raffaelli
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aimez vous lire et imaginer la belle Maria dans les depravations que je lui organise...pour mister plus grand plaisr !? L'absence des accents ne rend pas la lecture tres fluide, mais les abats mistert de plus en plus vicieux... une photo où elle s'extasie devant un homme...vu l'epaisseur de mister engin !
LES DEPRAVATIONS DE MARIA (Une saga ?rotique)
DE LA CAMIONNETTE AU SALON
Vers midi, alors que nous ?tions tous plus ou moins ?puis?s par des heures de baise, avec l’accord de Maria qui en voulait encore plus et accessoirement le mien, F et G ont t?l?phon? à trois copains du village–vacance qui ont laiss? leurs ?pouses pour venir satisfaire «?une poss?d?e du sexe?»?! C’est par ces quatre mots qu’ils avaient d?fini Maria et par bien d’autres aussi, plus salaces, plus obscènes… pour moi, c’est par ces quatre mots qu’elle existe et qu’elle vit notre amour. Quand les copains mistert arriv?s, Maria ?tait vêtue, à la demande des deux hommes, d’une guêpière en cuir noir qui lui moulais la taille et faisait ressortir mister fessier somptueux. Elle avait d?jà par deux fois chang? de vêtements depuis notre arriv?e à la maimister aux alentours de minuit. Chaque fois, elle avait choisi des vêtements qui la d?nudaient plus qu’ils ne la revêtaient. Elle ?tait aussi en train de se faire prendre le cul par les deux hommes en même temps. Elle avait deux superbes sexes band?s à mort, plant?s à l’int?rieur de ses fesses. Il ?tait 16 heures et cela faisait pr?s de 18 heures que ma femme ?tait mont?e dans la camionnette, dans cette rue obscure de la ville où nous vivons…18 heures que la baise avait commenc??! Depuis notre arriv?e à la villa, Maria avait choisi la grande salle avec de profonds divans et un tapis des plus moelleux pour ruisseler de beaut?. On l’avait prise des dizaines de fois dans les positions les plus d?prav?es. Son corps ?tait recouvert du sperme que nous lui avions d?vers? à de nombreuses reprises. Je lui avais demand? de ne pas se laver et les deux hommes avaient ?t? d’accord avec moi?! Les trois arrivants ont ?t? comme fig? par le spectacle qu’ils avaient devant leurs yeux…une magnifique femme vêtue de cuir en train de crier comme une folle sous l’emprise des deux bites qui lui foraient le cul. J’?tais en train de prendre des photos de ce moment m?morable. Maria les a regard? rentrer avec mister regard de gourmande et a continu? de crier mister plaisir. C’est à cet instant que G et F ont joui avec des cris de chiens en remplissant le cul de ma femme et en la manoeuvrant comme une marionnettes. Ils lui tiraient les cheveux et entortillaient les gros et longs t?tons pour la martyriser un peu plus. Ils me regardaient en train de clicher et regardaient leurs copains avec satisfaction. Quand ils se mistert retir?s d’elle, ma femme s’est lev?e. Elle a demand? sensuellement de sa voix chaude aux trois arrivants de se mettre nus, de s’asseoir sur le canap? et de l’attendre. Elle allait se pr?parer pour mister premier gang bang. En moins de deux minutes, ils s’?taient ex?cut? et arboraient d?jà des membres prometteurs, tous les trois de formes et de tailles diff?rentes. L’un d’eux, un homme immense et très poilu ressemblait à un v?ritable gorille. Il arborait une queue de toute beaut?, bien vein?e, grosse et longue. Les deux autres n’?taient pas en reste, notamment l’arabe qui ?tait maigre, osseux même, mais avec une queue qui lui arrivait presque aux genoux au repos. Elle devait mesurer pas loin de trente centimètres. Je me suis pris à imaginer ce que ce devait être quand elle ?tait au labour. Le troisième ?tait «?normal?». Je pressentais que Maria allait se r?galer avec ces mecs. Peu importaient leurs noms, leurs ages, leurs physiques, seul leurs sexes comptaient pour assouvir l’in?puisable soif de ma femme. Ils parlaient peu entre eux, seulement des regards à la fois interrogatifs et incr?dules, vers moi et vers leurs deux copains qui ?taient ?puis?s sur un autre canap?. Ils indiquaient aux nouveaux venus, le pouce en l’air, que c’?tait vraiment super et que la gonzesse en voulait. Dix minutes après, elle est apparue?! Nue, juste avec des escarpins noirs et une combinaimister r?sille qui lui moulait le corps. Elle avait ?galement pos? sur ses t?tons des pinces en m?tal qui faisait comme un collier reliant ses deux seins. Elle avait gard? mister collier de chienne et y avait ajout? une laisse de cuir rouge. Ses yeux ?taient habill?s par des lunettes noires. L’apparition a enflamm? tous les regards?! Une v?ritable d?esse?! Elle s’est avanc? lentement, très lentement, m’a regard?, a regard? les trois hommes assis cote à cote sur le canap?, nus et les queues d?jà bien band?s, a regard? ses deux pr?c?dents amants qui avaient repris de la vigueur d?s qu’elle ?tait rentr? et m’a souri en s’agenouillant devant le gorille. Je savais que c’?tait lui qu’elle allait choisir en premier. Elle avait le fantasme de l’natural et cet homme velu en ?tait le symbole. Elle a commenc? par promener ses deux mains sur le torse en griffant les t?tons de l’homme qui a l?ch? un profond r?le de plaisir. Elle fouinait avec ses ongles sur la toimister pour faire ressortir l’aur?ole des seins et se mit à les mordre goulûment. Tout le monde la regardait, principalement les deux voisins du bienheureux qui avaient pos? leurs mains sur le dos et le cou de Maria. On voyait bien sa langue l?cher et ses dents mordre la large poitrine De l’homme-gorille. Je pris plusieurs photos de l’instant… et des heures qui allaient suivrent. Jamais, dans nos exp?riences de fantaisies sexuelles, Maria avait v?cu de telles d?pravations avec des hommes. Elle avait six hommes à sa disposition, à mister service et elle-même ?tait à la disposition de leurs fantasmes. Le gang bang a dur? de 16h à minuit. Huit longues et belles heures où ma femme a ?t? un objet de plaisir et de possession. Je ne crois pas que l’on puisse demander à une femme des choses aussi perverses, aussi cochonnes et des positions aussi triviales que nous avons demand? et fait subir à Maria. Je menais la d?pravation de ma femme avec beaucoup d’imagination et c’?tait moi qui lui ordonnais les gestes et les positions les plus torrides. Je n’ai pas compt? le nombre d’orgasmes qu’elle a eu, mais à minuit, alors que les trois derniers allaient partir et rejoindrent leurs ?pouses au village vacance, elle ?tait comme un pantin, disloqu?e, couverte de sperme, sa combinaimister r?sille d?chir?e et les yeux lumineux de satisfaction. Les trois derniers avaient montr? beaucoup d’endurance, ils avaient «?assur??», comme on dit, mais les ?bats les plus fous ont ?t? l’affaire de l’arabe qui s’?tait r?v?l? être le plus vicieux des trois. Il faut dire que la longueur et la grosseur de sa queue ont transport? Maria au delà de toutes ses esp?rances et des miennes aussi. L’instant diabolique s’est pass? vers les 23 heures. Nous ?tions en train, le gorille et moi, de prendre Maria par terre, sur le tapis, en levrette, par les deux trous, lui dans la chatte et moi dans le cul. Elle en ?tait à mister ?nième prise de la sorte?! Durant tout l’après-midi et le d?but de la nuit, elle n’a jamais eu moins de deux queues en elle?! Mon ?pouse ?tait poss?d? par le d?mon du sexe et de d?hanchait sur nos deux membres en g?missant et criant comme une folle. L’arabe l’a saisi par la laisse lui a relev? la tête et a enfonc? sa matraque de chair dans sa bouche. Je voyais bien les lèvres ?cart?es de ma femme en train de se faire baiser par la bouche. Il demanda à ses trois copains de ne pas d?bander et de venir frapper cette belle chienne avec leurs queues. C’est ce qu’ils firent en frottant contre mister visage des glands d’un rouge feu. C’est alors que l’arabe est sorti de la bouche, s’est positionn? pr?s de moi et a en fonc? mister dard dans le cul de Maria. Je sentais très bien mister sexe frotter contre le bien dans les entrailles humide de mon ?pouse. Ce fut un moment surr?aliste?! Maria criait tout mister plaisir, elle pronon?ait des mots inconnus trouv?s dans les braises qui ?lectrisaient mister corps et la maintenaient dans un perp?tuel tremblement. Elle branlait les trois hommes devant elle, les mordait, frappait leur queue et crachait dessus pour les entendre crier et l’insulter avec des mots id?alement d?goûtants. Six males en rut ?taient en train de profiter de ses talents de baiseuse hors cat?gorie. Trois en elle et trois dans sa bouche et dans ses mains. La situation « être?prise?» prenait ici toute sa signification. Ces ?bats ont dur? plus d’une demi-heure. J’ai joui le premier, sur les seins de Maria. En reprenant mon souffle, je suis all? m’asseoir sur le canap? où ?tait pos? l’appareil photo et j’ai shoot? une centaine de clich?s de mon ?pouse –sans le mister, malheureusement – actrice principale d’une d?bauche de cris, de paroles obscènes, de sueur et de sperme. Après qu’ils furent partis vers leur village vacance, nous avons bu une fra?che et bonne bouteille de champagne. Maria me fit part de sa complète satisfaction de mes talents d’organisateur de mister plaisir. Je lui ai demand? d’aller se rafra?chir un peu à la salle de bain. Il n’?tait que minuit et la dernière nuit du week-end ne faisait que commencer. Elle m’a souri malicieusement et a satisfait à ma demande.
(A suivre) rjm20
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raffaelli
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LES DEPRAVATIONS DE MARIA (Une saga ?rotique)
DE LA CAMIONNETTE AU SALON…DU SALON AU CINEMA.
Maria est revenu de la salle de bain toute fra?che et très bien maquill?e, la malice de ses yeux bien soulign?e et les lèvres gourmandes dessin?es au crayon noir…beaucoup de classe avec un brin sensuel de vulgarit?. Elle avait choisi une petite jupe noire et les seins nus sous un chemisier l?gèrement transparent et largement ouvert. Elle ?tait parfaite pour la suite de la nuit et les sc?narii que je lui r?servais. Il ?tait un peu t?t pour aller en boite, je lui sugg?rais donc l’id?e de faire un petit tour dans un cin?ma de la ville. Les salles de cin?ma mistert des lieux où il se passe toujours quelque chose, sur l’?cran bien sur, mais parfois dans la salle. C’?tait donc un endroit id?al pour donner libre cours à nos fantasmes partag?s, elle, être vue, et moi l'exhiber. Notre d?sir et plaisir de vivre des situations insolites montaient à l'unismister, et Maria, en confiance, se r?v?lait ce week-end particulièrement une vraie grosse salope. ?????Et nous voila repartis dans la nuit, d?cid?s de commencer notre soir?e par un bon film. On a choisi un cin?ma où ?tait projet? un film espagnol qui, selon l’affiche, paraissait particulièrement chaud, «?les vies de Lola?». Je vous le recommande car c’est vraiment torride avec un sc?nario bien pervers et une com?dienne qui ose. C’?tait le genre de films qui ?moustillait mon ?pouse. Arriv?s dans la salle pratiquement vide, nous choisismisters une place au fond, ?loign?e de l'all?e centrale. Quelques minutes après le d?but de la s?ance, je suis pench? sur elle et la caresse. J'ai ouvert mister chemisier juste en dessous de sa poitrine et je tète ses boutons roses. Ma main pelote à travers le slip minuscule sa petite chatte d?jà toute gonfl?e et mister clito qui bande sous la dentelle. Elle est tellement sensuelle qu'elle d?marre au quart de tour. A la lueur de l'?cran, j'aper?ois deux ombres se glisser dans notre rang?e, à quelques sièges de nous. Nous constatons vite qu'il s'agit d'un couple, et que leur occupation est assez similaire à la notre. Ils s'embrassent à pleine bouche, et l'on devine la main du gar?on se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est, elle, la plus proche de nous. A priori cette main ne cherche pas encore à s'immiscer sous les vêtements. Je fais remarquer au bout de quelques temps à ma compagne : ?????- Ils ont l'air plut?t sage ! Tu crois que notre pr?sence les intimide ? Ils n'ont pas du nous voir en arrivant. ?????- Demandes-leur ! Me dit elle en riant. ?????- Je vais plut?t les mettre à l'aise. ?????Tandis que nous ?changeons un baiser passionn?, j'entreprends de d?faire un à un les derniers boutons de mister chemisier. Maria sent bien ma manœuvre, et se contente d'enfoncer sa langue dans ma bouche. J'?carte largement le pan de mister vêtement et le maintien de ma main pass?e derrière ses ?paules. Je masse le joli sein d?couvert et tortille doucement les t?tons. Je remarque que le gar?on, s'il ne cesse d'embrasser sa compagne, s'est positionn? de fa?on à nous voir, et que mister regard ne quitte plus Maria. Je sais que ce sein, de profil, est superbe, et que le t?ton doit se voir sur toute sa longueur. Ma femme a des t?tons qui peuvent atteindre 3 centimètres et je veux que le gars se rince l'œil. ?????Mon ?pouse, loin de s'offenser de mon manège, lance de fr?quents coups d'œil à mister admirateur. Je caresse et soupèse sa poitrine et de l'autre main pelote sa cuisse, en remontant sa jupe. L'accoudoir doit en partie cacher mon geste, mais le gar?on ne peut ignorer que je branle ma femme. La position de ses jambes, très ?cart?es, est sans ?quivoque. Il a du le faire remarquer à mister amie, car elle aussi se tourne souvent vers nous, mais nous la voyons r?agir quand il cherche à s'immiscer sous sa jupe. Elle n'est visiblement pas prête à s'exhiber, et je remercie à nouveau le hasard qui m'a permis de rencontrer mon ?pouse. D'une pression de la main, j'invite Maria à ?carter plus grand encore ses cuisses, repoussant sa jambe jusqu'à la poser sur l'accoudoir de mister fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, l?gèrement tourn?e vers ses voisins, sa position est totalement ind?cente. J'en profite pour glisser la main dans mister slip et branler mister bouton dress?. La tète au creux de mon ?paule, elle se laisse branler. Son sillon est humide, et quand je plonge un doigt à l'entr?e de mister vagin gluant, elle g?mit et se cabre dans mes bras. ?????Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. Si la situation les gênait, je pense qu'ils auraient chang? de place. Je caresse Maria de plus en plus profond?ment, et j'ai maintenant quatre doigts qui s'agitent au fond de mister puit en produisant un bruit de clapot tout à fait obscène, mais très excitant. Je ne crois pas qu'ils puissent l'entendre, pourtant ils doivent percevoir les g?missements de ma pute. ?????Elle me caresse à travers mon pantalon, et je sens ses doigts s'attaquer à ma ceinture. Je l'aide à me d?grafer, et durant de longues minutes, nous nous masturbons r?ciproquement. La situation est très excitante et nous pousse à aller plus loin. D'autant que nous sentons leur regard sur nous, et que la fille, jambes ?cart?es, a autoris? mister compagnon à la trousser et se laisse visiblement branler, en partie prot?g?e par mister accoudoir, h?las pour moi. Nous sommes à la limite de l'explosion. Maria mouille comme une fontaine en tortillant mister bassin à la rencontre de mes doigts fich?s dans mister ventre. Il semble, à ses soupirs, que notre voisine appr?cie particulièrement le traitement que lui inflige mister compagnon, qui a l'air lui aussi très excit?. Je demande alors à B?n?dicte : ?????- Enlève ton slip et viens t'asseoir sur mes genoux ! Son geste pour se d?culotter est ?vident. Courb?e en avant, soulevant sa jupe, elle m'enjambe et vient ?craser sa chatte ruisselante sur ma queue raide. ?????Bien emprimistern? entre les lèvres de mister sexe, je me laisse branler dans mister sillon, touchant mister clito et ses nichons. Le gar?on a l'air de peloter sa compagne avec vigueur. Elle est enfonc?e dans mister siège, cuisses ouvertes au maximum. Maria se soulève, saisi ma queue et la pointe ont l'entr?e de mister vagin. Elle s'empale lentement, et me fait p?n?trer avec d?lice dans mister trou chaud et gluant de foutre. Le l?ger balancement de ses hanches est bien visible, et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baimisters devant eux et que ma petite pute en a plein la vulve. Maria sait faire durer ce genre de p?n?tration, et me procure un extraordinaire massage de ses muscles intimes. Je bloque ses fesses dès que je sens que je vais d?charger. ?????Je lui glisse à l'oreille : ?????- Tu es bien ? ?????- Oh oui, je te sens bien, et toi ? ?????- Je voudrai que nous restions comme ?a jusqu'à la fin du film. Tu veux ? ?????- Oui, mais je vais jouir. ?????Je la sens se tendre, pratiquement immobile, tremblante. Bien poss?d?e, elle va chercher jusqu'au fond de ses reins un orgasme qui la secoue, et elle me d?charge d'un coup mister foutre sur la queue, affal?e sur le dossier du siège qu'elle ?treint à plein bras, tandis que je lui astique le clitoris et lui pince un t?ton. J'ai r?ussi à contr?ler mon plaisir, et je la sens peser de tout mister poids, jambes tremblantes, reprenant mister souffle. ?????Mais au bout de quelques instants, je sens mon ?jaculation monter, et n'y tenant plus, je la lime à coup de reins que je suis vite oblig? de ralentir tant grince mon fauteuil. Maria reprend mister mouvement et mister sexe aspire litt?ralement ma queue. Les yeux fix?s dans ceux de ma voisine qui semble-t-elle aussi proche de l'orgasme sous les doigts de mister compagnon, p?trissant les seins de ma cavalière, j'explose dans mister vagin. ?????Je crois qu'elle aussi a jouit. Je me sens tellement bien dans mister ventre que je n'arrive pas à d?bander, et ?a n’à pas l'air de lui d?plaire Nous observons nos voisins. La fille semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses, et soudain se tend dans un soupir. C'est très excitant, mais Maria a des crampes dans les jambes, et je la pousse à s'asseoir de l'autre cot? de moi pour me pas faire ?cran. Je lui glisse à l'oreille : ?????- Tu as ?t? super. C'?tait divin ! Ils ont l'air d'avoir appr?ci?, mais je ne sais pas s'ils vont nous offrir le même spectacle. ?????- Demandes-leur ! C'est toi le voyeur ! ?????- Et toi, tu aimes bien qu'on te regarde te faire mettre, ma petite salope ! ?????- Oui, j'aime ?a ! ?????Et elle se penche sur moi pour me sucer. Je n'en peux plus, mais la situation est tellement excitante et sa bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidit?, les yeux fix?s dans ceux de la fille pour lui faire comprendre que je voudrai moi aussi voir. Le gar?on semble parler à l'oreille de sa compagne, mais elle a l'air h?sitante. ?????Je leur fais signe de s'approcher. Visiblement il est partant et essaye de la convaincre, fourrageant sous sa jupe, tandis qu'elle me fixe toujours. Je lui souris en r?it?rant mon geste. Elle bouge enfin, et presque pouss?e par lui, se lève et se rapproche, laissant malgr? tout un fauteuil vide entre nous. Elle est assez jolie et semble très ?mue. Son compagnon ne d?tache pas ses yeux du visage de Maria qui aspire ma queue, et il replonge la main sous la jupe de sa compagne qui ouvre à peine les cuisses. Je ne fais aucun geste vers elle pour ne pas la brusquer, mais mon sexe a retrouv? sa rigidit?, et j'aper?ois, entre les jambes de la fille, l'?toffe claire de mister slip sous lequel s'est insinu? mister compagnon. Je me penche l?gèrement vers eux : ?????- C'est très excitant de voir quelqu'un faire l'amour à cot? et en même temps que soi ! Et vous êtes très jolie ! ?????Elle me sourit. J'invite Maria à reprendre sa place sur mes genoux, la troussant jusqu'à la taille tandis qu'elle m'enjambe. Sit?t qu'elle est empal?e, j'?carte mister chemisier pour leur permettre de d?couvrir de près ses seins. Le gar?on a l'air fascin?. Il faut dire que je le comprends. ?????Sa compagne a visiblement une poitrine menue, et celle de Maria est superbe, g?n?reuse, et très ferme. Il n'y a du reste que durant nos sorties qu'elle ne porte pas de soutient gorge. La fille se soulève enfin pour se laisser d?culotter par mister compagnon. Puis il se d?grafe d?voilant une belle ?rection, et oblige sa compagne à se lever pour se glisser derrière elle, dans le fauteuil. Elle se laisse guider. Il soulève sa jupe et me r?vèle mister très joli cul, tout rond, bien fendu, et il l'assied sur lui. Elle se cabre lorsqu'il la p?nètre. ?????Les deux filles, jambe l'une contre l'autre, courb?es en avant, se laissent baiser. Ce fauteuil vide entre nous me gène un peu, mais je hasarde une main sur la cuisse de ma voisine qui ne se d?robe pas. J'avance jusqu'à mister sexe très poilu, et je d?niche mister clito que je caresse du bout des doigts, sentant le sexe de mister partenaire quelques centimètres plus bas. Elle a la fente bien mouill?e et les lèvres gonfl?es De l'autre main je palpe les seins Maria, essayant de maintenir mister chemisier ouvert pour satisfaire mon voisin qui semble très attir? vers cette poitrine et se contorsionne pour l'apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement Alors d'un geste je l'invite à mesurer par lui-même la consistance de ces belles mamelles, ce qu'il fait à pleine main, pendant que je continue à branler les deux clitoris que j'ai sous les doigts. J'essaye de caler mon plaisir sur celui de la fille qui se tr?mousse de plus en plus violemment, et je sens mon plaisir et celui de B?n?dicte monter à l'unismister, tant elle me chevauche bien. ?????La fille jouit dans une crispation presque imperceptible, alors que je d?charge à nouveau en sentant Maria me masser les couilles pendant que je lui astique le bouton et lui d?fonce le cul a coup de reins. Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal, puis brusquement, ma voisine se lève, entra?nant vers la sortie mister compagnon sans même lui laisser le temps de se rajuster correctement. Tant pis, nous ne faimisters aucun geste pour les retenir. Le gar?on se retourne et nous souri, puis ils disparaissent. Il est deux heures lorsque nous sommes sorti du cin?ma. L’heure id?ale pour emmener ma belle femelle dans une boite. A suivre rjm20
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