la bétise d'Adam

Voilà, il fallait bien que cela arrive, j’ouvre mon topic. Je ne l’aurais probablement pas fait si cela n’avait été contractuel mais ceci est une autre histoire…
Commençons par expliciter le titre. Bien qu’étant agnostique, je me suis intéressé comme tout un chacun à l’histoire de notre culture judéo-chrétienne comme on dit. J’ai pu ainsi découvrir que dieu, dés le début de l’humanité, créa l’homme Adam ET la femme Lilith. Lilith était insoumise et refusa de recevoir mister homme en étant dessous. Adam ne voulu pas entendre parler d’égalité aussi Lilith, parée des ailes que lui apportèrent des anges quitta l’Eden pour venir hanter la nuit des hommes. Qu’il était bien bête cet Adam de n’avoir pas accepté les désirs de Lilith pour lui préférer Eve.
Voici pour la petite histoire, maintenant rentrons dans le vif de notre sujet. Je m’appelle Pascal comme chacun l’aura deviné, pour vous mon épouse (deuxième mariage) sera D. Elle a 39 ans, c’est une belle petite brunette, fine et bien faite. Moi j’ai 45 ans, brun, 1m68 pour 70 k. Au plan professionnel, nous dirons que nous sommes tous les deux dans le domaine de la santé.
Sexuellement on peut dire que nous ne sommes coincés ni l’un ni l’autre sans toutefois sortir de « la norme »
Pour mon compte je suis ouvert à beaucoup de phantasme et en ai réalisé bon nombre. D. pour sa part, bien qu’étant assez ouverte, reste limitée, sans doute par mister éducation.
Pourtant il y a 5 ans environ il s’est passé un événement dans notre vie sexuelle qui a déterminé ma présence sur ce site entre autre. Une de nos collègues, qui pratiquait entre autre le libertinage avec mister mari, nous amena, au travers de discussions, à nous poser des questions sur ce type de sexualité. De fil en aiguille nous sommes passé par les soirées cams, ensemble, moi seul avec ma collègue, D seule avec le mari. Le moment est arrivé où nous avons décidé de passer une soirée avec eux dans une boite libertine. Pour voir comme on dit….je connaissais ce type d’endroit pour en avoir souvent fréquenté seul mais D elle ne connaissait pas. Je vous passe sur les après-midi shopping lors desquelles j’ai pu offrir à ma belle de magnifiques tenues très très sexy et l’excitation lors des essayages.
Enfin la soirée est arrivée. D avait revêtu une belle robe noire complètement transparente avec juste des pièces de vinyl au niveau des seins et du sexe avec dessous un magnifique ensemble mini mini.nos amis mistert passés nous chercher et après un verre nous sommes partis vers notre destination. Arrivés sur place, présentation, visite et nous nous installons pour boire un verre. Au bout d’un moment, le mari de notre collègue que nous appellerons S invita mon épouse à danser, série de slows oblige. Je fis de même avec notre collègue C. Etrangement je passais mon temps à essayer de me retrouver dans une position où je pouvais voir mon épouse et j’avais du mal à penser à être un minimum présent pour ma cavalière. Je les voyais se coller, s’embrasser, j’avais une grosse boule de chaleur dans le ventre et la sensation était extraordinaire. Au bout d’un certain temps ils ont quitté la piste pour se diriger vers le premier étage où se trouve les alcôves. D ne s’est même pas arrêtée pour me faire un signe et je me suis aperçu qu’ils montaient alors qu’ils étaient déjà au pied de l’escalier. D prenait ses ailes.
voilà pour l'instant à bientôt pour la suite et j'espere notre évolution vers d'autres choses

Ah la bible ! Où la génèse du porno

La Bible recèle bien des choses terribles, ça y baise beaucoup, y compris avec des animaux..

Un Dieu acariatre qui exige, qui punit... Brrr...

Il a même imposé l'cuckolde aux filles et fils d'Adam et Eve, c'est vous dire ! Guère mieux pour leurs petits enfants.. Il a fallu des générations pour ça cesse de baisouiller en famille..

Comme quoi le dogme (en matière de croyance) est d'une inmisterdable stupidité. Dire qu'aux USA les adeptes d'une lecture littérale de la Bible veulent imposer mister enseignement à la place du darwinisme.. Bref nous serions tous des enfants cuckoldueux..

Mais il y a le bon côté des choses ! Nos belles soeurs qui nous font tant bander, allez hop, au lit ! Nos jeunes tantes, nos cousines affolantes, hop ! Que tout ça copule généreusement car on nous a demandé de croître et de nous multiplier !
J"aurais bien participé à la multiplication effrénée de l'époque
aime la vie / like the life / liebe die Leben

Je partage ton point de vue sur tous les plans...

bonjour, je n'aurais jamais imaginé que mon début sur le topic aurait pu déclencher une reflexion sur les écrits bibliques...lol
je travaille en ce moment mais j'espere pouvoir faire un second envoi d'ici le we pour continuer notre histoire et merci à ceux qui alimentent ce topic, hélas peu nombreux...

C'est le lot de tous les topics...




Nous t'attendons de pied ferme pascal

mon prophète à moi, sexuellement parlant s'en sortait pas mal d'après ce qu'on dit... (9 femmes en tout). De plus ils nous a demandé de croire aux gens du Livre (ancien et nouveau testament)... Je crois, je crois.

Très jolie histoire (comme toutes celles réellement vécues) Pascal, régale nous encore, quitte à faire une pause dans ton boulot.
La vie est une question de priorité (Magnum, une glace du XXieme siècle, il faut toujours citer une citation (c'était la phrase du jour))

Perso, j'ai toujours eu comme un doute avec ces histoires à dormir debout qui, notamment, nous vantent les exploits d'un fils de charpentier qui finit cloué sur deux planches, ou se met à marcher sur l'eau histoire de frimer devant les gonzesses à la plage (j'aimerais bien le voir essayer de refaire mister numéro après le passage par la case Mont des Oliviers, pépère : ferait sûrement moins le kakou à faire du barefoot à Tibériade avec deux trous dans les pinceaux...)
D'un autre côté, rapport au premier tome des aventures (dénommé Ancien Testament, si mes souvenirs mistert bons, et ce qui n'arrange rien vu que, en matière de droit des successions, le nouveau abroge et remplace l'ancien), il est vrai qu'il m'a été donné de constater, moi z'aussi et pas que dans le désert (y compris en boîte de nuit en plein coeur du 8ème arrondissement, pour être précis), qu'on pouvait facilement tomber sur des buismisters ardents pour autant que la gonzesse propriétaire du poilu en question ait un tantinet le feu au derche. Et qu'un timisternier, même modestement proportionné comme le mien, pouvait correctement attiser les braises de ce genre de phénomène naturel...
Pour le reste, n'ayant qu'une très modeste expérience en matière de résurrection et ma seule ambition affichée étant d'être réincarné, si la métempsychose est une réalité, en la couture centrale du jean slim taille basse préféré de Monica Bellucci, je ne me prononcerai pas sur la question de savoir si Adam a bouffé en premier la pomme qu'il nous a légué au milieu du cou ou l'abricot d'Eve dont le noyau nous serait resté coincé dans la glotte.
Par contre, ayant, vu mon âge, une certaine expérience en matière de lutinage de salopes et de dévergondage de bourgeoises saisies par la débauche, je ne me gênerai pas pour dire que le premier chapitre des aventures de l'auteur de ce topic est particulièrement alléchant et mérite qu'il nous fasse l'honneur et le plaisir de partager avec nous une suite qui s'impose autant qu'elle se fait attendre.
Alors, à défaut d'autre chose, j'espère que cette prière impie sera entendue et exaucée, et je me permets de lui rappeler qu'il faut toujours mieux confesser ses péchés au Diable qu'à Dieu pour les mêmes bonnes raimisters qui font que, lorsqu'on a un problème de vue, il est préférable de consulter un ophtalmologiste qu'un aveugle !!

Oui, apporte nous "quelques grammes de finesse dans un monde de brute "
Merci Lindt

jeudi soir , promis juré !!!
parce que là , désolé, je suis un peu en surchauffe...

prends donc un Gini, la plus chaude des boismisters fraiches.

Eh beurpourcouple ! Yé né pas oune grosse voitule mais yé fé bien le café !

Il me semble, à distance que j’aurais voulu, à ce moment là, temporiser et attendre un peu avant de les suivre, mais ma partenaire de danse me proposa de monter à leur suite. Nous montâmes donc trois ou quatre minutes après eux. Je regrette aujourd’hui d’avoir fait passer ce que l’on pourrait appeler de la courtoisie pour C. avant mon instinct. En repensant à ce moment où D. partit avec mister partenaire sans même me jeter un regard, c’est toujours pour moi une vive émotion, mon rythme cardiaque s’accélère et j’ai comme une boule au creux de l’estomac, sans pouvoir définir le sentiment que je ressens. Enfin pour tout vous dire c’est toujours un énorme plaisir que de revivre, à distance hélas et seulement par la pensée, ce moment où ma femme m’a échappé pour vivre sa sensualité pour elle seule.
Mais reprenons le cours de l’histoire. Quand nous sommes arrivés au 1er étage, permisterne à l’horizon proche, ils s’étaient déjà isolés… ?! Pourtant il n’y avait eu que très peu de temps entre leur montée et la notre. L’envie devait être pressante

Nous nous dirigeâmes donc vers le fond de la salle où s’ouvrait une petite pièce, genre de chambre, très basse de plafond, avec un grand matelas qui occupait presque toute la superficie. Ils étaient là, nous attendant sûrement puisque la porte était restée ouverte. En faite je pense que c’était plus pour que nous ne nous sentions pas exclus du jeu, par convention en somme, car ce qui les occupait ne les autorisait pas à avoir une quelconque attention pour nous. Lui était allongé sur le dos, les jambes sortant du matelas et D. à califourchon sur lui, en train de l’embrasser, plus que voracement à ce que je pouvais constater. Il devenait de plus en plus difficile pour moi d’avoir de l’attention pour ma partenaire et je dû fournir un gros effort pour lâcher la vision que je captais et faire un peu de cas d’elle. Mais les conventions et l’idée que je me faisais d’un minimum de courtoisie m’ont poussé à m’occuper de C.

Tandis que je l’embrassais mon esprit était ailleurs. A un moment C. c’est détachée pour enlever ses chaussures, j’en ai profité pour m’allonger au coté de D. qui était à ce moment là sur le coté de mister amant, toujours en train de l’embrasser.
Le bas de sa robe était impudiquement remonté sur ses fesses, qu’un minuscule string fendait érotiquement. J’avançais la main vers la chaleur de mister sexe et là je fus surpris par l’abondance de cyprine qui s’en échappait. Je ne me souvenais pas l’avoir senti aussi mouillée que ce jour là et je me plais à penser que ce phénomène est directement relié à l’intensité de l’excitation (si des femmes lisent ce récit peut-être pourront-elles confirmer…) Elle se recula alors et descendit doucement vers la ceinture de S. le dénudant au fur et à mesure de sa descente. Pour arriver enfin vers mister sexe et le prendre goulument dans sa bouche. C’était d’autant plus excitant que D., bien que pratiquant ce genre de caresse avec moi, me dit souvent que ce n’est pas sa tasse de thé et que c’est juste pour mon plaisir car elle n’y prend aucun plaisir.

Mais là manifestement, elle y prenait un grand plaisir et je la voyais s’évertuer à y apporter toute sa sensualité, regardant mister partenaire faisant attention à ses réactions. A ce moment là C. vint me rejoindre et je fus momentanément coupé de l’action qui m’intéressait

Excellent recit, Francais quasiment parfait, ce qui, d'ailleurs, lui ajoute une note particulière. Continue, cher pascal17, nous voulons connaitre la suite, ainsi que la fin bien evidemment.

encore un petit bout....
Je m’occupais donc de C, la caressant, la déshabillant petit à petit et elle en faisait de même. Dés que je le pouvais je regardais vers nos deux compères. Hélas pas si souvent que je l’aurais voulu. Aussi ne me reste-t-il en mémoire que des clichés. Pas assez nombreux à mon gout mais suffisant pour recréer en moi cette immense excitation à sentir ma femme se livrer complètement à un autre. Je revois avec plaisir leurs longs baisers, ses mains qui se caressent, ses doigts à lui qui viennent la pénétrer, la main de D qui masturbe ce membre dressé et sa bouche qui vient en prendre possession. Elle suce une autre queue que le mienne, elle caresse d’autres couilles et je sens qu’elle y prend un immense plaisir. J’ai hélas raté trop de choses. Par exemple je ne sais pas si c’est elle qui lui mit le préservatif ou lui qui s’en chargea. J’aurais voulu savoir si elle avait décidé du moment où elle avait voulu sentir sa queue en elle et voir mister visage en lui déroulant mister petit morceau de latex. Etait-elle pressée, gourmande, anxieuse, ou profitait-elle tout simplement du moment ? Toujours est-il qu’à un moment je me retournai et vis D sur le dos, ses jambes bien écartées, et S sur elle lui enfilant mister sexe bien profond. C’était superbe. Etant juste à leurs pieds je pu profiter du spectacle quelques secondes avant C ne vienne me détourner de cette extraordinaire vision. Ma femme se faisait pénétrer par un autre.
la suite arrive

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