pat87
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Bonjour a tous. Voila un petit moment que je n’ai pas pris la plume (ou plutôt le clavier) pour raconter la suite des sevices et offenses que me fait subir ma divine et severe Patricia. Depuis ses premieres frasques, la liste de ses amants est longue comme un jour sans pain ! Quand a moi, je porte maintenant tres regulierement une cage de chastete que Patricia m’a oblige a acheter, en particulier lorsqu’elle sort rejoindre un amant, m’empechant ainsi de me branler en mister abscense. Ce nouvel episode que je vais vous narrer est arrive au mois de Juin. Nous etions partis passer le week-end sur l’ile d’Oleron, ou nous possedons une petite propriete. Oh joie, avant le départ patricia ne m’avait pas mis ma cage ; je pouvais donc esperer avoir l’honneur de l’honorer, ou du moins de me masturber en l’admirant. Mais je dechantais vite, car des notre arrivee, elle sortit la cage de notre sac de voyage et entreprit de me la mettre. La garce ! Une fois arnache, ma maitresse me tendit un maillot de bain moulant (et non un short de surf comme d’habitude) : « Enfile ça on va a la plage. » « Tu n’y penses pas ? Tout le monde va voir la cage avec ça ! » « Ta gueule cocu ! Obeis ou j’y vais seule ! » Je me resignais a lui obeir en baissant les yeux, et constatait que mes craintes s’averaient exactes. Impossible de ne pas voir a travers le tissu du maillot de la cage que je porte. En partant, je me dirigeais en voiture vers la plage de la Remigeasse ou nous avons l’habitude d’aller. « Non cocu, aujourd’hui nous allons a Boyardville ! » Boyardville ! Je comprenais enfin. Une partie de cette plage est connue dans la region pour etre une plage naturiste tres chaude. Anxieux et excite je changeais donc de direction et me dirigeais de l’autre cote de l’ile. Arrives sur place, Patricia m’ordonna de retirer mon maillot. Je me retrouvais nu avec une cage de chatete sur le parking bonde. Au lieu de descendre directement sur la plage Patricia prit le chemin des dunes qui surplombe la plage. Autant la plage était presque deserte, autant la dune elle était tres « frequentee ». Je vis sur les premiers visages que nous croisions des sourires moqueurs. J’avais beau essayer de masquer ma petite bite encagee avec ma serviette de bain, nombreux furent ceux qui purent constater mon etat de soumis. Apres une dizaine de minutes de marche, ma maitresse trouva l’endroit plaisant et decida de s’installer. La serviette posée sur le sable (moi je n’y avais pas le droit !), elle se deshabilla et offrit mister corps nu aux rayons du soleil et au regard de quelques voyeurs qui l’avaient déjà reperee. Au bout de quelques instants elle me dit : « J’ai laisse mes cigarettes dans la voiture, va les chercher ! » Je devais donc refaire le trajet sans cette fois de serviette pour essayer de me cacher. Le chemin vers la voiture me sembla tres long sous les sourires et les moqueries des couples et des hommes installes dans ces dunes. A mon retour, surprise ! Patricia n’était pas seule. Elle discutait avec deux mecs relativement jeunes qui s’etaient accroupis face a elle. Je pouvais voir leur sexe qui me semblaient enormes. Eux avaient une vue imprenable sur l’intimite de ma maitresse qui semblait parfaitement a l’aise les jambes grandes ouvertes devant deux parfaits inconnus. « Tes cigarettes… » lui dis-je . « Vos cigarettes maitresse ! Tu te crois ou ? » « Pardon maitresse » repondis-je penaud. Les deux gars eux se marraient franchement : « Incroyable, tu l’as vraiment bien dresse. Si on allait se baigner ? » « Bonne idee ! » puis a mon attention « Toi tu restes la et tu surveilles mes affaires » Je restais donc là impuissant, assistant de loin aux ebats dans l’eau de mon epouse avec ses deux nouveaux « amis ». Elle batifolait de l’un a l’autre, embrassant l’un a pleine bouche, caressant le torse de l’autre en lui mordant les tetons. La baignade terminee, le trio revint vers moi en riant. Les deux hommes montraient maintenant un debut d’erection laissant imaginer la taille impressionnante de leur sexe. Ma cruelle maitresse s’allongea sur sa serviette, jambes grandes ouvertes et s’adressant a moi : « Allez cocu, eloignes toi ! J’ai mieux a faire que de supporter ton regard de cocker ! » M’eloignant de quelques metres, je vis les deux hommes se rapprocher de mon epouse et commencer a la caresser. Le premier l’embrassait tout en lui petrissant les seins, tandis que le deuxieme lui massait l’entrejambe. Tres vite ses mains furent remplacees par sa bouche. Patricia entrait en pamoimister, la tete renversee en arriere. « Oh ouiiiii, comme c’est bon ! Continue ! ouiiiiii comme ça ! » Finalement, apres quelques minutes de ce traitement, elle jouit une premiere fois sous la langue et les mains de ses amants. De mon cote, je souffrais le martyr, ma queue gonflee par l’excitation, mais compressee par la cage de chastete. Les deux hommes affichaient maintenant des erections impressionnantes. Leurs sexes etaient au moins deux fois et demi plus longs et gros que le mien (je ne fais que dix centimetres en erection). Celui qui l’avait leche se positionnait entre ses cuisses pour la penetrer apres avoir enfile un preservatif quand ma femme lui dit : « Attends une seconde…. » Et a moi « Viens ici cornard ! C’est toi qui va le guider en moi ! ». Je m’approchais du trio, puis tremblant d’excitation et de frustration, pris le sexe en main et le plaçait a l’entree de la vulve de ma maitresse. L’homme poussa doucement, et je vis a cinq centimetres de mes yeux ce sexe enorme penetrer l’intimite de ma femme. Son compagnon ne restait pas en reste, apres avoir lui aussi enfile un preservatif, il positionnait sa grosse bite devant la bouche de ma femme. Celle-ci l’engloutit en poussant un gemissement de plaisir. Elle était maintenant remplie des deux extremites et semblant aprecier fortement la situation. Quand a moi, j’assistais impuissant a ces ebats, etant toujours dans l’impossibilite de me caresser, mon petit sexe coince dans la cage de chastete. Apres quelques minutes, les deux hommes inverserent les roles. Celui qui limait ma femme entreprit de literallement lui baiser la bouche, tandis que l’autre prenait sa place dans sa chatte. Elle aimait ça la salope ! elle gemissait de plus en plus fort, pour finalement partir dans un violent orgasme qui la fit hurler ! La voyant jouir aussi fort, les deux hommes calmerent leurs ardeurs. Mais ma maîtresse n’avait pas dit mister dernier mot. Elle demanda a un des deux hommes de s’allonger sur la serviette de plage. Lorsqu’il fut en position, elle s’empala sur lui, mais a ma grande surprise, par derriere (elle ne m’avait jamais autorise ce privilege, pretextant qu’elle n’aimait pas la sodomie.). Une fois le cul bien rempli, elle me demandea de guider le deuxieme dans sa chatte. Encore une fois je m’executais, domine par cet etrange sentiment d’excitation, de frustration et de jalousie intense. C’était la premiere fois que je voyais une double penetration en vrai, et qui plus est c’était ma femme qui était la vedette de cet exploit ! Les deux hommes se mirent a bouger lentement dans les deux orifices de ma femme, puis accelererent progressivement dans un synchronisme parfait. Apres quelques secondes Patricia se mit a crier de plaisir : « Ouiiii c’est si bon ! Encore ! Regarde cocu comme ils me baisent bien ! Ils me défoncent les deux trous ! Ouiiii, continuez……. » Elle eut quelques secondes plus tard un nouveau violent orgasme qui la laissait epuisee, en sandwich entre ses deux amants. Une fois qu’elle eut repris mister souffle et ses esprits, elle leur demanda de se branler sur elle. Ils defirent les preservatifs, et ne se firent pas prier. Ils agitaient tous les deux leur grosse queue au dessus de ma femme tandis qu’elle leur caressait les couilles. Ils giclerent un flot impressionnant de sperme, l’un sur la poitrine, l’autre sur la chatte de ma bien aimee. Pour les remercier de tant de bonheur, Patricia les embrassa tous les deux a pleine bouche, en continuant a caresser leurs couilles. Puis elle m’appelle sechement : « Viens ici et nettoye tout ça ! » J’allais prendre une lingette dans le sac quand elle intervint : « Avec ta langue connard ! » Je m’executais penaud sous les rires des deux hommes. Lorsque j’eut termine de nettoyer sa chatte, mister anus et ses seins de tout le sperme, ils retournerent tous les trois se baigner quelques minutes, puis les hommes prirent conge de mon epouse sans meme jetter un regard vers moi. Lorsqu’il furent partis, Patricia s’approcha de moi,et totu en enserrant fortement mes couilles dans sa main gauche, elle me dit : « La prochaine fois j’espere trouver un mec bi, comme ça tu le suceras et il t’enculera ! » Ce squelques mots plus la pression de la main de ma femme sur mes couilles firent que je jouis dans ma cage sans meme bander. Elle eclata de rire, puis me dit : « Tu retournes a la voiture comme ça, et ne t’avise pas d’essayer de t’essuyer ! » Je du donc encore une fois affronter les regards moqueurs, et les colibets de tous ces libertains qui etaient sur le chemin du retour vers la voiture. Il faut dire que je devais etre ridicule, ainsi encage, un fin filet de sperme perlant au bout de la cage. Je n’eut le droit de remettre mon maillot qu’une fois sur le parking, au moment de remonter en voiture. Ce que j’ignorais encore, c’est que Patricia avait prevu de sortir le soir meme avec ses deux amants de l’apres-midi. Mais ça c’est une autre histoire…………. cocu a petite bite aimant porter de la lingerie
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