’admiration. Je suis crevée, je ne me sens pas le courage de recommencer une autre série de baise mais mon corps me dit le contraire. Aussi voyant Arsène se déshabiller je me lève. — Quelle énergie ! Laissez moi me refaire une santé je vais prendre une douche leur dis-je. — Vas-y me dit Jean ! Fait briquer ton minou et n’oublie pas ton cul ! Ça va être leur fête.
C’est vrai que l’eau de la douche me fait du bien, mon corps entier est engourdi, mes seins me font mal et toutes les parties sexuelles sexe et anus mistert endolories. Je suis restée au moins une demi-heure sous les caresses apaisantes de l’eau, je me sèche et quand même je me retrouve excitée par mon avenir proche, dans ma tête je repense à mes multiples aventures, que puis-je espérer de plus ? Que vont-ils me faire ? Je prends une serviette de bain pour me couvrir puis je la jette sur la baignoire, ce n’est pas la peine de se montrer pudique à ce moment. Ils m’attendent à la sortie de la salle de bain aussi nus l’un que l’autre, ils veulent me prendre le bras mais je les repousse. Du calme ! J’empoigne leur sexe dans les mains, de beaux engins. Celui d’Arsène est plus gros, plus trapu, pas question qu’il m’encule il va me déchirer. Il m’attire sur lui me presse sur mister torse, mister membre est déjà en érection je le sens sur moi. Il me soulève par le dessous de mes cuisses, il va me baiser debout ! Effectivement il me hisse un peu mais ayant mis mes bras autour de mister cou et les siennes sous mes fesses mister sexe bien droit a du mal à me l’introduire, aussi c’est Jean qui passant derrière moi lui prend sa pine et qui me la met dans le vagin. D’ailleurs Jean aide mister ami en me tenant derrière sous les épaules et suit les mouvements, il en profite aussi de m’introduire l’index dans le cul, je sens bien que derrière moi Jean essaye de m’enculer mais visiblement il a du mal à m’introduire mister membre n’étant pas visiblement de la même grandeur. — Poses-la sur le lit ! Je n’arrive pas à atteindre mister cul dit-il !
Me maintenant solidement par la taille et moi ayant mes jambes nouées dans mister dos et toujours emmanchée il m’emporte sur le lit. Il me pose délicatement aidé par Jean, se met sur le dos et me positionne sur lui. Arsène me prend les fesses à pleine main, me soulève et me descends à mister rythme, je me laisse faire, je ne suis qu’un jouet entre leurs mains. En me soulevant il écarte mes fesses. — Tu vois mister petit trou ? Il t’attend.
Jean à genoux derrière moi se mouille les doigts dans la bouche et m’humidifie l’orifice, puis saisissant mister membre il se met en position sur mon anus et pousse progressivement, je sens la progression du gland dans mon corps. Il me prend les seins en même temps et en pince les bouts. De multiples orgasmes me traversent, je vois des étoiles partout mon corps se met à trembler, mes deux amants me ballottent à leur volonté, Arsène le premier se met à éjaculer de longues giclées dans mon vagin et maintenant aide mister ami en faisant coulisser mon cul sur mister membre. — Dit donc, tu es long à jouir ! Lui dit-il. — Ça vient je le sens !
Il s’arrête de bouger et sa bite cracha elle aussi dans mon cul mister flot de sperme, je ne touche plus terre je ne sais plus où je suis. Quelques instant plus tard mes deux baiseurs se retirent de moi, me couchent en chien de fusil et me remettent les draps dessus. — Je rentre dit Arsène ! Ma femme m’attend elle va se poser des questions elle est très jalouse. — Non je reste avec Françoise, permisterne ne m’attend, je bande encore dit Jean
Arsène se lève, s’habille et s’en va. Jean se recouche à mes côtés mister torse contre mon dos et ses bras m’enlaçant. Je m’endors doucement je sens à peine mister membre se faufiler dans mon vagin il me possède doucement cela me berce puis le sommeil me prend et me suis endormie lourdement, je n’ai pas ressenti la fin du rapport imposé par mon amant. JEUDI La télé se met en marche, il est sept heures, je l’avais programmée ainsi car je ne veux pas être bousculée le matin. Je me délasse doucement, je m’étire mon merveilleux amant Jean dort profondément. Je le laisse tranquille et pars à la douche, mon corps est apaisé par cette eau chaude qui coule sur moi. Je me sèche, j’entends le téléphone et me précipite vite avant que Jean ne décroche machinalement. Il a presque la main dessus cela l’a réveillé et en prenant le combiné je lui fais signe de se taire en posant délicatement un petit baiser sur sa bouche. C’est mon mari ! Je m’assois sur le bord du lit poussant Jean un petit peu, nue comme un ver, je me tourne vers lui et met mon index sur ma bouche en signe de lui faire comprendre de se taire. — Bonjour mon amour ! Je ne te réveille pas j’espère, dit Claude mon époux. À quelle heure est ton train exactement pour que j’aille te chercher ? — J’ai déjà pris ma douche et je me prépare à finir mes bagages. Je crois que je pars de Paris à 15h12 et je dois arriver vers 19 heures à Nevers. Tu me manques ! — Moi aussi !
Jean derrière moi s’il ne prononçait pas un mot n’en était pas moins inactif. Il se met à genoux dans mon dos et en m’enlaçant me pelote les seins et en pince les bouts qui déjà se mettent à durcir. J’essaye de me défaire de mister emprise mais il ne lâche pas sa pression, je ne peux pas me lever. Délaissant mes seins, il me masse maintenant le ventre puis descendant s’attaque à ma vulve et à mon clitoris. Mon mari au bout du téléphone et mon amant me pelotant cela me procure une sensation très forte. — J’espère que tu as été très sage toute seule dans cette grande ville ? — Mais bien sûr tu me connais ! — Tu t’es beaucoup masturbée en pensant à moi ? Me dit-il. — Eh oui ! Tu me manques beaucoup, tiens en ce moment je suis toute nue et rien que de penser à toi cela me fait frismisterner.
Je me couche sur le dos, j’écarte grand les cuisses et en prenant Jean par ses cheveux crépus je l’attire doucement vers mon sexe. Il comprend tout de suite et se met à me lécher la vulve. Il aspire complètement les lèvres intimes et avec le bout de la langue il titille mon clitoris. Cette situation me fait défaillir mon amant me procurant du plaisir et mon mari de l’autre côté relié par le téléphone. — Tu en fait du bruit me dit Claude ! — Prenant mon souffle, bien sûr c’est mon amant qui me baise si tu savais comme c’est bon ! — Quoi ? — Mais non, repris-je, c’est la télé espèce d’idiot, tu sais bien que je t’aime. — Bon à ce soir, je t’embrasse.
Il est temps qu’il raccroche car l’orgasme attendu arriva brusquement, je ne sais pas si j’aurais pu le cacher à mon époux. Jean s’aperçoit que je mouille abondamment. — Eh bien ! Madame prend mister pied toute seule ! Et moi ?
Son membre est dressé et d’un seul coup me l’enfile en moi. Il ne s’occupe de rien, il me laboure me transperce et très vite se met à éjaculer. — Tu as encore du jus ? Lui dis-je.
Il reste en moi je sens qu’il veut remettre cela. Je n’en ai plus envie, je le repousse et lui mister sexe pendant entre ses jambes mais recommençant à prendre de bonnes mesures me fait rire. — Va voir Céline ! Je suis sure qu’elle ne te dira pas non.
Il se lève, m’embrasse puis en prenant ses affaires sous le bras il s’en va. Il entrouvre la porte ne vois permisterne et en courant va frapper à la porte de mon amie, elle ouvre et je le vois s’engouffrer dans la chambre. Il est vraiment increvable celui-là, Céline si elle est en manque elle ne va pas le regretter. J’ai presque fini mon petit déjeuner que je vois Céline arriver, toute souriante. — Eh bien ! Tu es contente de repartir ou c’est ta nuit que te rends si guillerette ? — Si tu savais me dit-elle ! Arsène hier soir m’a fait l’amour dans toutes les positions possibles et ton gars ce matin a remis cela. Trois fois ! C’est une machine à baiser puis tout bas à mon oreille "Il m’a même enculée, je ne connaissais cette pratique que par ouie-dire mais je peux t’assurer que c’est bizarre mais on ne peut pas rester indifférente " ! — Tu vois que mes amis mistert formidables ! Lui dis-je. — Ton ami Jean m’a donné rendez-vous chez lui entre midi et deux heures, je ne mangerais pas avec toi ce midi je vais en profiter avant de partir je te rejoindrais à la gare de Lyon, attend-moi.
Le stage se termine, heureusement car je suis crevée. Céline est partie vers les onze heures et demie prétextant que mister train était plus tôt et quelle ne voulait pas passer une autre nuit à Paris. Il est plus de deux heures et je suis sur le quai du train de Céline. Encore une demi-heure avant le départ elle a encore le temps. Puis je la vois qui arrive presque en courant, elle est accompagnée par tous nos amis africains, Jacqueline en tête, elle est radieuse ! Ça a du être sa fête. Après les effusions, c’est le départ, Céline en premier puis c’est moi dix minutes plus tard. — Reviens quand tu veux me dit Jacqueline ! — Oh oui ! reprennent en cœur Jean et Arsène. — Peut-être ! Pourquoi pas, je connais votre adresse et votre hospitalité (sourires).
Mon train démarre, je fais des signes d’adieu à mes amis puis je vais m’asseoir dans le compartiment. Il est presque vide, un jeune homme placé à la fenêtre et seulement moi. Je m’écroule sur le siège, ma jupe en volant remonte assez haut. — Ouf ! C’est fini. C’est dur la vie parisienne dis-je à mon jeune voisin, je vais me reposer un peu, si je dors pouvez-vous me réveiller à Nevers s’il vous plaît ? — Bien sûr madame ! me dit-il
Je me recroqueville sur mon siège les pieds sous mes fesses, mon voisin doit apercevoir ma petite culotte il en est tout rouge. Je repense à mon mari et à mes amours coupables. Pas le moindre regret, je ne ressens pas de remords car pour moi dans ma tête faire l’amour sans éprouver de sentiments pour mister baiseur n’est pas trompé mister mari. Est-ce que je le trompe quand je donne du plaisir avec un godemiché ? Sur ces considérations philosophiques je m’endors. Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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catpat77
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joliesuite a quand le dernier acte le retour au berkail
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beur40ans
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catpat77
pour l'instant il n'y a que ca pas de suite publiée. Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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beur40ans
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Nuit romaine 2° épisode
Assis à la terrasse d’un café, toujours dans le quartier de la place d’Espagne, je repère bientôt une femme entre 25 et 30 ans qui me regarde à la dérobée, se détournant aussitôt dès que je fixe les yeux sur elle. Elle est blonde (vraie ?…), joli visage aux traits fins, très légèrement maquillée. Les mains élégantes et soignées portent une bague de prix, les jambes longues et fines, les pieds chaussés d’escarpins : une bourgeoise en quête d’aventures extra-conjugales ? De toute façon, j’ai trop attendu pour laisser passer une occasion, je décide de tenter ma chance. J’essaye l’italien pour commencer. — Vous permettez que je m’asseye à votre table ? Je suis à Rome pour quelques jours et je suis plutôt inquiet à l’idée de passer une soirée seul… Alors comme je n’ai pas l’impression que vous attendez quelqu’un…
Un charmant sourire me répond… Un peu trop facile… Je me demande si je ne suis pas tombé sur une pute de luxe… — Eh bien, me répond-elle en français (et moi qui croyais n’avoir qu’un accent français imperceptible…), dimisters que je suis un peu comme vous, seule pour quelques jours dans une ville que je ne connais pas du tout…
Voilà une entrée en matière qui tombe à pic, moi qui connais Rome comme ma poche. Je décide de jouer le jeu, on verra bien où cela mène, et puis il est trop tard pour reculer… — Excellent ! Je me présente : Michel, parisien, je passe quelques jours à Rome pour mon boulot. Vous tombez bien, je viens souvent ici et je peux vous servir de guide, si vous le souhaitez… — Et moi, Sophie, en visite chez une amie qui a dû s’absenter quelques jours à Milan. À part ça, parisienne moi aussi… OK pour le guide, mais on commence par dîner ? J’ai une faim de loup…
Je lui propose une trattoria que je connais bien, à deux pas d’ici. Elle se lève… Hou là, un vrai canon ! Un port de reine dans une robe légère qui lui arrive au milieu des cuisses, une plastique plus que prometteuse… Je n’en reviens pas ! Nous bavardons facilement durant le dîner de nos occupations et de nos goûts respectifs. Elle se fait vite assez chatte, mais pas trop ; pas vraiment une pute qui en aurait déjà fait des tonnes… — On va prendre un verre dans l’appartement de mon amie ? C’est à côté d’ici, en remontant vers la villa Médicis. Vous allez voir, c’est superbe : vue imprenable sur les toits de Rome…
Je sens un fourmillement caractéristique au creux de mes reins : l’invitation est claire… À peine arrivés chez mister amie, elle me laisse visiter l’appartement (effectivement sublime) et s’éclipse quelques minutes en me demandant de nous servir à boire : — Y a tout ce qu’il faut au frigo.
Lorsqu’elle revient, je remarque qu’elle a pris une douche, qu’elle a renouvelé le léger parfum qu’elle portait. Je lui tends un verre de champagne, qu’elle dépose sur une petite table après l’avoir goûté. Elle s’approche de moi, pose ses deux mains sur mes épaules et dépose un baiser léger sur mes lèvres avant de reculer pour voir ma réaction. — Alors, prêt pour une "Nuit Romaine" inoubliable ? dit-elle avec un petit sourire.
Je ne réponds rien, la prends dans mes bras et embrasse sa bouche qui s’ouvre, accueillante. Son baiser est d’une douceur… fondante : tout fond chez elle, ses lèvres, ses bras, mister corps souple. On a l’impression d’être enveloppé… C’est elle qui commence à déboutonner ma chemise, à caresser ma poitrine, à descendre plus bas, à défaire ma ceinture tout en continuant à m’offrir sa langue à sucer. Je sens ma queue durcir, aussi, quand mon pantalon tombe à mes pieds, mon slip est gonflé de façon indécente par mon membre qui se sent plutôt à l’étroit… Avant de faire tomber ce dernier obstacle, elle masse la bosse faite par ma bite, serre la hampe, tâte les couilles à travers le tissu… — Oh, mais tu m’as l’air d’être bien pourvu par la nature, toi ! Regardez-moi ça, dit-elle en baissant mon slip, libérant ma queue qui peut enfin prendre toutes ses aises, ça fait un bon 22 cm, ça, Monsieur !
La voilà à genoux pour contempler de plus près "l’objet du désir", le soupeser, en apprécier la raideur, faire glisser la peau, donner des petits coups de langue sur le gland (légers, légers, heureusement, sinon je serais bien capable de partir…). — À ton tour maintenant, dit-elle en se retournant pour que je défasse sa robe, il y a une fermeture Éclair dans mon dos…
Je fais glisser le zip, la robe tombe à ses pieds. Elle ne porte qu’un string. Je reste quelques instants dans mister dos, ma queue raidie calée entre les globes de ses fesses. Je lui caresse ses superbes seins, pas trop gros, fermes, aux pointes déjà durcies. Je recule un instant pour admirer sa chute de reins, ses fesses épanouies. Je me recolle à elle et continue mon exploration vers le bas pour faire glisser à mister tour le string. Curieusement, je sens une résistance quand j’essaye de le faire descendre. Et quand j’avance mes mains pour caresser sa motte, qu’est-ce que je rencontre ? UNE QUEUE !!! Déjà bandée ! et pas un petit spaghetti, une vraie queue de mec, avec des couilles, et tout ce qu’il faut ! Un travelo !!! Elle (ou il ?) se retourne, un peu inquiète de ma réaction (ça se comprend…). — Eh oui, je ne t’ai rien dit avant car la plupart des hommes se défilent si je les préviens, même si c’est bien souvent leur plus secret désir de baiser avec quelqu’un comme moi…
Alors là, je suis complètement scié ! Comment un homme peut avoir un corps aussi parfaitement, idéalement féminin ? Tout y est : la finesse des membres, des extrémités, la courbe des hanches. Bon, pour les seins, d’accord, n’importe qui peut se faire faire la poitrine de Laetitia Casta, mais le reste, le reste !!! — Alors qu’est-ce qu’on fait ? dit-elle d’une petite voix timide.
Moi, j’ai commencé à sérieusement débander, je ne sais plus où j’en suis… Je vais m’asseoir sur le divan pendant que Sophie (appelons-la comme ça, finalement…) se tient toujours debout, maintenant un peu rassurée sur mes réactions, les mains sur les hanches et la queue toujours dressée. Une bien belle queue, par parenthèses, 18 cm au moins, bien cambrée, le gland large, rose, où perle une goutte de semence. Je me rappelle à présent la scène d’hier soir à mon hôtel : j’ai l’impression que je commence à retrouver le même genre d’excitation… Toutes ces pensées, ajoutées à l’attitude toujours aussi effrontée de Sophie, qui me regarde en souriant, campée sur ses deux longues jambes au beau milieu de la pièce et la queue toujours au garde-à-vous, commencent à produire leur effet : je sens ma queue qui recommence à gonfler, qui s’allonge à vue d’œil. Je ne vais pas tarder à me retrouver bandant comme un âne… Plutôt que dire quelque chose (et qu’est-ce que je pourrais bien dire, je vous le demande…), je me contente de m’installer confortablement sur le canapé, les jambes écartées, pour montrer à Sophie les progrès que je viens d’accomplir dans l’acceptation de la situation imprévue qui est la nôtre… Quand elle aperçoit ma bite, maintenant fièrement dressée, elle sourit franchement et vient s’agenouiller entre mes cuisses. — Je savais bien que tu en aurais envie, dès que je t’ai vu, j’ai compris que tu serais finalement d’accord…
À peine ces paroles mémorables prononcées, la belle approche, sans plus attendre, sa bouche de ma queue qui palpite d’impatience. Elle commence par la lécher sur toute sa longueur, depuis les couilles jusqu’au gros gland décalotté, elle agace la tige vibrante, ses cheveux défaits ajoutent à cette caresse qui devient vite insupportable : ma bite est tellement dure qu’elle est presque douloureuse… — J’en peux plus, vas-y, suce-moi à fond, tu vas me rendre dingue !
Elle me regarde avec un petit sourire indulgent, puis, après avoir redressé ma queue vers mister visage, sa bouche se referme délicatement sur mon gland congestionné pour commencer une vraie fellation. Mais alors là, quelle fellation ! Une langue qui me masse le gland avec tellement de douceur, une bouche qui m’engloutit presque jusqu’aux couilles. Sa main droite me masse les boules, elle les fait rouler doucement, les presse comme pour en faire sortir le jus (ce qui ne va pas tarder, si elle continue…). Je sens mister autre main qui cherche à se glisser sous mes fesses. Je comprends, le cœur battant, qu’elle cherche à atteindre mon anus. Pour lui faciliter la chose (c’est bien le moindre…), j’avance le plus possible mon bassin au-dessus du canapé. Un doigt se glisse dans ma raie, la parcourt d’abord tout du long, avant de s’arrêter sur ma rondelle dont il masse le pourtour avant d’appuyer doucement pour le faire pénétrer… C’est délicieux, divin, mon orgasme est imminent. — Vas-y, viens, laisse-toi aller, je vais te boire, envoie-moi tout ton foutre, j’adore ça !
Je sens le plaisir monter, monter. L’orgasme va être complètement génial : — Oh, je viens, je viens ! Putain, c’est trop fort !
Au moment où je commence à gicler, elle enfonce résolument deux de ses doigts dans mon cul : j’ai l’impression que mon sperme jaillit avec une power incroyable, en tout cas, je jouis comme un dingue, longuement, jusqu’à ressentir un plaisir suraigu, vers la fin, à la pointe de ma bite qu’elle a gardée dans sa bouche pour avaler tout le jus… Génial ! Je m’écroule sur le canapé…
À suivre… Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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beur40ans
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Nuit romaine - 03 Sophie se relève pour nous resservir à boire - j’en ai bien besoin - et j’en profite pour lui poser les questions que me brûlent les lèvres depuis un moment. — Comment peux-tu avoir un corps aussi parfaitement féminin tout en étant, par le sexe, un homme, c’est complètement incroyable ! — Ecoute, je ne sais pas, mais on dirait que la nature s’est un peu trompée avec moi… Je me suis toujours sentie femme, depuis ma puberté : je n’ai pratiquement rien eu à faire pour achever ce que la nature avait commencé, juste les seins que j’ai fait "retoucher". À part ça, je ne prends rien, pas d’hormones, je n’ai pratiquement pas besoin de me faire épiler, pas plus que les autres femmes, en tout cas… — Et tu n’as jamais eu envie de te faire opérer ? — Quelle horreur ! Mais je suis très satisfaite de mon pénis, je ne voudrais pas le perdre pour rien au monde ! Ça me permet de jouer sur tous les tableaux, avec les hommes comme les femmes, bi-sex ou homo, et je peux te dire que je ne m’ennuie pas ! Il n’a que les machos purs et durs qui mistert trop coincés pour s’autoriser les fantaisies que je pourrais leur offrir, mais franchement, je ne pense pas y perdre grand chose… j’adore ça, faire l’amour de toutes les façons et vivre, comme ce soir, des situations imprévues et plutôt marrantes ! Tu aurais vu ta tête tout à l’heure, j’ai dû faire de sacrés efforts pour ne pas éclater de rire ! …
Nous sommes là, vautrés sur le grand canapé, devant la baie vitrée d’où l’on peut découvrir tout Rome à nos pieds. Sophie s’est installée contre moi et, tout en sirotant le verre de champagne, je détaille une nouvelle fois, sans m’en lasser, mister corps incroyable. Sa queue, maintenant débandée, repose comme un coquillage sur sa cuisse. Elle a quitté ses escarpins et j’admire la finesse de ses jolis pieds, aux ongles du même rouge que les ongles de ses mains. — C’est la première fois que tu fais l’amour avec quelqu’un comme moi ? — Oh oui, ça tu peux le dire, et hier matin, si on m’avait dit ce qui allait m’arriver, j’aurais été le premier à éclater de rire ! — Pourtant, quand je t’ai vu à la terrasse du café, j’ai parfaitement senti que tu étais disponible pour vivre ça… — Oui, en fait, c’est vrai, j’étais prêt à quelque chose, tu as raimister. Figure-toi que j’avais assisté, à mon hôtel, hier soir, à une scène incroyable…
Pendant que je lui raconte, avec tous les détails, la séance d’enculage de mes voisins de chambre, je vois la queue de Sophie qui recommence à gonfler, qui s’allonge tout d’abord le long de sa cuisse, puis qui change de direction pour pointer vers mister nombril et finit par rester complètement bandée, tendue comme un arc, à 1 cm de la peau de mister ventre… J’achève mon récit, comme si de rien n’était, en insistant sur les détails les plus excitants de l’histoire… Elle se met à soupirer, à se tortiller. Elle s’étire, met ses bras derrière sa tête, offre mister beau corps, appelle mes caresses et finalement me regarde d’un œil humide : — Tu n’as jamais sucé une bite ? — Jamais ! — Eh bien, je crois que le moment est venu, non ? dit-elle en m’offrant ses lèvres.
Ma bite est redevenue dure. J’ai le cœur qui bat la chamade. Je me penche vers sa queue qui palpite au rythme de mister cœur. Comment faire ? J’avance la main… Dès que je l’effleure, tout mister corps se tend, vient au-devant de ma main. Je retarde le moment d’une caresse franche, je commence par toucher ses cuisses, en remontant mais sans aller jusqu’au sexe, je fais des tours et des détours… Sa bite a encore grossi… Elle écarte complètement les cuisses et commence à haleter : — Oh, je n’en peux plus, t’es un vrai sadique ! Vas-y, touche-moi, branle-moi, suce-moi la queue, mais putain, fais quelque chose !
Je caresse à présent les couilles, toutes gonflées, et fais rouler doucement les boules sous mes doigts. Puis je remonte, empoigne le membre pour en apprécier la dureté, fais glisser la peau. Sophie recommence à gémir : — Allez, suce-la ! Qu’est ce que t’attends ?
L’instant est magique : j’approche ma bouche du membre, donne des coups de langue sur le gland. Enfin, je n’y tiens plus moi non plus, je me l’enfonce avec avidité dans la bouche, aussi loin que je peux tout d’abord, puis je reviens plus calmement sur le gland que je masse de ma langue en l’enduisant le plus possible de salive… Je tête cette bite avec un plaisir que je ne cherche pas à dissimuler, poussant des gémissements : — Qu’est-ce que c’est bon ! Je pourrais te sucer pendant des heures ! — Oh oui, c’est délicieux, c’est bon ! On dirait que tu as toujours fais cela ! Mais si tu continues, je vais te gicler dessus, mon beau… C’est ce que tu veux ? — Mmmmmm ! — Moi, j’ai eu l’impression, quand je t’ai fait jouir, que tu avais une grosse envie de te faire enculer, je me trompe ? — Mmmmmm ! — Tu avais le trou du cul à moitié ouvert, il n’y manquait pas grand-chose pour y faire entrer une bite…
Que répondre ? Evidemment, elle a raimister, je ne pense qu’à ça depuis hier !
Avec mister petit sourire habituel de celle à qui on ne la fait pas, elle se penche vers ma bite et nous voilà, couchés sur le coté, dans le plus classique des 69, chacun pompant la queue de l’autre avec un bel ensemble. Je sens maintenant ses doigts, enduits de sa salive, qui me massent la rondelle et qui me pénètrent progressivement. — Attends une seconde, on va avoir besoin d’un peu d’aide…
Elle s’enfuit en riant dans sa salle de bains et revient en brandissant mister tube de crème pour le corps. — Voilà ce qu’il nous faut, avec ça, on pourrait faire passer n’importe quoi !…Allez, à genoux ! Comme la fille de ton hôtel, tu voulais de la queue, eh bien tu vas en avoir !
Je prends donc la même position que celle qu’avait pris la fille, hier soir, les fesses bien relevées, les jambes écartées, l’anus offert… Je sens le gel froid sur mes muqueuses, puis, un, deux, trois doigts m’envahir progressivement. — Prêt ? Attention, le grand moment arrive !!!
Au contact du gland, j’ai l’impression que mon trou s’ouvre avant même qu’il ait été pénétré… Et alors, je sens ma rondelle s’élargir, s’élargir sous la poussée irrésistible du membre. J’avais entendu dire que le début de la pénétration est souvent douloureux et qu’il faut un temps pour s’habituer… Mais là, presque rien, je sens tout simplement ma bague anale complètement distendue, et la queue qui glisse par à-coups vers le fond de mon rectum. Quelle sensation puissante ! Une fois tout au fond, je resserre mes sphincters à la base de la bite pour mieux la sentir, pour la retenir aussi, et je la laisse se retirer partiellement en les desserrant. — Eh bien dis donc mon salaud, pour une première, c’est un coup de maître ! Mais tu me tètes la bite comme une vraie salope ! Où est-ce que tu as appris à faire ça ? Y’a que les pédés endurcis qui font ça aussi bien ! Allez viens, puisque tu es déjà un vrai connaisseur, je vais te montrer quelque chose d’assez génial.
Elle sort sa bite, se place sur le dos et en redressant avec sa main sa queue à la verticale : — Viens sur ma bite, mon bel enculé, je vais pouvoir te branler en même temps, là, tu vas grimper au 7ème ciel !
Je m’assieds sur la queue qui rentre évidemment sans aucun effort dans mon anus resté complètement ouvert. Je bande plus que jamais. Ma queue bandée ballotte lourdement à chacun des mouvements de va-et-vient que je fais sur le membre. La position est vraiment géniale. Sophie me masturbe doucement en même temps et elle m’enduit la bite de sa crème… Qu’est-ce qu’elle a encore dans la tête ? — Allez, on reste comme ça, mais maintenant, c’est toi qui m’encules, hein ? Chacun mister tour, y a pas de raimister pour que ce soit toujours les mêmes qui en profitent !
Elle relève ses jambes pour présenter mister anus, lui aussi déjà entrouvert. J’appuie et rentre bien moins facilement qu’elle… Je pousse et peine pendant quelques instants avant de sentir la rondelle céder brusquement.
Hou la, la ! ça, c’est une grosse ! Attends, ne bouge pas, il faut que je m’habitue ! Permisterne ne m’a préparé le troufignon, moi !
Je commence à glisser lentement tout en masturbant lentement sa queue gluante de crème . — Oh, ça commence à être bon ! Vas-y rentre à fond… ressort complètement maintenant, oui, c’est ça, je veux sentir ton gland passer de nouveau ma rondelle… Oh oui, c’est ça, qu’est-ce que je le sens… continue.
C’est moi qui prends l’initiative de déculer pour me remettre sa bite dans le rectum. — Tu vois, elle me manque déjà ta queue ! Allez, 2 minutes chacun, pas plus ! C’est celui qui jouit le premier qui a perdu, d’accord ? Moi je parie que c’est toi qui vas partir la première…
On change 3 ou 4 fois la position, mais je commence à avoir des doutes sur ma capacité à me retenir plus longtemps, que se soit dans mister cul ou dans sa main, j’en ai plus pour bien longtemps… Eh bien non, pas du tout, alors que c’est à mon tour d’avoir sa bite dans le cul, c’est elle qui part : — Oh ! C’est moi ! Je ne peux plus me retenir, je viens, je viens, je vais te balancer tout mon foutre dans ton cul de salope, Arghhhh ! C’est trop fort, j’en peux plus ! Serre-moi bien la queue avec ton cul, serre, serre !
Comme je sens sa queue glisser plus facilement, je ressors presque entièrement pour la voir enduite de mister propre sperme, abondant, crémeux… Mélangé à sa crème, ça fait une vraie mousse ! Ca me met dans un état d’excitation dément, je m’assieds d’un coup vulgarement sur la bite que fais rentrer jusqu’à ses couilles. Et c’est avec sa grosse queue abutée au fond de mes entrailles que je gicle à mon tour, envoyant sur mister visage toute la purée qui n’étais pas sortie au tour précédent… — Oui, c’est ça, gicle-moi dessus, vas-y, donne-moi tout ton foutre, gicle, gicle ! dit-elle en me masturbant frénétiquement jusqu’à ce que ma bite soit tarie. Elle lèche et avale le gros paquet de sperme qui lui est tombé au bord des lèvres puis se masse tout le corps avec le reste qui s’est répandu sur mister cou, sur ses seins et sur mister ventre…
On s’écroule tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, épuisés, vidés… Quelle "Nuit Romaine"!!! FIN Prenez l'habitude de bien baiser votre femme, vous lui �viterez le d�rangement d'aller se faire baiser par vos copains
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