Petits et gros culs poilus

C'est marrant comment c'est fait, la vie : je m'étais toujours promis, et je l'avais d'ailleurs annoncé, que mon millième post sur lez forum serait un truc bien particulier, une giga-production que je balancerai après une soigneuse et intense préparation, un trip spécial à vous faire partager. Et puis vlan !, voilà t'y pas que je tombe nez à cul avec ce topic, consacré à une de mes inavouables passions : le derche poilu, la ravine culière embroussaillée, le chemin des dames avant le passage des cantonniers et le déluge de schrapnell austro-prussien, la bordure de cratère à l'état sauvage, le Vésuve façon OGM (Orifice Génitalement Mettable) vierge de toute intempestive intrusion déforestive d'origine Bovéiste. Derechef, et derecul, je humais déjà d'ici l'affolant parfum des oignons 100% ***, je me régalais outrecuidamment de ce spectacle en lumière et odorama des Puy du Fion libres de tous interdits villiéristes. Et je m'apprêtais à me goinfrer furtivement et en silence de ces raies noires et beurrées offertes à mon appétence de vieux pervers pépère. Las et mortes couilles, il se trouve que cavalier, l'honorable et inspiré auteur de ce superbe topic, vient sans prévenir, à la fois, de me gâcher mon obscène et politiquement incorrect plaisir masturbatoire sur des images que l'hygiène et les esthéticiennes réprouvent, et de provoquer mon ire au point de me sortir de ma prudente, silencieuse et discrète réserve. En effet, l'infâme icelui, dans sa dernière autant que navrante production, nous offre à contempler, de chaque côté de la vallée des mille plaisirs de sa Belle et bordant *** affriolant et pétaradant oeil de cyclope, d'affreuses pustules purulentes sur les globes fessiers de la donzelle. Alors, révolté tel un Président de la Raie Publique de qui on aurait pollué la pelouse de l'aire de jeu de *** meilleur ami, je m'insurge, hurle à l'insupportable injure faite au bon goût et à la *** de propriété, et sans autre forme de procès congédie et condamne à l'opprobre publique le fâcheux. Saches le, cavalier aux moeurs et usages si cavaliers, que ta femelle embaume à foi*** de *** cul foi***nant, soit, mais que tu ne veilles point à lui enduire de crème antiacnéique ses rotondités fessières avant de les photographier relève purement et simplement de la malveillance notoire. Pour le cul, je le rappelle aux oublieux et aux hagards (du Nord, de l'Est et du Mont Parnasse ou d'ailleurs) il n'y a qu'une seule devise qui vaille : il ne faut jamais confondre pue et pus. Qu'on se le tienne pour dit !!!