ma femme est accro aux blacks

Je sais, ce n'est pas original, j'ai d�couvert sur ce forum que j'�tais loin d'�tre le seul dans mon cas, mais quand m�me j'avais envie d'y apporter ma contribution en racontant comment ma femme est progressivement de plus accro aux blacks.
Elle avait toujours manifest� beaucoup d'int�r�t pour l'Afrique et les Africains, qu'elle consid�rait comme victimes de la colonisation occidentale, � juste titre d'ailleurs. Elle r�p�tait souvent qu'il lui semblait de mister devoir de compenser cette injustice. Un jour, elle s'est mise � collaborer avec une association franco-africaine, bas�e sur les �changes et l'amiti�.
En fait d'�change, elle s'est tr�s vite entich�e d'un black qui la draguait. Elle m'en avait parl� franchement, et moi, troubl� par ce qui �tait en train d'arriver, je lui ai dit qu'apr�s tout je n'�tait pas contre. Je le craignais un peu, mais j'avoue que j'�tais tout aussi excit� par cette perspective. Peut �tre parce que je ressentais au fond de moi que les noirs, en g�n�ral de superbes athl�tes �taient sup�rieurs � la race blanche, et que leur sensuelle naturalit� me troublait sans que je veuille me l'avouer.
Forte de mon consentement, Isabelle s'est empress�e de c�der aux avances du black. La seule condition que j'avais mise, c'est qu'elle me raconte tout en d�tail, sans rien me cacher

Je n'ai pas �t� d��u du voyage... Elle m'a effectivement tout racont� avec un ravissement et une gourmandise qui n'ont pas manqu� de m'humilier, un sentiment que je devais connaitre souvent avec elle. Isabelle ne tarissait pas d'�loges : il est beau, il a des tablettes de chocolat, il a une bite impressionnante, il est super viril et dominateur... N'en jetez plus : ce portrait �tait tout le contraire du mien, je n'avais plus qu'� me le tenir pour dit...
Elle a commenc� � le rencontrer une fois par semaine, puis de plus en plus souvent. D�s les premi�res rencontres, Isabelle m'a fait comprendre qu'elle avait d� apprendre � le sucer jusqu'au bout, parce qu'il lui tenait la t�te pour qu'elle ne se d�gage pas au moment o� il jouissait. Et il exigeait qu'elle avale tout mister sperme qui, para�t il �tait �pais et abondant... Moi qui n'�tait jamais parvenu � obtenir cette satisfaction sous pr�texte qu'elle trouvait �a beurk-d�go�tant ! Et souvent il lui jouissait sur la figure, lui barbouillant tout le visage en �talant la pur�e avec sa bite...
Le plus fort, c'est qu'un jour elle m'appris qu'il l'avait sodomis�e ! �a non plus je n'y �tais jamais arriv�. Isabelle avait toujours refus� en disant que ca faisait mal et qu'elle trouvait �a humiliant et d�gradant. Je n'avais pas insist�. Mais le black, lui, avait su lui imposer sans la moindre discussion. Il lui avait dit que c'�tait �a ou bien elle allait se faire voir ailleurs. Alors elle avait c�d� et offert mister cul � sa bite qu'elle m'avait d�crite comme bien plus �paisse que la mienne.
Elle m'a avou� qu'elle avait eu super mal mais qu'elle avait ressenti un extraordinaire plaisir � se sentir forc�e par sa grosse bite noire. Ce jour l�, il avait joui dans mister cul avant de l'obliger � le sucer consciencieusement, malgr� une certaine r�pulsion bien compr�hensible.
Elle �tait rentr�e tr�s vite � la maimister, sans prendre le temps de se laver. Je l'avais embrass�e � pleine bouche sans savoir que j'avais sans doute go�t� � un peu du sperme du black... J'avoue que �a m'a un peu troubl�. J'ai voulu voir l'�tat de l'anus d'Isabelle. Il �tait dans un dr�le d'�tat. Je l'avait connu �troit et charmant, l� c'�tait un crat�re traumatis�, barbouill� de traces de sperme s�ch� qui avait coul�...
Excit� par ce spectacle, j'ai voulu l'utiliser � mon tour, mais ma petite femme m'a dit pas question, j'ai d�j� trop mal, �a suffira pour cette fois. Tout ce qu'elle a accept� c'est qu'on fasse l'amour elle � califourchon sur moi. Je ne savais pas encore qu'� l'avenir je n'aurais plus droit qu'� cette position qui lui permettait de dominer la situation alors qu'avec mister black, c'�tait lui qui la dominait. Quant � la sodomiser, je n'y ai jamais eu droit non plus : elle disait qu'elle se r�serverait d�sormais � l'homme noir...

Inutile de dire que si j'avais accept� un peu l�g�rement qu'Isabelle ait une aventure avec ce black, l'affaire tournait mal pour moi. Je me sentais sur la touche. Elle devenait v�ritablement accro. Et plus elle allait le voir, souvent plusieurs soirs par semaine, et plus je devenais l�gitimement jaloux. Un jour on s'est engueul�. Alors elle m'a fait comprendre que le jeu avait chang�, et que je devrais m'en accomoder. Isabelle m'a dit qu'elle m'aimait toujours bien, et qu'elle n'avait pas envie de me quitter, mais que je devais accepter de comprendre que mister black �tait un amant extraordinaire, viril, dominateur, avec une grosse bite noire qu'elle adorait. Elle me faisait comprendre que c'�tait tout l'oppos� de moi, que je ne pouvait pas lutter et que je devais apprendre � l'accepter. Je devais en quelque sorte me d�mettre ou me soumettre. Alors, pour ne pas la perdre, je me suis soumis. Je devais bien admettre que c'�tait le black le maitre du jeu, et le maitre de ma femme...

Une fois que j'ai accept� la situation, Isabelle est redevenue gentille et tendre avec moi. Mais notre sexualit� avait chang�. Elle ne voulait plus me sucer, elle ne voulait plus que je la prenne en missionnaire. �a, c'�tait domaine r�serv� du black ! Je devais me branler pour bander sans mister aide et elle ne se laissait plus p�n�trer qu'� califourchon sur moi. Quant � la sodomiser, il n'en �tait pas question. �a aussi, c'�tait la pr�rogative de mister amant. En revanche, tout ce qu'elle consentait, c'�tait que je mette un doigt au bord de mister anus pour appr�cier comment il s'assouplissait rapidement sous le travail du black. Parce que l'autre l'enculait � chaque fois, elle devait y passer � chaque rencontre, c'est � dire presque tous les soirs, y compris les week ends !
Par contre, pendant qu'elle me laissait la p�n�trer, elle ne manquait jamais de me raconter � l'oreille ce que l'autre lui faisait, comment il lui apprenait � devenir sa salope docile... Et j'avoue que ses confidences, qui avait surtout pour but de la faire jouir, m'excitaient tout autant qu'elle.
Il lui arrivait m�me de plus en plus souvent de rentrer sans se laver, et c'est souill�e du sperme du black qu'elle me faisait l'amour. Sa chatte, encore chaude et humide du foutre de l'autre, �tait facile � enfiler. Son visage �tait encore macul� de traces pas encore s�ches et elle prenait plaisir � m'embrasser � pleine bouche pour me faire partager les saveurs fortes de mister amant. Une fois, en rentrant de la saillie avec mister black, elle s'est m�me directement assise � califourchon, sa chatte ruisselante sur ma bouche, m'obligeant � la nettoyer en profondeur avec ma langue. J'avais d'abord eu un mouvement de refus, mais elle me tenait fermement le visage entre ses cuisses et j'ai d� m'ex�cuter. J'avoue que j'y ai pris un plaisir pervers qui m'a moi m�me surpris... Et depuis c'est devenu un rituel. Je l'accepte puisque je suis devenu un cocu soumis � celle qui est d�sormais soumise aux blacks.

Un beau jour, Isabelle m'a dit qu'elle avait l'intention d'inviter Bob, mister amant s�n�galais, � la maimister. J'ai accept�, je n'avais pas le choix. Elle me demanda que je lui fasse bonne figure et que je sois aimable avec lui. Ben voyons, au point o� j'en �tais...
Le soir, Bob est arriv�, tr�s s�r de lui, calme, serein, un petit air de d�fi dans le regard. Je n'ai pas relev�, j'ai baiss� les yeux et pour me donner une contenance j'ai offert � boire. C'est vrai que c'�tait un bel natural, respirant la sensualit� et la virilit� naturelle. Je comprenais Isa...
On a parl� un peu de tout et de rien, pour passer un peu le temps. Et puis Isabelle m'a annonc� que Bob allait rester cette nuit � la maimister, c'�tait d�j� pr�vu. Ah bon... Et tu seras gentil de prendre le canap� pour dormir, je lui r�serve notre chambre, d'accord ? Ben... bien s�r ma ch�rie...
Ils n'ont pas tard� � se retirer dans la chambre conjugale, me laissant seul dans le salon. Je me suis donc install� dans le canap�, mais pas question de dormir : l� bas, ils ne se g�naient pas pour moi pour entamer leurs bruyants �bats. J'entendais tout : ils avaient laiss� la porte entrouverte, ils l'avaient s�rement fait expr�s. Alors j'ai jet� un oeil discret. Ils �taient d�j� � poil, Bob debout, Isabelle accroupie � ses pieds, la bouche pleine d'une bite noire que je devinais cons�quente. Elle avait l'air d'avoir du mal � l'avaler. Le black lui tenait les cheveux � pleine mains et faisait des mouvements de bassin pour lui baiser la bouche rudement. Jamais je n'avais os� faire �a avec elle. Elle ne l'aurait jamais accept�. Et l� elle se laissait violer la bouche sans protester. Elle lui jetait m�me des regards soumis que je ne lui avait jamais connu avec moi...
Je suis retourn� dans mon canap�, et j'ai essay� de les oublier. Mais comment faire ? J'entendais le lit cogner en rythme contre la cloimister et Isabelle g�mir sous les vigoureux coups de boutoir du s�n�galais. �a durait depuis une �ternit�, alors je me suis relev� pour regarder dans l'entrebaillement de la porte. Isa �tait couch�e sur le dos, Bob lui �cartait largement les cuisses et la pistonnait violemment, vautr� sur elle. Elle avait l'air d'aimer...
De retour dans mon canap�, je me suis branl� sauvagement en imaginant ce qu'il lui faisait. Il a dit � haute voix, sans doute pour que j'entende : retourne toi, que je t'encule, ma putain blanche ! Quelques instants plus tard, Isa s'est mise � �mettre un g�missement continu, m�lange de plaisir et de douleur, scand� par les violents coups de bite du black, et les claques misterores qui s'abattaient sur mister cul. Elle g�missait, mais ne protestait pas... Enfin, apr�s un interminable moment, Isabelle s'est tue, sans doute baillonn�e par la bite que le black lui avait fourr� dans la bouche. Quand le s�n�galais a �mis un r�le de jouissance, j'ai su que c'�tait fini... pour un moment ! Deux fois encore dans la nuit, la s�r�nade a recommenc�. Je n'ai pu que me branler en solitaire pour me vider dans un mouchoir, et m'endormir enfin...
Au matin, j'ai vu sortir Bob de la chambre, compl�tement � poil, tr�s � mister aise. il a � peine jet� un oeil sur moi, comme si je n'existait pas. Moi, j'avais eu tout le loisir d'admirer sa belle bite noire, nettement plus longue et large que la mienne... Pendant que le black �tait dans la salle de bain, Isabelle est � mister tour sortie de la chambre, le visage d�fait, manifestement �puis�e. mister rimmel avait coul� sur ses joues, sans doute m�lang� au foutre que le s�n�galais lui avait balanc� � la figure. Elle �tait heureuse. Elle s'est blottie contre moi et m'a fougueusement embrass�. J'ai senti un dr�le de go�t sur sa langue. C'�tait celui du sperme de Bob, qui venait � l'instant de lui jouir une fois de plus dans la bouche...

bravo, merveilleux r�cit. on attend la suite de cette aventure avec impatience.
fan d'inter et de candaulisme!

Bob est revenu de plus en plus souvent � la maimister. Il ne prenait plus de pr�caution avec moi. Il faisait comme s'il �tait chez lui, prenait Isabelle sur ses genoux, lui malaxant rudement les seins � travers la robe, sans se demander si �a me d�rangeait. Puis il l'entrainait dans notre chambre pour une sarabande qui durait souvent presque toute la nuit. Au petit matin, le s�n�galais sortait de la chambre et se promenait dans la maimister, toujours � poil. Isa, elle, restait dormir, sans doute �puis�e par mister amant. Lui aimait que je lui serve un copieux petit d�jeuner pour reprendre des powers avant de partir. Quelquefois il consentait � me parler un peu. C'�tait pour me dire que ma femme avait du potentiel, mais qu'il avait d� reprendre mister �ducation sexuelle � z�ro, que je m'�tais manifestement content� de peu, et qu'il avait fallu tout lui apprendre pour satisfaire les besoins d'un black, mais qu'enfin elle commen�ait � �tre bien dress�e � servir les noirs...

Servir les noirs ? Isabelle me devait des explications... Quand je l'ai interrog�e, elle me dit, au bout de quelques mois de sa liaimister avec Bob qu'effectivement il projettait de la donner � d'autres blacks. Il avait bien compris mister d�sir de servir la cause africaine et lui avait dit que la meilleure mani�re de se rendre utile, ce serait de servir aux besoins sexuels des noirs. Qu'il se chargeait de la pr�parer � cette t�che...
L'affaire prenait une tournure que je n'avais pas du tout imagin�. Mais elle, tr�s tranquillement, m'assurait qu'elle s'y sentait maintenant pr�te,que Bob l'avait bien �duqu�e � satisfaire les besoins des blacks, qui mistert para�t il tr�s sup�rieurs � ceux des blancs. Et surtout elle apprenait � faire passer la recherche de mister propre plaisir apr�s celui des noirs. Bob lui avait assur� qu'elle serait infiniment plus accomplie dans mister r�le de femelle blanche soumise aux blacks, qu'en tant que femme lib�r�e � l'occidentale. Elle en �tait maintenant persuad�e...
J'avais bredouill� : et moi l� dedans, qu'est ce que je deviens ? Toi ? Mais je t'aime... Pas comme avant, c'est s�r, mais tu es toujours mon petit mari. Cocu sans doute, mais il te faut l'accepter. Toi tu es mon mari, et lui, c'est mon ma�tre, je suis maintenant sa propri�t�, tu comprends ? J'�tais effondr� ! Et Isa a profit� de mon d�sarroi pour m'annoncer qu'il y aurait quelques changements dans nos rapports. Bob avait en effet exig� que d�sormais je devais enti�rement r�server ses orifices � mister usage et � celui de la nation noire... J'avais peur de comprendre... Elle me confirma clairement qu'effectivement je n'aurais plus le droit de la p�n�trer, de me servir de mister vagin, d�sormais propri�t� exclusive du s�n�galais, comme pr�c�demment sa bouche et mister anus...
J'�tais � deux doigts de pleurer. Elle me consola en me disant que j'aurais toujours droit � ses c�lins et � ses baisers, de toucher ses seins et ses fesses, de lui l�cher l'entrecuisses si elle �tait pleine du sperme de Bob ou de ses amis... J'ai bien d� m'en satisfaire, faute de mieux...

Autant au d�but j'avais trouv� la situation plut�t excitante de savoir ma petite femme bais�e par un autre, autant je trouvais maintenant que �a allait trop loin. Elle �tait accro � mister s�n�galais, elle envisageait s�rieusement de se laisser sauter par d'autres blacks au nom, soi disant, de la "mission" qu'elle disait devoir remplir au titre des compensations dues par les blancs aux africains. Mais en plus je n'avais plus le droit de la baiser moi m�me. Non seulement j'�tais cocu, mais pour couronner le tout j'en �tais r�duit, comme on dit, � me la mettre sur l'oreille pour la fumer plus tard...

Alors, j'ai s�rieusement envisager de la quitter, de la larguer pour la laisser � mister destin de pute � blacks... mais je n'y parvenais pas. Je l'aimais malgr� tout, et peut �tre de plus en plus. Malgr� la frustration, malgr� l'offense de la situation, j'�tais pr�t � tout accepter, � tout subir plut�t que de la perdre...
Isabelle continuait d'�tre tr�s tendre avec moi... quand elle rentrait � la maimister, et ce n'�tait pas tr�s souvent. La plupart du temps, elle �tait fourbue, �puis�e. Je le voyais � ses traits tir�s. Elle ne prenait m�me pas la peine de se doucher, elle se d�shabillait rapidement et s'effondrait contre moi sur le lit pour r�clamer un calin. Elle n'�tait pas avare de confidences et prenait un malin plaisir � tout me raconter par le menu.

Elle me confiait que Bob poursuivait mister �ducation avec la plus grande fermet�. Il disait qu'elle devait apprendre � �tre totalement disponible, � tout moment, pour satisfaire ses besoins, et que ce serait pareil avec les autres, parce que les noirs ont tout le temps envie de baiser et de se vider les couilles. Isa me disait tu sais c'est pas si facile, c'est �puisant � power, il veut que je le suce souvent et longtemps. Des fois j'en ai mal � la machoire � power de l'engloutir... Elle ajoutait d'un air malicieux en me masturbant d'une main distraite : parce que tu sais qu'il en a une beaucoup plus grosse que la tienne et il aime s'enfoncer jusqu'au fond de ma gorge... Et quand il me prend par derri�re n'en parlons pas... J'ai du mal � m'habituer et j'ai encore souvent mal � l'anus... Quand je lui demande d'y aller plus doucement, Bob r�plique qu'il va bien falloir que je m'habitue parce qu'� l'avenir je serais souvent encul�e, et pas toujours gentiment...

Pris de piti�, j'ai eu la faiblesse de lui proposer de lui l�cher le petit trou pour la soulager chaque fois qu'elle rentrerait de chez mister amant. J'avoue qu'en disant �a, je me sentais submerg� par la honte en constatant � quel point j'en �tais arriv�. Non seulement elle me faisait cocu et j'y prenais plaisir, non seulement je n'avais plus le droit de la p�n�trer, mais en plus je me rabaissais jusqu'� me contenter de lui l�cher la chatte et le cul, souvent d�goulinants du sperme de mister black... Et elle, elle y prenait manifestement un plaisir pervers. C'�tait d�sormais la condition pour qu'elle ne me quitte pas d�finitivement.

Et puis un jour Isabelle m'a annonc� qu'elle ne serait pas avec moi ce samedi apr�s midi l�, que Bob avait d�cid� qu'il �tait temps qu'elle passe � la casserolle avec quelques potes blacks � lui. Elle �tait un peu engoiss�e � l'id�e de ce qui l'attendait, mais elle me confiait qu'elle �tait bien d�cid�e � y passer quoi qu'il arrive, que d�sormais c'�tait mister destin de servir d'objet sexuel aux noirs... Moi, j'�tais tout aussi angoiss� qu'elle, surtout parce que je sentais qu'elle m'�chappait encore un peu plus. Mais je ne pouvais plus rien y faire...

mich7777
Belle histoire on attend la suite si elle t'a racont� mister samedi.

Bien s�r qu'elle m'a racont� mister samedi, en se plaignant un peu de ce qu'elle avait subi, mais avec une certaine perversit� aussi � me raconter tout en d�tail.
Bob l'avait amen� chez lui et trois autres blacks (des s�n�galais, eux aussi) �taient arriv�s peu apr�s. Bob avait tout de suite plant� le d�cor (les autres �taient de toute facon d�j� au courant, il les avais expliqu�...). Il leur a dit : voil� la poulette blanche. Elle est � vous, vous l'utiliser comme vous voulez. Moi, je me suis charg� de mister �ducation de base. Maintenant il faut qu'elle comprenne mister r�le, celui de viande blanche � blacks...
Bob �tait pass� derri�re elle, avait enlev� sa robe avec autorit�, l'avait fait pencher en arri�re pour qu'elle ouvre les cuisses. Et il avait fait l'article : elle est bonne � baiser de tous les c�t�s, chatte, bouche, cul, sans probl�me. Allez y les gars elle est � vous....
Et tout au long de l'apr�s midi, les trois blacks s'�taient servi d'elle sans m�nagement, violant tous ses trous en l'insultant. Bob n'�tait pas le dernier � les encourager � la d�foncer de tous les c�t�s. Ils l'ont m�me prise en sandwich, un par devant dans mister vagin, couch� sous elle, et l'autre dans mister anus, par derri�re...
Ca a dur� au moins trois heures parait il... A la fin, Bob l'a compliment�e en lui claquant les fesses en lui disant qu'elle �tait une bonne pute et qu'il �tait content d'elle. Isa s'est alors rhabill�e en vitesse sans demander mister reste, sans se laver non plus, honteuse et heureuse en m�me temps...
Elle est rentr�e � la maimister et m'a tout racont�, cal�e dans le creux de mon bras, et s'est endormie comme une masse...

Une photo de madame est possible ?

Superbe!

Encore stp, je m'astique ...

Excellent ! Je suppose, tout �a sans capote !? La prochaine fois elle s'assi�ra sur ton visage et sachatte pleine de foutre black sera ton seul horizon...pr�t ?
Fanatique de l'infidelite feminine

Bien s�r, tout �a sans capote depuis le d�but, et �a fait maintenant trois ans qu'elle me fait nettoyer sa chatte pleine du foutre de mister ma�tre s�n�galais et des autres blacks � qui il la donne.

elle n'est jamais tomb�e enceinte?

elle doit avoir un anus sacr�ment dilat�.

une photo?

hahahahaha....toi tu devrais te suicider...t� un francais...quel peuple de merde...ta femme c une salope pi toi t une p�dale ...putain quia du monde fou..le sexe interraciale c exitant pour la porno mais toi t� un vrai perdant...

ta putain de salope est insatiable haha..
je voudrais d�foncer sa bouche et l'enculer
salope blanche...

J'esp�re qu'� pr�sent ils la remplissent chez toi, dans votre lit conjugal, sous tes yeux impuissants ? Ils devraient t'attacher, elle pourrait te maltraiter, elle jouirait encore mieux si tu souffrais physiquement...
Fanatique de l'infidelite feminine

9 ans après, que sont ces amis devenus?

Que j'avais si bien connus...