JENNY

L hivers passa, le printemps aussi, mon job etant tres saimisternier, les premiers jours de lm ete m apporterent un surcroit de travail..Jenny retrouva ses activites favorite, le sport et la plage..
Sa peau naturellement tres claire pris un aspect cuivre et je la trouvais toujours plus belle, toujours plus desirable...

En septembre je parvins a prendre quelques jours de conges et nous partimes nous ressourcer en corse, loin du bruit et de la fureur des regions touristiques...
C est la, lors d une douce soiree de l ete indien, sur la terrasse d un restaurant sur un petit port de peche, que Jenny m apprit, le regard petillant de malice, qu elle avait un amant depuis le debut de l ete...

Elle avait voulu le vivre seule, garder ca secret le plus longtemps possible pour profiter pleinement du piment de l interdit, mais elle n y tenait plus, elle avait aussi besoin de le partager avec moi, maintenant qu elle savait a quel point cela m excitait, elle voulait m associer a ses jeux, elle prenait un plaisir evident a m en parler et surtout il lui semblait essentiel pour notre couple que nos aventures et donc mister infidelite soient un facteur de rapprochement et de bonheur plutot qu une source de culpabilite pour elle et un fosse qui se creuserait powerment..
" Et cyril? " fis je.
Elle fit une moue coquine et esolee a la fois " plus de nouvelles depuis la derniere fois, c etait au mois de mai non? "
" oui...Plus de nouvelle de sa part de mon cote non plus....Alors!!! Vas y, arretes de me faire languir, racontes!!! c est qui? ou la tu rencontre? Depuis quand? Ou et quand le voit tu????....."
Elle rit " attend, attend, ca arrive..."

Cetait la derniere semaine de Juin, elle avait repris ses habitudes sur cette plage isolee, ou une fille seule ne craignait pas d etre importunee et ou elle pouvait bronzer nue et nager sans probleme...Elle s y rendait presque chaque jour. Elle avait repere un jeune homme, la trenta&ine, beau comme un dieu, qui installait sa serviette presque tous les jours aussi a quelques encablures de la sienne...Il y avait d abord eu quelques echanges de sourires, puis devant l air peu farouche de jenny, il s etait enhardi et au bout de quelques jours il lui avait demander l autorisation de s allonger aupres d elle pour pouvoir discuter et faire connaissance..
Tres vite, il l avait draguee ouvertement et elle n avait pas pris la peine de faire semblant, mister corps athletique, mister sourire la faisaient craquer et elle ne le lui cachait pas...Ils s pprirent mutuellement qu ils etaient maries mais cela n avait pas eu l air de le gener..
Un apres midi il l invita a boire un verre a la terrasse d un cafe...Le lendemain ils devinrent amants ans une charmante petite auberge que nous connaissions bien jenny et moi...

Ta femme devient de plus en plus d?licieusement craquante. Le fait de raconter ses qventures après avoir consomm? fait de toi le cocu supprême. Tu ne contr?le absoluement plus ses escapades qui semblent aller en s'amplifiants. Chapeau pour ton r?le de cocu que tu assumes a merveille. Elle doit prendre un pied terrible ta belle infidèle et ses amants alors!!!

YANNCOCU
C'est delicieux ce que tu nous racontes : que Jenny eprouve le besoin et le desir de vivre librement ses pulsions sans meme juger utile de t'en informer, si ce n'est bien apres, lorsque le fait que tu sois au courant agisse comme un deuxieme souffle qui aiguise l'excitation procuree par cette relation extra-conjugale, je trouve ca epatant. Merci encore de nous faire partager ca !

Merci merci je continue....

"COMMENT AS TU OSER ME FAIRE CA???"
Jenny bredouilla en rosissant " mais je, je, je croyais que.."
"Tu croyais quoi!!??? QUE J ALLAIS SAUTER AU PLAFOND? tu m apprends que pendant que je bosse comme un malade tu t envoies en l air , que tu me trompe sans vergogne avec le premier venu depuis trois mois, et tu croyais que j allais sauter de joie???"
A la vue de jenny devenant toute pale, de ses yeux qui s embuaient de larmes, j arretais net ma colere feinte qui etait vraiment une plaisanterie de tres mauvais gout...Je m en voulais mais elle l avait quand meme bien merite, j etais surpris, vexe, jaloux, cette petite garce avait reussi a me berner pendant tout ce temps et je me vengeais comme je pouvais...Je lui pris la main en m excusant, l assurais que je plaisantais, que j etais loin de penser que ma petite comedie marcherait aussi bien...Elle essuya ses yeux d un revers de main et me traita de sale con. Puis nous eclatames de rire tous les deux....
"C est vrai que j ai passe l ete a te faire cocu mon cheri..Et j ai adore ca!
" Salope "
' Humm oui! tu aimes?"
" de plus en plus. Il est vraiment si beau que ca?"
" encore plus que ca!!! c est le plus beau mec que je me sois tape."
" Merci pour moi!!" grincais je.
" Toi tu es hors concours..Et puis je suppose que ca oit te rendre encore plus jaloux non?"
Bien sur..Je ne le montrais pas mais j etais vraiment au trente sixieme dessous, je roulais des mecaniques, je frimais mais quelque chose au fond de moi me disait que la ca depassait tout, qu il fallait que je tape du poing sur la table, que je la recadre, que je lui montre qui etait le maitre, qu elle m appartenait a moi et rien qu a moi, qu elle ne respirait que parce que je le lui permettais...
" oui c est sur" dis je, j insistais bien sur le fait que ca allait comme ca, qu elle etait parfaite comme je les aimais, que meme j en voulais encore plus, qu elle me raconte tout sans menagement, que je voulais avoir mal, qu elle n imaginait pas comme j aimais avoir mal par elle, comme j adorais qu un mec me la prenne..
Elle savait.

IL etait beau comme un dieu. Et il se prenommait Alain.Il ne savait pas que jenny allait tout me dire, jenny preferait qu il continue de croire qu elle me trompait reellement, ( j avais du mal a saisir le sens du mot reellement dans l esprit de jenny!!!), elle trouvait ca plus excitant.Et moi aussi je dois le reconnaitre. Ca devait continuer exactement pareil, sauf que desormais je savais, je participais a nouveau au jeu, meme si c est elle qui apparement en fixait les regles, qui me raconterait tout ce qu il fallait pour que ce soit bon pour elle et pour moi.
Quand vers la mi aout, mister amant lui avait appris que sa femme etait tombe enceinte, jenny accusa le coup, elle en fut contrariee, peut etre par solidarite feminine, qu un mec trompe sa femme autour de ces moments la l avait trouble mais finalement elle s etait dit que ce n etait pas mister probleme, au contraire cela avait quelque chose de gratifiant qu un homme qui aime mister epouse a ce point, qui lui avait toujours ete fidele ait pu craquer pour elle.
Moi je trouvais cela terriblement excitant, je ne sais pourquoi mais cela onnait un cote etalon a ce mec, il engrossait sa femme et culbutait la mienne. Au moins deux ou trois fois par semaine. Cela temoignait assurement d un temperement viril, ce que me confirmait le recit de jenny.

" et je ne me suis rendu compte de rien!!!"
" et non!" sourit elle malicieusement.
" salope?"
" Humm oui..TU AIMES, "
On avait quitte le restaurant du petit port depuis un moment deja, allonges sur le lit elle me gratifiait d une de ces pipes dont elle a le secret en me racontant mister infidelite. Elle ne m en epargnait aucun detail. Elle gloussait en constatant que certains de ces details me faisaient durcir " tu aimes vraiment que je te trompe toi!!".
Elle prenait mister temps, me touchait a peine, elle savait pertinemment qu un sensation trop forte pouvait me faire partir sans sommation.
Aussi me frolait elle, m engloutissait sans me serrer, me relachait aussitot, elle jouait avec mes nerfs et c etait une delicieuse ***..
Des leur premiere etreinte elle avait atteint un plaisir intense, il etait aussi bon amant que cyril, alternant lui aussi douceur et vulgarite. Tout de suite il avaient place leur rencontre sous le sceau du sexe, ne laissant pas place a une quelconque sentimentalite, leur relation n en etait que plus passionnelle, debarrassee de toute contrainte liee a la bienseance, de toute crainte liee a un quelconqque attachement, de toute projection vers le futur et de toute culpabilite. Ils etaient comme deux animaux qui baisaient, leurs corps a corps sauvages et violents.
Elle me dit le plaisir de la decouverte, comme il lui etait bon de se sentir desirer, de se voir belle dans mister regard neuf, de se donner sans reflechir a un bel inconnu, juste faire l amour, sentir, toucher, caresser, se laisser envahir, couler, boire, s ouvrir, se concentrer sur la sensation du ventre lentement possee par un membre dur et incroyablement long, embrasser, mordre, jouir de ce corps muscle et imposant.
Puis les baisers au moment de se quitter, les numeros de telephone echanges, les pensees qui s egarent deja vers le prochain rendez vous, les sentiments etranges et contradictoires quand il fallait reprendre le cours habituel de la vie, les soirees avec moi qui ne me doutait de rien, m ecouter raconter ma journee de travail en ressentant encore les reminescences des caresses de mister amant...
Jenny me sucait avec precaution en me decrivant la fougue de mister amant; comme il la soulevait de ses bras muscles, comme ses longs doigts lui prodigaient de folles caresses, comme sa queue butait contre sa matrice, comment elle l avait avale et bu des cette premiere fois pendant qu il poussait des grognements de surprise et de male satisfaction.

" tu vois c est bien la premiere fois que je n ai pas maudit ton foutu job, j ai pu tout l ete me consacrer a mon aventure sans que tu n ais le temps et l energie necessaire a t en douter..."
Ainsi elle avait pu me tromper a mister aise, je ne lui avais pose aucun probleme, ils s etaient vu aussi souvent que mister emploi du temps le lui avait permis, souvent dans cette petite auberge, puis ils avaient ecume les hotels de la region, les criques isolees, les aires d autoroutes et meme les toilettes heureusement assez vastes d un restaurant un jour que le desir les pressait.
Enfin quand jenny fut assez sure de lui, elle l avait fait venir a la maimister, c etait commode, et ils avaient etrennes toutes les pieces avec une nette preference pour la cuisine et sa grane table de bois.. " tu sais comme j adore ca me faire baiser sur une table! "
"Arretes, ne me touches plus, je vais jouir!! Viens remontes, viens m embrasser...commences par le tout debut s il te plait.."
" tu veux que je te detaille la premiere fois?"
" oui, mais aussi juste avant, quand vous etiez sur la plage, quand tu as pris la decision que tu allais te donner a lui...NE ME TOUCHES PLUS...."
Elle me lanca un regard penetrant. Me branler juste avec des mots, me conduire au paroxysme du plaisir juste par la power des images me mettait a sa merci en lui faisant prendre conscience du pouvoir de mes fantasmes sur ma libido...

JENNY..

YANNCOCU

Ton histoire nous rend fou !
Encore une fois merciiii !!

oui vraiment tu nous rends fou !!!!
merci l ami YANN
snarual

Pffffouaw! il n'y a pas que toi que Jenny fait durcir avec ses recits que tu nous relates. Exitant a mort.......

"ce jour la je l attendais sans idee preconcue, la veille on avait pris un verre et on avait parle de nous, de nos vies, il m avait fait comprendre que je lui plaisais mais sans tenter quoique ce soit.
Je ne savais pas trop ce qui allait se passer. Allanguie par le soleil j etais quand meme passablement emoustillee a l idee de passer une nouvelle apres midi a bronzer nue a cote de lui. Ses yeux bleus, sa peau mate, ses epaules larges, mister ventre muscle, mister sexe que j avais eu du mal a ne pas regarder ouvertement, sa voix grave et envoutante, il y avait plein de choses qui me plaisaient vraiment chez lui. Mais je ne savais pas trop, tu n etais pas la, je ne t avais parle de rien, je n avais aucune intention malhonnete, juste passer une apres midi agreable a me faire draguer par un beau mec...Et puis il arriva, on se fit la bise, il se deshabilla entierement et s allongea tout pres de moi, il sortit un thermo de mister sac et me proposa un cafe, il faisait comme si de rien n etait mais ses yeux le trahissaient, ou plutot il me regardait sans se gener, les seins, le ventre, les cuisses, machinalement je les resserais, mister regard etait si insistant, j avais peur qu il ne percoive a quel point j etais toute humide.

Moi j avais mis mes lunettes de soleil et je pouvais risquer quelques regards sur mister corps incognito, j etais subjuguee par mister sexe volumineux qui palpitait, la, a quelques centimetre, qu il ne faisait rien pour dissimuler. Il surprit un de mes regards et s excusa en disant que ce devait etre le soleil,que cela lui faisait souvent cet effet...Qu heureusement il n y avait pas grand monde sinon cela aurait pu etre genant..Qu il esperait que cela ne me choque pas...Que j en etais aussi en partie responsable car il avait rarement vu une fille aussi belle et desirable.
La il me sourit, mister visage est tout proche du mien, il est a demi tourne vers moi, appuye sur un coude, il pose sa main sur le haut de ma cuisse, me dit que je suis tres douce en approchant encore mister visage, effleure mes cheveux, pose ses levres sur mon cou et enfin cherche ma bouche.
La sienne est pulpeuse, sa langue caresse mes levres puis les ouvre et cherche la mienne.Une voix me dit qu il ne faut pas faire ca, je pense a toi qui me fait confiance, mais c est si bon, le soleil, sa main sur moi, mister baiser si doux et si viril a la fois.
Le simple contact de sa peau m electrise, il se colle contre moi et sa queue dure comme du bois contre ma hanche m affole definitivement...On s embrasse a en perdre haleine, il me dit qu il a envie de moi depuis qu il ma vue la premiere fois, qu il n a jamais trompe sa femme mais que je lui fais perdre la tete....

Il me caresse les seins, le ventre, ma main s egare vers sa queue, elle est tendue a craquer, un filet gluant perle sur mister gland, je sourit, ses doigts a lui glissent entre mes cuisses, il sourit a mister tour en respirant plus vite de me sentir si trempee, deux doigts s infiltrent dans ma fente, il me branle, on entend les bruits mouilles de ses doigts qui coulissent, je retiens un gemissement, il y a peu de monde mais il y a quand meme des gens pas tres loin et on a soudain conscience que notre comportement est carrement indecent...Il me dit " que fait on?"

Mon dieu oui... QUE FONT-ILS???

on s est rhabille febrilement, on a plie nos affaires et je l ai suivi, j en avais autant envie que lui, j en avais mal au ventre tellement j avais envie de faire l amour, j avais envie de lui, qu il me remplisse...
Il m a dit qu il connaissait une auberge tout pres, on a gare nos voitures dans la cour, il a demande une chambre , a peine a l interieur, il m a plaque contre le mur, j ai senti la forme de mister sexe contre mon ventre, ses mains pelotaient mes hanches, mes fesses, je n avais pas remis ma culotte, j ai glisse une main entre nous et j ai degage sa queue, il bandait comme un cheval, si enorme, si long, je le caressais a deux mains pendant qu il me devorait la bouche. Il m a empoignee sous les cuisses apres avoir remonte ma jupe et me souleva du sol jusqu a ce que je sois a la bonne hauteur, puis il me fit retomber et s enfonca jusqu a la garde, ses gestes precis et sa rudesse me rendaient folle, j avais les cuisses autour de ses hanches, je me tenais a ses epaules pendant qu il me soulevait et m embrochait, je degoulinais sur sa queue et sur l interieur de mes cuisses, il me coitait comme un natural, il devastait ma chatte, je le sentais envahir mon ventre, distendre les parois de mon vagin,butait tres haut contre mon uterus, des eclairs explosaient dans mes reins et j ai hurle, le ventre secoue de spasmes, aneantie par un orgasme fulgurant, je pleurais de plaisir, il buvait mes larmes tout en continuant a me clouer contre le mur a grands coups de reins. Sans sortir de moi il recula jusqu au lit, il bascula et s allongea sur moi, tenant mes bras releves au dessus de ma tete d une main, il me triturait les seins de l autre tout en ne cessant de me baiser, il sortait presque entierment sa queue et se renfoncait, je sentais precisement sa verge dilater ma chatte et ses testicules balloter contre mes levres. Tout le temps qu il me remplissait il me regardait, il lisait sur mon visage, dans mes yeux le plaisir qu il me procurait, je le lui ai dit, j ai dit qu il me baisait bien, que je le sentais bien, ca l a rendu fou, il m a retourne et m a enfile en levrette, je m arcboutais sur mes bras tendus, me cambrais pour mieux m offrir a ses coups de bouttoir. Chaque poussee me tirait des cris et des coulees de mouille, je n avais jamais ressenti ca, je n avais jamais ete baisee aussi sauvagement, alain a une queue demesurement longue, je ne saurais pas te decrire les sensations mais c est terrible, il y allait fort, comme une brute, il me faisait presque mal mais je m ouvrais a deux mains et je lui disais de continuer. Il me chevauchait en me tenant par les cheveux et en me traitant de salope, je ne sais pas pendant combien de temps il m a limait, le temps etait comme suspendu, il n y avait plus que sa queue en train de me defoncait, puis il a rugit et j ai senti mister foutre chaud , les giclees m ont provoque un autre orgasme et on s est ecroule, on a roule cote a cote, epuises tous les deux..."

Sincerement j'aurais voulu y etre pour voir. Un amant hors norme apparemment. Elle l'a bien merite cette sulfureuse Jenny...

" tu l a laisse te prendre sans preservatif!!?"
" Oui, vues nos conversations je savais que ca ne craignait rien..CHUT! detends toi, laisse toi aller..."
" tu m avais pas dit que tu l a suce a fond des la premiere fois?"
" humm oui...On a refait l amour plusieurs fois cet apres midi la...J etais rentree a la maimister epuisee mais tu ne t etais rendu compte de rien...Avant que tu n arrive j avais pris un bain..."
Jenny me prend dans sa bouche, c est chaud et divinement souple et mouille, puis ses doigts vont et viennent un peu plus vite sur mon sexe..
" on s est repose un peu puis on a refait l amour, il m a prise longuement, dans toutes les positions, me faisant jouir encore, je commencais a m acclimater a la longueur de mister membre...C etait divinement bon de le sentir, de te tromper, c etait voluptueux, il me donnait tant de plaisir, ca m a pousse a me conduire comme une femelle comblee, j avais envie de lui montrer ma reconnaissance, qu il m avait soumise a sa queue, je l ai suce, je nettoyais mister sexe de nos secretions melees, comme ca "
elle m engloutissait...
" il aime comme je suce, la, je l ai fait venir, j ai tout avale, ca t excite que j avale mes amants, alain se deverse chaque fois au fond de ma gorge, je sais que ca te rend fou de jalousie, tu vas jouir, je sens ta queue qui palpite, oui viens mon cheri..."
j explosais, une jouissance qui n en finissait plus de m etre tant contenu, jenny me lechait le bas de la hampe et les couilles pendant que je dechargeais.....

oui tititoto, pendant l annee qu a dure leur aventure je n ai pas eu l occasion de voir jenny baiser avec alain...C est bien entendu tres frustrant mais c etait la tout l interet....

Absolument d'accord avec toi.

Ma femme aussi ne me dit pas tj tout directement; Tout comme toi elle me raconte après en me carressant et ca c'est divin.

Apres ca jenny me raconta pendant quelques semaines en details chacune de leurs rencontres. A pparemment cela redoublait mister plaisir de revivre ses ebats avec lui en me les racontant et je n en demanais pas tant..
Son amant passait alors chaque fois qu il le pouvait dans la journee a la maimister et ils faisaient l amour des heures durant.Parfois quand ils n avaient pas trop de temps devant eux, il passait juste quelques instants, il la tirait ou il se faisait sucer et il repartait.
" ca ne te deranges pas? " fis je plus que surpris..
" hum non, pas vraiment.Bien sur si ca se limitait a ca..Mais la....ca va."
La, elle avait sa ration parfois plusieurs fois par semaine et je comprenais a demi mots ce qu elle n osait me dire ouvertement, ce sentiment d etre sa putain, qu il vienne de temps a autres juste utiliser mister corps a sa guise sans se preoccuper d elle, exaltait encore davantage mister desir pour lui et temoignait de sa faiblesse devant les choses de la chair, de l emprise sexuelle que mister amant avait sur elle. Cela me surprenait mais elle semblait non seulement accepter ca mais aussi en etre profondement troublee.

un mardi, au sortir d un week end de trois jours ou ils n avaient donc pas pu se voir, je rentrais chez nous et trouvais jenny passablement enervee, elle me rabroua pour un oui, pour un non, elle tournait comme un ours en cage, elle cassa un verre et jura, je rasai les murs, habituellement douce et mesuree quan elle est dans cet etat les eruptions du vesuve mistert peu de choses en comparaimister et je me faisais tout petit...
Je laissai passer l orage avant de m enquerir e ce qui n allait pas,elle me foudroya du regard en me lancant que ca ne me regardait pas...
A la fin de la soiree, une fois au lit je revins a la charge et elle me confia cette fois la raimister de mister enervement...Elle avait attendu alain tout l apres midi sans qu il ne la previenne de mister retard, il n etait arrive qu un peu avant 19h ( je rentre habituellement vers 20h), s excusant a peine et lui disant qu il ne lui faisait qu un petit coucou...Elle repondit qu il etait de toutes manieres trop tard, que je risquais de rentrer d un instant a l autre et elle avait faillit lui fermer la porte au nez...Il avait insiste pour qu elle le laisse entrer quelques instant, la poussant presque a l interieur dans le hall, et il avait vainement tente de l embrasser mais elle l avait repousse. Alors il s etait quasiment jete sur elle, la coincant contre le mur et sans facon, il avait crochait sa main dans mister entrecuisses, inserant apres avoir ecarte le tissu de sa culotte quelques phalanges dans la moiteur de mister sexe.Elle aurait voulu avoir la power et la dignite de le remettre a sa place, mais il lui froissa le bouton sans menagement qui s erigea aussitot, elle se sentit couler tout en se maudissant interieurement, et elle plia legerement les genoux pour lui faciliter la tache. Il emit un rictus de satisfaction qui la blessa, ses doigts firent glisser la bretelle de sa robe, il roula un teton entre pouce et index, lui tirant un gemissement, puis il passa sa main sous mister genou, lui souleva la jambe, il frotta un instant mister gland turgescent contre sa vulve, comme pour en prendre la mesure et il s enfonca vulgarement, la viola d un coup de rein puissant, jenny couina de plaisir, le pieu de chair qui l empalait contre sa volonte declenchait un incendie dans mister bas ventre.
Elle s en voulait de lui ceder, d etre aussi facile, elle sentait pourtant le ruisselement de ses organes intimes, comme si mister corps ne lui appartenait pas, elle inondait ses cuisses et le phallus du male qui la possedait. Celui ci redoubla ardeur devant la docilite et les rales de plaisir de sa conquete qui s abandonna plus encore, defaite elle le supplia de continuer, d aller plus fort, de la baiser, de se vider en elle. Il la pillonna plus vite, a lui faire mal, les yeux plantes dans les siens, il grogna et se repandit en elle a longs jets sans se soucier de mister plaisir a elle, il la laissa choir, pantelante et inassouvie, les terminaimisters nerveuses en feu..
Il mit un peu d ordre a sa tenue, lui dit qu il avait adore et prit conge apres un baiser furtif auquel elle ne repondit pas.

Je n osais pas lui dire qu elle n avait que ce qu elle meritait et que de mon cote je trouvais ca tres excitant...Il l avait prise comme un soudard, je savais que jenny avait aime ca, pour preuve la reaction de mister corps, mais elle etait vexee, elle avait une reaction legitime de fierte et orgueil, etre traitee de la sorte la remuait powerment, plus habituee a etre veneree par les mecs,a les avoir a ses pieds, on n etait pas en retard avec elle ou bien on s excusait platement, on cherchait toujours a lui plaire, a lui faire plaisir.....
Je pris le parti de ne pas faire de commentaire, c etait mister chemin, elle decouvrait elle aussi une forme de soumission, elle decouvrait qu elle pouvait etre excitee par un homme qui la rabaissait sexuellement au rang de femelle docile. Je la consolais, je la caressais doucement, je flattais delicatement ses flancs, delicatement je lissais mister pubis glabre, je descendis vers sa chatte, encourage par ses gemissements, par mister corps que je sentais se detendre, je commencai a lecher les levres roses de sa chatte, j inserai ma langue plus intimement, je lappai le sexe lisse et doux, je titillai le clitoris sorti de sa gangue avant de plonger avec delice dans le vagin trempe ou se melait a sa mouille le fluide de mister amant dont je decouvrai la legere amertume et le gout acre.
Jenny se tendit et elle jouit tres rapidemment, d un orgasme bref et leger...Decue et frustree elle se detourna egoistement en me lancant " ce n est pas d un orgasme dont j avais besoin....C est de me faire bourrer.."
Ca, ca faisait mal, je me levais sans un mot pour aller griller une cigarette, puis je me masturbais dissimule dans mon bureau en imaginant la queue de mister amant remplir le vagin de jen, je fermais les yeux et je la voyais se faire bourrer, sa petite chatte rose et si delicate ravagee par la bite qui la remplissait comme elle aime...

Jusqu a la jouissance des deux amants, jusqu a ce qu il ejacule en elle, qu il inonde mister ventre...
Je me repandit dans un mouchoir que je jetai dans les toilettes....

JENNY