Quand la r?alit? d?passe le fiction

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eut le fantasme d’être cocu et soumis, mais j’?tais loin de me douter que le passage à l’acte de ma femme allait à ce point bouleverser ma vie. En ce soir de Novembre 2007 ma vie allait basculer, mais j’ignorais les cons?quences que cela allait avoir.
Mais avant tout plantons les d?cors :
Elle, Patricia, 40 ans, 1M70, 60 kg, brune aux cheveux longs, une superbe poitrine offrant un superbe 90 C, une belle chatte poilue et un cul à damner tous les saints de la terre !
Moi, Patrick, 41 ans, 1M80, 90 kg, brun, et comme particularit? un petit sexe (9 cm en ?rection).
Nous avions jusqu’à ce jour une vie sexuelle normale, mais souvent je fantasmais sur le fait de la voir avec un autre, et lui en faisait part lors de nos ?bats. Souvent elle entrait dans le jeu augmentant ainsi mon excitation, et abr?geant fortement mes performances, mais elle n’avait encore jamais ?mis le souhait de sauter le pas.
Ce soir de Novembre, donc, de retour d’une soir?e, je voyais que quelque chose changeait. Ses yeux brillaient plus que d’habitude, elle avait l’air gên?e.
- Tu te souviens de ton fantasme ? Et si ce soir je te faisais plaisir ? Si je ressortais seule pour me faire draguer ?
J’?tais sans voix, incapable de prononcer un mot. Par contre mon petit sexe lui r?agissait, entrant imm?diatement en ?rection. Patricia s’en aper?u imm?diatement.
- On dirait que ?a te fait de l’effet ! Dois-je comprendre que c’est un oui ?
- Oui, ch?rie… r?pondis-je dans un souffle
- Alors je vais me pr?parer.
Elle disparaissait dans la salle de bain, puis une fois remaquill?e, revint nue dans la chambre fouiller dans l’armoire. Elle en sortit vêtements et sous-vêtements en refusant de me les montrer.
- Attend que j’aie fini de me pr?parer. Tu me diras ensuite ce que tu en penses.
Ma petite queue ?tait tendue au maximum, je n’en pouvais plus. Lorsqu’elle revint dans la chambre elle se planta devant moi.
- Alors ch?ri, qu’en penses-tu ? Je te plais ?
J’avais le souffle coup?, elle ?tait magnifique. Elle portait une robe courte bleu marine boutonn?e sur le devant. Elle d?fit lentement les boutons pour me montrer ses dessous. Elle avait mit une guêpière en tulle transparente noire, un string assorti et des bas noirs, gainant magnifiquement ses belles jambes.
- Ca te va comme ?a ?
Et sans attendre ma r?ponse, retira le string qui cachait à peine mister abondante toimister pubienne.
- Je n’en aurai pas besoin ce soir !
Elle reboutonna sa robe, enfila un manteau et vint me chuchoter à l’oreille.
- A tout à l’heure mon petit cocu !
Puis sans un regard, elle disparut, me laissant avec mon ?rection ; il ?tait 1 heure du matin.
Au summum de l’excitation je me suis masturb? fr?n?tiquement une bonne dizaine de fois cons?cutives en imaginant les situations les plus folles.
Vers 4 heures mon portable se mit à vibrer. Un rapide coup d’œil sur l’?cran : c’est elle ! Je d?croche f?brilement et ?coute. Je n’entends pas un mot mais des soupirs, des g?missements et le floc floc de la chatte d?tremp?e de ma femme se faisant d?foncer par un inconnu ! Mon ?rection reprend de plus belle, et je me surprends à jouir de nouveau sans même me toucher. J’entends ma ch?rie g?mir de plaisir…
- Vas-y prends moi à fond, ouiiiii c’est bon, encore, t’arrête pas…….. Hummmmmm……..
Après quelques minutes de ce traitement la communication se coupe, me laissant frustr?, jaloux et très excit?. Il me faut maintenant attendre mister retour. L’attente fut longue, très longue même, car Patricia ne rentra que vers 7 heures du matin.
Sans un mot elle entra dans la chambre, et encore habill?e s’allongea contre moi. Ella saisit ma petite bite tendue de sa main droite.
- Ca y est tu es cocu ! Tu veux savoir ? Tu veux que je te raconte ?
- Oui s’il te plait…..
Elle serrait très fort ma bite et mes couilles pour m’empêcher de jouir imm?diatement.
- Je suis all?e au Majectic (une boite de nuit de notre r?gion). Tu penses qu’avec ma tenue je ne suis pas pass?e inaper?ue ! Les m?les en rut m’ont tout de suite rep?r?. Plusieurs m’ont propos? de danser ou de prendre un verre. Mon choix s’est port? sur un grand blond muscl? d’environ 25 ans avec de magnifiques yeux bleus. Après un slow langoureux et une coupe de champagne je lui ai propos? d’aller sur le parking. Une fois dans la voiture, il m’a caress?, puis m’a l?ch? la chatte et l’anus. De mon c?t? je ne restais pas inactive. J’ai d?boutonn? mister jean pour en sortir une bite magnifique, et bien plus longue et large que ta petite queue. Je n’ai pas h?sit? une seconde à la sucer goulument, l’avalant jusqu’à la garde ! Ensuite mon petit cocu, il m’a pilonn? pendant plus d’une heure, me faisant jouir plusieurs fois.
J’?tais fou d’excitation, je n’en pouvais plus. Mais Patricia continuait à m’enserrer la bite pour m’empêcher de jouir. Le pire c’est que je n’?tais pas au bout de mes surprises.
- Mais tu sais le plus dr?le ? C’est qu’en retournant en boite, je suis tomb?e sur Pierre, ton collègue de foot. Et bien figure toi qu’une demi-heure après, nous ?tions chez lui. Oui cocu, j’ai aussi bais? avec Pierre, et crois moi je vais recommencer. Je n’ai jamais autant joui ! Il a une queue ?norme et il sait s’en servir. Il m’a même prise par derrière ! Je sais toi tu n’y a jamais eut le droit ! Et je dois te faire un aveu, on a bais? sans capote ! Regarde, passe ta main, ma chatte est encore tremp?e de mister sperme !
Tremblant je passais ma main entre ses jambes. Sa toimister ?tait gluante du sperme de mon ami. C’?tait donc vrai ! Elle avait os? et sans se prot?ger. Sans l?cher ma bite qu’elle serrait de plus en plus fort, empêchant ainsi toute ?rection, Patricia se redressa et m’enjamba, positionnant mister entrecuisse au dessus de mon visage.
- Tu vas être cocu jusqu’au bout ! Lèche !
A ces mots, et sans même bander, je jouissais entre les doigts de ma bien aim?e.
- Eh bien on peut dire que ?a te fait de l’effet que ta femme se fasse baiser ailleurs ! Tu as aim? à ce point ?
- Oh oui ch?rie, jamais je n’ai joui aussi fort.
- Alors on va vite recommencer, parce qu’avec Pierre j’ai pris un pied fabuleux. Jamais tu ne m’as fait jouir comme ?a !
- Si tu veux ch?rie, tout ce que tu veux.
- Tu me promets d’être un petit cocu docile et ob?issant ? De me laisser aller voir Pierre quand je veux ? Je te pr?viens je te veux totalement soumis.
- Je t’ob?irai en tout mon amour. Tout ce que tu veux !
J’?tais moi-même surpris par les propos que je tenais et la passivit? que je t?moignais aux ordres de mon ?pouse. J’avais jou? avec le feu, je m’?tais brul?, il fallait maintenant assumer.
Nous ne reparl?mes pas de cette exp?rience avant le Mercredi suivant. Ce soir là, en rentrant du travail Patricia avait retrouv? ce regard si particulier qu’elle avait le samedi pr?c?dent.
- Pierre m’a appel? aujourd’hui, mon petit cocu. Ce soir je sors. Et n’oublie pas, tu as promis de me laisser faire ce que je veux, alors pas un mot !
Je ne dis rien, me contentant de baisser le regard. Elle comprit alors que je lui ?tais totalement soumis et qu’elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait.
Vers 20 heures, elle s’enferma dans la salle de bain pour en ressortir un quart d’heure plus tard, uniquement vêtue d’un porte-jarretelles noir et de bas noirs. Sans rien mettre de plus, elle enfila un imper et vint me biser.
- A tout à l’heure mon cocu !
- Tu……tu sors comme ?a ?
- Oui, je trouve très excitant d’être nue sous mon imper. Imagine que je sois contr?l?e par la police sur le trajet………….
- Et où vas-tu ?
- Chez Pierre bien sur. A tout à l’heure ! Ah au fait, va faire un tour dans le bac de linge sale ! Tchao !
Dès qu’elle fut partie je me pr?cipitais dans la salle de bain, pour fouiller dans le bac. Sur le dessus elle avait laiss? un string noir, celui qui ?tait assorti avec le porte-jarretelles qu’elle portait ce soir. L’entrejambe du string ?tait macul? de traces blanch?tres. Aucun doute n’?tait possible, c’?tait du sperme s?ch?. La salope ! Elle avait bais? avec quelqu’un aujourd’hui ! Sa culotte à la main, je m’allongeais sur notre lit et me mettais à branler fr?n?tiquement ma petite bite. Son string sentait très fort le foutre et la mouille, je l’approchais de mon nez et respirais profond?ment. Ce faisant je jouis imm?diatement avec une power inouïe. Pour en savoir plus il me fallait maintenant attendre mister retour.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Pat, bravo !
Ca fait plaisir car tu renoues avec un genre depuis trop longtemps delaisse par les membres de cette communaute, celui d'un vrai recit mettant en scene des sitiuations extremement excitantes. Pour les amateurs, comme moi, ces histoires, peu importe qu'elles soient reelles ou fantasmees, restent un must du genre, bien plus interessantes que des photos a la tonne assorties de trois mots mal ecrits.
En effet, on peut faire fonctionner librement mister imagination a partir de ce qui est ecrit, mettre ses propres images sur les mots d'un autre qui nous font penetrer dans un univers, comprendre et partager ses emotions, ses pulsions.
Alors, un seul mot : continues, et un petit conseil : evite systematiquement d'utiliser les voyelles avec accents et le c c?dille qui, sur ce site d'origine anglo-saxonne ou ces raffinements orthographiques n'existent pas, ne passent pas. Au debut, c'est dur mais on s'y fait !!

Effectivement, felicitations pour ce recit, je visitais ce site de moins en moins souvent car cela tournait un peu en rond, sans parler des posts incomprehensibles ou de ceux ou les gens s'insultent. Comme dit paco2244, peu importe que ce soit du reel ou du fantasme, ton recit est tres bien ecrit, sans fautes d'orthographe (ce qui ne gache rien) continue donc et j'espere que nous serons nombreux a avoir le temps, l'inspiration ou le courage de faire de meme.

Merci pour vos compliments et encouragements. La suite viendra très vite.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Non pat, moi je veux pas savoir !!! laisses nous croire a la realite

tres belle histoire pat87 j'espere pour toi qu'elle est vraie

Voici la suite..........

Patricia ne rentra que vers une heure du matin. Bien ?videment, je n’avais pas ferm? l’œil. A peine avait-elle ferm? la porte que je lui demandais avec qui elle avait bais? dans la journ?e.
- C’est Alain, mon patron. Dans la matin?e il s’est aper?u que je portais des bas et un porte-jarretelles. Faut dire que la jupe que je portais aujourd’hui ?tait relativement courte. En fin de matin?e, après l’appel de Pierre, je suis all? aux toilettes retirer mon string. Quand je suis retourn? dans mon bureau, Alain m’attendait. Il a tout de suite vu mon string que je tenais à la main. Et là mister sang n’a fait qu’un tour ; il m’a saisi par les hanches, bascul? sur mon bureau, et m’a bais? sauvagement. Il a joui dans mon cul, en d?versant de longs flots de sperme. C’est pour ?a que j’ai du remettre mon string, pour ?viter de trop mouiller ma jupe et ma chaise.
Je bandais de nouveau, excit? comme un malade. Je r?ussi malgr? tout à prononcer dans un souffle :
- Et ce soir, avec Pierre ?
- Tu vas rire…… Ce n’est pas Pierre qui m’a ouvert quand j’ai mistern?. C’est Claude, un de ses copains. Et en plus j’avais ouvert mon imper. Tu imagines nos têtes ! Pierre ?tait mort de rire, et Claude ne cachait pas une impressionnante ?rection qui d?formait mister jean. Si tu savais mon petit cocu, j’ai eu le droit à ma première double p?n?tration. C’?tait g?nial. J’ai joui comme jamais. Allez viens sur le lit, c’est à ton tour de jouir.
Elle m’entraina dans la chambre, m’allongea sur le lit, et, en commen?ant à me caresser doucement les couilles, elle me murmura à l’oreille :
- T’es cocu, mon ch?ri. T’es cocu parce que tu as une toute petite bite. Je ne te sens même pas quand tu es en moi. Regarde ?a ta ridicule petite qu?quette tiens entièrement dans ma main ! Tu es totalement incapable de faire jouir une femme espèces de petite tafiotte !
Impossible de me retenir plus longtemps, je jouissais violement sous ses caresses et sous ses offenses.
- D?cid?ment, tu me surprends de jour en jour, me dit-elle en malaxant ma petite bite d?jà redevenue flasque et recroquevill?e. T’es vraiment pas un mec. Il va falloir que je te traite comme tel. D?sormais je t’interdis de me toucher, sauf si je t’en donne l’ordre. C’est compris ?
- Oui, r?pondis-je.
- Oui qui minable cocu de merde ?
- Oui Ma?tresse.
- C’est mieux comme ?a. C’est parfait. J’ai une petite id?e pour nous occuper Samedi, mais je ne t’en dis pas plus, c’est une surprise.
Plus rien ne se passa jusqu’au vendredi soir. Je surveillais le bac à linge sale, mais rien ne semblait plus souiller les dessous de ma femme. Ce soir là, Patricia rentra un peu plus tard que d’habitude, les bras charg?s de paquets.
- J’ai fait des courses pour toi, petit cocu. Viens dans la chambre.
J’?tais surpris et heureux qu’elle ait pens? à moi, mais je n’?tais pas au bout de mes surprises.
- Vu que tu n’es pas un vrai mec, je t’ai achet? plusieurs petites choses qui correspondent mieux à ton statut de lopette à petite bite. Regarde !
Elle vidait les sacs sur le lit et à ma grande surprise je d?couvrais de nombreuses pièces de lingerie f?minine.
- Oui c’est pour toi cocu ! Vu que tu n’es pas un m?le, maintenant tu vas t’habiller comme une femelle !
Très excit? par la situation je d?couvrais strings, porte-jarretelles, bas, soutiens gorges, nuisettes…. Et le tout à ma taille !
- Allez change toi que je vois ce que tu donnes en femelle !
J’ob?issais, à la fois humili? et très excit?. Après avoir enfil? bas et porte-jarretelles, je faisais glisser un string minuscule. A ma grande surprise, malgr? mon ?rection, ma petite bite tenait dans le minuscule bout de tissu. Patricia jubilait.
- Tu es parfaite comme ?a ma petite pute……… Au fait, j’ai oubli? de te dire que demain matin, tu vas avoir une sacr?e surprise.
Je passais la soir?e ainsi habill?, devant subir très fr?quemment les sourires narquois de mon ?pouse qui prenait visiblement un vif plaisir à m’humilier ainsi.
Au moment de nous coucher, Patricia me tendit une nuisette en satin.
- Finis les cale?ons, maintenant tu mets ?a pour dormir. Allez bonne nuit cocu !
Vous vous doutez que le sommeil fut difficile à trouver, et quand Patricia me r?veillais à 9H00 j’?tais encore très vaseux.
- D?pêches toi de te changer, ta surprise va arriver. Je t’ai pr?par? des vêtements dans la salle de bains.
J’allais dans la salle d’eau m’attendant à retrouver des vêtements plus d?cents et surtout plus masculins, mais je devais vite d?chanter. Dans la salle de bains Patricia avait pr?par? de la lingerie ; un ensemble soutien gorge, string, porte-jarretelles en voile rose transparent, des bas noirs et un peignoir rose, transparent lui aussi. A peine ?tais-je habill? que la misternerie de la porte retentissait.
- Va ouvrir cocu, d?pêches toi !
- Dans cette tenue ? Tu crois que …..
- Ta gueule et ob?is minable !
Mort de honte je me dirigeais vers la porte, et en me cachant derrière elle, j’ouvrais en ne laissant passer que la tête. Horreur ! C’?tait Nathalie, une de nos amis, esth?ticienne de profession, et qui bien sur s’occupait souvent de Patricia. Si elle me d?couvrait ainsi, tous nos amis allaient être au courant, c’?tait une catastrophe.
- Salut, je peux ? T’inquiètes pas je suis dans la confidence.
Je la laissais entrer, terriblement honteux, ne sachant plus ou me mettre.
Nathalie me d?tailla de la tête aux pieds.
- Hummm elle a bon gout ta maitresse, tu es ravissante comme ?a !
- Merci, r?ussis-je à r?pondre dans un souffle.
Nathalie se mit à papoter avec ma femme, en prenant un caf?, sans plus s’occuper de moi. Après une bonne demi-heure Patricia m’appela.
- Viens ici que Nath s’occupe de toi !
J’ob?issais sans broncher, baissant la tête et surtout en essayant d’?viter les regards ironiques des deux femmes.
Nathalie m’installa sur la table de la cuisine, allong? sur le dos, jambes pendantes.
- Je vais t’?piler, retire ton string.
Je m’ex?cutais, honteux, en baissant les yeux. Imm?diatement Nath ?clata de rire.
- Je ne le crois pas. Elle est minuscule sa verge ! Tu sais ch?rie, je comprends pourquoi tu vas prendre ton plaisir ailleurs. C’est pas une bite, c’est à peine un clitoris !
Après ces moqueries, Nath saisit une tondeuse et rasa ma toimister pubienne. Les vibrations de l’appareil sur mon sexe et mes couilles m’excitaient. Ma petite bite se dressait, accentuant ma honte, mais ?galement mon d?sir.
- Regarde Patricia, il est excit? ton petit mari, il bande…….enfin si on peut appeler ?a bander !
- Oui j’ai vu. Et tu as vu la taille ? Neuf centimètres en ?rection ! heureusement que je choisis mieux mes amants que mon mari ! Allez, vas-y, ?pile tout ?a, il va ressembler à un vrai b?b? après !
Nath entra en action avec des bandes à froid, m’?pilant totalement le pubis. La douleur fut violente, et mon entre-jambes me chauffait maintenant.
- Je lui fais aussi le cul ?
- Oui bien sur.
- Relève les jambes et plie les genoux sur ta poitrine !
En sentant ses mains sur mon anus je me remis à bander imm?diatement.
- Regarde ch?rie, il rebande ! Il a l’air d’aimer qu’on lui tripote le cul !
- Epile le bien, je reviens.
Patricia disparut à peine deux minutes et revint avec un vibromasseur de bonne taille.
- Reste comme ?a minable, on va voir si tu es une vraie taffiotte.
Sans aucune pr?paration, elle positionna le vibro à l’entr?e de mon anus et poussa. Une violente brulure me traversa l’?chine. Après quelques minutes, la douleur laissa place à une ?trange chaleur que je ne connaissais pas. Horreur, j’aimais ?a ! Patricia entreprit de faire aller et venir le sexe en plastique dans mon conduit.
- Regarde cette petite pute bande de nouveau. Il aime ?a l’encul? !
Tout en labourant mon fondement, Patricia pressa fortement mes couilles de sa main libre. Je jouis imm?diatement et fortement sous les quolibets de ma femme et de mister ami.
- T’es vraiment qu’un petit p?d? ! Finis pour toi les rapports sexuels, je crois que je vais t’acheter une cage de chastet? pour que tu ne puisses pas te masturber. Qu’en penses-tu Nath ?
- Excellente id?e. De toute fa?on, dans la mesure où sa ridicule petite bite ne te sert à rien, pourquoi lui servirait-elle à autre chose qu’uriner ? Il ne te donne pas de plaisir donc il ne doit pas en avoir non plus !
C’est ainsi que j’entrais en soumission, esclave servile et d?vou? à mon ?pouse Patricia. Mais je n’?tais pas au bout de mes surprises. Patricia allait faire preuve d’une imagination d?bordante pour m’humilier et m’asservir totalement.
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Si vous souhaitez connaitre la suite, a vos claviers !
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Bien de mieux en mieux, excellente ton histoire.
Vivement la suite.

Tres agreable ton recit, pat87. Un peu "rapide", peut-etre, dans l'evolution d'une situation qui t'amene, en une semaine si j'ai bien suivi, du statut de mari avec une vie sexuelle conjugale normale a celui de petite taffiolle domestique soumise et travestie... Mais bon, meme si ca nuit un tantinet a la credibilite de ton histoire, l'important est que ce soit excitant, et ca l'est indeniablement ! Continue, j'ai hate de connaitre la suite qui, selon moi, devrait comporter un incident domestique du genre fissurage de culasse de la lopette par autre chose qu'un gode...

Ce recit, malgr? les petites difficultes de lecture, me rappelle mon histoire avev mon ex femme. Je souffre en effet d'ejac precoce assortie de quelques difficultes pour avoir une erection correcte, et oui pas verni le gars!
D'un commun accord nous avions decide qu'elle pouvait aller voir ailleurs, ce dont elle ne s'est jamais privee! Je n'ai jamais assiste a ses parties de jambes en l'air, sauf par telephone ou recit interpose, mais je dois avouer que je trouvais cette situation plutot perverse, tres excitante. Et comme elle s'en est rendue compte elle poussait meme le vice à m'humilier, en me comparant à mister amant par exemple, ou lorsque nous faisions du shopping ensemble, elle n'hesitait pas a dire devant d'autres clients, que Pierre aimait bien quand elle portait tel ou tel vetement, ou mieux encore qu'il adorait quand elle portait telle lingerie tres sexy! J'ai souvent surpris le regard effare d'autres permisternes ayant surpris notre conversation.

merci pour ce r?cit Patrick dont j'ai ador? la lecture, ?tant de limoges j'essaie d'imaginer l'action au majestic, pourrais tu situer la suite de ton recit sur limoges et des endroits faciles a reconnaitre dans la r?gion ? l'id?e de suivre ta femme sur ses traces m'exite terriblement

nickytrois : mister terrain de chasse est La Belle epoque à Beaune
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Slt PAT87 , mister terrain de chasse est la belle ?poque à beaune , beaune dans le 21 ???

beaune les mines
cocu a petite bite aimant porter de la lingerie

Ouf !!! Je viens de finir la page. C'EST TOUT CE QUE TU AS A DIRE ????

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