raffaelli
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le recit
LES DEPRAVATIONS DE MARIA
(Une saga ?rotique)
DU CINEMA A LA BOITE.
Après l’extravagante s?ance au cin?ma, nous ?tions chauds, surtout Maria, quand nous sommes entr? dans la boite. C’?tait la première fois que j’emmenais ma femme dans une boite dimisters un peu sp?cial. Mais depuis pr?s de 28 heures nous ?tions dans un monde d’euphories sexuelles et je pensais que c’?tait le moment de franchir le pas. Lorsque je lui en aie fait part, Maria en fut bien sur toute ?moustill?e surtout qu’il y avait beaucoup d’hommes qui buvaient un coup au comptoir en regardant la piste. Quelques boxs ?taient occup?s par des couples ou des groupes. J’ai pris ma femme par la main et allais vers un de ces box. Il ne restait que le plus visible, le plus proche du comptoir, et c’?tait ce que je voulais. Nous avons command? une bouteille de champagne, nectar d?licieux et lumière du vice dans les yeux de Maria.
Depuis quelques minutes, je remarquais le manège de deux hommes qui passaient et repassaient devant nous pour finalement stationner sur au comptoir, en face de nous ou plus exactement en face d'elle. Leurs regards ?taient obstin?ment dirig?s vers elle, pr?cis?ment vers ses jambes qu'elle croisait et d?croisait de temps en temps ou laissait entrouvertes entre temps. Elle avait voulu rentrer à la villa après le cin?ma, pour se changer. Elle portait une robe noire moulante et fendue jusqu’au à ses magnifiques hanches où l’on pouvait apercevoir le lacet de mister string pourpre, des bas noirs r?sille et des escarpins noirs. Elle savait s’habiller pour ce qu’elle allait faire, ce pour quoi je l’avais emmen? dans cette boite, se faire baiser. Lorsque je demandais ce qu'elle pensait de ce que ces deux types nous voulaient, elle me r?pondit en souriant :
- " Ce mistert des voyeurs, ils reluquent ma petite culotte, je la leur montre par moment comme par inadvertance, ?a les excite et moi, ?a m'amuse de les voir ! Je suis sûre qu'ils bandent ! "
Je me suis lev? et je fis un tour pour passer derrière eux au moment où à mon intention et à la leur, Maria ouvrit encore un peu plus ses cuisses. Je d?couvris le fin triangle pourpre sous la longue robe noire de ma femme offerte à leurs regards. Elle en profitait, faisant semblant de prendre ses aises, elle ?carta carr?ment les jambes. Cela tournait à l'exhibition. Deux autres hommes se rapprochèrent du lieu où l’on pouvait le mieux la voir et se joignirent aux deux premiers mateurs. Je me suis lev? pour la laisser seul avec ses admirateurs et me pla?ais au comptoir pas très loin derrière eux. Je pouvais me rendre compte à quel point le spectacle pouvait être sexy, on distinguait parfaitement la fente de sa vulve sous le l?ger tissu. J'entendis l'un d'eux dire :
- " Putain la salope, elle nous drague, ma parole, je m'en vais te lui foutre le paquet, tu vas voir ! Salope, elle demande que ?a cette pute ! T'as vu cette salope... ! Je vais te la foutre à fond bordel ! "
Le spectacle de ma femme ainsi exhib?e, les quatre voyeurs et ces paroles me firent bander moi aussi. Je ne sais pas pourquoi mais je me suis approch? et adress? à eux :
- " Je suis le mari de cette femme, ne bougez pas, vous ne le regretterez pas, vous allez voir ! " Et je regagnais ma place auprès d'elle.
- " Tu sais qu'ils te traitent de pute ? De salope aussi ! Ils disent qu'ils vont te faire ta fête ! T'en as envie ? je te mets à rude ?preuve depuis avant hier soir ! Je leur ai dit de bien regarder la suite. Si tu veux t'amuser et moi aussi, ?carte le bord de ta culotte et fais leur voir ta chatte, tu es d'accord ? "
- " Mieux, mon ch?ri, je vais l'enlever devant eux ! " Les quatre hommes devant nous n'en perdaient pas une miette et j'en aper?us deux qui se branlaient discrètement. Maria se tortilla et r?ussit à ?ter mister slip qu'elle leur montra puis elle ouvrit largement ses cuisses.
- " Tu es vraiment une salope ! ?a te plait de les exciter ? ?a t'excite aussi, c'est ?a ? " -- " Oui, bien sûr ! Pas toi ? "
Je bandais comme un dingue en pensant que ces types reluquaient l'intimit? de ma femme et qu'ils avaient envie de la poss?der.
-" ?a te plait de te montrer mais ?a te plairait de te faire encore sauter et en public cette fois ci ? T'en as envie ? "
-" Et toi, ?a te plairait que je le fasse ? "
-" R?ponds ! "
- « Oui…j’ai envie de me faire sauter, comme tu dis, ici, devant tout le monde! »
Elle se prenait au jeu ! Connaissant par avance la r?ponse, je lui ait demand? :
- " Par ces types par exemple ? "
- " Tous les quatre ? Tu sais que je ne t'avais jamais tromp? avant hier soir, avec les deux premiers hommes, dans la camionnette et ensuite avec les trois autres à la villa, que je n'ai connu que toi et tu me demandes si j'aimerais me faire sauter par ces inconnus ? Quatre inconnus ! "
- " Oui ! "
- " Tu n'es pas jaloux ? "
- " Si ou plut?t, je ne sais pas, alors, tu en aurais envie ou pas ? "
- " Moi non plus je ne sais pas, peut-être. Et toi, ?a t'exciterait de me voir avec d'autres hommes en public, ici dans cette boite ? "
- " Peut-être aussi mais je suis sûr que tu n'oserais pas ! Ou alors si tu en as vraiment envie. Il t'arrive d'avoir des fantasmes ? "
- " Oh oui ! M'exhiber comme je le fais aujourd'hui mais surtout que tu me fasses violer par plusieurs hommes à la fois, que tu me prostitues, que tu fasses me faire baiser devant toi par d'autres hommes, participer à une partouze, par exemple ou mieux que tu me donnes tout simplement. Je te jure que c'est vrai ! " Dit-elle en riant.
Toutes les choses qu’elle a v?cues depuis 30 heures.
- " Tu vois, je suis une vraie salope, comme ils disent, une nympho ! Et toi ? Quels mistert tes fantasmes ? "
- " Aussi bizarre que cela puisse te para?tre, ce mistert les mêmes que les tiens ! Ils correspondent exactement à ceux que tu viens de m'?num?rer ! "
- " Tu veux dire que tu aimerais me voir faire ce que je viens de dire, vraiment ? "
- " Oui et je te pari que tu ne le feras pas ! "
- " On pari ! Tant pis pour toi, tu sera de nouveau cocu ce soir mon ch?ri ! Ta chère petite femme va se faire sauter par ces types, par ces quatre types ! Quatre d'un coup !? Oh lala ! Et devant toi, bien sûr ! Et devant d’autres permisternes certainement ! Tu l'auras voulu ! Propose leur, toi, si tu l'oses ! Demande leur s'ils mistert d'accord pour baiser ta femme ! Tu crois qu'ils vont vouloir ? Peut-être que je ne leur plais pas ? "
Et elle continuait à leur montrer sa chatte que j'imaginais tremp?e pendant tout ce temps. Les voyeurs ne quittaient pas mister entrejambe des yeux et semblaient appr?cier le moment.
" Ok, on va voir jusqu'où tu peux aller. Continue à t'exhiber, je vais leur demander leur avis !"
Je me suis approch? d'eux pour leur dire vulgarement :
- " ?a vous pla?t les gars ? Ma femme a envie d'un peu plus, vous êtes partant ? " Les types me regardèrent ahuris, je pr?cisais :
- " Elle a envie de voir vos queues de plus près. ou plus exactement de se faire enfiler. vous l'excitez à la mater comme ?a. elle a envie de se faire tringler. je suis d'accord. et vous. elle vous pla?t ?
- " Le plus grand et fort d'une trentaine d'ann?es ne r?fl?chit pas longtemps et me r?pondit :
- " Tu parles si je suis partant. Suivez-moi, nous allons monter à l’?tage. Il y a une pièce sp?ciale. On y sera tout à fait tranquille pour satisfaire ta femelle. Ce n'est pas loin."
Les trois autres, deux jeunes venus draguer et un type trapu, très poilu, d'environ quarante ans, acquiescèrent en continuant de d?shabiller du regard la femelle que mister mari leur offrait. Maria se leva à mon signe avec un sourire qui en disait long sur mister app?tit et un regard lumineux d?di? aux quatre mecs. A ses quatre futurs amants. Nous le suiv?mes donc, le g?rant de la boite devant, elle derrière lui, un peu h?sitante. Nous devinions tous mister cul nu sous sa très longue robe fendue qui dansait, moi et les autres derrière qui lui admiraient les fesses.
Le g?rant lui prit la main et la fit monter le petit escalier devant lui. Un sursaut de galanterie ! Tout ce petit monde suivait en ayant une vue directe sur les fesses d?couvertes de mon ?pouse et nous bandions tous à la perspective de ce qui devait se passer, moi certainement un peu plus que les autres. ?a n'a pas tra?n? et j'ai du un tout petit peu calmer les ardeurs des mecs en leur demandant d’être d’abord pr?venants avec ma femme. Nous sommes entr? dans une pièce suavement ?clair?e de deux chandeliers avec des miroirs et des vitaux color?s. Certainement, ils devaient coïncider avec le couloir et l’on pouvait ainsi avoir une vue imprenable sur l’espace ?clair?. Au centre pr?nait un très grand lit recouvert de satin rouge. Je n'arrivais pas à m'imaginer que tout cela ?tait vrai, que nous avions suivi ces hommes et que ma femme allait vraiment se faire prendre par ces inconnus, avec des mateurs qui se branleront en la regardant se faire baiser. Je r?alisais un fantasme mais j'?tais inquiet pour elle, elle semblait paniquer. C’est l’attitude qu’elle avait adopt? pour attiser les males. C'est le propri?taire de l'appartement qui la baisa le premier, le sixième homme autre que moi. Tous, durant ce week-end de baise que je lui avais promis. Puis ce fut une orgie totale, invraisemblable, insens?e, une sorte de viol collectif consenti auquel j'ai particip?. Derrière les vitraux de la pièce des hommes et des femmes s’?taient positionn?s et admiraient Maria dans ses ?bats avec les quatre mecs. Nous pouvions entendre leurs commentaires et leurs respirations saccad?es. Ils pouvaient admirer une femelle dans une nuit d’une très grande luxure. Elle fut " combl?e " au-delà de l'imaginable et elle a joui comme jamais elle n'avait joui. Je l'ai vue se tordre de plaisir sur des sexes qui violaient ses trois orifices à la fois et je l'ai entendue hurler ses jouissances, remplie de sperme qui d?goulinait sur tout mister corps. Ma femme ! Je n'en revenais pas que se fut elle. C'est donc le grand costaud, le 1 (je nommerai les deux jeunes par les n? 2 et 3 et celui de quarante ans par le n? 4) qui la mena jusqu'au grand lit rouge au centre de la chambre en la tirant par la main. Elle voulait s'en aller et me demanda de leur dire qu'elle ne voulait plus, qu'elle avait voulu s'amuser, que c'?tait un jeu, c'est tout Ils pouvaient la regarder et même la toucher mais pas plus, ils pouvaient se masturber sur elle s'ils le voulaient mais pas plus. J’adorais qu’elle joue ainsi la femme craintive. La situation qu’elle cr?ait apportait une dominance. Etre domin?e, voila ce qu’elle voulait.
Le 1 la culbuta sur le lit, la troussa jusqu'à la taille en d?couvrant ses cuisses et sa vulve à peine ombr?e de fins poils sombres et lui d?nuda la poitrine en d?voilant les t?tons qui avaient d?jà de taille obscène. Maria a des t?tons qui peuvent atteindre trois centimètres dans la pl?nitude de la perversion. Il marmonna qu'il ne pouvait plus tenir, qu'il fallait qu'il la baise. Tous la contemplèrent, là, ?tendue, cuisses ouvertes, seins à l'air et les quatre hommes commencèrent à la caresser, ils lui pelotèrent, les cuisses, les seins, les fesses. Des doigts s'insinuèrent dans les moindres recoins. Dans sa chatte, dans mister anus et ils se d?barrassèrent de leur pantalon lib?rant des verges d?jà ?rig?es. Je d?couvris que le 1 ?tait membr? comme un ?ne et que le 4, le quadrag?naire trapu, avait une pine plus courte mais incroyablement ?paisse. Je n'en croyais pas mes yeux de voir mon ?pouse ainsi offerte à la convoitise si ?vidente de ces types et des mateuses et mateurs dont on ne voyait que les yeux derrière les vitraux. Elle les regardait effar?e, entour?e par tous ces sexes dress?s, palp?e par toutes ces mains. Elle me dit :
- " ils vont me baiser, Pierre, mais qu'est-ce que tu me fais faire !? Ils vont me baiser, dit-leur de me laisser ! "
- " Trop tard ma ch?rie, je ne pourrais jamais les arrêter. " Je bandais à en avoir mal. Et en effet le 1 lui ?carta les cuisses, pointa sa queue entre les lèvres de sa vulve et il la p?n?tra de toute sa longueur d'un seul coup en poussant un r?le de satisfaction. J'ai vu sa bite gigantesque s'enfoncer dans le vagin, je n'ai pas pu m'empêcher de sortir ma queue et de me branler pendant que le type commen?ait à baiser ma femme. Maria a pouss? un cri hyst?rique et m'a regard? complètement rel?ch?e :
- " ?a y est mon ch?ri, il est rentr?, il s'est enfonc?, il est gros, il me cogne tout au fond, il me baise! Tu entends, il me baise ! Tu es cocu, pour la sixième fois depuis…je ne sais plus quand on a commenc?… tu l'as voulu ! Il me baise, ?a te pla?t ? Hein ! ?a te plait !
Puis, les yeux diff?rents, la voix plus rauque, j'ai vu mister bassin aller au devant du pieu qui la pilonnait
- " Il me d?fonce, il va au fond, il est gros. tu aimes me voir baiser ? ?a te plait de le voir se taper ta femme ? Oh c'est bon ! Il va tout au fond, il me baise fort. je vais jouir. Il va jouir dans moi, dans mon ventre, je le sens. " L’homme la pistonnait de plus en plus vite, je voyais sa pine la p?n?trer de plus en plus profond?ment. Les autres complètement surexcit?s lui gueulaient de se presser, qu'ils voulaient la tringler aussi, en se branlant comme des malades. L'un des jeunes lui enfon?a mister noeud dans la bouche et d?chargea aussit?t, le trapu lui envoya la sauce sur les cuisses et moi dans les cheveux. Maria hurlait de plaisir et le deuxième jeune gicla mister foutre sur ses yeux pendant que mister baiseur lui ?jaculait sa semence au fond du con. Elle n'eut aucun r?pit, le spectacle qu'elle offrait en se faisant baiser par ce type et notre excitation ?taient trop forts, nous ne d?bandions pas, nous voulions tous poss?der cette femme ouverte, offerte, les quatre autres inconnus et moi aussi, mister mari. Je voulais la voir prise et reprise par ces hommes, cela m'excitait extraordinairement et je voulais la prendre aussi avec mais je n'arrivais pas à croire à ce que je voyais. Elle, ma femme que je savais fidèle depuis notre mariage jusqu'à aujourd'hui et que j'avais connue vierge, se faisant poss?der par un autre, un inconnu et y prenant un tel plaisir ? L'homme sortit d'elle mister ?norme sexe toujours raide gluant du con d?goulinant de sperme, press? par le trapu et les deux jeunes qui n'en pouvaient plus et qui attendaient impatiemment leur tour et s'assit sur le lit, la queue gigantesque toujours dress?e et releva Maria en lui disant simplement : -" Je vais laisser les autres t'enconner mais je vais t'enculer en même temps, salope ! " Et aux autres :
- "d?merdez-vous, baisez la comme vous voulez, on va se la prendre en sandwich mais moi je l'encule ! " Et il prit ma femme par la taille et la for?a à s'empaler sur mister ?norme pieu. Mon ?pouse protesta qu'il allait lui faire trop mal, qu'il ?tait trop gros mais rien n'y fit, j'ai vu cette monstruosit? s'enfoncer dans mister anus petit à petit en me demandant comment elle pouvait faire pour se faire farcir par un membre d'au moins trente centimètre sans être d?chir?e et pourtant, tout est rentr?, jusqu'aux couilles ! C'est le quadrag?naire qui s'est pr?cipit? sur elle, il les a fait s'allonger, elle, encul?e sur le premier et vlan ! En plein dans la chatte, il lui a enfourn? le con de sa grosse bite d'un seul coup ! Maria poussa une sorte de r?le mais ce n'?tait pas de douleur, poss?d?e à fond, au combien bais?e et encul?e, elle jouissait en marmonnant que c'?tait trop, trop gros, trop fort, qu'ils allaient trop loin, qu'ils la d?chiraient. et, qu'ils continuent encore plus fort. Je la contemplais, les yeux r?vuls?s, chahut?e, envahie, bouscul?e, elle jouissait, spasmes sur spasmes, orgasmes sur orgasmes ; les deux jeunes s'impatientaient et tentaient de lui enfoncer leurs bites dans la bouche, elle en aspira, une puis prit l'autre, elle les masturbait comme elle pouvait et ils se mistert vid?s dans sa gorge chacun leur tour pendant que les deux autres l'inondait de leur foutre dans le fond de la chatte et dans mister cul. J'ai alors vu mister anus b?ant plein de sperme, terriblement dilat?. J'y ai plonge ma bite qui y rentrait toute seule comme lorsqu'on enfile des gants trop grands et je l'ai encul?e moi aussi. Elle se laissait faire docilement, les autres me regardaient, l'un des jeunes lui fourra sa pine dans sa chatte entrouverte et pleine de jus et la baisa à mister tour. Je sentais sa queue qui la limait à quelque millimètre de la mienne et j'ai ?jacul? en elle pendant qu'elle continuait de jouir en silence. Le lit ?tait macul? de foutre, ma femme gisait, cuisses ouvertes, totalement impudique, la chatte et le cul b?ants bourr?s de sperme comme ses cheveux et mister visage, elle en ?tait pleine partout. Je la regardais, ils se l'?taient tous farcie à fond, tous les quatre l'avaient bais?e et encul?e, ils s'?taient fait sucer, tous avaient joui en elle et je rebandais encore en la voyant, comme les autres. Le 1 lui fourra sa main dans le con, jusqu'au poignet et la regardait, le trapu, le 4 se mit derrière elle et lui introduisit sa grosse bite dans le cul, elle g?missait, les deux jeunes lui fourrèrent leurs verge à nouveau tendues dans la bouche et moi j'ai eu subitement envie d'aller encore plus loin. Je me suis mis à c?t? du gros poilu et j'ai joint mon sexe au sien pour l'enculer avec lui en même temps. Nous ?tions de nouveau surexcit?s et j'avais la bite du type coll?e à la mienne dans l’antre de Maria dilat? au maximum qui hurlait de plaisir alors que l'autre, devant, la ramonait en nous masturbant avec sa main à l'int?rieur. On a ?jacul? tous les deux en même temps, puis j'ai senti un liquide chaud qui envahissait le rectum de ma femme, le mec qui l'enculait avec moi a eu envie de pisser, alors il s'est vid? la vessie dans ses intestins et j'en ai fait autant. C?cile n'en demandait pas tant, jouissant sur ce flot d'urine brûlant qui lui remplissait le ventre comme un lavement. Les deux jeunes en profitèrent pour ?jaculer dans sa bouche et lui pissèrent dans la gorge en se marrant. Dans un grognement le 1 retira sa main et la rempla?a par sa pine, il la baisa à nouveau furieusement. Pris de priapisme, je ne d?bandais pas et j'ai recommenc?, je me suis joint à lui pour la baiser en même temps que lui en enfon?ant mon sexe à cot? de mister ?norme mandrin pour le sentir bien la baiser, tandis qu'un des jeunes lui fourrait sa bite dans le cul. Ma femme eut un r?le rauque et hurla un orgasme d?mentiel qui la secoua pendant que nous nous ?jaculions une nouvelle fois en elle. Je sortis d'elle mais l'autre en profita pour se vider la vessie dans sa chatte. Les deux jeunes en pleine forme et voulant nous imiter lui joignirent leurs queues et l'enfournèrent à leurs tours. Deux bites dans le con qui la fourrageaient à nouveau pendant que notre h?te commen?ait à regarder la pendule. Ils se vidèrent une dernière fois dans le ventre de Maria qui n'en pouvait plus. Nous regagn?mes le plus discrètement possible la voiture une heure plus tard, sa robe ?tait d?chir?e et macul?e de foutre. Elle ?tait bourr?e de sperme partout, faute d'avoir pu prendre une douche, la femme du type de l'appartement risquait d'arriver d'une minute à l'autre, nous ?tions partis rapidement de chez lui. Et elle n'avait pu qu'à peine se nettoyer. Elle ne disait rien et regardait dehors par la vitre lat?rale. Moi aussi je me taisais puis j'ai mis une main sur sa cuisse d?nud?e toute poisseuse et elle m'a regard?e, alors j'ai ?clat? de rire et elle aussi.
- " Pour être cocu, tu es cocu mon pauvre ch?ri ! Tu te rends compte ? Oh lala mais qu'est-ce que j'ai fait ? Tout ce qu'ils m'ont fait. oh ! J'ai honte ! Et moi qui ne t'avais jamais tromp? ! Et bien là, j'ai eu mon compte ! Tous en même temps. "
- " Tu as beaucoup joui. Tu as aim?, n'est-ce pas, beaucoup, je l'ai vu, tu as aim? tout ce qui s'est pass? ? "
- " Tu es jaloux ? Oui, j'ai joui, incroyablement, comme jamais je n'avais joui. c'?tait bon. c'?tait bon d'être une salope, une pute, une vicieuse... Plus ils me baisaient plus j'en voulais. et tous en même temps, devant, derrière, oh lala
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raffaelli
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le r?cit : 1er episode. Il y en a 6.
LES DEPRAVATIONS DE MARIA
(Une saga ?rotique)
MA FEMME AU DESSERT (1ere partie)
Ce soir là, Maria et moi avions d?cid? de suivre une invitation et d’aller d?ner dans un restaurant très select et très chic et surtout où permisterne ne nous connaissait.
Durant le trajet en voiture, Maria avait plaisant? sur le cot? secret de notre destination. Sur l’invitation que nous avions re?u, il ?tait pr?cis? que nous devions être masqu?s avant de p?n?trer dans la salle où devait se d?rouler le d?ner…mais le petit carton ne contenait aucune pr?cision sur le thème de la soir?e.
Je dois reconna?tre que cela me mettait dans un ?tat ?trange où se mêlait le d?sir fou de l’inconnu et l’appr?hension de ce même inconnu.
Maria me taquinait en imaginant les choses les plus saugrenues et les plus os?es. Mais je voyais au creux de sa poitrine des l?gères contractions et d’imperceptibles fr?missements qui trahissaient mister ?tat. Elle aussi ?tait nerveuse et excit?e par l’?tranget? de cette invitation. D’ailleurs, elle avait le ton rauque et la voix grave et chaude comme un souffle de foène.
Quand elle s’?tait vêtu, tout à l’heure à l’h?tel, elle avait command? une bouteille de champagne pour « bien commenc? la soir?e ».
Elle avait effectivement bien commenc? !
Nous avions vid? le nectar, mod?r?ment pour moi, mais Maria s’?tait laiss? aller à sa boismister favorite et mister regard p?tillait d?jà de sensualit?.
Elle regardait à travers la vitre de la voiture les bandes blanches qui d?filaient sur les bords de la route en r?fl?chissant les brillances de la pleine lune.
Je la regardais furtivement. Elle ?tait vêtue sobrement, une robe noire, longue et très coll?e à mister corps, boutonn?e sur le devant par une brillante et d?licieuse rang?e de boutons nacr?s. Je n’avais pas vu ce qu’elle avait mis en dessous et m’en r?servait la surprise pour plus tard.
Dans la p?nombre, je n’apercevais d’elle que ses longs cheveux noirs, les boutons qui enfermaient mister corps et les escarpins noirs qui terminaient ses longues jambes gain?es de noir. Je me posais, bien sur, la question de ses jambes, justement ! Avait-elle mis des bas ou des collants ? Ce d?tail aussi, je m’en r?servait la surprise pour la suite de la nuit.
Perdu dans mes pens?es et dans la contemplation furtive du corps habill? de ma femme, je ne m’?tait pas aper?u que notre destination approchait. Un b?timent tout en pierre se dessinait à la lumière des phares. Sur le parking, il y avait deux autres automobiles de grosses cylindr?es.
En montant les quelques marches de l’imposant perron qui menait dans la salle de restaurant, je m’extasiais une ?nième fois sur les hanches de ma femme…des hanches larges et biens dessin?es…des hanches faites pour être caress?es…des hanches faites pour l’acte d’amour. Maria devait sentir mon regard car elle exag?rait sa d?marche ondulante et la cambrures de ses reins, là où le dos ressemble à la lune. Elle ressemblait à une panthère noire qui semblait à peine toucher le sol de ses hauts talons, comme des griffes brillantes.
Nous sommes entr? dans un espace feutr? avec de grandes tables en bois recouvertes de nappes noires et de grands chandeliers où coulait la cire rouge des bougies.
Maria avait mis mister loup rouge avant d’aller plus avant. Le masque qu’elle avait choisi pour la circonstance recouvrait à peine mister visage et lui donnait ainsi un air myst?rieux et terriblement sensuel.
Elle se dirigeait vers une table au centre de la salle, comme si elle voulait retenir toute l’attention, comme si elle voulait occuper l’espace tout entier. Il y avait là, proche de nous, deux hommes qui entamaient leur repas et un couple un peu plus au fond. Tous ?tait ?galement masqu?s de parures diverses. C’?tait l’originalit? du restaurant…la discr?tion la plus absolue qui pr?sageait certainement de liaimisters furtives et perverses.
Maria me fit part de sa surprise avec un regard amus? et p?tillant. Elle m’avoua que la discr?tion de cet endroit myst?rieux r?veillait en elle des sens inconnus jusque là.
Je lui r?pondis que cette atmosphère me plaisait beaucoup ?galement.
Avant de commander le d?ner, Maria avait demand? une bouteille de champagne « pour continuer sur la bonne voie » avait-elle pr?cis?.
Depuis notre entr?e, j’avais remarqu? que l’allure de Maria avait accroch? le regard des deux hommes qui d?naient pr?s de nous, à moins de trois mètres. Ils parlaient à voix basses et je ne pouvais entendre ce qu’ils se disaient. Maria avait aussi remarqu? le trouble qu’elle avait jet?, volontairement ou non, sur nos voisins.
« Tu as vu les deux hommes à cot?, lui dis-je dans un murmure, ils n’arrêtent pas de te regarder ! »
« Bien sur, me r?pondit Maria ! Et je me sent tout à fait d’humeur à jouer le jeu avec eux ».
Elle ?tait sure d’elle-même en pronon?ant ses mots et cette perspective des petits jeux de Maria me fit couler une douce candeur au fond de mon ventre.
« Tourne toi un peu et regarde les ! «
Dans un l?ger fr?missement de tissu, Maria pivota en tenant le verre de champagne dans sa main droite et en l?chant du bout de sa langue un gouttelette qui coulait doucement le long de la cambrure de la flûte. Dans le mouvement, mister buste avait trembl? et nos voisins purent ainsi en deviner la fermet? et la rondeur.
Maria remarqua rapidement la lumière qu’elle avait allum? dans les yeux des deux hommes et se baissa juste un peu pour faire bouger ses seins une nouvelle fois et attiser encore un peu plus le d?sir des deux inconnus masqu?s qui avaient suspendu leurs regards aux deux t?tons qui pointaient sous le tissu l?ger de la robe. Puis elle repris sa position, face à moi, se saisit de sa fourchette et commen?a mister diner.
« Je crois que tu les as bien allum?, lui dis-je. Tu ne peux pas les laisser dans cet ?tat là. Regarde, ils n’en peuvent plus. Ils te d?vorent des yeux ».
A cet instant, le gar?on de salle vint me remettre une petite enveloppe. Je l’ouvris et en retirais une carte bristol. Il y avait aussi un billet de 200 euros.
Je lus lentement, à l’adresse de Maria « Monsieur, votre femme est divinement belle et excitante. Nous voudrions en voir plus et nous r?galer de la vision de mister corps ».
Maria sourit, pris le billet au fond de l’enveloppe, se tourna franchement vers la table de nos voisins et commen?a à d?faire, un par un, les boutons de sa robe. Au bout du cinquième, elle s’arreta et tira l?g?rement sur le tissu pour en ?carter les pans et offrir aux regards avides des deux hommes la naissance de sa gorge. Elle avait ainsi fix? les règles du jeu. Et le prix de mister corps dependait du nombre de boutons, sources de profit pervers.
Elle me fit un clin d’œil complice et se pencha vers moi pour l?cher avidement et sans retenu mes lèvres dans un long et sulfureux baiser.
A Suivre….
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