Histoire torride trouvee sur le net

Elle m a surpris et pour cause... Je suis mari? depuis 2 ans avec Angela. Je lai rencontr? après une s?paration douloureuse. Elle ma tout de suite attir?e même si cot? sexualit? un monde nous s?pare (ou nous s?parait) J ai toujours ador? le sexe depuis mes d?buts tandis que Angela est très timide et prude et ce contente à mon grand regret lors de rapport sexuel du strict minimum. Adieu les pipes et autres broutes minous. Et la sodomie, même pas j'y pense... bref au lit c'est l'ennuie mais heureusement elle est adorable avec moi.
Pour notre voyage de noces nous avons d?cid? de faire un trekking au mali pendant 15 jours, le d?part ayant lieu 1 semaine après notre mariage. Dans ma valise j’avais pr?vu un stock cons?quent de pr?servatifs car Angela pour raimisters m?dicales ne pouvait prendre la pilule, je voulais quand même profiter de notre voyage.
Notre groupe ?tait compos? de 5 couples ; nous etions les plus jeunes, moi 24 ans et ma copinne 22, avec un guide, un cuisinier et mister comis ; tous trois maliens.
Apres le premier jours de marche et comme souvent après avoir mont? le camp le groupe se s?para le long du fleuve Niger pour se laver dans l’intimit? derrière un rocher ou un baobab. Nous d?cid?mes de remonter le fleuve sur 500m pour s’isoler car Ang?la est très pudique mais sur le chemin nous avons crois? Boubakar le cuisinier en train de se laver complètement nue dans le fleuve. On le voyait juste de dos mais on pouvait deviner sa musculature et sa peau noire, il devait faire au moins 1m 90 pour 100kg de muscles. Sans faire de bruit nous essayons de le d?passer pour s’?loigner. Mais au même moment il se retourne pour rejoindre la rive et nous fait face. Habitu? à faire du foot sur Paris cela me choque pas trop de voir un homme nue même si je l avoue mister sexe me para?t ?norme au repos mais je peux observer Ang?la qui ne cesse de regarder l’engin discrètement puis leurs regards se croisent. Ang?la devient rouge mais nous continuons notre route. Nous n’avons même pas commenter cet incident avec ma femme même si j’ai pu deviner de l’envie dans le regard de Boubakar, peut être la poitrine Ang?la qui avec mister 95d a toujours attir? les regards.
Aussi bien lors du d?ner que du petit d?jeuner je trouvais Boubakar très gentil avec ma femme, je me doutais qu’il essayait de la draguer mais comme c ?tait discret je ne disais rien et en plus ?a intimidait Ang?la et ?a me plaisait.
Le lendemain après une longue journ?e de marche ; une fois arriv? au camp je vis Boubakar partir sur la gauche pour se laver sur le fleuve. Ang?la fatigu?e, je lui proposai de monter la tente seul pendant qu’elle irait se laver. Je lui demandais de laisser ses sousvetements ici car je voulais faire une lessive. Elle partit donc avec juste une serviette autours de la taille et mister d?bardeur blanc. Sans soutient gorges, on pouvait voir ses deux grandes aur?oles dessous
-Ne t’inquiète pas permisterne te verra; ils mistert tous descendu sur la droite. Prend à gauche.

Bien sure j’avais ma petite id?e en tête, je voulais juste que notre cuisinier puisse mater ma femme à mister insu rien de plus. Je trouvais ?a un peu excitant de savoir ma femme espionner nue entrain de se laver alors qu’elle est très pudique ; j esperais aussi secretement que Ang?la revoie Boubakar dans mister plus simple appareil.
Je d?cidais de suivre quand même l’?lue de mon cœur au cas ou ….Mais tout ne se d?roula pas comme je l’imaginais….
Suivant Ang?la a distance, je la vis croiser Le cuisto alors complètement nue sur le bord de la rivière et il l’a vis aussi. A mon grand regret l’eau lui arrivait jusqu'à la taille lui cachant mister sexe. Une discussion commen?a entre les deux. Je ne sais pas pourquoi mais assez rapidement il lui demanda ou j’?tais ; ma femme repondit au camp mais ils ne se doutaient pas que j’etais cach? juste derriere un arbre a 5 m d’eux ; des qu il a su que je n’etais pas la, il s’est rapproche du bord assez pour que l eau descende jusqu au genou, montrant toute sa virilit?e a ma femme. A vraie il n’en ?tait pas gên?, par contre moi voyais Ang?la toute rouge(ce n ?tait pas que le soleil), elle continuait de discuter mais je la trouvais bizarre, elle ne cessait de fixer Boubakar. Je voyais comme Ang?la aussi mister sexe d’?bène l?gèrement grandir toujours en face d’elle. Apres 10mn de discussion Ang?la voulait partir se laver mais j’entendit Boubakar lui dire de rester ici car plus haut le sol ?tait boueux et dangereux. Il lui dit qu’elle pouvait se laver ici, qu’il avait fini.
-Allez-y, je reste à cot? au cas ou mais jur? je vous tourne le dos pour ne pas vous regarder
Je trouvais un peu limite et direct mais a ma grande surprise Ang?la accepta et en effet il se retourna pendant Ang?la complètement nue entra dans l’eau 2-3 mètres derrière mister « garde du corps » ; J y croyait pas, elle si pudique qui m’empeche de rentrer sous la douche quand elle y est ; est nue a cot? d’un homme inconnu il y a deux jours encore. Certes je la sentais timide dans ses geste pour se laver au d?but puis fur a mesure ses gestes furent plus naturels, je la surpris même a mater le post?rieure de grand black qui lui aussi par de rapide coup d’œil en se retournant la matait discrètement. De la ou j’?tais je pouvais voir sa bite complètement band?e, elle devait faire facile 25cm. Aussi rapide qu’un ?clair il se rapprocha d’elle et commen?a à lui frotter le dos. Elle ne disait rien !! Certes il lui frottait juste le dos mais ils ?taient nue ; fur a mesure ses mains se rapprochaient de sa poitrine. Jetais vert, enerv?. Ma femme sous mes yeux entrain de se faire ploter. Je ne voyais le couple que de dos mais je devinais ses grandes mains noires sur ses gros seins point?s. C’est elle-même qui recula pour coller ses fesses contre Boubakar et sentir mister sexe dure. Je pensais que ?a allait s’arrêter la car ni ma femme ni Boubakar ne bougeaient plus. Et la après peut être 1 minute je vis ma femme pencher la tête en arrière pour l’embrasser à pleine bouche toujours sans se retourner. ?tait presque jolie si ce n’avait pas ?t? ma femme.
Boubakar la pris avec ses bras, la porta et se dirigea vers moi !! M avait t’il vu ? Non il fit allonger Ang?la sur le ventre juste a cot? de l’arbre ou j’?tais cach?. Ma femme ne disait rien. Je vis ce black d’au moins 40 ans s’allonger sur ma femme, sur mister dos et lentement, il pris une main de ma femme pour la poser sur mister sexe et lui dit à l’oreille
-C’est toi qui d?cide poup?e, que veut tu ? Conna?tre un vrai homme comme moi ou rester avec ta lopette de mari blanc ?
-Baise moi r?pondit t’elle et elle dirige?t le grand b?ton noir dans sa chatte.
Ma femme devant mes yeux, elle qui ne parle jamais vulgairement pendant nos rapports r?clame de se faire baiser et en plus elle me fait cocu juste devant mes yeux. 2-3 mètres devant moi derrière cet arbre, j ?tais ?nerv?, jaloux mais c’est curieux j’?tais même pas triste. Pire le bandais alors que lentement je voyais Boubakar s’enfoncer doucement dans ma femme. Apres quelque vas et vient, il r?ussi à enfoncer la totalit? de mister sexe entre ses lèvres.
Je ne rêvais pas non, elle le pris en entier en elle. Il coulissait en elle de plus en plus vite ; avec ses grandes mains noires il lui tenait ses gros seins. Elle jouissait devant mes yeux.
Je r?alise soudain que cet homme fait jouir ma femme devant moi à mon insu et sans capote alors que ?a fait plus d’un an que Ang?la m’oblige à porter des capotes a chaque fois. En plus elle ne prend pas la pilule. Etrangement sur ce point je fais confiance en ma femme qui vas sûrement demander à mister amant de jouir à l’ext?rieur.
Apres peut être 20 mn d une chevauch? virile et sans repos, je bande à mort. Cet homme est incroyable après 20 mn il n as toujours pas joui. C clair qu il est plus endurant que moi. Je n aurais tenu que 10mn a ce rythme. Je n’en peu plus et me branle alors que ma femme jouie sous les coups de boutoirs ; Boubakar s’arrete au fond de ma femme. Ils ne bougent plus ; ma femme reclame, je la vois qui bouge mister cul pour mieux sentir mister etalon. Que ce passe t’il Le cuisinier ne bouge plus ! il se penche en avant et parle à ma femme :
- Ou veux tu que je jouisse, ou veux tu ma crème ?
C’est presque un gentleman, il prend la gentillesse de demander à ma femme ou il doit ?jaculer. Dans ma tête je me dis sur mister dos. Il refait deux trois mouvements hyper violent dans la chatte de femme et repose la question :
-Ou veux tu ma semence ? Tu as d?jà fait cocu ton mari a moiti?, finismisters-en.
Boubakar reprend ses mouvements violents, rapides ; Ang?la n’en peut plus elle jouit encore et encore. Il s’arrête et repose une question, Ang?la est en transe :
-Alors r?pond moi ; lui dit il a l’oreille. Ou ? Tu veux que j’arrête ? Fais ton mari cocu jusqu’au bout. Dis le moi, r?pond si non je ne reviendrais plus te voir pendant ton trek. Assume, fais le cocu jusqu au bout ta lopette de mari. R?pond stp.
Et… ma femme r?pondit timidement :
-Tu peux jouir dans ma chatte
J y crois pas, elle veut mister sperme en elle alors qu’elle ne prend pas la pilule
-R?pète j’ai pas entendu dit Boubakar, r?pète le fort que veux tu ma petite blanchette ? Que veux tu faire à ton mari ?
En même temps il en profita pour lui mettre quelques coups de piston. J’entendis ma femme cri?e à Boubakar entre deux coups de reins
-Donne-moi ton sperme ! Je le veux ! Fais mon ch?rie cocu, remplis-moi, je suis ta salope blanche rien qu’a toi !!
Je vis Boubakar lui mettre un dernier coup et se caler juste au fond de mister ut?rus et lui remplir les muqueuses, lui rincer les ovaires avec mister sperme chaud et fertile. Alors qu’il joui en elle comme sur commande, en même temps je crache mon sperme sur l’arbre. Le monde et fou.
Sans attendre et prêter attention a ma femme Boubakar se rhabille et glisse assez fort a l’oreille de femme :
-A demain soir.
Et il s’enfuie en courant vers le camp, je le suis juste après pour ne pas me faire remarquer et laisse ma femme allonger sur le ventre, rempli à rabbord de sperme.
De retour a ma tente je fais semblant de dormir quand je vois Ang?la revenir comme si rien n’?tait passer. Elle se changea devant moi sous la tente ; je pouvais voir des marques rouges sur mister ventre et sa poitrine ; je savais que c'?tait les racines de l’arbre :
- Dis donc ch?rie, c’est quoi ces marques rouges sur toi ?
- C’est rien je suis tomb?e en me lavant.
- J’espère que tu t’es pas fait mal ch?rie
Je l’a vis rougir en me r?pondant non.
Malgr? qu’elle se soit laver, je voyais encore du sperme couler par sa petite fente ?largie mais je ne dit rien. Je suis triste mais aussi excit? comme un fou par ce que j’ai vu. Etait ce un accident je le saurais demain soir.
Une fois notre tente install?e et avoir fini toutes nos petites corv?es, il ?tait l’heure de d?ner et Boubakar fit le tour des tentes pour nous le signaler. J’?tais curieux de voir le comportement de ma femme lorsqu’il arriverait à la notre. Lorsqu’il fut face à notre tente ; ils nous appela et Ang?la ouvri celle-ci et notre cuisto en se penchant et tout en devisageant ma femme nous dit :
-Pas trop fatigu?e madame par cette journ?e de marche ? J’espère que vous avez eu le temps de vous d?tendre cet après midi. Vous verrez demain soir je connais un endroit tranquille pour vous ressourcer. C’est quoi votre nom au faite ?
Ma femme r?pond :
-Moi c’est Ang?la et mon mari Greg
Le repas est prêt nous r?pondit t-il.
Tout le long du repas je le vis d?visager ma femme sans aucune gêne vis avis de moi et lors du dessert, tout le monde pris de la crème chocolat et alors que ma cherie avait fini mister assiette il me dit :
-Monsieur reveut de la crème, pas la peine de demander à votre femme, elle m’a dit qu’elle adorait la crème.
Ce salop faisait jouait directement et devant tout le monde, sur les mots, je voyais Ang?la rougir l?gèrement. Apres ce d?ner nous sommes partis nous coucher mais ma femme ne laissait rien deviner d’?trange dans mister comportement comme si rien ?tait pass? à part que ce soir la, elle ne voulu pas me faire l’amour.
Le lendemain la journ?e de marche fut tranquille ; nous sommes arriv?es assez t?t au camp. Aussit?t Boubakar vint discuter avec nous et après 5 minutes nous dit :
-Profit? du soleil, allez vous d?tendre, plus loin il y a un gros rocher juste a cote du fleuve pour faire bronzette, a moins que monsieur soit gentleman et pr?fère monter la tente pendant que madame vas se laver.
Je r?pondit a ma femme qu’elle pouvait y aller, j’installerais la tente seule et je rajoutais à destination de notre cuistot qu’il pouvait nous tutoyer. Du coin de l’œil je vis ma cherie fouiller dans mes affaires et prendre discrètement une capote. Je rêvais hier n'?tait pas un accident, elle voulait recommencer ! Je les laissai partir devant et les suivais à distance pendant 10mn, rien ne laissait imaginer la suite dans leur comportement. Je les vis dispara?tre derrière le rocher et me d?pêcha de trouver une place discrète et le plus proche possible. Ce fut facile le rocher tout en longueur et en forme pyramidale fut facile a escalader et je me retrouvais juste au-dessus d’eux, 3metres peut être 4 en retrait, du haut de mon pied d’estale, j’avais l’impression d’être dans une tribune juste 5 mètres au-dessus de la future pièce de th??tre. Boubakar proposa un massage a ma femme qui accepta. Elle se d?vêtit complètement oubliant sa timidit? et s’allonge?t sur le ventre. Je l’entendis dire qu’elle ne voulait pas plus que le massage, qu’hier ?tait un accident ; j’etais a moiti? rassur?. Boubakar sortir une bouteille de crème, Il en versa une quantit? importante sur le dos de ma femme et commen?a à la masser d?licatement. Ce devait être hyper gras car mister corps ?tait luisant de graisse( je sus plus tard que c'?tait de l’huile de palm) Ang?la ne disait rien pendant que Boubakar la massait. C'?tait joli et après 5mn ces mains commencèrent à lui masser les fesses tout en les ?cartant. Son cul brillait à mort.
-ferme les yeux stp lui dit il pendant qu’il se d?shabilla ; il bandait d?jà le salop. Puis d?licatement il commen?a à caresser tout le dos de ma femme avec sa tige. Ang?la se tortillait et g?mis comme a contre cœur :
-Non s’il te plait, arrête.
Mais il ne s’arrêta point et lui caressait maintenant l’entre jambe. J’imaginais mister sexe frotter contre mister clito. Ang?la d’un mouvement brusque s’accroupit pour se rapprocher de mister sac et en sorti la fameuse capote.
-Mets la stp, je prends pas la pilule.
-Non les capotes, c’est pour Greg. Tu te souviens, c’est ton mari. Avec moi c’est sans cette saloperie ou on arrete la !
-Ok on arrete alors ; dit-elle en s’allongeant sur le dos et exposant a notre cuisto sa grosse poitrine et mister petit minou. Mais Boubakar versa de l’huile sur sa poitrine la massa, je pourrai dire peloter. Ang?la referma les yeux, se laissant faire ; je le vis rapidement changer de position et s’asseoir à cheval sur ma femme pour glisser sa bite entre ses seins. J’assistais devant moi a une branlette espagnole. Je n’y avais eu droit ; remarque avec mon sexe de 14cm,c’etait difficile. Ang?la pris la relève et avec ses mains enferma cette belle tige entre ses seins luisant de graisse. Elle ?tait excit?e, je le sentais, le vas et vient sur ses seins la faisait mouiller à coup sur. Boubakar tout en continuant le mouvement lui dit :
-Faut que j’arrete, j’aie le d?n? à pr?parer.
- Non reste stp .
-Pourquoi ?
-‘J’ai envie de toi.
-T sure ? Sans capote ?
-Oui
-T sure ? Dit-le moi ! Pourquoi tu me veux ?
-Oui je te veux sans capote, je veux la sentir
-Je comprends rien parle plus fort !
Et Ang?la craqua !
-Baise-moi ! Je veux une vraie bite, baise-moi. Je veux sentir un homme un vrai ! Ca va me changer de Greg !
-Pourquoi ?
-Seule toi me fait jouir, c’est pas avec sa petite pine que je vais jouir !
J’?tais humili? mais je bandais comme un fou ; Que faire ? Me branler comme un con.
Ang?la pointa sa bite contre sa grotte et Boubakar sans pr?ambule lui enfon?a ses 25cm. Pendant 20mn il ne lui faisait pas l’amour non ; il la d?fon?ait ; Ang?la criait qaund elle le ouvait car mister etalon ne cessait de l’ambrasser avec sa langue. Ang?la, ses mains blanches ancr?es sur les fesses de mister amant jouissait en premier. Boubakar continua 2 mn et s’arrêta :
-Je vais jouir ! J arrete !
-Non cria t’elle !
-Je peux pas j’ai pas de capote !
-Continue je veux ton jus !
-Et Greg ton mari ?
-C est pour lui les capotes ! Je veux ton sperme d?pêche toi !
-tu l’auras voulu salope !
Il fit deux mouvements et rugi en même temps qu’il ?jaculait en ma femme.
Sous mes yeux ma femme me trompait, elle pouvait être enceinte au mieux ou au pire malade mais j’?tais fou excit? et ?jacula sur moi. A la diff?rence de Boubakar je debandait aussit?t alors que lui en se retirant bandait tjours.
-Jai encore envie de toi salope, on a pas fini !Mets toi a 4 pattes, ?carte tes fesses ! Tu es toute sale ! Suis oblig? de m’arrêter. Dommage.
-Attend je vais me laver, je veux recommencer aussi, Greg attendra.
Allez prend ?a dans mes dent, encore une offense de plus !
-Bouge pas j’ai une meilleure id?e, je vais t’enculer.
-Non stp, je l’ai jamais fait
Boubakar commen?a à lui l?cher l’œillet sans lui demander mister avis ; je devinais sa langue entrant dans l’anus de ma femme.
Ma femme commen?a à g?mir. Boubakar rench?rit :
T sure ? Tu veux pas ? Je rentre au camp ? Tu veux pas te faire d?puceler le cul ? Et il retourna lui faire un anulingus ; ma femme ne r?pondit pas.
-T sure ? Tu veux pas essayer ? Te faire d?puceler le cul par un vrai homme, pas par ton pd de mari ?
-D’accord mais va-y doucement !
J ‘en croyais pas mes oreilles ; elle acceptait alors qu’elle me la toujours refus?.
-R?pète princesse j’entends pas. Qu est ce que tu veux ?
-Encule moi cria t-elle d’en un excès de rage.
-Tes d?sirs mistert des ordres cherie. Malheur je peux pas, je suis sale aussi. A moins que…allonge-toi sur le dos, ouvre la bouche.
-Non !
-Tais toi ou je pars ! Ouvre la bouche.
Je le vis approcher sa bite encore pleine de sperme et l’enfoncer entre ses lèvres.
-Nettoie-la !
Ang?la tendait carement la tête pour la gober, c elle qui prenait l’initiative, elle le su?ait à fond, lui nettoyait sa bite pleine de sperme. C est la première fois qu’elle faisait une fellation alors qu’on s’est engueul? des centaines de fois à cause de ?a. Devant moi elle su?ait une bite autre que la mienne et sale en plus.
-Salive Ang?la ! C mieux pour ce qui vas suivre.
-je peux pas j’ai la gorge sèche !
-Bouge pas, ouvre la bouche.
Je le vis cracher un ?norme mollard dans la bouche de ma femme et remettre sa bite dans la bouche.
-Pasmisters au chose s?rieuse !
-Doucement je vais avoir mal !
-Pense à autre chose, ?a atenu la douleur, pense à ton mari qui installe ta tente dit il en rigolant
Il pointa mister gland contre mister petit trou et d’un seul coup s’enfon?a jusqu' au couilles.
Ma femme hurla de toutes ses powers, Cela raimisterna comme pas possible ,sure elle avait mal, je voulais presque intervenir pour la sauver mais je vis Boubakar commencer ses mouvements lentement après quelques secondes d’arrêts pour qu’elle s’habitue. Ses mouvement s’acc?lèrent. Ang?la continuait de crier de douleur mais sa voix changeait :
-Arrete j’ai mal !…..Non…hummm….Aie….hummm….?a me fait moins mal, continu….Oui c bon acc?lère…j’adore comment j’ai pu vivre sans…acc?lère, d?fonce moi cria t’elle a la fin.
-T sure de toi ou j’arrete et tu rejoins ton amant, pardon ton mari je voulais dire.
-Qu’il aille se branler mister vermicelle(d’ailleurs c ce que je faisais sur mon rocher) Merci Boubakar de m’enculer, j’adore trop. Merci mon ma?tre !
Notre cuistot s’arrêta et joui au fond des entrailles de ma femme. Il decula et ?tait prêt a se rhabiller quand ma femme se retourna et lui dit :
-Bouge pas, t trop sale pour te rhabiller.
Elle lui choppa sa queue qui cette fois ?tait à demi-mole et la mis dans sa bouche pour la nettoyer. Sa queue encore pleine de sperme et sûrement recouverte de particule browne dans la bouche de ma femme alors qu’elle ma toujours dit que ?tait sale et qu’elle refusait de me sucer même sous la douche.
-Voilà elle est propre, tu peux partir.
Boubakar lui r?pondit :
-Toi ?tait une salope cach?e, j’ai joui dans tous
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

suite :
-Toi ?tait une salope cach?e, j’ai joui dans tous tes trous alors que tu l’interdis a ton mari
-Non je suis pas d’accord ; Oui je suis une salope ;oui je l’interdis à mon mari mais tu n’as pas joui dans tous mes trous. Tu as oubli? ma bouche. Lui r?pondit-elle en faisant un clin d’œil.
-Bouge pas petite blanchette, fais semblant de dormir ce soir, je passerais 1h après le couch?. Allez je me sauve. A tout à l’heure. Moi aussi je me sauvais après lui ;j’avais la tente a monter.
Je ne savais quoi penser. J’?tais triste de ce qui se passait mais a chaque fois que je voyais ma femme dans les bras de Boubakar, je bandais comme un fou. Je ne disais toujours rien, curieux de voir jusqu’ou ?a irait. Mon Ang?la timide dans les bras de cet homme se transformait en grosse salope ; et aussi triste que ce puisse l’être j aimais la voir fendu par ce beau et grand sexe noir. Qu’allait t-il se passer ce soir, je d?cidais de simuler une grosse fatigue pour partir me coucher en premier et faire semblant de dormir pour voir la suite. Ang?la me rejoignit un peu plus tard et se coucha ?galement dans mister duvet. Faisant semblant de dormir j’entendit un l?ger raclement de gorges dehors et je sentis Ang?la se pencher sur moi, sûrement pour voir si je dormais. Je l’entendis ouvrir la tente et sortir juste la tête comme pour regarder dehors. Je reconnu la voix du cuisinier chuchoter :
-Il dort ?
-Oui, parle doucement
J’ouvris les yeux et gr?ce à la pleine lune je pouvais presque voir comme en plein jour.
Ang?la avait juste la tête qui sortait de la tente.
-Alors, tu es tjours partante ?
-Non, pas ce soir, c’est trop dangereux, je peux pas sortir.
-T sure ?
-Oui
- Regarde la, elle n’attend que toi. Et devant ma femme, devant ma tente, il sortit sa grosse bite, d?jà bien bander.
-Non, non pas ce soir, on va le r?veiller.
-Ok mais si je la range, c’est fini pour toi. Tu te contenteras de ton mec.
-Parle moins fort r?ussi à dire ma femme.
Apres peut être 30 secondes pendant-les quelles il ne cessa de se branler, ma femme lui a dit :
-Ok on va ou ?
-La, ouvre la bouche.
Je vis dispara?tre sa bite dans la bouche Ang?la, devant moi. Elle n’avait jamais voulu avec moi !!
Je ne voyais presque plus rien, juste ma femme de dos accroupi la tête dehors, accompagn? de mouvements. Cela dura presque 10mn sans un bruit ou presque, juste de temps en temps, j’entendais des bruits de sucions. Ma femme ne parlait et pour cause mais l’intrus r?ussi à lui dire :
-Suce, ?a c’est une vraie queue.
Je le vis mettre ses deux mains sur la nuque Ang?la pour l’empêcher de s’arrêter alors que je devenais aux mouvements qu’il lui arrosait la gorges de mister foutre.
Il parti sans un mot et Ang?la referma la tente et se recoucha. Elle avait rien recrach?, même pas rincer la bouche avec de l’eau. En se recouchant, elle fit un peu de bruit et je mima un r?veil et lui demanda :
- Qu ‘est ce qui ce passe ch?rie ?
-Rien, rendort toi, j’ai juste chaud.
Tu m’?tonne qu’elle ait chaud après ce qu’elle a fait. Pour la première fois, elle su?ait un homme(enfin la deuxième fois après cette après midi), pour la première fois elle a goût? au foutre d’un homme(c’?tait indirectement cette après midi) et c’?tait même pas celui de mister mari ! De moi !! J’?tais triste, non parce qu’elle me trompait mais plut?t parce que je n’ai pratiquement rien vu. J aurais tant aim? voir ce sexe entre ses lèvres et l’expression de mister visage lorsqu’il la nourrit de sa crème grasse. A t’elle aim? le goût ? Je ne sais pas. En France elle n’avait jamais voulu essayer. Alors que c’?tait mon rêve d’?jaculer dans sa bouche et qu’elle m’embrasse après Moi aussi j’ai jamais goûter lol. Quand je lui demandais ?a, elle me traitait de gros porc !!!
On s’est endormi l’un a cot? de l’autre.
Au r?veil, Ang?la ?tait radieuse comme jamais. Elle me fit l’amour violemment en ne cessant de m’embrasser et en m’obligeant à mettre une capote bien sur. Nous n’avons pas entendu Boubakar arriv? et ouvrir la tente pour nous donner un th? au r?veil. Ma femme ?tant sur moi, ne vit rien de la scène mais mister amant nous regardait. Je donnais le meilleur de moi-même mais que faire avec mon petit sexe de blanc. Je savais qu’il nous matait et entendais alors je demanda à ma femme si je pouvais jouir dans sa bouche, j’en mourais d’envie. La r?ponse fut cinglante :
- Jamais de la vie, espèce de porc !
La r?ponse fut blessante me fit jouir imm?diatement dans mon capuchon de plastic. Tjours aussi ecoeur?, elle ne voulait surtout toucher à la capote car c’?tait sale. Boubakar ?tait bien sur repartit sans faire de bruit. Ma femme n’avait rien vu et Boubakar ne savait pas que je l’avais vu.
A la fin du petit d?jeuner en groupe, notre cuisinier vient voir ma femme et devant tout le monde lui demanda mister aide pour de la couture dans la tente cuisine ; Elle accepta et le suivi pendant que tout le monde partit ranger leurs tentes. Chose ?trange, elle a horreur de coudre.
Je me glissais derrière la tente cuisine discrètement pour entendre la discussion :
-Ecoute, je t’ai vu avec ton mari ce matin ! Je croyais que sa petite queue te plaisait plus.
C’est soit lui, soit moi, je suis pas Greg, je veux pas être cocu. Entre nous c’est fini, tu m’as tromp?.
-Non Boubakar ; s’il te plait r?pondit ma femme, j’ai envie de toi, excuse-moi.
-Ok, une condition alors ; tu dois m’ob?ir tout le temps et ne plus toucher ton mari seulement quand je t’y autorise. Je ne veux plus que tu porte de sous-vêtements et que tu dormes nue à cot? de ton impuissant sans le toucher. C’est ok ?
Apres quelques secondes de silence ma femme r?pondit : C est ok, j’aime trop envie de sexe avec toi, avec un vrai homme.
Je couru à ma tente faire semblant d’être occup? à ranger l’int?rieur. Quand ma femme rentra à l’int?rieur, je pouvais voir dans mister d?bardeur noir, ses grosses mamelles flott?es. Elle avait d?jà enlev? ses sous vêtements !! La randonn?e se d?roula sans pb jusqu’au soir. Boubakar ?tant oblig? de partir devant pour arriver le premier le soir et commencer le d?ner. Je marchais derrière ma femme et je crois que je n ai pas deband? de la journ?e ; La devinant nue sous mister pantashort et mister d?bardeur. Je lui est juste dit à un moment ; Pourquoi elle n’avait pas vie de soustient-gorges et elle me r?pondit qu’elle n’en avait plus de propre ?
Arriv?e le soir ; Boubakar vint nous aider à monter la tente, il me proposa carement de m asseoir à l’ombre pendant qu’il aidait Ang?la Je compris rapidement pourquoi. Lors du plantage de sardine le spectacle offert ma femme ?tait très excitante. De devant, on avait vu plongeante et l’on devinait l’absence de soutif et ma fois derrière aussi, ?a valait le coup d’œil, accroupi, on pouvait bien voir sa rai des fesses et la aussi, rien en dessous. Je ne fut pas le seul avec Boubakar a profiter du spectacle ; Un des maris du groupe se rin?ait l’œil aussi discrètement. Ang?la installa l’int?rieur de la tente, Boubakar restait juste devant l-ouverture. Je ne voyais plus rien mais je devinais le show vu la souplesse demand?e pour installer deux duvets dans une tente igloo avec les deux sacs de voyages. Mais l’installation fut longue et silencieuse a mon goût. J’entendais des chuchotements mais ne compris rien. Ma femme ressortit et me dit.
-Ch?ri, si tu veux vas te laver maintenant, Boubakar a une plaie au genou, je le soigne et te rejoins après. Donne-moi 10mn.
-Ok ch?rie pas de pb, tu peux prendre ton temps je fais aller faire quelques photos.
Je trouvais mon excuse aussi bonne que la sienne. Les laissant rentrer dans la tente et fermer le double toit, je fis le tour pour me mettre derrière et ?couter.
-Quel con ton mari, il gobe n’importe quoi.
-Donne-moi ta queue vite.
J’entendais des g?missements de la part de Boubakar et des deglutissements.
-Avale ma petite salpe, pense à ton cocu de mec, ?a te fait mouiller ? C’est ?a r?pond pas, lèche-moi les couilles ; Elles mistert pleines de jus chaud pour toi.
Et re bruit de sucions. J’?tais fou de rage…car je ne voyais rien.
-C ‘est ?a petite lèche-moi le petit trou
Elle lui faisait tout ce que je rêvais depuis longtemps pour moi. Comment faisait il pour la d?brider comme ?a ?
-Je joui, attention avale tout. Tu aimes ? c ?a lèche-toi les lèvres.
-j aime ton jus, rien que le tiens, je suis à toi, fais tout ce que tu veux de moi.
- Pas de problème ; laisse moi regarder tes habits ; voilà tu mets ce cale?on et ce haut blanc pour le repas. Apres le dessert, tu laisse le groupe et fait semblant de te coucher. Tu me rejoindras dans la tente cuisine, je t’attendrai.
J’?tais curieux de voir la soir?e. Je m’installa avec le groupe autours du feu pour le repas, laissant Ang?la qui ?tait pas encore prête. Elle arriva quelques secondes plus tard et je d?couvrit la tenu choisi par Boubakar ; Elle portait un de mes cale?ons blancs et un d?bardeur blanc aussi. Elle s’assit à cot? de moi, je bandais grave car le cale?on powerment un peu large, laissait deviner mister minou. J imaginaient le spectacle pour les camarades de trek assis en face de nous autours du feu de camps. Nous ?tions tous assis par terre, en tailleur ou a genoux ; ma femme en tailleur. En fixant mister entrejambe et a la lumière du feu je devinais mister minou ras? en ticket de m?tro. Boubakar arriva avec les diff?rents plats mais je ne sais pas pourquoi il les laissait juste derrière ma femme qui du se pencher accroupi pour les prendre ; l’obligeant à montrer mister derriere et mister cale?on qui lui rentrait dans la raie. Le mari en face appr?ciait.
Apres le dessert ma femme feinta le sommeil et nous laissa discuter ensemble autour du feu. Je la vis partir vers notre tente puis s’?loigner dans le noir. Nous ?tions assis tous a 3 mètres de la tente cuisine et après 15mn de discussions dans le groupe nous entendions ?chapper de la tente cuisine des soupirs qui ne laissaient aucun doute sur l’activit?. Nous n’entendions que boubakar parler et les g?missement d’une femme. Moi seule savait que c'?tait ma femme. Forcement le groupe entier femme y compris y tendis l’oreille. Le village ?tant pas loin, ils pensaient tous que notre cuisinier avait retrouv? une femme ou une prostitu?.
Nous entendions après 15mn la femme g?mir plus fort et Boubakar parler :
-Tu la sens bien dans ton cul la ? Bien au fond.
Tout le groupe se pin?ait les lèvres pour ne pas rire de la situation, j’avoue même moi.
-T’aime sucer ma queue quand elle sort de ton cul. C ‘est ?a, avale ma crème, elle est meilleure que ton mari.
Maintenant nous savions tous que la femme avec lui ?tait mari?e ; moi je savais avec qui. Nous sommes tous parti nous coucher dans nos tentes respectives. Ang?la me rejoignit 30mn après.
-Ou ?tait tu ch?rie ?
-parti me promener un peu avant de dormir.
Naïvement elle me fit un long baisser langoureux ou nos langues se croisèrent. Elle sentait encore le sperme et j’adorais ?a. Que c’est bon de sentir le jus de mister amant !
Apres une bonne nuit pleine de fantasme, pour moi surtout. Ce fut l’heure du r?veil. Et comme pr?vu, Ang?la dormait nue dans mister duvet. Je fit encore semblant de dormir quand Boubakar fit le tour des tentes pour le r?veil et le th? du matin.
-C’est l’heure ; vous voulez du th? ?
-Oui deux s’il te plait, pose les devant la tente. R?pondit ma femme, complètement nue et hors du duvet. J’ouvris les yeux au même moment pour voir la suite, j ‘en avais marre de ne jamais rien voir. Ang?la chercha ses habits pour se rhabiller et prendre les th?s mais n'eus pas le temps.
-D?sol? madame, c ‘est bancal dehors, je les pose dedans. Et il ouvrit la tente brusquement tombant devant ma femme nue et moi assis dans mon duvet.
-oups, d?sol? madame, je ne savais pas. Je ferais plus attention la prochaine fois. Monsieur a de la chance d’avoir une aussi jolie femme rien qu’a lui.
Ang?la piqua aussit?t un phare. Elle ?tait si rouge. Boubakar parti et je dis à ma femme.
-Ca vas ch?rie ? Si tu veux, on va se plaindre. Il t’a presque dragu?.
-Non, c’est ok, il a voulu être gentil. C’est tout. Ca me fait bizarre, c’est la première fois qu’un autre homme que toi me voit nue.
Grosse menteuse pensais je dans ma tête. Et comme hier, elle s’habille sans mettre de sous-vêtements. Je ne dis rien. Nous n’avions qu’une demi-journ?e de marche et après-midi repos.
Ma femme ?tait très existante dans sa tenu, on pouvait deviner ses aur?oles sous mister d?bardeur blanc. Elle me surprenait car beaucoup de locaux ne se gênèrent de la d?visager.
Nous sommes arriv?s de bonne heure au camp et après un lunch, nous part?mes chacun de mister cot? pour se reposer. Certains dormir sous la tente, d’autre se promener au village distant de 2km. Moi et ma femme ?tions d’accord pour allez bronzer. Nous avons tra?n? au camp et nous nous sommes allong?s devant notre tente. Moi allonge sur le ventre, entrain de lire a cot? de ma femme lorsque Boubakar vint nous voir pour demander un service de couture pour le pantalon de mister commis de cuisine. Bien sur elle accepta. Elle parti sous la tente cuisine accompagn?e de Boubakar. Je couru derrière la tente pour ?couter.
-Regarde poup?e, mister pantalon est d?cousu, Wasi enlève le et donne-le. Malpoli, tu aurais pu mettre un slip !
- mon dieu, elle est encore plus grosse que la tienne Boubakar ; repondit ma femme.
-Ecoute-moi bien petite salope, tu vas nous sucer tous les deux. On va jouir dans ce bol et tu iras masser ton con de mari avec cette crème. Je l’ai vu dormir torse nue.
-Non’ c’est trop dangereux, il va reconna?tre l’odeur.
-Si tu refuse, c’est fini entre nous. De toute fa?on, ton mari est trop con et coinc? pour reconna?tre l’odeur. Tu lui diras que c’est du lait de z?bu ! Et triche pas on va te regarder faire.
-D’accord, je veux pas te perdre dit Ang?la
Et pendant 10mn je l’entendit sucer, deglutir. Et enfin :
-Fini-nous dans le bol salope et nettoie nos queues avec ta bouche après.
Je couru rejoindre ma tente pour faire semblant de lire mon bouquin. Apres 5mn ma femme revient avec un bol et sans mots s’assoie sur mes fesses et me glisse à l’oreille :
-Pour me remercier Boubakar m’as donn? du lait de z?bu pour te faire un massage.
Je regarde le bol et je fut abasourdi par la quantit? de sperme contenu. Meme pour deux mecs, je trouvais ?a ?norme compar? à moi.
-C’est gentil de sa part.
Je m’allongea complètement sur le dos et mis ma tête en direction de la tente cuisine ou je vis les deux cuistots assis devant celle-ci entrain de nous regarder. Je senti le liquide encore tiède couler sur mon dos et le massage commen?a. Ses mains ?taient très douces avec le sperme de ses deux amants. Ang?la me massait les hanches, le dos, la nuque pendant 15mn je lui dis :
-Humm ! C’est bon ch?rie ; domage que ca sente un peu forte.
-Moi j’aime bien l’odeur. En plus c’est très bon pour la peau.
Je vis Boubakar se rapprocher de nous et s’adressa à moi
-Ca te plait Greg ? C’est une sp?cialit? africaine. Si tu veux je peux en donner plus a ta femme.
-Bonne id?e Boubakar. R?pondit-je
Et il partit. C’?tait ?trange, j’?tais humili? mais je bandais comme un fou. J’adorais ce massage. Et la surprise je vis Boubakar chercher le commis…et le guide pour se diriger sous la tente et revenir 5mn après avec un bol plein.
-Voilà pour monsieur et madame. Un conseil, Vous pouvez en mettre sur le visage, c’est bon pour le soleil. Ma femme en boit aussi, il para?t que c’est bon pour la digestion.
Je m’allongea sur le dos et Ang?la me massa le visage avec une parti du bol. Boubakar pouvait voir mon ?rection sous mon cale?on. Allong? je pouvais voir aussi sous la djellaba de Boubakar, lui aussi bandait. Et c’est lui-même en me tendant le bol qui me demanda :
-Essaie, c’est un peu sal? et il me tendit le bol qui ?tait encore a trois quarts pleins. Boie tout
Je ne sais pas pourquoi me je n’ai pas dit non et en regardant ma femme dans les yeux, je bu cul sec le sperme de mister amant. Boubakar repartit aussit?t et j’en profita pour embrasser ma femme avec la bouche encore pleine de sperme, pour lui en redonner :
-Tu aime mon ange ? C’est pas trop fort pour toi ?
Je jouais à fond le r?le du naïf.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Est ce qu'il y a une suite ??

je l'espere, je surveille
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Une belle histoire comme beaucoup aimeraient en vivre.
Un peu trop belle pour être vraie mais tellement excitante.
Je n’ai pas su la lire sans juter avant la fin.
J’espère aussi qu’il y a une suite …

LA SUITE QUOI!!! je me fais chier moi au fond de ma hutte !!

A bah nom de dieu, quelle histoire !!
La suite vite !!!!
demimolle,
voyeur-branleur inoffensif et respectueux

la suite !!!

la voili, la voila la suite !!!!

Après cet ?pisode ou je fut humili? par ma femme et mister amant, je d?cidais e continuer à jouer les naïfs dans mon r?le de cocu auprès de ma femme. Après ce massage j’osais dire à ma femme : Dommage que ?a sente fort, car c’est très agr?able ce lait. L’après midi se passa sans autres histoires jusqu’à 16h environs ou Boubakar vint me voir et me demanda si je d?sirais du lait pour masser ma femme. Chose que j’accepta volontiers toujours dans mon r?le de naïf. Il me promis de revenir dans une demi-heure car il devait aller en chercher au village.
En effet il revient avec une bouteille en plastique de 50cl remplie !
- J’ai du faire le tour du village pour la remplir ; tu devrais aller vers la riviere, comme ?a tu pourrais être plus dans l’intimit? avec ta femme. Me dit Boubakar
Chose que je fis imm?diatement en invitant Ang?la a venir se promener un peu. Apre avoir fait bronzette 15mn sur le bord de la rivière je proposa à ma femme d’enlever mister maillot de bain car j avais r?cup?r? du lait par le cuistot. Je l’ai sentit h?siter, presque refus?, mais après avoir insist? elle accepta. Je l’a fis allonger sur le ventre et commen?a par lui masser mister dos avec un peu de sperme ; que c’?tait joli de voir mister dos brillant au soleil avec le sperme de tous les villageois ! Je lui en versa sur ses fesses, dans sa raie, j’adorais, j'en vint même a lui l?cher le dos. Je savais que Boubakar nous regardait cach? derrière un arbre. Je fit donc de mon mieux pour montrer qui ?tait le mari. Je demanda à Ang?la de se retourner pour que je lui applique de ce sperme sur mister ventre et sa poitrine. Je bandais comme un fou. Alors qu’elle commen?ait à prendre plaisir a mon massage, j’en profitais pour me d?shabiller aussi. Qu’elle ?tait belle enduit de sperme. Je lui massai même le visage, je ne l’avais jamais aussi excit?. J’essaya de la p?n?trer mais elle me repoussa :
-Mets une capote ch?ri stp, j’ai pas envie d’être enceinte.
Cette remarque m’excita encore plus. Pourquoi, je ne sais pas. J’?tais oblig? de me prot?ger alors que mister amant non !! Puisqu’elle voulait pousser le bouchon ; j’allais l’y aider. Je d?cidais de lubrifi? ma capote avec le sperme de la bouteille avant de la p?n?trer :
-Non Greg arrête.
-pourquoi ch?rie, tu vas voir, ?a vas être encore meilleur. Et je l’enfila aussit?t.
Je ne l’ai jamais vu autant jouir avec moi. Je d?cidais de vider le reste de la bouteille dans sa bouche et l’embrassa derrière pour partager ce d?licieux breuvage. Que c’?tait bon, bien sur je joui rapidement dans ma capote et Ang?la me pressa d’aller me laver car c’?tait sal !!
-Ch?rie, je retourne à la tente, tu n’as qu’a continuer de bronzer.
Bien sur je savais que notre cuistot allait la rejoindre derrière. Et je me cachais à mon tour derrière un arbre.
Boubakar avait l’air furieux :
-Petite salope, tu mas tromp? avec ton blanc bec de mari. Tu seras puni !!
-Excuse-moi Boubakar, je ne recommencerais plus.
-Met toi a quatre pattes, d?pêche-toi !!
Je le vis sortir sa grosse bite noire band?e et encul?e ma femme sans aucune pr?paration. Les cris de douleurs d'Ang?la se transformèrent vite en cris de plaisirs et après 2àmn de d?fon?age annal, il changea de trou pour jouir dans mister ut?rus. Je bandais de voir ma femme comme ?a.
-Ta punition n’est pas finie, Ce soir après le repas, tu me rejoindras sous la tente cuisine.
-Oui ch?ri, tu baise tellement mieux que mon mari.
Ils partirent tous les deux se baigner nue dans la rivière et comme il bandait toujours repris ma femme dans l’eau. Je ne voyais que le haut de leurs corps, ma femme aggrip? au coup de mon cuisinier !! Une barque de pêcheur juste a cot? d’eux ; ils ne s’arretent même pas de baiser, bien au contrair. Boubakar leur dit même de se rapprocher pour observer le spectacle ; il l’a fit se retourner et s’aggriper au bord de la barque devant les deux pecheurs et l’a pris en levrette. Ma femme normalement si timide se donnait en spectacle devant deux inconnus. Elle jouissait !! Je l’entendais.
-Je vais jouir dans ta chatte ma salope, je vais te f?conder, tu vas l’avoir ton polichinelle noir dans ton ventre.
-Oui donne-moi ton sperme, je veux un petit b?tard noir !!
Et ils jouisserent en même temps.
Boubakar laissa ma femme sur place et lui dit de ne pas oublier pour ce soir. Je couru à ma tente et fit semblant de dormir quand elle revint. Elle paraissait si innoccente ; rien ne laissait deviner que ma femme etait devenu une grosse salope a black.
Aussit?t le dessert fini, je vis ma femme se diriger vers la tente cuisine et en ressortit avec le cuistot pour me dire devant tout le monde qu’elle se rendait au village car une dame ?tait malade. Je d?cidais de partir vers ma tente pour faire diversion et couru à l’entr?e du village pour être la avant eux. Ils se tenaient la main comme un couple ; s’embrassant. Avant d’entrer dans le village ; il la fit se d?shabiller et revêtir juste un morceau de tissu autours de la taille ; les seins à l’air.
-Voilà ta punition, tu vas traverser le village comme ?a en me tenant la main et tu dois m’ob?ir. Demain quand tu reviendras avec le groupe et ton impuissant de mari, tu lui tiendras la main pour bien montrer que tu la tromper.
Je les suivais traversant le village, elle pratiquement nue ; heureusement qu’il fesait presque nuit, juste les hommes restaient dehors. Fur a mesure les hommes commencèrent à suivre le couple pour arriver sur la place du village ou r?gnait au milieu une grande table entour?e de torche en feu. Il y avait au moins une vingtaine d’homme autours de la table et Boubakar cria à la foule
- Je vous pr?sente Ang?la, la plus belle des salopes ; elle est mari?e mais veut conna?tre comment on traite les femmes blanches ici. Je vais la baiser devant vous par tous les trous, la faire crier, la faire jouir comme jamais mister mari ne la fait
-Suce moi salope.
Et la devant tout le monde elle se mit à genoux, d?shabilla Boubakar et le su?a. Je devinais mister plaisir de sucer en public. Boubakar lui tenait la tête et ma femme qui ne me suce jamais, faisait une gorge profonde devant tout le monde. Elle en redemandait la salope. J’avais ?pous? une salope cach?e. Boubakar posa juste le bout de sa bite sur ses lèvres pour mieux montrer le foutre entrer dans sa bouche.
-Voilà c’est comme ?a qu on suce au Mali !
Boubakar qui bandait toujours s’allongea sur la table face au publique et ordonna à ma femme :
-Assis toi sur moi, face à tes admirateurs
Je l’a vis s’empaler sur la queue de notre cuistot, jambe bien ouverte devant tout le monde et enfoncer cette ?norme queue en entier dans sa chatte ; Elle chevauchait Boubakar, se caressait le clito, criait mister bonheur alors que Boubakar lui tenait ses gros seins et lui embrassait le cou. Le couple transpirait ; ma femme ?tait ?puiser mais continuait de chevaucher mister ?talon. Cela dura bien 3omn avant que mister amant s’exclame devant la foule :
-Ou veut tu mon foutre Ang?la, du bon foutre africain, fertile ?
-T arrête pas r?pondit Ang?la, je t’en supplie, c’est si bon !!
-Ou le veut tu salope !!!
Et Ang?la cria devant tout le monde : Dans mon ventre, dans ma chatte. F?conde-moi !! tu es tellement meilleur que mon salop de mari !
Cach? derrière un mur j’?tais encore une fois humili? mais tjours excit?. Pensant être tout seul je d?fit mon pantalon pour mieux me branler
Je vis ma femme se faire remplir de sperme par mister amant, elle ne bougeait plus complètement ?puis?.
Boubakar ne debandait toujours pas ; c’etait incroyable alors que moi il me faut au moins 1 heure pour recharger les batteries. Toujours allong? sur le dos il dit à ma femme :
-T’en vas pas, on a pas fini ; il reste ton petit trou.
Sans aucune pr?paration ; Ang?la vint se percher sur cette poutre noire et s’enculer elle-meme, sans aucune preparation. Ca rentrait comme dans du beurre même si elle grima?ait un peu. Apres deux trois mouvements, notre cuistot lui dit devant l’assembl?e :
-Tu es trop sec, viens me sucer
Ang?la ne me surprenait plus quand elle vint sucer la bite tout juste sortie de mister cul ; alors que la mienne avec une capote est trop d?gueulasse pour elle. Allez comprendre…
Elle le su?ait avec d?vouement ; avec passion sur toute la longueur ; et vint s’enculer de nouveau sur le pieux. Elle le chevauchait ; elle criait devant tout le mo nde tout en ce caressant le clito. Que c’?tait bandant.. Alors que je me branlais, mon short a mes genoux, je senti 2 mains sur mes fesses ! En me retournant je d?couvris un black ?norme, au moins 2 mètres et 100kg e muscles, autant sa djellaba et exhiber une bite ?norme.
-Elle est bonne cette salope ; tu la connais ? Me demanda dit toujours en me tenant les fesses.
-Non, lui repondis-je.
Je n’osais pas bouger mais bandais toujours en voyant ma femme se faire enculer. La bite entière dans mister fion. Je sentis alors un doigt s’enfoncer dans mon sphincter et l’inconnu me dit à l’oreille :
-Bouge pas, vous etes tous pareils les blancs, vous ador?s vous faire enculer ; j’ai besoin d’un trou. Si tu cris, tout le monde viendra ici. Fait comme cette salope, ecarte les jambes, tu vas aimer.
Je ne sais pas pourquoi j’ai ob?is, mais aussit?t les jambes ?cart?es, je sentis mister gland ouvrir mon anus et après une l?gère pose, il enfon?a tout d’un coup jusqu'à la garde. J ai serr? les dents pour ne pas crier. Ca faisait mal mais après 5mn de mouvement, la douleur changea en plaisirs. Je prenais du plaisir a me faire enculer par un inconnu, tout en matant ma femme faire de même L’inconnu me d?fon?ait carement, alors que ma femme ?puis?e s’allongea sur la table alors que Boubakar dirigeait sa bite dans sa bouche.
-T as plus de salive salope ; ouvre la bouche.
Boubakar lui cracha plusieurs fois dans la bouche avant de remettre sa bite et lui enfoncer au fond de la gorge. Ensuite il revint se placer dans mister cul. Et après 10mn alors que je sentais l’inconnu se vider en moi, je vis Boubakar en faire de même dans le cul de ma femme.
Mo inconnu disparu aussi vite alors que Boubakar d?clara :
-C’est comme ?a qu’on accueille les femmes blanches comme toi en Afrique !! Tu as aim? ?
- Oui, merci pour ta punition ; c’est pas mon mari qui me baisera comme ca un jour.
Malgr? la douleur que je ressentais entre mes jambes, je couru à ma tente pour faire semblant de dormir avant le retour de ma femme.
Apres un certain temps, elle entra pour se coucher. Je lui fit juste remarquer qu’elle avait ?t? un peu longue et elle me r?pondit :
-Je sais, je me suis mise aux traditions africaines. Dommage que tu sois pas venu, il y avait du spectacle.
Si elle savait….
Le lendemain matin, nous dûmes traverser le village ; Ang?la me serait la main comme et alors que nous assistions une danse traditionnelle offerte par les habitants ; elle m’embrassa longuement. Je vis beaucoup de sourires sur les visages des hommes. Je passais pour un vrai cocu. Mais je ne retrouva pas l’homme qui m’avait encul?.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Quelle belle progression dans la perversit?.
Qu’il doit être bon de masser sa femme comme cela….
J’ai pas pus r?sister j’ai gicler mes quelques cl de sperme inutile …
La suite risque d’être encore plus ….

et bien et bien....quelle histoire ?pat87 : tu connais l'origine de cette histoire ? les auteurs ?
en tout cas superbe !!

Eh eh, il est actuellement sur The hyperlink is visible to registered members only! dans les recits, sous le titre "pas si prude" et signe Alpamayo. Très sympa mais un peu trop type pour ne pas être juste fantasme...bah...
Fanatique de l'infidelite feminine

Brutus, je n'ai jamais prétendu autre chose que d'avoir trouvé cette histoire sur le net. Pour preuve, le titre de ce post !

Voici la suite tant attendue.....

Au petit matin, alors que ma femme se préparait sous la tente, je partit faire un petit besoin et décidais de m’éloigner un peu pour cela. Alors que j’avais fini de faire mon bisness, Boubakar arriva et me parla :
-Voilà, je sais que tu nous observe moi et ta femme depuis le premier jour ; c’est une sacrée baiseuse tu sais. Elle ne sait pas que tu es au courant. Elle m’appartient maintenant, plus jamais tu pourras la faire jouir. Si tu veux sauver ton mariage, je te conseille de rien lui dire. De plus, a part-nous 3, permisterne le sait. Et les gens du village aussi hehehe. D’ailleurs j’ai appris que tu avais vraiment apprécié le spectacle hier et que tu t’es fais enculer comme ton petit bout de femme. Si tu veux que ni ta femme, ni le groupe le sache, il va falloir être très gentil avec moi.
-Tu veux quoi ? Répondis-je affolé. J’aimais toujours ma femme et voulais tout faire pour la garder. Il m’ordonna de descendre mon pantalon et de me mettre à 4 pattes.
J’obéis sans répondre à moitié humiliée et apeurée mais aussi excite de connaître les sensations de ma femme même si la taille de sa queue me faisait peur.
-Tu es comme ta femme, t’es même pas besoin d’être préparé !
Et sans prévenir il m’enfila sa longue et large tige dans mon anus. Malgré l’expérience de la veille, je ne pu m’empêcher de crier. Comment Angela pouvait prendre du plaisir avec un tel engin dans mister cul ! Elle qui arrivait à ce mettre les 25cm dans mister œillet. J’espérais que Boubakar s’arrête avant mais lorsque je sentis mister pubis contre mes fesses, je devinais qu’il m’avait tout enfilé ; Je me sentais déchiré, ça faisait trop mal surtout qu’il me chevaucha avec violence. Mais fur a mesure la douleur commença à diminuer pour se changer en plaisir et Boubakar s’en rendit compte lorsque je commença à gémir de plaisir. Cela dura bien 10 mn avant qu’il se retire de mon cul pour me présenter sa queue dans ma bouche. Je ne sais toujours pas pourquoi mais je la pris a pleine bouche sans qu’il ai besoin de me l’ordonner. Sa bite était sale, sentait fort mais je suçais la bite qui donnait tant de plaisir a ma femme. Il se remit derrière moi pour de nouveau me sodomiser tout en me disant :
- Décidément, je comprends que vous soyez ensemble ; tu suce comme ta femme et t’aime bien te faire défoncer la rondelle comme ta femme.
Je commençais à fatiguer et je souhaitais qu’il jouisse rapidement en moi mais il se retira de nouveau et m’ordonna de m’allonger.
-Oh! Mais tu bande mon petit, c’est vrai que ta bite est petite, je comprends ta femme. Elle ne pourra plus se passer de queues noires. J’ai pas fini avec toi. Branle toi et joui dans ta main, je veux voir ton foutre dans ta bouche ! Surtout t’avale pas avant que je te le dise !
Je branla et joui rapidement dans ma main. Je crois que je n’ai jamais joui autant de ma vie. Je lécha la paume de ma main et me rallongea en laissant la bouche ouverte pour lui montrer mon obéissance. Il dirigea sa bite sur mes lèvres et après deux-trois mouvements déchargea mister foutre tiède entre mes lèvres. La bouche pleine je m’apprêtai à avaler lorsqu’il me dit :
-Attend ouvre la bouche ! Et il me cracha dedans un énorme mollard !!
-Maintenant avale, je suis sure que tu aime mon cocktail. En tout cas ta femme aime.
J’avalais le tout et honte a moi chers lecteurs, j’ai aimé ça.
-Je te laisse, tu es un sacré coup comme ta femme. Ce soir après le dîner, ta femme va me rejoindre sous ma tente, après dix minutes tu nous rejoindras, t’auras une surprise. Tu as intérêt de venir ou je dis tout a ta femme !!
Toute la journée, j’eu du mal a marcher car j’avais un peu mal au cul. Même si j’avais aimé, j’étais presser que ce voyage se termine. Arrivé au camp la fin de soirée se passa normalement si je puisse dire car alors que je rejoignis ma tente après être parti prendre quelques photos du couché de soleil, j’entendis des bruits dans ma tente. Ma femme qui gémissait alors que Boubakar lui disait, tu peux crier salope ton mari n’est pas la, je l’ai vu partir avec mister appareil photo. Je vais jouir dans ton cul salope.
-Non s’il te plait, joui dans ma chatte. Elle est juste pour toi maintenant.
J’étais scotché sur place, ma femme qui ordonnait carrément de jouir dans mister utérus fertile.
Et après de long gémissement Boubakar lui dit :
-Je t’attends après le dîner. Ton mari est vraiment con de ne rien deviner.
- Il m’aime trop, c’est pour ca. Lui répondit Angéla.
Lors du repas, Michel, un homme de notre groupe, toujours près a sortir des blagues de cul, vint me voir :
-Dit donc qu’est ce que tu as mis à ta femme cette après midi, on l’entendait gémir de plaisir dans tout le campement. Tu as de la chance d’avoir une femme comme ça. Tout le monde sait qu’elle aime bien se faire enculer. On l as entendu réclamer ta bite dans mister cul. Tu l’as bien fait jouir si je peux me permettre.
-Je suis désolé, on essaiera d’être plus discret la prochaine fois.
S’il savait la vérité le pauvre. Le dîner fut spécial car c’était le dernier camps avant le retour sur Bamako. Apres le dessert des musiciens vinrent chanter mais je décidais de partir me coucher pour tromper le groupe et ma femme. Alors que je me couchais, Angéla vint me rejoindre pour changer d’habits ; elle troqua mister pantalon et sa polaire contre une robe africaine comme on en voit partout. A la seule différence qu’elle ne portait rien en dessous.
-Il fait trop chaud autour du feu chéri. Je serais mieux comme ça. Dommage que tu sois fatigué, je suis que le spectacle sera bien.
-Je n’en doute pas chéri ; lui repondis-je. Elle ne pensait pas si bien dire.
Comme convenue après dix minutes je ressorti pour me diriger vers la tente cuisine sans que le reste du groupe me voient.
Arrivée vers celle ci, je vis Boubakar dehors seul. Quel fut pas ma surprise ! Ou était donc Angéla ? Mon cuistot vient me chuchoter à l’oreille, rentre avec moi dans la tente et surtout ne fait pas de bruit, ta salope m’attend mais ne voit rien, je lui ai bandé les yeux. La tente était assez grande. Je vis ma femme allongée complètement nue sur une grande couverture ; les yeux bandés avec le cheche du cuistot. Celui-ci me fit signe de m’asseoir par terre a coté de ma femme.
-Je suis la salope, que veux tu ? Demanda Boubakar.
-Je veux faire l’amour avec toi. Répondit ma femme
-Comment, j’ai pas compris ?
-Baise-moi s’il te plait
-J’ai toujours pas compris ! Dépêche toi ou je pars
-Baise-moi, je veux sentir ta grosse bite de noire dans ma bouche !
-C’est tout ?
-Encule-moi !! Baise-moi !! Donne-moi ton sperme !!
-Pourquoi petite salope ? répondit Boubakar en me regardant
-Tu es le seul qui puisse me faire jouir !!
-Et ton mari ?
- Ta de la chance, t’as jamais vue ça queue ! Un vrai spaghetti !
Son amant, tout en souriant, me fit un clin d’œil.
-Je vais t’éclater tous les trous !! Avec ce que j’ai pris, je vais bander toute la nuit. Allonge-toi sur le ventre. Je vais t’éclater la rondelle.
D’où j’étais, je pouvais tout voir. Je voyais les mains noires écarter les fesses de ma femme et sa grosse bite noire perforer la rondelle d’Angéla Une fois le gland passé, Boubakar enfonça le reste d’un seul coup, sans même la préparer ou utiliser du lubrifiant.25 cm dans mister cul d’un seul coup. Ma femme gémissait de douleur.
-J’arrête, si tu veux !
-Non continu s’il te plait !
-Tu préfère quand c’est ton mari qui t’encule peut être !
-Il n’a pas le droit, mon cul t’appartient.
Et pendant au moins 20mn, ma femme se fit enculer devant mes yeux à mister insu. C’était même plus enculé mais plutôt défoncée. Elle qui avec moi ne parlait jamais pendant l’amour, ne cessait d’encourager Boubakar :
-Vas-y plus vite, accélère ! Je veux la sentir au fond. Encule-moi !!!
Angéla perdait tout contrôle d’elle, oubliant qu’elle était dans une tente, a 10 m seulement du groupe réuni autours du feu. Sa timidité était oubliée !!
Après cette longue chevauchée et alors que ma femme jouissait du cul, elle cria de toute sa voix.
-Encule-moi !!!
Sa voix rémisterna dehors comme jamais ; Apres un court moment, Boubakar se cala au fond de mister cul et a mister tour dit :
-Je joui salope, prend ça dans ton cul !!!
Boubakar se retira de mister cul qui restait dilaté, refusant de se refermer, le foutre dégoulinant.
-Retourne toi salope, tu vas me nettoyer la queue.
Sa queue était recouverte de sperme et devait sûrement sentir la merde mais ce ne gênait pas Angéla qui ouvrit la bouche alors que mister amant s’allongea carrément sur elle pour mieux enfoncer sa bite dans sa bouche. Pendant une éternité, il lui baisa sa bouche, lui enfonçant la quasi-totalité de sa bite.
-C’est ça, suce moi salope, trait moi, tu vas l’avoir ton lait. Ouvre la bouche
Boubakar se retira pour lui craché plusieurs fois dans sa bouche :
-Ca sera plus facile pour toi maintenant, suce-moi !
Et il renfonça sa bite faisant des longs mouvements
-Oh je vais jouir, ouvre la bouche en grand !
Il ressortit sa bite bien raide pour la poser sur la commissure des lèvres de ma femme et me fit signe d’approcher. Et la je le vis décharger tout mister foutre dans la bouche d‘Angéla. Alors qu’il lui remplissait la bouche, Boubakar ne cessait de me sourire, sûrement pour mieux m’humilier et fêter sa victoire.
-Tu préfère boire le jus de ton homme ?
-Je sais pas j’ai jamais goûté le sien, j’ai trop peur d’être dessus après toi.
Et encore une gentillesse pour moi !! Boubakar bandait toujours, c’était incroyable.
-Maintenant je vais m’occuper de ton minou mais avant, je vais appeler mon commis de cuisine, il n’a jamais vu une femme faire l’amour, il est homo je crois.
Boubakar fit semblant de l’appeler puis en me regardant dit :
-Te voilà petit, chut tais-toi le groupe pourrais nous entendre. Je vais te montrer comment baiser une femme. Je vais m’allonger et tu vas aider madame à se mettre sur ma bite. Fait pas de bruit mister mari pourrait entendre ! N’est ce pas Angéla ?
-Je m’en fou, je veux ta queue !!
Prend ma bite petit, tiens la droite pour que madame puisse s’asseoir dessus.
D’une main je tenais le brakmar de Boubakar et de l’autre dirigeait ma femme sur celle ci. J’avais la tête a 50cm de sa bite et je pouvais voir les lèvres de la foufoune de ma femme s’écarter pour mieux gober le pieux. Elle se laissa tomber dessus et dans un soupir dit :
-J aime ta bite plus que tout au monde, fait moi jouir !
Boubakar était allongé, ma femme lui tournait le dos, embrochée face à moi. Elle posait ses mains sur le torse de celui ci et c’est elle qui imprimait le mouvement
-Oh! J’aime ta queue, oui baise-moi. Jamais Greg m’a baisé comme tu le fais.
J’étais encore humilié mais le spectacle me faisait bander. Je pouvais admirer ma femme juste a quelques cm se faire baiser. Je bandais, je ne pu résister et sorti ma petite bite pour me branler. Boubakar le vit
-C’est ça petit déshabille-toi, enlève tout.
Je lui obéis sans dire un mot bien sur, me trouvant à mon tour nue devant ce couple illégitime ;
Alors que je me branlais ma femme se mit à jouir, s’allongeant mister dos contre la poitrine de Boubakar, qui lui, lui englobait sa grosse poitrine avec ses deux mains noires. Angéla cria :
-Oh je jouis !!!
-C’est ça joui ma salope !! Mais j’ai pas fini avec toi.
Sa bite était toujours dans sa chatte. Boubakar me regarda et dit :
-Petit suce-moi la bite.
Je la pris à pleine main pour l’extraire de la chatte de ma femme et me mis à la sucer. Elle était pleine de cyprine de ma femme. Je pris un réel plaisir a la sucer. Ma femme toujours allonger sur le ventre de mister amant, les jambes bien écartées. Tout en suçant, je pouvais voir sa chatte complètement ouverte. Boubakar m’interrompit dans ma tache :
-Tu suce encore mieux qu’Angéla ! Je vais jouir dans ta bouche.
-Non répondit ma femme, donne le moi !!
-Pourquoi ?
-Je veux ton jus dans ma chatte !
-Et ton mari ? Que vas t’il en penser ?
-Qu’il aille se faire foutre ! Donne-moi ton sperme !!
- Ok tes désirs mistert des ordres.
Comme Angéla ne pouvait bouger, elle demanda à Boubakar :
-Je ne vois rien aide moi stp
-Demande au petit, il se fera un plaisir de mettre ma bite dans ta chatte. Répondit Boubakar.
-Met moi la bite de ton chef dans ma chatte, vite !! stp
Ce que je fis avec empressement. Boubakar rajouta :
-Caresse-moi les couilles pendant que je féconde madame ! Et s’adressant à Angéla il dit : Si seulement ton mari voyait comment je te baise comme la salope que tu ais !! Comment je vais t’engrosser !
-C’est surs c ‘est pas lui qui risque de me mettre enceinte. Seul toi me baise sans capote
-Je vais jouir salope, t ‘ais surs de toi ?
-Ta gueule, donne-moi ton sperme !!! Jute dans ma chatte !! cria t-elle.
Je sentit les couilles vibrer entre mes doigts alors qu’il déchargeait tout dans la chatte de ma femme.
La bite toujours bandée ressortait pleine de sperme du sexe d’Angéla et Boubakar m’ordonna :
-Nettoie madame pour la rendre propre a mister mari ; n’oublie pas ma queue aussi.
Pour la première fois de ma vie je pouvais lécher le minou de ma femme. Même s’il était plein de sperme de mister amant, j’étais l’homme le plus heureux du monde. Lécher ma femme, un de mes fantasmes ; Son sexe était plein de sperme, que cela etait bon, je me découvris une passion pour le sperme.
Une fois sa chatte et la bite de mister amant propre sans une trace de sperme, Boubakar me voyant toujours bander m’autorisa à me branler et a jouir dans la bouche de ma femme. J’étais autorisé à jouir dans la bouche de ma femme par mon cocufieur !! Le comble. Sans rien dire Angéla ouvrit la bouche et je cracha mon jus dans celle ci. Je réalisais la moitié de mon second fantasme, jouir dans sa bouche ; mais elle ne m’avait pas sucé. Dommage
-C’est tout s’écria Angéla ! Tu éjacules 2 gouttes de spermes ; tu me rappelle mon mari !!
Boubakar la bite toujours au garde a vous dit :
-T’inquiète, tu vas en avoir mais faut que je m’occupe du petit. Repose toi pendant que je l’encule. Met toi a 4 pattes, petit et surtout pas de bruit, faut pas alerter le camp.
-Je veux voir dit Angéla
-Non ! Ordonna Boubakar, tiens-lui les mains pendant que je le baise.
Alors qu’Angéla me tenait les mains Boubakar se présenta derrière moi et sans attendre ou prévenir enfonça sa grosse bite en moi. Il savait que je ne pouvais rein dire sous peine d’être reconnu par ma femme. Le salop, il faisait exprès. Il ressortait sa bite pour mieux l’enfoncer encore plus vite. Il me limait sur toute la longueur. A ma façon je me vengeais de ma femme. Elle aussi était cocu. Boubakar ne me faisait pas l’amour, il ne me défonçait pas non ; Il me pulvérisait le cul. J’avais mal mais je me mordais les lèvres pour ne pas crier. Je crois que c ‘est ce qui m’excitait le plus. Me faire enculer devant ma femme par mister amant.
-Tu aime ça lopette, te faire enculer. T ‘es bien plus large que madame en tout cas.
Apres un long moment Boubakar se dégagea pour s’allonger sur le dos ; la bite dresser. Messieurs dame, je suis à vous, faite moi jouir avec vos bouches !
Sa bite était recouverte d’excréments mais ça ne repoussa pas ma femme qui bien qu’aveugle trouva immédiatement la bite de mister amant et la suça puis me la donna pour que je la suce. Apres ce l’avoir échanger plusieurs fois ; Boubakar avec ses mains me pris la tête pour me bloquer sur sa bite :
-Prend mon foutre mais n’avale pas !! Madame en veut aussi
Je garda tout le sperme dans ma bouche et me bancha au-dessus de la bouche d’Angéla pour tout lui recracher. Elle n’en perdra pas une goutte.
Boubakar avait perdu de mister pouvoir, il ne bandait qu’a moitié.
-Bon c’est l’heure de se coucher les enfants. S’exclama Boubakar.
-Non baise-moi encore stp Boubakar.
-Et ton mari ? Il va s’impatienter.
-Qu’il dorme ce petit con !
-Je veux bien te baiser encore mais faut que j’aille pisser.
-Ca tombe bien, moi aussi ; Répondit Angéla.
-Petit, vas te coucher !
Moi et Angéla, on a encore du travail.
Alors que je sorti dehors, je scruta ma montre, cela faisait 5 heures que Boubakar nous baisait ! Le camps était désert, tout le monde dormait. J’entendis sous la tente Angéla protester :
-Non, on peut pas sortir nue, tout le monde peut nous voir.
-Ecoute c’est notre dernier jours sous tente, si tu veux que je baise encore, on va pisser tous les deux nue et je vais t’enculer devant ta tente.
-Tu es fou ; mon mari va tout entendre ou quelqu’un d’autre.
-C’est ça ou rien ! A prendre ou a laisser comme vous dites en France. Libre a toi d’être discrète.
-D’accord, je t’aime. Répondit Angéla ; Mais au moins défait mon bandeau.
Je couru sous ma tente pour me coucher et faire semblant de dormir.
Je les entendit arriver 5mn après. Je ne compris pas ce que ma femme murmura mais elle ouvrit ma tente et se pencha pour chercher discrètement un truc dans ses affaires. D’un seul coup je la vis sursauter. Derrière elle, je devinais l’ombre de mister amant. Il l’enculait en levrette a moitié dans la tente.
-Non arrête pas ici chuchota ma femme
-Ok a demain alors, je pars !
-De toute façon il dort toujours avec des boulquiesses et un somnifère pendant les treks. Remet-la moi.
Sauf que ce soir, je ne dormais pas et n’avais rien pris pour cela.
Je devinais La longue bite enculer ma femme ; Boubakar debout derrière elle.
-T’aime te faire enculer devant ton mari !
-Tais toi baise-moi.
Aux vibrations je senti les deux jouir en même temps. Apres un instant de silence Angela lui murmura :
-A demain
-Non tu restes avec moi, tu m’as fais reprendre de l’aphrodisiaque. Je vais te baiser toute la nuit, t’abreuver de sperme.
-Pas ici alors répondit Angéla.
Elle sortit avec lui en refermant la tente discrètement. Apres même pas une minute je l’a réouvrit pour voir ou ils partaient. Je pensais les voir partir vers la tente cuisine mais stupeur je les vis au milieu du camp devant le feu de camps encore allumé ; Lui allongé et elle assis sur lui ; Alors qu ‘elle se tenait les seins, je la voyais descendre et monter sur mister pieux. Elle se retira après un petit moment pour le sucer ; Elle devait sûrement boire sa dose de sperme.
Le couple s’allongea. Ils avaient l’air épuisés. Je décida de dormir aussi car j’étais aussi cramé. Je fut plusieurs fois réveiller par des cris ou des gémissements. J’entendit même une fois criée Angéla sans aucune discrétion :
-Encule moi c’est bon !!!
Au réveil je remarqua que ma femme n’était pas revenue. Elle avait découché pour la première fois de notre jeune couple ! En ouvrant la tente je la vis déjà réveiller dehors avec une tasse de café. Me levant j’allais la voir innocemment :
-T’étais ou chérie, J’étais inquiet.
-Je voulais dormir à la belle étoile pour notre dernière soirée de trek. Ca ne t’ennuie pas j’espère ?
-Oh non chérie, j’espère que tu as aimé.
Lors du petit déjeuner en groupe, nous ne vîmes pas Boubakar faire le service mais seulement mister commis. Le vraie cette fois ci.
Une des femmes fit remarquer l’absence de Boubakar et Michel répondit :
-C’est normal, on l’a entendu copuler toute la nuit. Il a même fini au coin du feu avec sa copine du soir ; malgres le soir j’aurais juré que sa copine est blanche.
Je regardai ma femme au même moment qui resta de marbre.
Apres le ptit dej, Michel vint me voir.
-Hé dit donc, je t’ai vu cette nuit toi aussi tu t’es fait plai
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

suite et fin (un raté dans le copier/coller

-Hé dit donc, je t’ai vu cette nuit toi aussi tu t’es fait plaisir avec ta femme, la baisé comme ça devant ta tente a la belle étoile. Ca doit être le pied.
Avec ses allusions, je me mit à bander aussitôt.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Pour ceux qui ne savent pas attendre.
La suite et fin ( enfin du voyage ) est sur mari-cocu.com depuis hier soir ...

la photo a la fin du recit me semble truquee...

héhé pas ml cette histoire
Soumsoum, tu verais pas la viet dans le role de madame??
fred

si vous aimez lire, voici quelques unes des aventures de Maria.
les commentaires, même négatifs, mistert les bienvenus.

LES DEPRAVATIONS DE MARIA
(Une saga érotique)

LA CAMIONNETTE
Maria, était parti au village pour se préparer à un week-end de baise que je lui avais promis pour ce samedi. De mon coté j'avais contacté un mec, rencontré sur petites annonces pour lui faire une bonne surprise quand elle rentrera.
Mais la première surprise fut pour moi lorsque F débarqua à la maimister accompagné d'un ami qui passait ses vacances avec lui et auquel il avait livré le rdv qu'il avait pour la soirée. G (c'était mister prénom) se trouvait là pour simplement regarder et serait reparti si je n'était pas d’accord. Après une très courte réflexion j'acceptais qu'il reste, qu'il mate et que Maria décidera de la suite. En buvant un coup au coin du feu, je leur soumettais le scénario que j'avais imaginé pour Maria.....
Je leur ai donc demandé de rejoindre leur bagnole, une camionnette assez haute avec une large cabine à l'avant et d'attendre...je suis parti chercher Maria sans plus tarder. Elle s'était habillée "pour baiser" comme elle dit, une guêpière noire, des bas noirs, mister grand manteau noir en fourrure et des escarpins rouges...une vraie pute de luxe !
En arrivant dans la petite ruelle, je donnais un coup de warning pour prévenir la camionnette. Avant de sortir pour exhiber Maria devant les deux hommes, je l’ai chauffé au maximum…Elle était déjà bien trempée et me demandais ce que nous faisions dans cette ruelle déserte. Sans lui répondre, je lui ai ouvert la portière et l’ai faite descendre en la tenant par les hanches qui n’ont rien à envier aux délicieuses courbures d’un violoncelle et en la tournant vers le regards des deux hommes invisibles, à l’intérieur de leur véhicule. Toujours sans lui dire le moindre mot je l’ai amené sur le coté et me positionnant derrière elle, j’ai ouvert lentement mister manteau noir et caressé ses seins comme elle aime, doucement, en insistant sur les tétons qui se mistert durcis immédiatement.
C’est à ce moment là que je lui ai demandé au creux de l’oreille si elle voyait les deux hommes qui la reluquaient. Sa réponse affirmative est arrivée comme un souffle, rauque et lancinant. Elle respirait comme une chienne en chaleur en me disant qu’elle aimait ce que je lui faisais faire.
Après cinq bonnes minutes de caresses, je l’ai étendu sur le capot de notre voiture et lui ai demandé d’écarter les jambes pour la fister. Elle adore ce genre de louange à sa sexualité. Elle obéit tout en regardant le pare brise de la camionnette… totalement exhibée.
J’ai écarté mister vagin et sans trop de préliminaire lui est introduit successivement tous mes doigts. Quand elle eut mon poing à l’intérieur de sa féminité, elle se mit à crier…un long feulement de louve. Elle avait perdu toute contenance et toute lucidité…
Je la manoeuvrais dans cette ruelle à peine éclairée quand des bruits de pas se mistert fait entendre. Un homme d’une soixantaine d’années promenait mister chien. Il fut vraiment surpris de tomber sur un tel spectacle, ma femme écartelée avec une bonne partie de mon avant bras dans sa chatte qui suintait de mister jus blanchâtre. Au lieu de stopper mes ardeurs, je forçais de plus en plus. Et de plus en plus Maria jouissait en criant comme une possédée, le bassin ondulant et les yeux révulsés de plaisir.
Tout ébahi qu’il fut, l’homme s’est arrêté et a regardé, sans dire un mot.
Je lui ai demandé si le spectacle lui plaisait ? Il a fait « oui » de la tête et s’est éloigné à contre cœur.
Je relevais ma femme de sa position obscène et l’amenais par la main vers la camionnette.
J’ai ouvert la portière.
A l’intérieur, F se trouvait face au volant, et G avait pris place à l'arrière sur une large et profonde banquette. Maria me glissa à l'oreille que çà sentait le fauve et qu'elle aimait ce parfum. Elle a monté les deux marches pour accéder à la cabine avant. On y voyait à peine, mais on distinguait quand même les  sexes dressés des deux hommes. Je leur avais demandé de bien se masturber avant notre arrivée, Maria adore voir les hommes nus bander pour elle. J'ai présenté ma femme, en lui précisant que G était venu uniquement pour la mater, puis me suis assis sur la banquette arrière prés du mateur. Maria était resté à l'avant, debout face à nous. Elle a laissé tomber mister long manteau par terre et a commencé à se caresser la chatte. F s'est alors approché et a frotté sa bite sur les collants noirs. Maria l'a saisi avec fermeté et a promené le bout de ses ongles sur le gland qui rougissait à vue d'oeil. Son souffle devenait court et bruyant. Il a plaqué sa bouche sur les lèvres de Maria et lui a mangé la langue pendant un long moment. C'était une vision superbe. A coté de moi, G se branlait de plus en plus fort. Il me regardait furtivement en me disant que j'avais une belle femelle, belle et très salope…tu crois qu’elle voudra d’un autre homme ? …je lui répondis que je ne savais pas…qu’on verra bien…qu’elle était chaude…et que cela ne m’étonnerait pas !
A l'avant F et Maria étaient dans un autre monde : leurs langues n'arrêtaient pas de s'emmêler avec des bruits de succion qui emplissaient tout l'habitacle d’une torride luxure. Je pouvais voir la peau de ma femme transpirer sous la poussée du plaisir. F lui a alors demandé de le sucer. Maria a obéi avec docilité, lui a défait les boutons de sa chemise et a mordu avec ardeur ses tétons qui disparaissaient presque sous une couverture de poils noirs. Puis, elle a légèrement léché la hampe de chair rougie avant de le prendre complètement en bouche. Elle lui a pompé, léché, mordu et frappé vicieusement la queue durant de longues minutes. G, à l'arrière se penchait pour ne rien manquer du spectacle. Il faut vous dire que dès le moment où elle a une queue entre ses lèvres, Maria est une véritable artiste. Après cette longue possession de ce membre inconnu et beau, elle a redressé les jambes de l'homme et a promené sa langue sur les bords et à l'intérieur de mister anus. Elle adore sucer le cul des hommes. Mieux que çà, elle le leur bouffe vraiment. Et c'est ce qu'elle était en train de faire à F, sans oublier le délicieux va et vient que sa main opérait sur la verge tendue à se rompre....
L'homme gémissait sous les caresses diaboliques de ma maitresse. De temps en temps, elle levait la tête pour me regarder et regarder mon voisin qui était au bord de l'explosion. Son sexe avait très fière allure, pas très long,
mais très épais avec un gland démesuré, comme le chapeau d'un champignon. Je demandais alors à Maria si elle voulait que G passe à l'avant. Elle me répondit par un sourire. Je fis signe à mon voisin de rejoindre le duo. Ma femelle doigtait profondément le cul de F en promenant le bout de sa langue sur le petit orifice de mister gland. Elle a vu arriver le deuxième homme avec une satisfaction qui a éclairé mister regard de la nuit. A peine parvenu prés d'elle, G s'est mis à lui caresser les fesses et à glisser un doigt dans sa raie en la traitant de belle garce. J'encourageais alors les deux hommes à traiter ma femme comme une pûte, étant moi-même subjugué par cette première expérience
De la voir vraiment partouzée par deux hommes en chaleur. Ce fut le début d'une heure de folie sexuelle. Maria se donnait complètement, suçant et léchant les deux corps velus comme je ne l'avais jamais vu faire. Ce fut aussi une avalanche de mots obscènes pour ne pas dire orduriers qu’elle accueillait avec bonheur et qui avaient le pouvoir de décupler mister désir d'être un objet sexuel soumisse aux fantasmes de ces deux hommes. Ils ne s’en privaient pas d'ailleurs !
Maria s'était remise debout pour répondre aux ordres qu'on lui donnait et les jambes bien écartées s'était assise sur le large tableau de bord. Si des gens passaient sur le trottoir ils se seraient régalé du spectacle de cette femme à moitié nue offerte sans tabou aux regards et aux caresses
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la suite
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Maria s'était remise debout pour répondre aux ordres qu'on lui donnait et les jambes bien écartées s'était assise sur le large tableau de bord. Si des gens passaient sur le trottoir ils se seraient régalé du spectacle de cette femme à moitié nue offerte sans tabou aux regards et aux caresses de deux males. plus moi, bien sur. Mais je n'étais pas encore intervenu dans les ébats. Maria me réservait pour le reste de la nuit...
Je la regardais se faire baiser avec avidité. Elle est si belle dans ce genre de situation. Je me branlais de plus en plus vite et Maria m'encourageait en me demandant si j'aimais ce que je voyais. Je lui répondis que je voulais qu'elle soit encore plus salope. Les deux hommes ont accédé à mon désir en la retournant face au pare-brise, la claquant tour à tour, la traitant de grosse truie...et à chaque claques et à chaque mots, Maria en demandait plus, toujours plus. Sa peau était devenue suintante de plaisir et je savais, à cette lumière dont se pare mister corps, qu'elle était proche de l'orgasme. Elle ondulait, s’électrisait sous les caresses vulgares que lui procuraient ses deux amants d'une nuit, ses yeux étaient révulsés... C'est à ce moment qu'elle a joui une première fois...un cri lancinant, profond comme un feulement de louve...et plus elle criait, et plus les deux hommes la soumettaient à des pénétrations vaginales et anales, uniquement avec leur doigt, avec leurs mains, avec leurs poings... Quel moment ! Un chef-d'oeuvre de lubricité et de délires sexuels complètement incontrôlés.
Les deux inconnus ne l'ont pas lâché une seule seconde et l'ont obligé à se mettre à genoux et à les sucer à tour de rôle. Je peux vous dire qu'elle les a régalé pendant cinq bonnes minutes comme rarement ils ont du l'être. Elle leur a sucé les couilles en les aspirant jusqu'à les avaler complètement, leur a léché la queue en écartant de ses ongles le meat de chacun pour y introduire sa langue pointue et dévastatrice. et pour accélérer leur jouissance, elle a frappé les deux hampes de chairs sur sa bouche et sur ses seins qui dégoulinaient de jus blanchâtre à la pointe de ses tétons. Je ne vous l'avais pas encore dit, mais ma femme jouie par les seins quand elle est au paroxysme de sa perversité.
Les deux hommes criaient comme des possédés. Maria les a manoeuvré avec sa science des males et de la baise jusqu'a ce qu'ils la remplissent de leur sperme sur mister visage et sur sa guêpière noire. Elle les a nettoyé jusqu'à la dernière goutte les laissant épuisés sur la banquette avant. Elle les a laissé souffler quelques minutes en les caressant et les embrassant sur tout le corps. Elle était épanouie d'avoir honorer ces deux amants que je lui avais choisi pour la nuit. Elle m'a regardé avec amour en promenant sa langue sur ses lèvres toujours humides et a demandé s'ils voulaient bien poursuivre la nuit chez nous à la villa.
Ils ont accepté avec joie…
Il s’en était suivie une nuit de folie ! Une nuit qui a duré 48 heures !

(A suivre)
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