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Ma life : retour en enfer avec visite guidee

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mixli

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Posts: 1163
#121
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vraiment domage, en effet, qu'il n'y ait pas de suite a ce recit! je faisais partie de cette majorite silencieuse, j'avoue mes crimes, qui se delectait d'un nectar dans lequel la luxure etait servie avec le plus grand art!!!
j'espere que vus ne gachez pas trop vos talents, cher paco (pardonnez,je vous en conjure, cette brusque familiarite dela part d'un admirateur sincere) au detriment de votre propre gloire!!! Il faut que jeunesse se fasse, je sais.
j'attendrai toutefois votre retour sur vos terres avec la plus indefectible patience, qu'il pleuve ou qu'il neige !

un ami qui vous veut tout court
mixli
black95xxx

Anonymous

#122
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Je suis sur le Q, comme on dit. J'ai tout lu et c'est excellent !!!
paco2244

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Posts: 2438
#123
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Quoting: black95xxx
Je suis sur le Q, comme on dit


C'est mon tour d'y etre : je pensais vraiment que ce topic avait disparu, que vous n'appreciez pas, ou etiez tres peu a y avoir pris plaisir !

Merci mixli et black95xxx de vos compliments et encouragements. Je crois que je vais etre oblige de produire la suite...
black95xxx

Anonymous

#124
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C'est si bien narre qu'il est difficile de ne pas se prendre au jeu. C'est long... mais c'est bon (parait que c'est normal).
Brutus2

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Posts: 827
#125 · Edited by: Brutus2
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La - suite ! La - suite ! On adore...Et on espere qu'il y aura quelques amants plus fiables pour lui expulser leur liquide seminal dans la cramouille...je veux dire, la foufoune...que tu te noies, que tu suffoques sous ses fesses...que ton univers soit ELLE et leurs jus...que ta vie meme depende de mister cruel caprice...
Fanatique de l'infidelite feminine
paco2244

Member

Posts: 2438
#126
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Voilà, ça a fini par arriver : la suite romancée de ma vie passée revient sur le forum. Suite que j'ai eu bien du mal à écrire car l'écriture, c'est comme le vélo : même si on n'oublie pas, quand on n'en a pas fait depuis longtemps, les automatismes se perdent vite et l'équilibre est souvent mis en danger.
Bon, enfin, on y est, et je vous laisse vous faire votre opinion vous-même.
N'oubliez pas, ce n'est qu'un témoignage modeste d'un passé devenu lointain, et ça n'a aucune autre prétention que de vous distraire, voire vous amuser, et ne vous sentez pas obligé de lire si ça vous rase !


Chapitre 5 : Le Dîner de Con, 1ère Partie.

Le diner prevu a ete retardé. Je ne me rappelle plus précisement de combien de temps, probablement quinze jours si mes souvenirs mistert bons, peut-être trois semaines. Entretemps, Carole a passé quasiment toutes ses soirées, une bonne partie de ses nuits et un week-end complet avec mister patron, Hervé. Autant dire que je l’ai peu vue. Elle devait être fort occupée par la prise de ses nouvelles fonctions car je suis resté plusieurs jours, trois je crois, sans nouvelles, pas même un petit coup de telephone.

Si étrange que cela paraisse, j’étais partagé entre des sentiments très contradictoires : d’un côté l’angoisse de ne pas avoir de nouvelles et la frustration de ne rien savoir d’où elle était, de ce qu’elle faisait – j’avais néanmoins une petite idée de quelques unes de ses activités – et de ne pouvoir la contempler, fusse un instant ; et de l’autre côté, une excitation infernale provoquée par l’indifférence totale qu’elle manifestait ainsi a mon égard. J’avais beau, en de brefs instants de lucidité, me traiter de bargeot intégral de supporter ce que j’endurais, de trouver le moyen de trouver aphrodisiaque d’être abandonné comme si je n’existais pas, rien n’y faisait : cette situation me plongeait dans un état d’excitation quasi-permanente que je manifestais a ma facon, le petit doigt pointé vers le ciel…

Et lorsqu’elle réapparut, enfin, ce fut comme si on me rendait la vie, que le soleil illumine à nouveau ma vie apres avoir été plongé une éternité dans les ténèbres absolues. Oh, ne vous méprenez pas : elle ne manifesta pas a mon égard le plus petit signe d’affection, de compassion, bien au contraire, et me traita sans ménagement. Comme si, dans mister esprit, tout celà était la chose la plus naturelle au monde, et j’étais certain qu’elle le concevait ainsi.

Je remarquai les premières traces de l’emprise que commencait a exercer Hervé sur elle. Elle était a nouveau passée chez le coiffeur et ses cheveux etaient maintenant d’un blond un peu plus platiné, mais réhaussé de trois ou quatres longues mèches brunes. Quant a ses mains, elles étaient désormais habillées de toute une série de bagues dorées qui paraient ses doigts, pouces compris, auxquels elle avait fait subir une french manucure en résine. Manifestement, mister patron ne lésinait pas sur les moyens : les bijoux, malgre leur côté très tape-à-l’œil, n’étaient pas en toc et ce n’était pas avec mister salaire que Carole aurait pu s’offrir de tels ornements.

Ca aussi, c’était une nouveaute : se faire offrir des bijoux par un autre, et j’en ressentis une intense brûlure de jalousie, d’autant qu’ils voisinaient avec mister alliance et le solitaire de nos fiançailles. Elle nota, évidemment, que je m’en étais rendu compte, et m’assèna avec délectation une explication irréfutable :

- Ah, tu as remarqué que j’avais de nouvelles bagues ! C’est un cadeau d’Hervé : il adore qu’une femme soit couverte de bijoux. Il dit qu’il n’y a rien de plus excitant que de se faire branler la queue par une main aux ongles très longs et aux doigts bagués…

S’il le disait…

Mes consignes pour le dîner étaient simples et précises : tout préparer pendant qu’elle se préparait, et faire montre de mes talents de cuisinier. L’angoisse au ventre devant ce qui m’attendait et par la crainte de ne pas être à la hauteur de ses attentes, je passai la journée en cuisine après avoir fait le marché au petit jour, à l’heure ou les étals mistert fraichement garnis et les ménagères, mes consoeurs, encore en train de fourbir cabas et paniers à roulettes.

Vers 19 heures, tout était en ordre : table dressée, repas prêt, musique douce et lumière modérée au salon, champagne au réfrigérateur et fleurs sur la table.Ne me restait plus qu’a voiler ma nudité avec un jean et un tee-shirt noirs, comme prescrit, quand Carole surgit du fond de l’appartement, le claquement de ses talons sur le dallage m’annoncant sa venue et me provoquant, instantanément, un acces de tachycardie.

Quand elle obstrua de sa présence l’encadrement de la porte de la cuisine, je crus que mon arythmie cardiaque allait tragiquement se conclure par un infarctus fatal. Elle avait relevé sur le haut de mister crâne ses mèches platines qui, retenues par un chouchou en plastique rose fluo, formait un palmier doré au sommet de sa tête, dégageant mister beau visage outrageusement maquillé. A ses oreilles pendaient de lourdes créoles si imposantes qu’elles frôlaient la base de mister cou et qu’on aurait pu y percher sans peine un couple de colibris.

Elle était vêtue, si tant est que ce terme puisse s’appliquer à ce qu’elle portait, d’une minirobe en lurex rose bonbon qui paraissait littéralement peinte sur elle tant elle collait au moindre pore de sa peau. En haut, le col officier laissait ses épaules nues et, sous le bouton pression qui le fermait, un décolleté en forme de cœur inversé dévoilait les trois-quarts de sa somptueuse poitrine dont les tétons tendaient le tissu, si fin qu’il en était quasiment transparent. Sous le niveau des hanches, une étroite bande de tissu élastique plus sombre masquait juste mister pubis, afin de préserver le strict minimum de pudeur qui consistait, en l’occurrence, à ne pas montrer ouvertement sa chatte. L’ourlet de ce vêtement, paré d’un volant de fourrure synthétique teint, s’arrêtait tout en haut des cuisses, là ou commençait une paire de bas résille noire qui gainait ses jambes jusqu’à des escarpins de cuir vernis aussi roses que la robe, dont les talons en acier doré devaient flirter avec les quinze centimètres de hauteur. Ses avant-bras étaient ceints de bracelets, ses doigts couverts de bagues, un serpent enserraient de ses anneaux d’or le haut de mister bras gauche et, à sa cheville droite, une chaînette aux épais maillons de même métal surplombait mister pied.

Je faillis en laisser choir l’aspic de noix de Saint-Jacques aux petits légumes que je venais de démouler de sa terrine.

- Tout est prêt, la table est mise ?
- Oui Maîtresse.
- Voyons voir ça…

Et elle s’éloigna vers le living. Un éclat de rire me parvint de la pièce où elle se trouvait, immédiatement suivi d’un retentissant :

- Viens ici !

Je me précipitai. Elle m’attendait à l’orée du séjour, fièrement campée sur ses échasses dorées, les mains sur les hanches. Ce qui me permit de constater que, vue de dos, la bande de tissu sombre qui cachait mister bas-ventre sur le côté face de la robe n’avait pas jugé opportun de poursuivre mister effort côté pile : ses fesses et la fente qui les séparait étaient parfaitement visibles sous le lurex rose, révélant l’absence totale de sous-vêtement. Mon cœur fit un nouveau raté en découvrant mister superbe cul si indécemment exposé.

- Qu’est-ce que c’est que cette connerie ??

D’un geste impérieux du menton, elle me désigna la table dressée devant la baie vitrée. Je n’en menais pas large, ne comprenant pas où elle voulait en venir : tout me paraissait parfaitement en ordre et au complet, puisque j’avais vérifié et re-vérifié l’ordonnancement des verres, des assiettes, des couverts et des instruments de service. Je levai, interrogatif, mon regard vers le sien, dix bons centimètres au-dessus de moi.

- Je… je ne comprends pas…
- Ah bon, tu ne comprends pas ? Tu peux m’expliquer pourquoi tu as mis la table pour trois permisternes ? On attend deux invités ?
- Non…

Son œil se mit à briller d’une lueur mauvaise tandis qu’un rictus sarcastique tordait sa bouche ultra-maquillée.

- Tu ne veux quand même pas dire que tu t’es imaginé que t’allais manger avec nous ?

Je pris conscience de l’ampleur de ma méprise, et de sa sottise. Le mieux était de ne pas répondre, le mal étant déjà fait. Elle éclata de rire, un rire d’une méchanceté intégrale.

- Mon pauvre petit bonhomme ! Mais pour qui tu te prends ?
- …. Je… je…
- Tais-toi ! Tu n’es qu’un imbécile ! Et tu vas me faire le plaisir de débarrasser vite fait ce couvert inutile, avant de te prendre une paire de baffes…

Je m’empressai d’exécuter mister ordre tandis que je l’entendais commenter, à haute voix, la folle méprise que je venais de commettre. Histoire de me remettre les idées en place.

- Je ne le crois pas, ça ! J’invite un homme à dîner chez moi, et ce cocu minable s’invite à table, alors que tout ce qu’on lui demande, c’est de faire correctement mister boulot de larbin ! Mais, putain, c’est pas vrai ça, d’être aussi con !! Viens-là, crétin !

Je m’avançai, craintif de ce qui m’attendait. Arrivé face à elle, je gardais la tête basse, m’attendant à chaque seconde à ce que sa main s’abatte sur ma joue. Il n’en fut pourtant rien.

- Ecoute-moi bien, et que je n’ai pas à me répéter : c’est la seule faute que je tolérerai de toi ce soir. Hervé est très curieux de savoir comment se passe la relation entre nous, et je ne veux surtout pas le décevoir : j’attends de toi que tu sois un parfait soumis qui obéit au doigt et à l’œil. A la moindre erreur, je te fous à la porte, tu as compris ?
- Oui… Maîtresse !
- Bien ! Alors, qu’est-ce que tu attends pour te prosterner à mes pieds et me demander pardon ?

Bienheureux de m’en tirer à si bon compte, je tombai à genoux et dévôtement, ployai le buste pour baiser l’empeigne de ses escarpins en prononçant des excuses.

- Parfait ! Dépêche-toi d’aller t’habiller, mon amant va arriver. Mais tu ne perds rien pour attendre, fais-moi confiance. Tu seras puni pour cette faute, sévèrement. Je veux que tu t’en souviennes, pour être sûr que ça ne se reproduira pas.

C’était la première fois que le terme « punition » apparaissait dans mister langage pour s’adresser à moi. Soucieux, me demandant ce qu’elle voulait bien pouvoir dire par là, et ce que mister esprit pervers pourrait bien inventer, je me vêtis à la hâte.

Bien m’en pris : j’avais à peine fini d’enfiler ma tenue que la misternerie de la porte d’entrée retentit. J’allais, pour la première fois, me trouver confronté à un homme qui baisait ma femme. A ma place…

[b]A suivre…[/b]
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#127
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Voici pour estimuler votre récit!








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#128
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Et encore, quelques unes en Anglais, maintenant.








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#129
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Ops ... old ones! I'll try to post newer.








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#130
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And those ...








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#131
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To make this page still more colourful, there u go! Enjoy it!






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#132
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Sorry. Some are repostings. Next week, I'll try to bring some more from my providers. hehehe
paco2244

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#133
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Thanks for your contribution. Perhaps you could create your own topic to publish these pics, which have nothing really to do with mine ; but why not ? Everyone is free here...
mixli

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#134
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il est vrai que quand c'est aussi bien écrit, c'est du nectar...

et le suspens est à mister comble, j'ai hate de te voir ouvrir la porte Paco, vraiment hate...
paco2244

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#135
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Quoting: mixli
j'ai hate de te voir ouvrir la porte Paco, vraiment hate...


Qu'à celà ne tienne : il suffit de le demander, tout le plaisir est pour moi !
Enfin, presque... comme vous pourrez le constater.



Chapitre 5 : Le Dîner de Con, 2ème Partie


J’ai ouvert la porte et Hervé C. est passé devant moi, me jetant à peine un regard. Un très bel homme, incontestablement. Je l’ai immédiatement détesté.

- Bonsoir Monsieur.

Ça m’a un peu écorché la glotte de le saluer ainsi, mais Elle l’avait exigé. Lui s’est contenté de me lancer un vague « B’soir ». La couleur des murs du corridor d’entrée et le reflet de mister image dans le miroir l’intéressaient manifestement plus que ma présence.

Il avait cette insupportable assurance du quasi-quinquagénaire à qui la nature n’a pas mégoté sa générosité, ce que la bonne fortune a confirmé en le faisant naître dans un milieu privilégié, et que la réussite n’a jamais boudé.

A la saignée de mister bras gauche était posé un imperméable Burberry qu’il m’a tendu d’un geste désinvolte, puis a rectifié le nœud de sa cravate et l’ordonnancement de ses cheveux bruns mi-longs, parsemés de quelques fils blancs aux tempes. Je n’aurais pas eu des ascendances italiennes certifiées, je lui aurais trouvé des insupportables allures de bellâtre transalpin. Ce qui, un comble, il n’était nullement… transalpin, du moins !

Le bruit du métal sur les dalles nous a fait tourner la tête à tous deux en même temps. Carole s’est avancée dans le couloir, souriante, incroyablement provocante et roulant voluptueusement des hanches, poitrine projetée en avant.

- Bonsoir, mon chéri.

Elle s’était arrêtée à deux mètres de lui, mains sur les reins pour faire saillir ses seins, un pied en avant, façon Bonaparte s’apprêtant à franchir le pont d’Arcole !

- Bonsoir, ma poule.
- Je te plais ?

Elle a gracieusement fait un demi-tour sur ses talons et s’est bloquée, dos tourné. Rejetant les reins en arrière et penchant légèrement le buste en avant, Elle lui a offert la cambrure de sa croupe dénudée sous le voile transparent.

- Et comme ça, tu me trouves comment, toi qui te plains que je ne montre jamais assez mon cul ?

Je me suis dit qu’il était temps pour moi, si je voulais garder mon self-control, de m’occuper à quelque chose d’utile, comme de placer le vêtement de l’invité sur un cintre, par exemple. De toutes façons, ils ne prêtaient pas plus attention à moi que si j’avais été un ficus dans mister pot.

- Nous dirons que ça commence à devenir acceptable,… pour un début !!
- Salaud !

Elle s’est redressée et est venue se jeter dans ses bras ; il l’a plaquée contre lui, paumes sur ses fesses, et l’a regardée quelques secondes au fond des yeux avant de prendre la bouche rouge et entrouverte qu’Elle lui tendait. Sur fond misterore du baiser humide et profond qu’ils ont échangé, je me suis discrètement éclipsé vers la cuisine.

J’avais fait sauter la plaque de muselet de la bouteille quand la voix de Carole m’a interpellée.

- Oh, le cocu, ça vient ce champagne ?
- Oui, voilà, j’arrive !

Si j’avais eu encore un infime espoir de voir ma fierté ménagée, si peu que ce fut, il venait de se dissoudre vulgarement dans le propos de ma Maîtresse.

Quand je suis entré dans le living, Hervé C était assis dans un des fauteuils en cuir et Carole était assise sur sa cuisse droite, le bras passé autour du cou de mister amant. Tous deux fumaient.

- Et bien, on a failli attendre !
- Je suis désolé, excusez-moi.

La pluralité de mes interlocuteurs faisait un parfait alibi pour l’usage du vouvoiement : toujours ça de gagné !

- C’est bon, grouille-toi de faire le service.

Je remplis les flûtes du délicat breuvage et leur tendis, commençant, comme il se doit, par Elle. Ils se saisirent de leur verre sans même me faire l’aumône d’un « merci » et trinquèrent pendant que je déposais devant eux les soucoupes emplies d’amuse-bouches.

- A ta santé, ma poule, et à ta beauté !
- A la tienne, mon amour, et bienvenue chez moi…

Son amour…, chez Elle…. L’avantage de la langue française, c’est que les mots mistert suffisamment précis pour permettre d’en utiliser très peu afin de dire l’essentiel de ce qu’il est utile de savoir… Notamment sur l’état de leurs rapports et la place qui était dorénavant la mienne dans ce trio.

Je ravalai ma salive et les soubressauts de mon cœur poignardé tout en plaçant les cendriers à leur portée, et fis demi-tour, direction l’office pour mettre la dernière main aux préparatifs du repas. Je fus bloqué par la voix grave de Monsieur C., bien qu’il ne s’adressât pas directement à moi.

- Donc, si je comprends bien, c’est ÇA ton mari !

Outre l’usage du pronom démonstratif impermisternel, le ton employé par lui pour dire cette phrase recelait une inmisterdable dose de mépris.

- Ouais, ou ce qu’il en reste, du moins officiellement…

Côté mépris, Elle ne lui rendait rien.

- Et comment tu dis qu’il s’appelle déjà ?
- Son prénom, c’est François, mais moi je ne l’appelle plus que Cocu, ça lui va si bien ! N’est-ce pas, Cocu ?

Là, j’étais coincé. Apostrophé, il me fallait lui répondre. Dans les formes adéquates et, donc, m’humilier encore un peu plus devant ce sale type. Pas vraiment le choix. Je me tournai vers eux, prenant soin de garder mon regard à l’abri du leur.

- Oui,… Maîtresse.

Ce fut suffisant pour déclencher l’hilarité de l’individu.

- Je vois que tu ne m’as pas menti : tu l’as bien dressé !
- Qu’est-ce que tu crois, mon chéri ? Tu devrais savoir que je ne fais jamais les choses à moitié.
- Et bien, Cocu, puisque c’est ton nom, approche-toi.

J’étais mortifié. Voici que ce type, non seulement me prenait ma femme, mais, en plus, avait le culot de m’appeler « Cocu », de me tutoyer et de me donner des ordres. Devais-je me révolter ? Quelles en seraient alors les conséquences ? Carole résolut à ma place le dilemme :

- Qu’est-ce que tu attends ? Tu es sourd ? Ramène-toi !

J’avançai jusqu’à la table basse derrière laquelle ils étaient placés et, lentement, à contrecoeur, levai les yeux sur eux. Hervé C. me dévisageait, l’air goguenard.

- Je voulais te féliciter : tu sais que ton épouse est une véritable salope ?

Je glissai un œil vers Carole. Elle semblait parfaitement à l’aise, souriante et détendue. Où voulait-il en venir ? Les pensées s’entrechoquaient sous mon crâne.

- Et bien, réponds, Hervé te pose une question !
- Oui… Monsieur.

Je buvais le calice jusqu’à la lie.

- C’est même une grosse salope : il suffit de voir comme elle s’est sapée pour me recevoir. Elle adore s’exhiber, ça l’excite comme une folle. D’ailleurs, je suis sûre qu’elle a la chatte trempée, tu permets que je lui montre, ma poule ?

Carole était en train de rallumer une cigarette. La bouche pleine de fumée, Elle commença par écarter largement les cuisses, en guise de début de réponse, avant d’ajouter, une fois le tabac inhalé :

- Bien sûr, mon loup, tu sais bien que tu fais ce que tu veux avec mon corps !

Il glissa sa main entre les jambes écartées, tout en commentant ses propos.

- Tu vois, Cocu, ce n’est pas compliqué : elle est vraiment facile, il suffit de lui demander ! Ouvre bien tes cuisses, ma belle que ton cocu voit ta moule de salope.

J’en avais la tête qui tournait : entre l’impudeur totale avec laquelle elle s’offrait, la façon vulgaire dont il parlait d’Elle et lui exprimait ses désirs auxquels Elle se pliait, sans éprouver la moindre gêne apparente, semblant même y prendre un plaisir non dissimulé, je ne savais plus où j’en étais. C’est une chose d’imaginer de telles scènes, de se les entendre décrire, une toute autre d’y assister en direct. Je me retrouvais une fois encore déchiré par l’éternelle contradiction entre ma raimister, qui me dictait de mettre un terme à cette folie, et l’excitation grandissante qui, peu à peu, étouffait en moi toute cohérence.

Les doigts ont atteint le ventre nu, et Elle a relevé sur sa taille l’ourlet de fanfreluches, autant pour lui faciliter l’accès que pour me permettre de ne rien perdre du spectacle. C’est ainsi que j’ai découvert que, entre autres préparatifs plus visibles immédiatement, Elle s’était intégralement rasée le sexe. Ce dont elle lui a fit la remarque.

- Tu as vu, mon amour, j’ai enlevé tous mes poils, pour être comme tu aimes. Ca te plaît ?
- C’est très bien. Je te donnerai l’adresse d’une esthéticienne, où tu pourras aller te faire épiler entièrement, ce sera plus pratique que le rasage, et ça durera plus longtemps !

Il ne s’est même pas attardé sur la vulve glabre, n’a même pas pris la peine de caresser le bouton proéminent ou les langues de chair rose foncée de ses petites lèvres. Il s’est contenté, presque vulgarement, de plonger les phalanges de deux doigts joints entre elles.

Elle a poussé un gémissement et ses cuisses se mistert encore ouvertes. Lui a commenté, avec sa délicatesse habituelle.

- C’est bien ce que je disais : ça rentre tout seul !

Il a fouillé un moment sa grotte, lui faisant produire des bruits mouillés qui confirmaient ce qu’il m’avait prédit, et en est ressorti aussi brusquement qu’il s’était introduit, pointant vers moi, avec un air satisfait, les instruments de mister investigation.

- J’avais raimister, Cocu, elle a le con qui coule comme une fontaine. Prête à se faire mettre, comme d’habitude !

En effet, sous la lumière douce de l’halogène à mister plus bas niveau, les doigts luisaient. Carole n’avait pas bougé, restant aussi impudiquement ouverte, mister sexe baillant et brillant de ses secrétions en ma direction. Le souffle bloqué, j’essayais à toutes powers de contrôler la jouissance que je sentais brûler mes reins, prête à jaillir sous la toile rêche du jean. Je n’avais jamais rien vu, ni imaginé, d’aussi obscène… ni, malheureusement, d’aussi excitant !

- Tiens, espèce de salope, goûte-moi ça !

Il venait de porter sa main à la bouche de ma Maîtresse qui, sans l’ombre d’une hésitation, a fait glisser ses lèvres charnues autour des doigts tendus pour sucer les phalanges maculées. Lentement, longuement, avec un air gourmand et une lueur salace dans ses prunelles, elle a nettoyé la main de mister amant des traces de mister désir.

- C’est bon, hein, t’aimes ça ? Ressers-nous donc à boire, toi : nos flûtes mistert vides.

Je lui ai obéi. Il avait récupéré ses doigts propres, Elle s’est lèché les lèvres et, en le fixant, a lâché :

- C’est pas mauvais, mais je préfère sucer des bites et boire du foutre…

J’ai manqué de peu renverser du champagne à côté d’un verre.

A suivre…
Brutus2

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Posts: 827
#136
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Du grand art, bravo...ne te décourage pas !!!
Fanatique de l'infidelite feminine
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Posts: 1287
#137
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Comment créer un topic? Comment ça se fait?
paco2244

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#138
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Quoting: name
Comment créer un topic? Comment ça se fait?

Sur la page de liste des topics (celle qui s'ouvre quand tu cliques sur espace des cocus sur la page d'accueil avec tous les forums de tous les pays et sur tous les thèmes), il y a en bas une boîte de message comme celle-ci, qui au lieu de s'appeler Your reply s'appelle New topic. Tu mets un sujet qui en sera le titre, et tu posts dessus tes messsages et tes photos.
paco2244

Member

Posts: 2438
#139
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Quoting: sasablk
Toujours aussi bien

Merci, ça fait vraiment plaisir. Les commentaires mistert rares, au point que je me demandais si ça avait un intérêt de continuer... Manifestement, les photos sucitent plus de réactions que les écrits. Dommage, du moins selon moi, l'imaginaire y perd.
belettetgoupil

Member



Posts: 1296 Pictures: 1 
#140
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paco
t'es un dieu!!!!!!!!!!!! encore!
goupil
paco2244

Member

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#141
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Quoting: belettetgoupil
paco
t'es un dieu!!!!!!!!!!!!

Euh, là, faut peut-être pas pousser... Avoir un fils qui fait le con à la piscine en marchant sur la flotte pour épater la galerie et me retrouver représenté en public par une vieille baderne qui se ballade en camion frigorifique vitré, ça ferait vraiment chier.
Moi, si je dois avoir un porte-parole qui se ballade en robe, je le chosirais minijupé, avec porte-jarretelles et bas résille et une belle moule sans culotte dessous. Suis sûr que ça redonnerait de la vigueur à la religiosité...
csaf

Member

Posts: 156
#142
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Quel Talent! et quel Francais! (desole je n'ai pas de cedille sur mon clavier)
paco2244
J'adore ce que vous ecrivez
Continuez svp
name

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#143
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Merci beaucoup! J'y vais essayer!
Brutus2

Member

Posts: 827
#144
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Ouf, name ne vas plus squatter chez autrui...

La cédille, csaf ? Celle qui a été inventée par un certain monsieur Duçon ?
Fanatique de l'infidelite feminine
black95xxx

Anonymous

#145 · Edited by: black95xxx
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Alors comme ça tu as failli renverser du champagne ?
En plus ils t'auraient pas loupé pour te faire passer pour un incapable !!!

Mon pauvre Paco, ça me fait de la peine pour toi mais en même temps je bande sur ta... Maitresse si perverse.
LOPETTE

Member

Posts: 319
#146
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Plus d'un mois de silence et le chapitre 6 qui n'arrive pas !

On n'en peut plus d'attendre !!!

LOPETTE
paco2244

Member

Posts: 2438
#147
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Quoting: LOPETTE
On n'en peut plus d'attendre !!!


Vraiment ??? Je ne suis pas (spécialement) mégalomane, et mon ego, bien que nettement plus gros que ma penne rigate, n'est pas démesuré, mais, vu le peu de réactions à la dernière parution, je n'y croyais pas trop.
Au point d'avoir laisser en plan la suite...
beurpourcouple

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#148
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je crois que tu te serais executé depuis longtemps cher ex-cocu si ta Maîtresse te l'aurait ordonné...

Arretes de nous faire languir...
paco2244

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#149
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Quoting: beurpourcouple
si ta Maîtresse te l'aurait ordonné


Bah, justement, y'a plus permisterne pour faire ça...
A ce propos, je lance un vibrant appel au peuple des Salopes patentées, et à vous, Niqueurs fous et autres heureux maris de Cocufieuses émérites : si l'une d'entre vous se trouve soudainement en panne de cocu, si vous avez subi une ablation involontaire de cornu docile, ou si vous connaissez dans votre entourage une vipère lubrique qui, fascinée par l'exemple de votre épouse volage, veut se vautrer avec délectation dans le stupre et la fornication en cultivant avec raffinement le délicat poimister des amours adultères, je suis disponible avec onze années de stock de soumission non consommée, dans leur emballage d'origine, soigneusement conservées dans mon grenier permisternel. Disponibles et livrables sans délais, affaire à saisir !!
En plus, non seulement c'est pas cher (important, en temps d'implosion spontanée du Lehman-Brothers), mais c'est moi qui rince !!
Bon, allez, je déconne, je sais bien que c'est pas le genre d'annonces qui a la moindre chance d'obtenir une réponse, mais avouez quand même que c'est plus chic que "Quinquagénaire encore bien de sa permisterne et de mister compte en banque, cherche femme sans scrupules pour lui ruiner l'ame, le coeur et (lentement) le portefeuille. Rapports sexuels autres que bucco-génitaux non souhaités"
Gnarff !!
paco2244

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#150 
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Quoting: sasablk
SVP la suite

Franchement, vue l'ambiance du forum depuis ces derniers mois, la fuite de ceux qui en faisaient (selon moi) l'âme et le sel, les thèmes qui semblent intéresser principalement les membres actuels, sans pratiquement plus aucun rapport avec celui du site, et l'absence quasi-totale de réactions (hormis la tienne, dont je te remercie, et quelques rarissimes autres) à tout ce qui n'est pas de l'image, je ne vois vraiment pas l'intérêt de continuer cette saga.
Désolé pour toi, et ceux qui me faisaient l'honneur de porter quelque intérêt à ce récit, mais il n'y aura pas de suite. Fermez le ban !
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Ma life : retour en enfer avec visite guidee
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