wlawson
Member
Posts: 27
|
J'ai contract� les oreillons en mai 80 soit 1 mois avant notre mariage. J'avais 24 ans, elle 21. Nous d�sirions 4 enfants, mais apr�s 1 an d'essais infructueux, le verdict est tomb� : j'�tais devenu st�rile. Nous nous aimions toujours mais tr�s vite notre couple est arriv� au bord du divorce. A l'�poque, nous �tions sans le sou et nous ne pouvions pas acc�der aux m�thodes artificielles. Nathalie m'a alors propos� pour sauver notre couple d'avoir recours � ce qu'elle appelait : "l'ins�mination naturelle". Elle y avait longuement cogit� et selon elle la meilleure solution pour trouver un g�niteur qui resterait inconnu �tait de se faire prendre par plusieurs types chosis pour une vague ressemblance avec moi (brun, yeux marrons, peau mate) pendant sa p�riode de f�condit�. J'ai mis trois mois pour me d�cider et lui donner mon accord avec cependant une condition : il s'agissait bien d'une saillie et il �tait hors de question de revoir un des m�les rencontr�s. Ce que j'ignorais alors, c'est que je deviendrai cocu � vie. Il est si vrai ce proverbe : "l'app�tit vient en mangeant" !! De jeune �pouse r�vant d'�tre m�re de famille nombreuse, elle est devenue aussi la derni�re des salopes. Je pr�cise aussi que je l'ai eue vierge deux ans avant notre mariage et qu'elle ne connaissait donc que ma petite bite qui ne lui avait procur� que de vagues plaisrs vaginaux et anals. C� c'est pour la suite mais revenons � sa premi�re mise en cloque (il y en a eu 4 en 6 ans). Pour mettre mister projet � �x�cution, elle opte pour plusieurs sorties de suite en boite de nuit. Elle accepte que je l'accompagne et que je j'oppose mon veto si un des m�les me d�plaisait par trop. Ses chaleurs venues (p�riode facilement reconnaissable chez elle : mouille plus abondante et plus blanche, odeur plus forte et envie permanente de baiser), nous sommes sortis trois nuits de suite dans trois boites diff�rentes. Je me souviens surtout de la premi�re o� une �quipe de rugby �tait en trois�me mi temps. 9 ont pu la sauter car correspondants au physique requis. C'�tait un v�ritable balai entre les chiottes et le parking, et � l'�poque une bande copains n'�tait pas regardante quand il s'agissait de se vider les couilles les uns apr�s les autres dans une matrice accueillante. Elle avait m�me pr�vu de se garnir d'une serviette hygi�nique pour �viter de s'essuyer et en garder le maximun (habitude qu'elle a depuis conserv�, l'am�liorant m�me en ayant toujours dans mister sac une grande culotte et un mouchoir pour �viter d'avoir la fameuse "tache au cul" en soci�t�). Sur le chemin du retour, malgr� ma jalousie, j'�tais excit� un maximun, d'autant qu'elle sentait le sperme augment� de cette odeur ind�finissable de stupre d�gag�e par la femme bais�e. Nous n'avons pas parl� du trajet et c'est elle qui a rompu la glace � notre arriv�e : elle s'est allong�e, a enlev� sa culotte tremp�e malgr� la protection hygi�nique (qui elle �tait a tordre), et m'a dit : "regarde mon trou, je suis pleine, si tu veux encore de moi, d�charge aussi dedans". J'ai su alors ce que voulais dire l'expression "tremper sa nouille" : je ne sentais m�me pas sa paroi vaginale, je limais dans une sauce chaude et gluante, et j'ai joui aussit�t. D'une part, je savais que j'aimais etre cocu, et d'autre part, Nathalie m'avoua qu'elle avait jouit � chaque fois comme jamais avec moi, car ses baiseurs �taient tous bien mieux mont� que moi, dont un particuli�rement, elle avait senti mister gland taper sur mister ut�rus. Elle me confessa aussi que mister plaisir �tait d�cupl� quand elle sentait de fortes gicl�es �paisses sur sa matrice, ce qu'elle n'avait jamais ressenti avec moi car je n'ai qu'une maigre �jaculation, je dirai m�me qu'il s'agit plus d'une �mission que d'une �jaculation. Le lendemain, elle m'a fait l�cher, nettoyer sa chatte avec ma bouche, elle se d�couvrait dominatrice d'un homme pas m�le, et moi je me d�couvrais excit� par l'odeur, le go�t, et cette situation nouvelle. Les deux autres soirs ont �t� plus sage : prise plusiers fois dans la soir�e par le m�me homme, et trois m�les la derni�re soir�e. Le mois suivant elle m'annoncait qu'elle "�tait en cloque" ( ses propres mots). Elle donna naissance un un magnifique gar�on de 3kgs 200. Trois grossesses ont suivi, dont la derni�re est le fruit d'un accouplement avec des arabes. Une rencontre fortuite avec un tunisien s'est transform�e en drogue sexuelle pour les fils du d�sert. Depuis, elle ne pratique plus qu'avec eux, dans les arri�res boutqiues, en foyer, etc Histoire VRAIE, � suivre si vous le d�sirez !
|