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Ma life : retour en enfer avec visite guidee

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sophiesalope

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Posts: 211
#61
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splendide..! continuez avec celui d'estoril le meilleur topic du site
paco2244

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#62
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Merci Sophie, ca me touche beaucoup d'etre compare a Estoril, sincerement !!
pascal17

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Posts: 346
#63
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il est difficile d'?galer estoril et pourtant paco je pense que ton style pour etre different n'en est pas moins aussi interessant.
merci encore.
paco2244

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Posts: 2438
#64
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Si vous le permettez (et tant pis, si vous ne le permettez pas, c'est quand meme mon topic et ma vie, j'en fais ce que j'en veux !!), nous allons faire une petite pause dans le continuum temporel de mes recits.
Nous y reviendrons, n'ayez crainte, mais comme je vous ai decrit par le menu le commencement de ma revolution conjugale, il m'a paru utile de vous resumer, en vous en donnant des apercus en forme de flash-backs, la facon dont notre couple a globalement evolue sur les mois qui ont suivi ces premieres aventures. En vous delivrant, par la meme, les cles de notre nouvelle relation. en route, suivez le guide : c'est par la que ca se passe...


Chapitre 3 : Scenettes de la vie conjugale (1ere partie)

La relation entre Carole et Olivier n’aura dure qu’un an. Elle avait finalement raimister, comme il allait falloir que je m’en accommode, ce n’avait ?t? qu’une liaimister sans avenir. Juste destinee a nous faire franchir, elle et moi, un cap. Que dis-je ?, paraphrasant Rostand via Cyrano, une presqu’ile, une peninsule… A cette difference que ce n’etait pas affaire de proeminence nasale, mais question essentielle de savoir quelle taille de cornes pouvais-je porter, et comment les supportais-je quotidiennement ? A cela elle avait reponse, comme je m’en apercus rapidement !

En fait, la raimister pour laquelle mister amant la perdit, outre l’eloignement progressif du au fait qu’il poursuivait ses missions informatiques d’entreprises en entreprises et ne la cotoyait plus quotidiennement, tint essentiellement a leurs caracteres respectifs : celui de Carole s’affirmait de semaines en semaines et Olivier avait une trop grande et facheuse tendance a jouer au Pygmalion. Vous l’aurez certainement percu en lisant entre les lignes, et compris entre les mots, elle avait un caractere a tendance naturellement dominante. Or, il voulait rester l’initiateur de ses debauches, etre l’organisateur de ses debordements, le controleur de ses pulsions.

Au fur et a mesure que la permisternalite profonde de Carole s’affirmait au travers de l’entiere liberte dont elle disposait de faire ce que bon lui semblait, la tutelle que cet homme pretendait exercer sur elle lui devenait de plus en plus insupportable. Elle en tira les consequences logiques en rompant soudainement. Gentiment, mais fermement.

Avec moi, elle ne risquait pas ce genre d’inconvenient. Je lui ai toujours voue une passion devorante, une admiration sans bornes, dont je commencais a payer le prix. Quant a mes craintes de la voir s’envoler au bras d’un autre, elle me rassura… a sa maniere :

- Pourquoi voudrais-tu que je te quitte ? Tant que je peux mener la vie que je veux et que tu fais ce que je te demande, je n’ai aucune raimister de changer d’existence ! La mienne est parfaite ainsi : un petit mari devoue qui s’occupe bien de moi et de ma maimister, des amants autant que j’en veux pour me donner du plaisir, et aucun compte a rendre a permisterne ! Je serais bien conne de me priver et de ne pas en profiter, non ?

C’etait frappe au coin du plus parfait bon sens ! D’un cynisme absolu, mais d’une parfaite logique et, je l’ai deja ecrit, je n’ai jamais su ne pas me plier a la rationnalite de la logique.

Moi qui croyais avoir toucher le fond de la piscine de l’offense publique avec la soiree de Saint-Germain-en-Laye, je ne tardai pas a me rendre compte que je n’avais fait que gouter d’un orteil prudent aux premisses de ce qui m’attendait.

Carole ne manquait jamais une occasion de me rappeler en toutes circonstances mon statut, et le role exact qu’elle entendait me voir jouer. Ainsi, peu a peu, le qualificatif de cocu devint dans sa bouche un petit mot usuel pour me nommer, m’appeler ou s’adresser a moi. Se susbtituant au « mon cheri » qui s’appliquait avant avec un tel naturel que cela donna lieu a deux ou trois d?rapages publics, notamment en famille devant ses parents. Alors que je devenais rouge de confusion, elle s’en tira avec une pirouette qui etait d’une telle habilete qu’elle l’exonerait de toute explication en cas de recidive future. Et mit les rieurs de mister cote :

- Ah oui, vous ne savez pas, mais Francois m’a fait l’autre jour une vraie crise de jalousie ! Tout ca parce qu’il m’a vue tenant le bras, a la sortie du bureau, a un collègue de Nice qui vient juste d’etre recrute et qui se trouve etre un garcon que j’ai connu en fac ! Quinze ans qu’on ne s’etait pas vus, je tombe sur lui completement par hasard et Monsieur se fait tout un cinema, me harcele de questions, comme quoi s’il est mon amant, il veut le savoir… Enfin, un vrai sketch ! Du coup, depuis, pour taquiner mon cher mari, je l’appelle mon petit cocu !!!

Bien sur, je me fis charrier copieusement : ils ne pouvaient imaginer un seul instant la realite. Ni moi que j’aurai, dans le futur, a subir d’etre afflige d’autres sobriquets autrement plus vexatoires…

Le conditionnement psychologique auquel Carole se livrait avec moi etait un traitement continu, a doses variables selon les periodes et les circonstances, mais qui ne souffrait aucune suspension. Tous les pretextes etaient saisis et utilises a plein, et meme la plus anodines des sorties, pour faire des courses par exemple, lui donnait l’occasion de me rabaisser a mon role. Ainsi ne se privait-elle pas de devisager effrontement les autres hommes, de me faire remarquer que tel ou tel etait tout a fait mister genre, de repondre a leurs sourires par le sien.

Je connus des moments particulierement humiliants et excitants : un jour que je l’attendais a la sortie d’un magasin de chaussures ou elle etait entree regarder les nouveautes, elle se fit aborder par un type qui l’avait suivie a l’interieur. Je les vis discuter assez longuement en se promenant entre les rayons et, lorsqu’il lui donna sa carte de visite, elle l’enfourna dans mister sac pendant qu’il notait, au dos d’une autre, les coordonnees qu’elle lui communiquait.

Pis, elle ne se contentait pas d’attendre que les hommes prennent l’initiative des avances, mais n’hesitait pas, en ma presence, a draguer ouvertement si un type qui lui plaisait. Je me souviens tout particulierement d’une soiree dans un restaurant pres du forum des Halles. C’etait l’ete, il faisait beau et nous dinions en terrasse. A l’interieur, juste de l’autre cote de la baie vitree qui nous separait d’eux, trois jeunes gens d’environ une vingtaine d’annees finissaient leur grillade. Elle m’informa que l’un d’eux, le plus mignon qui etait assis a ma droite, ne cessait de la fixer, et plus particulierement mister decollete vertigineux qui denudait les trois quarts de ses seins. A deux ou trois reprises, Carole accrocha mister regard et n’eut d’autre reaction que de lui sourire, l’encourageant a continuer de se rincer l’œil, ce dont il ne se priva pas. Alors que nous attendions notre plat de resistance, elle se leva soudain et, sans explication, entra dans le restaurant. Quelques minutes apres, un mouvement sur le cote m’appris qu’il quittait lui aussi sa place. Leur absence dura une bonne vingtaine de minutes, pendant lesquelles je poireautai tout seul devant les entrecotes en train de refroidir dans les assiettes.

Au retour, Carole avait le regard brillant. Elle s’installa, h?la le serveur pour qu’il lui change sa viande froide, sans bien sur se preoccuper de la mienne, et alluma une cigarette. Je me taisais, sachant que ce serait elle, si elle le souhaitait, qui me dirait ce qui venait de se passer. Une gorgee de vin rose et puis, brusquement je sentis mister pied se glisser entre mes jambes et donner un coups sec sur chacun de mes mollets. Je savais ce que cela signifiait, et j’ecartai mes pieds, ouvrant mes cuisses. Je sentis la semelle de mister escarpin s’ecraser sur ma braguette. Aussit?t, sous mon pantalon, ma queue se mit a durcir.

Depuis plusieurs mois, Carole avait fait le vide dans mon tiroir a sous-vetements. Un matin, en l’ouvrant pour chercher un slip, je m’etais apercu que tous, ainsi que mes boxers et mes calecons, avaient disparu. Osant solliciter une explication, je m’etais entendu repondre :

- Tu n’en as pas besoin ! Les slips, c’est pour les hommes, ceux qui ont quelque chose a entre les cuisses a supporter et empecher de balloter. Toi, ta petite nouille et tes noisettes peuvent se ballader librement, c’est pas ca qui risque de te gener pour marcher !! En plus, ce sera plus agreable pour moi quand je poserai le pied dessus, au moins je sentirai quelque chose !

Ce qu’elle venait de faire.

- Hmmm, tu bandes, mon petit cocu, c’est bien. Enfin, tout est relatif : meme le gamin que je viens de sucer dans les chiottes en a une plus grosse que toi !

Je baissai la tete, rouge de honte. Nous avions beau etre eloignes des autres tables encore occupes en terrasse, Carole ne se genait pas pour parler a haute et intelligible voix, comme si ses propos eussent ete tout a fait normaux dans un tel lieu. Le gamin en question venait de revenir a sa place, lui aussi. Manifestement, a l’agitation qui regnait autour de lui, et aux rires muets que je voyais sur la figure de ses copains, il n’avait pas du resister au plaisir de raconter ce qui venait de lui arriver, tout fier de sa bonne fortune : se faire tailler une pipe dans les toilettes d’un restaurant par une femme de trente ans passes quand on en a plus de dix de moins, ce n’est pas si frequent pour s’offrir le luxe ou l’elegance de ne pas s’en vanter. Les yeux de ces post-adolescents ne quittaient pas ma femme depuis qu’il avait appris ce dont elle etait capable.

- Plus grosse, ce qui n’est pas tres difficile, et surtout beaucoup plus longue, ce qui est l’essentiel pour sucer : j’aime les prendre bien au fond de la gorge. Il est aussi parti un peu vite, c’est dommage, mais il avait bon gout…

Le serveur rapportait mister assiette, interrompant cette instructive conversation. Son escarpin quitta aussi mon entrejambes, sans oublier au prealable de planter, brievement mais sechement, le talon aiguille dans mes organes genitaux. Je retins en serrant les dents un petit cri de douleur, ce qu’elle decela et lui tira un grand sourire.

A suivre...
paco2244

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#65
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Excusez les quelques fautes, je n'ai pas assez pris le temps de me relire. pour la peine, je vais m'infliger la lecture de deux chapitres de Marguerite Yourcenar. Croyez-moi, ca vaut tous les coups de pied dans les couilles du monde !!
Brutus2

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#66 · Edited by: Brutus2
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Tiens, tiens, Yourcenar (ou plutot de Crayencour, encore une Belge, que feriez-vous sans nous ?)...oserais-je imaginer que mon allusion, plus haut, ait influence tes lectures ? Mais je l'admets, quelle *** (perso, je veux bien etre ***, mais par une "somptueuse salope tropicale" comme dirait l'autre)...bref...c'est excellent, comme d'hab...et je suis ravi que l'ignoble Olivier soit hors-jeu...place a la variete...n'importe qui de consommable, sauf toi...on est au purgatoire...j'imagine que la descente aux enfers (avec visite guidee) va se poursuivre (a ce prix, je vends mon ame au diable vite fait !)...haro !
Fanatique de l'infidelite feminine
manu344

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Posts: 2696 Pictures: 1 
#67
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pour vraiment t'humilier elle aurai pu t'embrasser a mister retour des toilettes pour te faire partager mister sperme à la vue de tous ses copains.
paco2244

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#68
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Brutus,

Il est vraiment plaisant de voir que la culture n'est pas en deconfiture sur ce forum... Ne sois pas inquiet : la glissade est amorcee et il reste plusieurs paliers a descendre avant que tu ne m'ais rejoins au fond de l'abime !

Manu,

Desole de te decevoir, mais ca ne s'est pas passe ainsi, et je m'interdis d'inventer mon passe, meme pour faire plaisir. Mais tu liras par toi-meme, si tu me suis, que j'ai connu bien d'autres choses beaucoup plus humiliantes
Brutus2

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#69
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On ne sait pas encore si toi, elle te prive definitivement d'entrer dans sa merveilleuse chatte si disponible pour d'autres...ni si elle te fait faire la "vaisselle"...delicious, I say, what ?
Fanatique de l'infidelite feminine
Brutus2

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#70 · Edited by: Brutus2
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C'est distille avec un sadisme consomme, a croire que tu as glane quelques miettes de la "methode Carole", a power...flash-back : le retour de l'infect Olivier, ce roquet qui a pu croire un instant qu'il pouvait detourner la sexualite explosive de ta femme a mister profit : non...non ! C'est SA sexualite a ELLE qui compte, et aucun homme ne peut en avoir la maitrise...*** encore, elle aime savoir "qu’ils aient tous envie de me sauter"...ah comme on espere pour elle...que beaucoup le FASSENT ! N'est-ce pas delicieux de savoir que cette chatte sans cesse exposee sous ton nez, n'importe qui de pas trop moche peut la connaitre mieux que toi, apres moins d'une heure ? Oui, Paco...entre Carole et un inconnu, il peut y avoir en si peu de temps plus d'intimite qu'entre elle et toi...reste a savoir quand elle te powerra a en laper la preuve...car je suppose que telle sera la prochaine volee de marches descendantes de la spirale...meme et surtout si ca te deplait : je suppose que tu as compris que malgre tout, tu joues encore un petit role dans sa feminite devorante...mister plaisir est tellement superieur si ta souffrance s'y ajoute...non ?
Fanatique de l'infidelite feminine
paco2244

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#71
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Brutus, Brutus, tu es trop perpicace, tu vas finir par me decourager et je vais te laisser ecrire la suite a ma place !!!
Quoiqu'elle ait eu encore quelques surprises a me reserver et dont tu pourras profiter, si tu as le courage d'attendre de gouter a mon sadisme recu en heritage ...
Brutus2

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#72 · Edited by: Brutus2
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Ah ben non alort, si j'ecrit bien se que tu pensse et que sa te decourrage, je vaie ecrire mal exprais et plut rien devinner, parse que ecrirre a ta plasse c'ait assaciner Mozar !!!
Fanatique de l'infidelite feminine
estoril

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#73
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paco2244
j'adore... Moi ma femme elle lit VOICI quand exceptionnellement j'ai le droit de la baiser...
Je crois meme que j'ai ca en video.
Je vais chercher...pour illustrer vos propos et contribuer humblement a vos ecrits que j'adore...Je l'ai deja dit....
estoril

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#74
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paco2244
voila deja un des extraits retrouves.
Elle ecrit un mot pour mister amant pendant qu'elle m'offre mister cul et apres avoir ecrit elle passe au voici.
En tous cas, elle est MDR!!
on voit pas top mais on entend bien...

https://www.cuckoldplace.com/files/videos/ecrit.wmv
gggg
gggg
estoril

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#75
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Le deuxieme extrait ; celui du Voici....

https://www.cuckoldplace.com/files/videos/voici.wmv
paco2244

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#76
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Ca, pour entendre, on entend !!! Superbe, Estoril, comme a votre habitude d'ailleurs. Et que Madame est divinement moqueuse et humiliante ! Merci de votre contribution.
paco2244

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#77
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Vous avez aime l'episode precedent ? Alors, vous allez adorer celui-ci ! Du moins, j'ose l'esperer !!

Chapitre 3 : Scenettes de la vie conjugale (3eme partie)

A compter du jour de cette desastreuse experience, et pour les neuf annees qui suivirent, jusqu'à notre separation, je n’ai plus jamais penetre Carole, ni aucune autre femme bien evidemment ! Mon seul organe sexuel devint et demeura ma langue, sa « petite eponge rose », comme elle l’appela.

J’avais toujours adore lecher mister sexe, sucer ses petites levres qu’elle avait particulierement developpees, comme deux langues de chair rose au toucher de satin, debusquer de la pointe de ma langue, sous le capuchon qui le protegeait, le bouton proeminent de mister clitoris si sensible. Il etait plutot gros, tres gros meme, au point que, moi qui ai ce qu’on nomme les dents du bonheur et, notamment, les deux incisives centrales superieures tres ecartees (un sourire a la Noah !), je le glissais dans cet interstice et le frottais du bout de la langue, jusqu'à ce qu’elle jouisse en criant comme je n’arrivais jamais a la faire crier en la prenant.

A ces moments-la, sa liqueur intime envahissait mon palais, saturant mes papilles d’une saveur a la fois acre et suave. J’aimais mister gout, mister odeur, et que ce fut en matinee ou en fin de journee, au sortir de la douche comme apres une journee entiere de confinement au fond de sa culotte, il ne me repugnait jamais de lui rendre de vibrants et buccaux hommages. Je dois d’ailleurs a la verite de reconna?tre, mon humilite naturelle dusse-t-elle en souffrir, que j’avais developpe, a l’usage et avec le temps, un certaine virtuosite en cet art complexe bien que mineur. On a les talents qu’on peut !!

Carole sut en tirer parti, et c’est tout naturellement qu’elle m’annonca au lendemain du fiasco precite que, puisque decidement j’etais completement incapable de me servir correctement du « machin ridicule » qui me faisait office de sexe, et qu’elle pouvait largement trouver mieux ailleurs sans avoir besoin de se fatiguer a chercher, le mieux serait de nous eviter, a l’un comme a l’autre, d’inutiles deconvenues.

Aussi decreta-t-elle que, dorenavant, je me contenterai de me servir de ma bouche pour lui procurer du plaisir, quand elle en aurait envie. Application domestique et conjugal du vieux principe, empli du bon sens de la sagesse populaire, qui veut que ce qu’on ne peut pas faire, on le leche !!

Toutefois, et par rapport a l’usage que nous avions de cette pratique au temps beni ou je pouvais encore me croire epoux et homme a la fois, ce qui changea notablement, c’est dans l’initiative de l’acte, le positionnement de ses protagonistes, les conditions de sa mise en œuvre et sa finalite meme.

Car, il faut que je vous explique que, entretemps, sur une impulsion aussi soudaine qu’irraimisternee, j’avais en effet accompli mes premiers gestes de soumission volontaire. J’ai ecrit que, par ailleurs, Carole avait toujours eu un caractere dominant, et moi une nature serviable. De la a ce qu’elle se revele dominatrice et moi servile, il n’y avait qu’un pas que nous franchimes, logique oblique, grace a une… chaussure !

Quand elle etait encore la ma?tresse d’Olivier, qu’elle sortait le soir avec lui, elle aimait a me faire assister a ses preparatifs. Rien ne m’etait epargne des soins qu’elle prenait pour se rendre la plus desirable possible : des sous-vetements, le moins etant le mieux en la matiere, aux details du maquillage, des bijoux au parfum, j’avais droit a une savante demonstration de ce qu’une femme peut faire de plus sophistique pour affoler les sens d’un homme. Un peu comme le gourmet convie a assiste a la confection d’un repas chez Ducasse, et qui se verrait autorise a accompagner les assiettes jusqu'à l’entree de la salle de restaurant avant de rester seul, sans une bouchee de pain rassis a se mettre sous la dent creuse.

A plusieurs reprises, pour l’aider et lui faire gagner du temps alors qu’elle faisait les dernieres finitions de mascara ou de rouge a levres, elle m’avait demande d’aller lui chercher telle ou telle paire d’escarpins, de sandales ou de bottes, selon la tenue choisie et la meteo annoncee. Au debut, je revenais avec les souliers choisis et les deposais a proximite immediate de leur destination naturelle. Un jour, sans un mot, elle me tendit mister pied nu gaine de soie. Sans reflechir, je la chaussai. Une fois suivante, elle me reclama des escarpins noirs a brides autour de la cheville et, lorsque j’eus fini de les lui enfiler, elle me demanda d’attacher celles-ci. Pour ce faire, je tentai d’abord de proceder en m’accroupissant mais, devant l’inconfort de la position par rapport a la tache a accomplir, je finis a genoux devant elle.

A partir de la, ce rituel se repeta de plus en plus frequemment. D’abord parce qu’elle commencait a collectionner les paires de chaussures, avec une preference tres nette pour ces fameux modeles a brides, ensuite parce que je fus sollicite pour la chausser en-dehors des seules circonstances de ses sorties nocturnes. La tache m’incomba bient?t des le matin au sortir du lit, pour l’aider a enfiler ses mules d’appartement puis au moment ou elle allait partir travailler, jusqu’au retrait de ces memes mules au coucher, en passant par le dechaussage au retour du bureau et le chaussage d’une autre paire pour plaire a l’amant qui allait la baiser.

Ce qui explique que j’en vins a passer de plus en plus de temps aux pieds de la Belle Infidele, en valeur absolue comme relative, compte tenu du peu de moments qu’elle avait a me consacrer entre ses obligations professionnelles et ses exigences amoureuses.

Un matin comme un autre, alors que j’accomplissais mes devoirs de bottier particulier de Madame simplement vetu d’un peignoir - je me preparais toujours apres mister depart, pour lui laisser le libre usage prioritaire de la salle de bains -, celui-ci s’ecarta malencontreusement pour lui reveler l’etat de turgescence penienne dans lequel je me trouvais. J’en avais quelque excuse puisque j’avais sous les yeux ses bas noirs, au-dessus la chair ocre de ses cuisses bronzees revelees par la courte jupe et, entre celles-ci, le pourpre de mister sexe entrouvert que rien ne masquait. Elle le remarqua, bien evidemment.

De la pointe de mister pied deja chausse, elle finit d’ecarter le pan d’eponge. Puis, m’obligeant a la fixer en redressant ma tete avec ses doigts sous mon menton, me dit simplement :

- Enleve ton peignoir.

J’hesitai, ne sachant ou elle voulait en venir. D’un geste vif, elle tira sur l’encolure, denudant une epaule et une partie de mon torse.

- Allez, depeche-toi, je t’ai demande d’enlever ca !

Je m’executai. Elle me contempla d’un œil brillant, s’attardant sur mon erection.

- J’aime t’avoir comme ca, nu a mes pieds quand je suis habillee, avec ta petite queue qui bande inutilement pour moi, ca me plait beaucoup !

Que me passa-t-il alors par la tete, quelle folie s’empara de mon esprit ?

Je m’inclinai et, devotement, embrassai l’empeigne de l’escarpin. Elle ne fit aucun commentaire sur mon geste, mais je vis bien, au petit sourire narquois qui eclaira mister visage, qu’elle avait apprecie l’hommage.

Si je vous ai explique ceci, c’est que le lien est on ne peut plus direct entre cet acte d’allegeance et mes prestations linguales.

Carole souhaita donc que je prenne la bonne habitude, puisque ca l’excitait, d’etre toujours nu en sa presence et de m’arranger pour me mettre a ses pieds lorsqu’elle etait en train de lire une revue, regarder la television, se vernir les ongles ou, simplement, se prelasser en prelude a une fatigante soiree d’ebats, ou pour se remettre d’intenses exercices physiques.

De la, c’est tout aussi naturellement qu’elle prit l’initiative de me demander de la lecher, soit parce qu’elle etait prise d’une brusque envie de jouir, soit, c’etait le cas le plus frequent, parce que le contact de ma bouche et de ma langue, sans la conduire au plaisir, participait de sa detente, comme une douceur supplementaire qu’elle aimait a faire durer aussi longtemps qu’il lui plaisait. Je remplissais cet office avec ferveur, heureux de pouvoir lui faire du bien et de beneficier de ce qu’il me fallait bien, dorenavant, considerer comme un privilege : toucher mister sexe.

La aussi, ses exigences en la matiere pouvaient intervenir a n’importe quelle heure, en n’importe quel lieu, mais jamais n’importe comment : j’etais toujours agenouille ou a quatre pattes a ses pieds pour l’honorer. Elle prit egalement l’habitude de guider mes actions, l’intensite des caresses qu’elle souhaitait me voir lui prodiguer en fonction du but recherche, orgasme ou plaisir lascif, non plus par des mots mais par des gestes : ce furent au debut ses mains qui guidaient ma tete entre ses cuisses, agrippaient ma nuque ou, au contraire, repoussaient mon front selon qu’elle me voulait plus ou moins vorace. Puis, un jour qu’elle avait les mains occupees, par une cigarette et une flute de champagne, ce fut mister pied chausse qui prit le relais sur mon cou et le long de ma colonne vertebrale. Par une pression, ou de petits coups de talons dans la chair de mon dos, qui marquaient les variations de ses sensations. J’appris a moduler ainsi mes interventions.

Jusqu'à ce que, emportee par une vague de plaisir qui l’avait submergee, elle ne trace un soir un long sillon rouge?tre, avec l’extremite en acier de l’aiguille de mister escarpin, de mon omoplate a mon flanc. Cette fois-ci, je ne pus reprimer une longue plainte sourde, bien que musele par sa chatte ruisselante collee a mes levres, qui devait autant a la douleur qui irradiait mon torse qu’a la semence qui s’ecoulait de ma queue agitee des soubresauts de la jouissance que je venais de conna?tre. Sans autre contact que celle de ce fer meurtrissant ma chair.

Quand elle prit conscience de qui s’etait passe, elle caressa reveusement du bout de l’ongle la trace de mister eperonnage, la ou la peau etait boursouflee et ou le sang affleurait, et me dit d’une voix rauque et chargee d’emotion contenue :

- Maintenant, je sais comment te faire jouir ! Depeche-toi de me nettoyer ca !

Le corps encore agite de convulsions, je m’appretais a aller chercher une boite de mouchoirs en papier pour eponger la flaque de sperme qui, lentement, perdait de mister opacite sur la pierre blanche du dallage. Elle m’arreta en se saisissant de mes cheveux et, me forcant a incliner la tete vers le sol, m’ordonna simplement :

- Avec ta bouche ! Aspire, leche et avale tout. Je ne veux plus voir une seule trace de ce truc degueulasse par terre quand tu auras fini !!

C’est ainsi que j’appris le gout du foutre. Du moins le gout du mien, pour commencer…

A suivre…
csaf

Member

Posts: 156
#78
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paco2244
estoril
Les 2 maitres en la matiere que d'admiration pour votre vie et surtout a vos ecrits
Quel Talent
Brutus2

Member

Posts: 827
#79
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...un talent parfait, forme parfaite pour un fond parfait...et quel sens de la gradation, ce "pour commencer" final tient du genie...
Fanatique de l'infidelite feminine
paco2244

Member

Posts: 2438
#80
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Je vais m'essayer a un petit truc pour rendre encore plus attrayant ce topic. Vous savez probablement que, quelle que soit l'authenticite de ce que je vous raconte et dont je me porte garant, je n'ai pas d'images a vous montrer pour illustrer mes recits, pour la seule et unique raimister que, de mon mariage avec Carole, je n'ai rien pu conserver : lorsque la Belle m'a mis a la porte de chez elle, c'etait sans rien, hormis ce que j'avais sur moi et un petit sac a dos qui m'a rapidement suivi en passant par la fenetre ! Bien evidemment, il ne m'a pas ete possible de recuperer par la suite quoi que ce soit... et je doute, si ce n'avait pas ete le cas, qu'elle m'ait permis d'emporter les preuves de la relation qui etait la notre !!
Pourtant, je sais que vous aimez les photos : c'est pourquoi je vais essayer de mettre, lorsque j'en trouverai, des images captees sur le net qui, d'une facon qui soit la plus proche possible de la realite, illustre une partie de mon recit.
C'est une proposition : vous pouvez me dire que vous preferez continuer de confier uniquement a votre imagination le soin de mettre des images sur mes mots, et je me conformerai a votre choix.
Pour commencer, une photo qui s'applique au dernier recit, precisement la facon dont Carole guidait mes prestations buccales avec ses talons et qui me valut ma premiere degustation de semence masculine. Pour le collier et la laisse, ce n'est qu'une anticipation, quant au masque, je n'en ai jamais porte !


sophiesalope

Member

Posts: 211
#81
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bravo et f?licitations pour la qualit? de ces r?cits et l'iconographie .
Veille '?ansmoins à garder ce cot? cynique et un brin m?prisant de carole à ton ?gard. Quant au masque il est inutile ..tout au plus une muselière si besoin
davidvincent78000

Member

Posts: 904
#82
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Tu es au top PACO !!! De plus en plus excitante ton histoire ... j'adore
paco2244

Member

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#83
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La modestie, une de mes principales et tres nombreuses qualites dont je suis extremement fier et ne me prive jamais de le rappeler a ceux qui les oublieraient un peu trop rapidement, en prend encore un coup avec vos reactions ! Tant pis, j'essaierai de m'en accommoder sans m'y habituer.

SophieSalope,

Ne sois pas inquiete pour les risques de carence en cynisme et mepris, Carole en avait a revendre et ne fut jamais avare en la matiere. Je suis content que l'iconographie te plaise.
paco2244

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#84
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Et bien, mon cher Soumis8, je vais eclairer ta lanterne, puisque tu as du manquer un ou deux posts qui expliquait cela. Mais tu seras de fait le premier ici a connaitre les circonstances et les details.
Il se trouve que, en 1995 pour etre precis, j'ai fait la connaissance professionnellement d'une ahurissante et etourdissante beaute blonde de 15 ans ma cadette.
Encore aujourd'hui, je ne saurais t'expliquer reellement pourquoi, mais il se trouve que, un soir de mai (l'anniversaire de ce jour fatidique approche), alors que j'etais seul depuis quinze jours (Carole etait en vacances aux Bahamas avec mister amant), l'idee folle m'est venue de savoir si je pouvais, savais, encore faire l'amour a une femme. La poupee blonde, qui n'attendait que ca, m'a fait un numero de charme et, lorsque nous sommes sortis du travail, je ne suis pas rentre chez Carole, mais je suis alle chez elle.
Je te passe tous les details, mais ma Desse a fini par l'apprendre, m'a power a lui confesser ma faute. J'ai avoue, certain de subir un chatiment exemplaire. Elle n'a pas reagi comme je l'imaginais, et le craignais, mais de maniere bien pire. Lorsqu'elle m'a demande de la suivre, j'ai obei sans discuter ni savoir ou elle voulait en venir. Elle ouvert la porte d'entree, m'a demande d'aller allumer la lumiere sur le palier de notre appartement, je me suis execute sans reflechir et la, elle m'a juste dit "Adieu" et a claque la porte.
Je suis reste une bonne partie de la nuit sur le paillasmister a attendre, a gratter a la porte doucement pour ne pas alerter les voisins et quand, au petit matin, je me suis resolu a descendre au pied de l'immeuble pour marcher un peu, essayer de reflechir a que faire, et que j'ai leve la tete pour savoir s'il y avait de la lumiere chez elle, si je pouvais l'apercevoir, j'ai juste vu un petit sac a dos passe par la fenetre du salon.
Il a atterri a mes pieds : dedans, il y avait mes papiers d'identite, mon collier et ma laisse, et un mot griffonne sur la feuille arrachee d'un bloc : "Tu m'as trahie. Je ne veux plus jamais te revoir ni entendre parler de toi. Ne recroise jamais ma route". C'est tout !
Depuis, j'ai reussi a apprendre, au prix de mille precautions pour qu'elle l'ignore, qu'elle a refait sa vie et qu'elle habite dans le sud de la France. Je n'ai pas pousse plus loin mes investigations mais, si tu veux tout savoir, depuis, je n'ai jamais cesse de penser a elle !
paco2244

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#85
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Je m'apercois que mon dernier post est ecrit comme un pied ! Ce doit etre l'emotion...
belettetgoupil

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#86
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ca fait reflechir!c'est tellement dangeureux!
notre plaisir passe t il par la perte de notre amour???
paix a ton amour paco
on espere tous que tu vas rebondir
goupil
paco2244

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#87
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Merci, Belette et Goupil ! C'est gentil...
J'ai effectivement un peu rebondi, mais suis retombe a cote du trampoline !!
Jeux dangereux certes, mais la vie elle-meme n'est-elle pas une maladie mortelle ? Et puis, vaut-elle d'etre vecue si on ne prend aucun risque ?
Je crains que notre societe hedoniste ne nous entretienne d'illusions sur la vraie valeur du bonheur : il faut le prendre quand il se presente, accepter de le perdre pour pouvoir en retrouver un autre, et ne jamais essayer de le faire durer l'eternite. Le bonheur, c'est comme les roses, les seules qui ne meurent pas mistert artificielles...
Mais c'est un autre debat pour un autre genre de forum, non ?
paco2244

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#88
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Tu as bien compris, Soumis8 : sa reaction est a la hauteur de ma connerie. Dans sa conception des choses, je lui appartenais et n'avais pas le droit de faire ce que j'ai fait, simplement.
Je ne suis pas reste avec la blonde, enfin si, deux ans. Elle m'a aussi cocufie, mais pas de la meme facon : elle a fini par s'en aller avec un plus moche, plus vieux, mais plus riche !!
Depuis, RAS. Je vis ma petite vie de quinqua celibataire, avec des aventures au jour le jour, quand l'envie m'en vient, mais rien de passionnant !
csaf

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#89
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paco2244
Chapeau Bas!!!
Brutus2

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#90 
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Terrible de passer ainsi de l'enfer au purgatoire...est-ce le chatiment, cette fois, Dieu severe ? ...Paco entendit la voix qui lui repondait : Non !
Fanatique de l'infidelite feminine
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Ma life : retour en enfer avec visite guidee
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